Mais je parle pas manouche : c est ’ une langue qui
se perd, c’est dommage, parce qu’on n’a plus les vieux avec nous.
Je suis petit-fils de déportés. Le camp du Rond avant c’était un camp allemand. Le chemin que vous avez pris, ’était une voie f é c err e. Tu t’imagines les wagons qui passaient avec des déportés.