rai eue une autre solution.. mais j'éta i; on nas déjàît da ns une daube
pas égaux, on est pas égaux, va te faire mettre dans ton cocon. Le compteur é lectrique a sonné, je
n'ai pas ouvert, je n'ai plus rien à attendre de la société, et certainement pas de toi.
Alors à tous chers enculés, allez bien en enfer.
Démoniaque, recherche de ce mot,
Quand on est à la fin
on le devient, (enfin moi)Je n'étais pas prédestinée pour ça,
par contre des cons m'ont prédestiné
En fait je n'ai pas bougé du système
des fonctionnaires,
studieux et très cons.
Ma prédestinée c'était le fonctionnariat,
Je n'en ai pas voulu
il m'a rattrapé autrement..
Je crois que dans les familles il y a des gênes,
des mécanismes des circuits,
dans les activités, branches,
il y a aussi un tempérament commun
Ensuite si on a la force on s'investit ailleurs,
que dans le fonctionnariat,
Je n'ai pas eu la force,
et je détestais la couardise,
Je n'aurais pas été couard
mais sans force cela ne m'aura amené nulle part.
Ou c'était mal payé,
et, bien franchement payer des impôts
en étant mal payé
va te faire mettre,
surtout que je ne cautionne pas
le systémisme.
La force m'aura fait défaut.
divers...
Dans de très nombreuses cultêuretres s, deurnatsure , doué ls s de raison, très malfaisants, é manant
de lieux ou de personnes sont supposés influencer les esprits de s humains ou les lieux qu'ils
traversent. Ils sont appedémolénss dans la littérature chrétienne, ou entre autres, S ouras ou Dévas,
Asouras, Daityas ou Dânavas cHheindousz le, Izs eds ou Amschaspands chez les sui veurs du culte
de Zoroa stre, Cacodémon ou Agathodémon chez lGeres c, Lsare es t Larves darens lliagi on
romaine, e Yats ha dans lac ulture japona. ise
Mésopotamie
La variété presque infinie des démons en Mésopotamie est à la mesure de l'imaginaire local. Les
créatures démoniaques, agents ou simples vecteurs du Mal ont souvent été créé s par les dieux, voire
sont issus d'eux, en particulier du couple An (Le Ciel) et Ki (l a Terre), ce qui souligne leur
proximité avec les forces élé[1]me. Centairertasins sont à mi-chemin entre les génies m alfaisants et
de véritables divinités comme Lamashtu, fille d'Anu, Pazuzu, fils du di eu infernal Hanbu, Sulak ou
encore Namtar, autre personnage divin des Enfers, fils d'Enlil. D 'abord conçus comme les
exécuteurs des châtiments décrétés par les dieux, qui se manifesten t souvent par des atteintes
er
physiques, les démons devienne mintl alénau 1ire des entités maléfiques pratiquem ent autonomes
émanant du monde infernal où ils cherchent à entraîner leurs victimes. La "pos session démoniaque"
entraîne des maux physiques et moraux qui excluent de la société humaine ceux qui en sont atteints.
Les démons touchent leur victime par contact ou par une véritable "saisie" et sont souvent évoqués
sous la forme d'un souffle ou d'un venin ; ils sont invisibles mais parfoi s entourés d'un halo. Leur
corps est sale, impur et répand de mauvaises odeurs. Ils se glissent sans ê tre vus dans les habitationset presque aucun obstacle matériel ne peut les arrêter. Tous les démons voi ent leur pouvoir néfastes
particulièrement renforcés dans les lieux et les moments les moins bie n contrôlés par l'homme :
désert, ruines, endroits obscurs en général, nuit. Ainsi le démon Allulaya, la c ourtilière, agresse sur
la route le voyageur nocturne. Certains démons sont pourvus d'une véritable personnalité, mais la
majorité sont plutôt des désignations génériques et œuvrent par groupe de se pt (heptade). Une
catégorie particulière est représentée par les Etemmu (sumérien : Gidi m), les spectres. Il s'agit
d'humains ayant connu une mort violente ou souffert d'un défaut de ri te funéraire, qui peuvent
remonter des Enfers pour tourmenter les vivants. Ils s'introduisent par l 'oreille et provoquent des
désordres mentaux. On lutte contre leur atteinte appelée la "main de spe ctre" (qât etemmi) par des
rituels et des pratiques magiques. Il est par ailleurs peu recommandé d' évoquer les Etemmu pour
pratiquer la nécromancie, car ils se retournent souvent contre ceux qui l es ont appelés. Les démons
Alû sont assez souvent rendus responsables des troubles du sommeil : les mauvais rêves, l'insomnie,
mais aussi son opposée, la somnolence perpétuelle appelée "la main du dém on Alû". On trouve
également les Kûbu, fantômes des fœtus morts avant terme, et, par opposit ion au "dieu protecteur"
qui accompagne chaque individu, un "mauvais démon personnel", qui attaque les gens en
s'attachant à eux individuellement. Certains démons sont enfin simplement la pe rsonnification de
maladies comme l'épilepsie (Bennu), le mal de tête (Di'u) ou de mauva ises influences (le "mauvais
œil").
Antiquité
Dans la religion grecque populaire,dai lemon dé) démon (signait une sorte de génie ambi valent, un
être doué de pouvoirs surnaturels, capricieux et imprévisible, présent en des lieux étranges à des
moments particuliers et à l'œuvre dans les évènements effrayants de la nature et de la vie humaine,
mais susceptible d'être apaisé, contrôlé au moins par des moyens magiques" (W . Foerster, "Daimôn,
daimonion, i Tnheological Dictionary of the New , tTes. II, 1964, p. 8tament ).
Hésiode , au VIII° s. av. J.-C., dans sa Théogonie, distingue cinq catégori es de puissances : les
démons supérieurs ou dieux (race d'or), les démons inférieurs (race d'ar gent), les morts de l'Hadès
(race de bronze), les héros sans promotion posthume, enfin les hommes du passé (race de fer).
"C'est Hésiode qui, le premier, de manière nette et déterminée, a rece nsé quatre genres d'êtres doués
de raison : les dieux, ensuite les démons, ensuite les héros, et, en pl us de tous ceux-là, les hommes.
Opérant un tri parmi eux, il semble bien qu'il admet une transformation de la race d'or en une
multitude de bons démons et des demi-dieux en héDeros l." (a diPspalutriarquetion de, , s oracles
10 :D ialogues pythi, Gquesarnier-Flammarion, 2006, p. 161.)
Pythagore voit des âmes ou esprits partout, elles sont des parcelles détachées de l'éther :
"L'air en sa totalité est rempli d'âmes, et ces âmes sont appelées démons et hé ros" (Diogène Laërce,
VIII, 32, Le livre de poche p. 966).
Pythagore distingue quatre types d'entités spirituelles : dieux, héros, dé mons, humains. Les dieux
sont des âmes immortelles, les humains des âmes mortelles. Les dieux hab itent les astres, les héros
glorieux l'éther, les démons la terre. Les héros sont de demi-dieux. Les dé mons "Daemon" tels qu'ils
apparaissent dans la littérature grecHqueésiode de sontpui de s s êtres intermédiaires ent re l'homme
et ldia vini, peté rsonnifiant tantôt les vertus morales, tantôt lenastur force. Iles as deide lnt la es
dieux à organiser le monde et à faire reordre spe mcort. Lealr le' mot sert aussi bien à dési gner l'être
responsable de la destinée d'un être humain, que le génie spécifique d' une cité, d'un lieu, ou d'une
famille. Il correspondgeni au deus s latins. AiSnocsira, te, selLon e Banque det P laton, considéra it
être inspiré par un démon particulie. r
"En premier lieu, honore les dieux immortels, selon le rang qui leur est assigné par la loi.
Révère aussi le Serment. Ensuite, honore les héros glorieux
Et les démons terrestres en accomplissant les prescriptions de la loi.
Honore aussi tes parents et ceux qui sont nés dans ta parenté. Vers d'or pythagoric, 1-4.iens
Platon, dans lTeim ée, un peu comme Hésiode, énumère dieux, démons, habitants de l'Hadès, héros
et hommes du passé.
Les Romains admettent dieux, déesses, mânes (âmes des morts), lares (e sprits tutélaires protégeant
maisons, etc.), génies (esprits présidant à la destinée d'un lieu, d'un groupe , d'un individu), lémures
(spectres de morts)...
Saint Justi (II° sn .), le premier, voit dans les dieux du paganisme deApol s eoginvo,e syés du démon (
I, 5, 25-27). Il sera suivi par quantité de théologiensDe, dont spe cTetacrt), Luluillsiaectn (ance (IV °
s.).
Le néoplatoniciePn orphyre de (ve Tyr rs 260) se demande avec prudence com ment distinguer les
êtres divins de haut rang (dieux,ange as, dérchamonsnge,s hé, ros, archontes du cosmos ou de la
matière) de simples âmes, sans parler des eant spriitths).e moialins (
"Tu [toi, Porphyre de Tyr] t'enquiers de ce qui manifeste la prése nce d'un dieu, d'un ange, d'un
archange, d'un démon ou de quelque archonte [gouverneur de planèt e] ou d'une âme. D'un
mot, je prononce que les manifestations s'accordent à leurs essences , puissances et activités...
D'une seul espèce sont les apparitions des dieux ; celles des démons variées ; celles des anges,
plus simples que celles des démons, mais inférieures à celles des di eux ; celles des archanges,
plus proches des causes divines ; quant à celles des archontes, si tu entends par là les maîtres
du monde qui administrent les éléments sublunaires, elles sont vari ées, mais rangées en
ordre..."[2]
Christianisme
Article détaillDé :émons dans le christiani.sme
Notes et références
1. ↑ (fr)[PDFD]émons et exorcismes en Mésopotamie e [tar echin Jv]e sudéure
www.qro.unisi.i. Const ulté le 11 novembre 2010.
2. ↑ Jamblique Le,s Mystères d'Égypt (vee rs 320), II, 3, Les Belles Lettres, p. 79-80.
Bibliographie
• Francis Joannes & Cie, "Dictionnaire de la Civilisation Mésopotamienne", Éditions Robert
Laffont, Paris, 2001.
• Abbé Migne, Dictionnaire des sciences occultes et - P des sariupes - 1846. rstitions
Je fais tout wikipédia... lol
Tertulien m'intéresse...
ok, je le met quand même.. histoire de mieux connaî ,o tre Benoît XVI
Quintus Septimus Florens Tertullianu, dis Tetr tullien, né entre150 e160t à Carthage (actue lle
Tunisi) ee t décédé ve 220 rs à Ca rthage, esétc un riva dein languelati ne issu d'une fa mille
e
berbè [1]re ,[2] romanisée epatïe nne . Il se convertchriit asu tianism àe la fin du II sièc elet devi ent
la figure emblématique de la communauté chrétienneThéol deogie Can , rtpèrehage de . l'Égl, iseauteur prolifciaquetéchè, te, son influence sera grandeOcc daide nsnt l c' hré.t