Couple exécutif - Manuel Valls se Hollandise, François Hollande se victimise !
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Argumentaire UMP - Couple exécutif - Manuel Valls se Hollandise, François Hollande se victimise !

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Publié le 22 septembre 2014
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Langue Français

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ARGU FLASH
COUPLE EXÉCUTIF
M. VALLS SE HOLLANDISE, F. HOLLANDE SE VICTIMISE !
À RETENIR confiance relative ccadeorlupqusétiredcuagnehamojLauen à Manuel Valls qui adopte tous les travers de François Hollande.Le Premier ministre a prononcé un discours de politique générale sans souffle, ni cap, ni courage. François Hollande se retrouve à faire le service après-vente du discours de son Premier ministre, ce qui affaiblit la fonction présidentielle. Les Français n’attendent pas de François Hollande qu’il se victimise mais qu’il trouve des solutions pour sortir la France de la crise.
CHIFFRE CLÉ 269 C’est le nombre, le plus faible depuis 1986, de parlementaires qui ont accordé leur confiance au Premier ministre.
L’exécutif est fragilisé politiquement comme jamais et fragilise les institutions de manière inédite
Le discours de politique générale de Manuel Valls, prononcé le 16 septembre, a été adopté par une majorité relative, signe d’une défiance absolue non seulement des Français mais aussi de son propre camp.
Il y a eu 566 votants, 513 suffrages exprimés dont 269 pour et 244 contre. Manuel Valls n’a donc pas été soutenu par une majorité absolue. En avril 2014, lors de son premier discours de politique générale, il avait obtenu 306 voix pour, Manuel Valls a donc perdu 37 voix en 5 mois. et 239 contre. La confiance de la gauche dans son action s’érode donc à l’instar de celle des Français. Le gouvernement Valls II obtient le plus faible nombre de voix favorables depuis 1986, première année où le nombre de députés a été porté à 577. La gouvernance pratiquée par François Hollande et Manuel Valls fragilise les institutions : Transformer Manuel Valls utilise l’hémicycle pour trancher les différends entre députés socialistes. e l’Assemblée nationale en bureau politique du PS, c’est trahir l’esprit de lavRépublique. François Hollande est réduit, le jeudi, à faire le service après-vente, du discours de Manuel Valls, le mardi. Le Président est relégué au second plan.
www.u-m-p.org
© Éditions de l’Union
19 septembre 2014
ARGU FLASH
Manuel Valls se Hollandise
Manuel Valls tombe dans les mêmes travers que François Hollande :
La synthèse molle : son discours de politique générale a été un exercice illisible de réconciliation des irréconciliables. Manuel Valls a cherché d’un côté à dire qu’il aimait les entreprises et de l’autre à les stigmatiser pour plaire aux frondeurs. Finalement aucune ligne directrice ne se dégage de sa déclaration de politique générale. Le refus des réformes de structure et le manque de courage : aucune réforme d’ampleur n’a été annoncée. Rien sur l’éducation, la sécurité, les dépenses, la dette, l’innovation, l’apprentissage… Par ailleurs, Manuel Valls a dit qu’il ne voudrait « jamais moins d’État », ce qui n’est pas raisonnable dans un pays où la dépense publique pèse près de 57 % du PIB. Les reniements : Manuel Valls s’est longtemps targué d’être le réformateur du PS ; dans les actes il s’avère être conservateur. Par exemple, le 2 janvier 2011, Manuel Valls voulait « déverrouiller les 35 heures », le 16 septembre, il a affirmé « comme je l’ai déjà dit, il n’y aura pas de remise en cause des 35 heures. » L’improvisation fiscale au détriment des Français : comment comprendre que Manuel Valls n’ait pas évoqué la suppression d’une tranche de l’impôt sur le revenu devant la représentation natio-nale le 16 septembre, mais se soit empressé de l’annoncer le lendemain sur BFM TV ? Cette annonce sur le fond pose en plus de nombreux problèmes : Elle coûte environ 3 milliards d’euros, une somme que le gouvernement n’a pas.  Dans un pays où le déficit sera proche de 4,4 % fin 2014, ne pas financer ses mesures fiscales, c’est creuser inconsidérément le trou de la dette.
Elle ne s’inscrit dans aucune stratégie fiscale cohérente. Le gouvernement essaye d’alléger une partie des impôts qu’il a lui-même alourdis. Les Français n’y comprennent plus rien : la stabilité est indispensable pour créer la confiance ! Surtout cet allégement n’efface en rien la somme des impôts votés depuis plus de deux ans.
Elle fait porter l’essentiel de la charge fiscale sur les seules classes moyennes.  Avec cette mesure, il n’y aura plus que 35 % des foyers fiscaux qui s’acquitteront de l’impôt sur le revenu. D’une part cela casse le lien de citoyenneté par participation aux charges publiques. D’autre part, cela risque de matraquer encore plus les classes moyennes qui payent pour tous, mais ne reçoivent rien.
François Hollande se victimise
François Hollande a eu l’indécence d’axer sa conférence de presse sur ses difficultés personnelles martelant que son rôle n’était « pas facile » et « dur », dans un pays où :
La croissance est quasi nulle. Plus de 6 millions de personnes sont touchées par le chômage ou le sous-emploi. Le plafond de la dette approche les 100 % du PIB et les 2 000 milliards d’euros. 150 000 jeunes quittent, chaque année, le système scolaire sans aucun diplôme. Où 3,5 millions de personnes sont mal-logées. Où l’insécurité s’aggrave… Refuser d’assumer les responsabilités de ses échecs, ce n’est pas à la hauteur de la fonction présidentielle.
www.u-m-p.org
© Éditions de l’Union
19 septembre 2014
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