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Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait



L’affaire Vincent ; au cœur du terrorisme d’Etat


AVERTISSEMENT

aux membres des forces de Police et de Gendarmerie


Il peut vous sembler incongru, voir déplacé, qu’un homme apparaissant sur vos fichiers
comme faisant l’objet d’un mandat d’arrêt, ose s’adresser ainsi à vous, fut-il ancien
gendarme.
D’autant plus que non content d’être un « hors la loi en cavale » et de narguer l’institution
judiciaire et le pouvoir en place, il est l’initiateur d’un appel à la révolution, ce qui ne fait
guerre l’affaire, en principe, de gens censés faire respecter l’ordre public, et la sacro-sainte
paix sociale.
Justement ! L’essentiel de ma prose a pour objet principal de vous faire réaliser, à vous, en
premier lieu, qu’en fait d’ordre public il ne s’agit que de l’ordre du crime organisé, et qu’en
fait de paix sociale, il ne s’agit que d’une fumisterie destinée à n’assurer que la quiétude
d’une véritable imposture sociétale.
Tant qu’en serai libre, je n’aurai d’ailleurs cesse de vous interpeller amicalement afin que
vous preniez conscience de la parfaite manipulation dont vous faites toutes et tous l’objet.
Car le crime organisé international fait de vous son bras armé « local », pour appliquer son
schéma de terrorisme d’Etat sur le Peuple que vous êtes ainsi amené à trahir en profondeur,
plus ou moins à votre insu.
Et comme vous allez pouvoir en prendre pleinement conscience ici, je l’espère, les
conséquences de cette « intrumentalisation » de votre idéal et de votre sens du devoir,
insidieusement confondue à une manœuvre formelle et générale en vue de vous engluer dans
une profonde compromission tout en dissolvant votre intégrité au fil de votre carrière, sont
d’un ordre de gravité bien plus préoccupant que s’il ne s’agissait que de fermer les yeux sur
quelques escroqueries financières de vos donneurs d’ordres « encravatés ».
Ceci dit, je tiens tout de même à vous rassurer concernant le mouvement révolutionnaire dont
je suis aujourd’hui à la tête ; je n’incite aucunement mes concitoyens à prendre les armes,
bien au contraire : Je sais qu’une guerre civile, si elle vous exposerait en toute première ligne
dans toute l’horreur d’un massacre fratricide, ne ferait que le jeu de vos criminels donneurs
d’ordres et de leur maîtres de la haute finance et de l’industrie, afin de prétendre à plus de
terreur pour au final asseoir leur Nouvel Ordre Mondial.
Je n’aurais cesse également d’attirer votre attention sur le fait que si vous ne réagissez pas
au plus vite à ce que je dénonce dans cet ouvrage, s’agissant de l’imposture politique et
institutionnelle, il y a peu de chance que vous échappiez au rôle principal auquel vous êtes
destinés, en première ligne d’un tel chaos organisé. Chaos non pas du syndicat du crime
international et de son imposture sociétale, mais bien de notre collectivité odieusement
manipulée et asservie.
En outre, j’estime que cette révolution, à mes yeux seule alternative viable dans l’urgence
attachée à la gravité réelle de notre situation collective, constitue - pour ce qui est de ses
aspects « offensif » et « répressif » - une mission qui vous revient de fait, s’agissant là d’une
opération de police qui doit être menée contre des représentants du crime organisé
1 international, à savoir en l’occurrence le sieur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA et sa
clique malfaisante.
Hé oui ! L’ancien garde de la République, aujourd’hui considéré - à tort ! - comme un
renégat hors la loi par son ancienne corporation instrumentalisée, veut, au comble du
comble, en exhorter les membres à le suivre dans son idéologie révolutionnaire !
Il m’apparaît indispensable avant tout de vous faire savoir comment j’en suis arrivé là, et
j’espère que l’ouvrage que je vous présente ici ne laissera planer aucun flou quant à la
pertinence de ma prise de position, que vous soyez juristes avertis ou non. Plus en
profondeur, c’est la face cachée de notre système sociétale que je vais éclairer, dans son
abjecte et insoupçonnable réalité. En bonus, je vous raconte l’enquête que j’ai menée au
sortir de « l’affaire Vincent » sur une autre affaire dans le même odieux registre, mais
autrement plus abominable en terme d’ampleur. - En tous cas, pour ce que l’on sait de
l’affaire Vincent, car je soutiens qu’une enquête sur le géniteur du courageux enfant aurait
pu, et devrait toujours, nous réserver des surprises salées quant à la réelle dimension du
réseau auquel je le soupçonne plus que sérieusement d’appartenir…-
Il s’agit de l’affaire des cd rom de ZANDVOORT, cette monstrueuse affaire de crimes sur
enfants, en réseau à dimension internationale ; affaire là encore étouffée par le terrorisme
des divers Etats concernés, dont le notre évidemment.
Sachez par ailleurs que l’enquête que j’en ai réalisée sous forme d’un reportage vidéo de
près de quatre heures, ayant tout juste fini sa mise en forme en DVD, est à la disposition de
tout membre de vos corporations respectives, en premier lieu.
Je souhaite cependant faire ici un point concis sur la question qui concerne ma situation
personnelle, car, étant secondaire à mes yeux, elle est traitée de façon accessoire dans cet
ouvrage :
Ainsi donc il paraîtrait que je suis hors la loi ?
Mais, je vous le demande ; qu’est-ce selon vous qu’un hors la loi ?
Est-ce un individu qui, pour avoir un peu trop respecté celle-ci a été pris pour cible d’une
inique répression judiciaire, orchestrée par une bande de magistrats et de gendarmes
manifestement corrompus et pro pédophiles ?…
…Ou seraient-ce au contraire lesdits magistrats et gendarmes manifestement corrompus et
pro pédophiles, abusant outrageusement de leurs fonctions à des fins criminelles, qui méritent
cette mention ?
Qui donc est celui qui enfreint la loi, et qui est celui qui la respecte, entre celui qui met tout
en œuvre pour soustraire un enfant à une menace déclarée, et celui qui, bien qu’étant
détenteur de l’autorité publique, refuse de prêter assistance audit mineur menacé ?
Est-ce le fait de porter un uniforme de gendarme ou une toque de magistrat, ou de n’avoir au
contraire aucune fonction, qui seul, doit faire de nous des personnes au dessus de tout
soupçon et même des lois, ou bien des criminels ? Ne seraient-ce pas plutôt les agissements
des uns et des autres, par rapport au respect de nos textes de loi, qui devraient permettre
cette définition ?
Et cette notion de détention de l’autorité publique ne constitue-t-elle pas au contraire une
circonstance aggravante en cas de comportement délictueux ou criminel, bien prévue par nos
textes de lois ?
J’affirme, quant à moi, n’avoir jamais commis la moindre action contraire à la loi ou à la
morale, bien au contraire.
Je prétends en revanche, que ceux là mêmes qui sont à l’origine de cette décision de justice –
le lancement d’un mandat d’arrêt à mon encontre – ainsi que des précédentes – mon
inculpation pour soustraction de mineur, puis mon incarcération en préventive, suivies de
mon placement sous contrôle judiciaire -, sont eux, des individus qui « instrumentalisent »
leurs fonctions et abusent de leurs pouvoir à des fins criminelles.
2 Je vous en propose la démonstration après ce préambule, dans cet ouvrage.
Mais je souhaiterais avant vous situer rapidement l’affaire, pour ceux d’entre vous qui ne la
connaissent pas.
En 2006, j’ai été amené à intervenir en tant que citoyen, dans le cadre de l’assistance à
personne mineure en danger, pour pallier un injustifiable déni de justice et de protection
envers un enfant victime de violences diverses et manifestement sexuelles : Une victime en
outre à la qualité de témoin, menacé de mort par son bourreau présumé.
Tentant de trouver l’assistance judiciaire refusée à l’enfant prénommé Vincent, en dehors du
périmètre géographique incriminé, et ayant organisé la soustraction du mineur à la menace
attestée qui pesait sur lui, je dus constater avec effroi que plus je persistais à vouloir protéger
cet enfant et saisir des autorités sur son cas, plus je m’enfonçais.
Quand je dis que je m’enfonçais, c’est une façon de parler, bien sûr ; mais, le fonctionnement
trop binaire de notre appareil judiciaire devait me déclarer de fait comme hors la loi, en
validant, par son silence général à mes différentes saisines, les agiss

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