Communiqué de presse "L ombre et la lumière T1 : les guerriers de l ombre"
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Communiqué de presse "L'ombre et la lumière T1 : les guerriers de l'ombre"

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Description

L'humanité réduite en esclavage ? C'est impossible ! Et pourtant...
2716
L'humanité, obligée de quitter la Terre à cause des catastrophes engendrées par le dérèglement climatique, s'est installée sur Providence, une colonie terrienne, et se trouve finalement réduite en esclavage par une race alien.
Dans l'ombre, cependant, un petit groupe de résistants tente vaille que vaille de rendre leur liberté aux humains. Ils ont placé de grands espoirs en Owen, un jeune esclave.
Qui est Owen ? Pourquoi est-il le catalyseur des espoirs des résistants ? L'humanité retrouvera-t-elle sa liberté ?

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Informations

Publié par
Publié le 06 octobre 2011
Nombre de lectures 215
Langue Français

Extrait

Isabelle AUBERT, auteure de
L'ombre et la lumière Tome 1 : les guerriers de l'ombre
En vente depuis septembre 2011 sur
www.thebookedition.com
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et
lepostscriptum.perso.sfr.fr
Pour diffusion immédiate.
L'humanité réduite en esclavage, est-ce possible ?
Les humains ont dû quitter le berceau protecteur qu'offrait la Terre. Une rencontre avec des aliens,
pourtant bienveillants au début, tourne à la guerre stellaire. Les humains sont vaincus et réduits en
esclavage. Est-ce vraiment là le destin de l'humanité ?
2156. L'instabilité du climat sur Terre est parvenue à son paroxysme. Les désastres provoqués par de supers
cyclones et autres phénomènes météorologiques de grande ampleur rendent impossibles les cultures et
mettent en péril la survie de l'espèce humaine qui se voit obligée d'essaimer vers Providence, une planète
découverte quelque temps auparavant, et sur laquelle des colons sont en train de s'installer.
« C'est un postulat qui pourrait paraître pessimiste, sinistre même, mais il est vrai que le climat est une
préoccupation majeure de ces dernières années, nous dit l'auteur. Il ne faut pas y voir un côté moralisateur,
c'est juste le point de départ de l'histoire. » Et pourtant, après soixante-dix ans de paix avec la race alien, une
guerre éclate. En trois, les humains, désorganisés, sont vaincus et l'Histoire semble devoir s'arrêter là.
Quatre cents ans après la guerre, le récit s'engage autour d'un peuple soumis et résigné, réduit en esclavage
sur la planète des aliens, ou jouissant d'une fausse liberté sur Providence, sévèrement gardée par les
nouveaux maîtres des humains. Même le groupe de rebelles, dont le mouvement perdure depuis la fin de la
guerre, ne suscite aucun espoir tellement ses actions semblent vaines et inefficaces. « Une résistance qui
s'étale sur quatre cents ans, cela peut paraître exagéré, et ça l'est, en fait, mais ces délais sont nécessaires pour
plusieurs passages, que je tairai ici pour ménager le suspens », nous glisse la jeune femme avec un clin d’œil.
Le récit tourne autour d'Owen, un jeune esclave. Car ce n'est pas un jeune homme comme les autres, et
rapidement, le lecteur comprend que cet esclave détient peut-être les clés de la Liberté des humains. « Est-ce
qu'il y a un lien avec
La Planète des Singes
? Complètement, c'est même l'une de mes deux sources
principales d'inspiration, confie Isabelle Aubert. En fait, j'ai revisité l'histoire du peuple juif à l'époque des
dix commandements
à la sauce science-fiction, et pour ce faire, je me suis inspirée de certaines facettes de
La
Planète des Singes
, la version de Tim Burton. C'est la raison pour laquelle les aliens vivent sur la planète Ape
(singe en anglais). C'est une pépite, comme on dit, à ceci près que mes apiens tiennent davantage du chat que
du singe. »
Une autre curiosité de l'histoire, c'est la technologie des uns et des autres. « J'ai voulu revenir à une
dimension moins spectaculaire, les téléporteurs, les portails spatio-temporels à la
StarGate
, c'était trop
avancé à mon goût. Je ne crois pas que nous aurons ce niveau dans cinq cents ans. De gros bâtiments
capables de voyager en hyperespace, c'est déjà pas mal. »
Pas de combats spatiaux non plus dans ce premier tome. Mais plutôt des opérations clandestines qui ne sont
pas sans rappeler la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale. « J'ai une relation particulière avec cette
époque, nous dit l'auteure, parce que j'admire le courage qu'il a fallut à ces hommes et ces femmes. Mais,
d'une manière générale, je suis admirative de tous ceux qui, hier ou aujourd'hui, partout dans le monde,
luttent à un contre cent pour faire triompher la liberté et la justice, qui se battent pour ce que certains
qualifient parfois de ''cause perdue'' ».
Lien vers la page de l'œuvre :
À PROPOS DE L'AUTEUR
Isabelle Aubert est née en 1979, en Seine Saint Denis, où elle a passé l'essentiel de sa vie et où elle continue
de travailler en tant que fonctionnaire de police.
En incorrigible rêveuse, titre qu'elle revendique haut et fort, Isabelle a littéralement mis la tête dans les
étoiles avec ce roman de science-fiction, premier tome d'une trilogie. Une rêveuse qui a quand même les
deux pieds solidement ancrés dans la réalité, puisqu'elle a accompli un important travail de recherches afin
de palier à son manque de connaissances scientifiques « pour ne pas dire ou sous-entendre
d'invraisemblances ».
Son site personnel :
http://lepostscriptum.perso.sfr.fr
Pour contacter l'auteure :
isabelle_lesage@hotmail.com
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