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Description
Sujets
Informations
Publié par | Éditions AdA |
Date de parution | 15 juillet 2015 |
Nombre de lectures | 5 |
EAN13 | 9782897526047 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0057€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Copyright © 2014 Dan Bischoff
Titre original anglais : James Gandolfini: The Real Life of The Man Who Made Tony Soprano
Copyright © 2015 Éditions AdA Inc. pour la traduction française
Cette publication est publiée en accord avec St. Martin’s Press, New York, NY.
Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans le cas d’une critique littéraire.
Éditeur : François Doucet
Traduction : Miville Boudreault
Révision linguistique : Féminin pluriel
Correction d’épreuves : Nancy Coulombe, Carine Paradis
Montage de la couverture : Matthieu Fortin
Design de la couverture : © Rob Grom
Photo de la couverture : © Timothy Greenfield-Sanders/Corbis Outline
Mise en pages : Sébastien Michaud
ISBN papier 978-2-89752-602-3
ISBN PDF numérique 978-2-89752-603-0
ISBN ePub 978-2-89752-604-7
Première impression : 2015
Dépôt légal : 2015
Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Bibliothèque Nationale du Canada
Éditions AdA Inc.
1385, boul. Lionel-Boulet
Varennes, Québec, Canada, J3X 1P7
Téléphone : 450-929-0296
Télécopieur : 450-929-0220
www.ada-inc.com
info@ada-inc.com
Diffusion
Canada : Éditions AdA Inc.
France : D.G. Diffusion
Z.I. des Bogues
31750 Escalquens — France
Téléphone : 05.61.00.09.99
Suisse : Transat — 23.42.77.40
Belgique : D.G. Diffusion — 05.61.00.09.99
Imprimé au Canada
Participation de la SODEC.
Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition.
Gouvernement du Québec — Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres — Gestion SODEC.
Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada
Bischoff, Dan, 1953-
[James Gandolfini. Français]
James Gandolfini : l’homme derrière Tony Soprano
Traduction de : James Gandolfini.
ISBN 978-2-89752-602-3
1. Gandolfini, James. 2. Acteurs de cinéma - États-Unis - Biographies. 3. Acteurs de télévision - États-Unis - Biographies. I. Titre. II. Titre : James Gandolfini. Français. III. Titre : Homme derrière Tony Soprano.
PN2287.G36B5714 2015 791.4302’8092 C2015-940567-X
À ma mère, Rose Mary Maher Bischoff.
Conversion au format ePub par: www.laburbain.com
Remerciements
J’ai entrepris ce projet presque sur un coup de tête et je n’en serais jamais venu à bout sans l’aide de celui qui l’a initié, mon agent Scott Mendel. Merci également à mon éditrice, Elizabeth Beier, pour son enthousiasme pour le sujet de ce livre et son attitude compréhensive à chaque date de tombée, et à Michelle Richter, qui a veillé à ce que je m’acquitte de mes tâches dans les délais nécessaires.
Ce livre n’aurait jamais vu le jour sans le travail minutieux de Meryl Gross, directrice de l’édition chez St. Ma rtin’s, et sans la collaboration de la publicitaire Katie Bassel et des responsables de la commercialisation Erin Cox et Angie Giammarino. Merci également à Steven Seighman pour la mise en page et à Rob Grom pour la conception de la page couverture.
Cette biographie n’a pas été autorisée par la famille Gandolfini ; les conclusions que vous lirez sont les miennes, et non les leurs. La loyauté envers James Gandolfini dont ont fait preuve ceux et celles qui l’ont connu (je pense ici à des personnes comme Ann Comarato, une de ses enseignantes au secondaire,
Donna Mancinelli, une camarade de classe, et Do n Ruschman, l’an cien maire de Park Ridge), en dit long sur le personnage. Merci à Mark Di Ionno et à sa compréhension pointue du tissu social du New Jersey qui m’ont permis de mieux saisir la personnalité de son ami d’adolescence, et à T. J. Foderaro, qui est un des rares à avoir pressenti l’artiste que deviendrait Jim. Merci à Skylar Frederick, le rédacteur en chef du Daily Targum , qui m’a courtoisement autorisé à consulter les archives du journal étudiant de l’Université Rutgers afin de vérifier certaines anecdotes. Merci à l’acteur Roger Bart et à la professeure d’art dramatique Kathryn Gately dont la connaissance du milieu du théâtre a été une source précieuse d’informations. Merci à Harold Guskin et à Sandra Jennings, qui ont été les professeurs de James Gandolfini, avant de devenir ses partenaires et amis, pour leur témoignage généreux. Quant à celui qui est considéré comme le meilleur ami de Jim et qui a été journaliste sportif au Daily Targum , videur au pub du campus de Rutgers et cadre chez Bell Labs avant de prendre en main Attaboy Film, Tom Richardson, je lui dis aussi un grand merci pour sa courtoisie constante et sans faille.
Merci à Susan Aston, celle qui, plus que quiconque, a fait partie de la vie privée et professionnelle de James Gandolfini, et dont le réalisme à la fois tendre et ironique est le meilleur éloge qu’une personne puisse espérer.
Merci aux agents de James Gandolfini, Mark Armstrong et Nancy Sanders, ainsi qu’à Angela Tarantino d’HBO, qui m’ont permis de mieux comprendre les années de Gandolfini à Hollywood. Merci à Tony Sirico et à son vieil ami Al Giordino de Wounded Warrior qui m’ont parlé avec fierté de l’engagement de leur ami envers les soldats revenus de la guerre. Merci à Nicole Holofcener et à Michaël Roskam, les réalisateurs des deux films posthumes de Jim, pour leur accueil et leur générosité. Merci aux journalistes suivants dont le travail a permis d’étoffer ce livre : Alan Sepinwall, Matt Zoller Seitz, Peter Biskind et Chris Heath. Je tiens à so uligner partic ulièrement l’aide de mes collègues du Star-Ledger , notamment le rédacteur en chef Enrique Lavin et l’archiviste Giovanna Pugliesi, pour leur coopération et leur compréhension.
Sur un plan plus personnel, je tiens à remercier Marc Cooper et Natasha Vargas-Cooper, qui m’ont offert une aide essentielle, a un moment clé, c’est elle qui a rendu ce livre possible. Merci à Maria Laurino pour son analyse perspicace de la communauté italo-américaine du N ew Jerse y. Je me dois également de mentionner tous ceux et celles dont l’appui pendant la rédaction de ce livre s’est manifesté de tellement de façons que je ne peux toutes les décrire ici : Peter Kwong et Dušanka Miš č evi ć , Allen Barra et Jonelle Bonta, James et Pat Ridgeway, Chuck et Ires Wilbanks, Will Rosenthal, Emily Hubley, Martha Elson, Pete Skene, Willie Neuman, Andie Tucher et beaucoup d’autres encore. Merci à mon bon ami Kevin Jon Klein, auteur et professeur de dramaturgie, qui a gracieusement accepté d’écouter d’une oreille critique plusieurs idées présentées dans ce livre (et de devenir ainsi partiellement responsable de celles qui étaient mauvaises).
Merci à ma famille, à ma sœur, Kathy, à mon frère, John, et, bien entendu, à mon fils, Boone, qui sont les raisons qui m’ont poussé à rédiger ce livre. J’espère qu’ils savent à quel point j’apprécie leur soutien. Finalement, merci à mon épouse, Leslie Savan, qui écrit elle aussi, et qui m’a fourni une seconde paire d’yeux pour chaque mot que vous lirez ici, et elle sait à quel point c’est vrai.
1
Tous les chemins mènent à Rome
Ça ressemblait à la scène finale des Soprano : Tony, c hez Holst en’s, un marchand de glaces de Bloomfield, N ew Jer sey, qui changeait la chanson du jukebox pour faire jouer la chanson Don’t Stop Believin’ du groupe Journey, en attendant que sa fille Meadow rejoigne le reste de la famille pour manger des rondelles d’oignons frits. L’instant d’après, l’image disparaissait dans un fondu au noir.
Sauf que cette fois, il s’agissait plutôt du restaurant d’un hôtel cinq étoiles de Rome érigé sur des vestiges datant du troisième siècle. De l’autre côté de la rue se trouvait une église qui abritait le dernier tepidarium encore intact, un bain de style Dioclétien qui avait été dessiné par Michel-Ange. James Gandolfini prenait des vacances à Rome en compagnie de son fils, Michael. Arrivés la veille après un vol de 24 heures en provenance de Los Angeles, ils avaient passé une « magnifique journée » à faire une visite guidée de la ville. John avait confié à ses amis sa joie de faire ce « voyage entre hommes » avec son fils âg&