On avait,planté un tilleul, à la naissance dedans la vaste cour, Joseph, le maître des lieux, sous lequel les soirs d,été, on causait tout en prenent le frais, attendant, que le sommeil, nous conduise, jusqu,à la paillassede feuilles de maïs, que l,on renouvelait, à chaques récoltes Un vieux puits qui n,avait plus d,âge, était là aussi, avec son toit de tuiles recouvertes de mousse grise. Depuis longtemps déjà, on n,entendait plus le grincement, de sa poulie rouillée, remontant l,eau fraîche des profondeurs de la terre, les sécheresses successives avaient eut raison de sa source, qui avait finit par ce tarir Avecson tas de fumier donnant au nord, on avait une idée de l,importance de la ferme. Plus le tas de fumier est gros, plus le paysan est riche disaitt-on en ce temps là En1919, Joseph,prends pour femme, La Toinnette, de la ferme du **Pré aux Ânes** Dansl,année qui suivit cette union, Toinnette,donna le jour à un garçon, Paul, Gustave,fut si fier de ce fils, qu,il offrit a boire ,à tout le village. Ce fut la fête, **Au Domaine des Chênes** L,arrivéede cet enfant donnait une nouvelle dimension à la ferme, la succession, était maintenant assurée Leshectars de le ferme du** Préaux Änes** qui étaient venus, s,additionner a ceux des **Chênes** représentaient dés lors un patrimoine plutôt confortabble, cequi donna àJoseph, une certaine notoriété ILétait Joseph, du **Domaine des chênes**. Un ans plus tard, par une nuit de pleine lune, Toinnette, mit au monde un deuxiéme garçon, Louis,