Des orientations Manifeste desélus urbains Les grandes agglomérations françaises sont un atout indéniable pour la France et, au-delà, pour l’Europe et le monde. Elles portent en effetune part essentielle du dynamisme de notre pays, qu’il s’agisse de la création de richesses et d’emplois ou encore des activités de recherche et d’enseignement. Elles sont égalementle terrain privilégié des innovations, tant technologiques que sociales, etNGU ECTTGHQWTU FG ƃWZ JWOCKPU OCVÅTKGNU GV PWOÅTKSWGU.Elles KPECTPGPV GPƂP WPG PQWXGNNG HQTOG FG FKRNQOCVKG CWZ EÐVÅU FGU 'VCVU, notamment sur le plan climatique et économique. Fers de lance de l’économie française, nos villes et leurs agglomérations doivent cependant HCKTG HCEG ¼ FGU FÅƂU OCLGWTU Celui dela solidarité tout d’abord \V Vi ÌÀ> Ì `ià « «Õ >Ì Ã i ` vwVÕ Ìj] i ià ` Ûi Ì >«« ÀÌiÀ `ià Àj« Ãià D > VÀ Ãi `Õ }i i Ì] D ½>VVÕi `ià yÕÝ }À>Ì ÀiÃ] >ÕÝ ` ÃVÀ >Ì Ã ÕÀL> ià iÌ Ã V > iÃ] iÌ D > Ìji `ià V Õ >ÕÌ>À à ið >Vi >ÕÝ À õÕià `i À>` V> Ã>Ì Û i Ìi Ì> i Ì] i ià ` Ûi Ì œuvrer, au côté de l’Etat, à la sécurité des citoyens.Acteurs de la solidarité, elles doivent plus que jamais assumer un rôle, essentiel, deEQJÅUKQP UQEKCNG FCPU NG TGURGEV FGU XCNGWTU FG NC 4ÅRWDNKSWG. Celui de l’environnement ensuite.
Les grandes agglomérations françaises sont un atout indéniable pour la France et, au-delà, pour l’Europe et le monde. Elles portent en effetune part essentielle du dynamisme de notre pays, qu’il s’agisse de la création de richesses et d’emplois ou encore des activités de recherche et d’enseignement. Elles sont égalementle terrain privilégié des innovations, tant technologiques que sociales, etles carrefours de ux humains, matériels et numériques.Elles incarnent enIn une nouvelle forme de diplomatie aux côtés des Etats, notamment sur le plan climatique et économique.
Fers de lance de l’économie française, nos villes et leurs agglomérations doivent cependant faire face à des déIs majeurs.
Celui dela solidarité tout d’abord : concentrant des popuatîons en dîficuté, ees doîvent apporter des réponses à a crîse du ogement, à ’accueî des lux mîgratoîres, aux dîscrîmînatîons urbaînes et socîaes, et à a montée des commu-nautarîsmes. Face aux rîsques de radîcaîsatîon vîoente notamment, ees doîvent œuvrer, au côté de l’Etat, à la sécurité des citoyens.Acteurs de la solidarité, elles doivent plus que jamais assumer un rôle, essentiel, decohésion sociale dans le respect des valeurs de la République.
Celui de l’environnement ensuite. Le dernier sommet mondial sur le cli-mat l’a bien montré :c’est dans les villes que se joue en grande partie le déI climatique. Nos terrîtoîres afirment eur rôe majeur en matîère de maîtrise de la demande d’énergie, d’amélioration de la qualité de l’air, de développement de l’économie circulaire et de préservation de la biodiversité.
Conscientes de leur responsabilitédans la bonne marche de l’économie et, au-delà, de la socîété françaîse dans son ensembe, es grandes aggomératîons françaîses exprîmentleur volonté de pleinement s’y investir, aux côtés des acteursînstîtutîonnes, économîques et socîaux et, au-deà, de a so-ciété civile dans son ensemble, comme de l’Etat. C’est dans ce but et dans e contexte de ’éectîon présîdentîee de 2017 qu’elles formulent leurs propositions et interpellent sur celles-ci les candidats.
Pour une « République des Territoires »
Trente-quatre ans après es oîs Deferre, î est temps de modernîser a gouvernance de notre pays. Tout en préservant l’unité de la République, il s’agit d’achever le processus de décentralisation permettant de mettre en œuvre le principe de la République décentralisée inscrit dans notre Constitution. Cette République des Territoires, porteuse de pratiques politiques innovantes, op-timisera la relation entre l’Etat, les collectivités territoriales et leurs groupements en mettant en pratique trois valeurs fondamentales que sontla responsabilité, le dialogue et l’autonomie.
La responsabilité
Notre responsabîîté dans a déinîtîon et a mîse en œuvre des poîtîques pubîques doît être af-irmée et nous souhaîtons ’assumer peînement.
Nous souhaitons construire l’alliance entre les territoires, en multipliant synergies et coopératîons, tant entre terrîtoîres urbaîns, pérîurbaîns et ruraux qu’avec es autres échelons de collectivités territoriales – départements et régions.
Nous voulons développer les possibilités d’expérimentations de politiques publiques innovantes dans es terrîtoîres, înscrîtes dans a Constîtutîon. Une expérîmentatîon concuante doît pouvoîr être pérennîsée et étendue à d’autres terrîtoîres quî en exprîme-raient la demande.
Nous intensiIons notre engagement dans la lutte contre les discriminations sociales et territorialeset contre e phénomène de radîcaîsatîon.
Nous poursuivons et ampliIons les démarches de démocratie collaborative, ain de davantage faîre partîcîper nos concîtoyens à a constructîon de nos politiques publiques locales.
Nous demandons à être associés aux travaux consécutifs à la loi MAPTAMvisant à déinîr es modaîtés del’élection au suffrage universel direct des conseillers mé-tropolitains.
Le dialogue
Un dîaogue fructueux et un cîmat de coniance mutuee entre ’Etat et es dîfférents échelons de collectivités territoriales conduira à un Etat plus facilitateur que prescripteur. Nous demandons la création d’une instance nationale de dialogue entre l’Etat et les territoires complémentaire à l’action du Parlement. Celle-cidevra permettre de préparer en amont, de suîvre et d’évauer en ava es texteségîsatîfs et règementaîres quî concernent es coectîvîtés terrîtorîaes.
Nous souhaitons que des démarches fondées sur le contrat et l’évaluation, telle cee înîtîée par e pacte Etat – métropoes, puîssent être renouveées et éargîes à l’ensemble des territoires urbains sur tous les sujets qui préoccupent nos conci-toyens au quotidien.
Nous souhaitons qu’il facilitela convergence des règless’appîquent aux quî dîfférentes fonctîons pubîques notamment en matîère de temps de travaî ou d’an-tîcîpatîon de ’exercîce du droît de grève.
Ce nouveau cadre de dialogue aboutira naturellement à uneclariIcation des compé-tences entre l’Etat et les collectivités territorialesune pour meilleure efIcience des politiques publiques.
L’autonomie
La dîvîsîon par deux du poîds reatîf de a dette pubîque ocae depuîs a décentraîsatîon îustre a maïtrîse des budgets ocaux par es éus ocaux. I est désormaîs îndîspensabe d’acter cette réaîté au travers d’un renforcement de ’autonomîe iscae et inancîère des collectivités territoriales, incitant au développement économique, fondé sur une réelleautonomie de décision et d’action et basée sur :
Une vérîtabe autonomîe iscae quî doît reposer surl’arrêt de la transformation d’impôts locaux en dotationen posant tout d’abord le principe de« sanctuarisation » des impôts locaux existantset le remplacement progressif de dotations par de la iscaîté natîonae exîstante.
Une péréquation rénovée, qui ne se limite pas à la réduction des écarts de ressources, mais prenne en compteles charges, notamment de centralité, des différents territoiresainsi queles inégalités d’effort Iscaldemandé aux contrîbuabes.
Une pleine maîtrise de la Iscalité par les collectivités tant dans a ixatîon des bases des împôts ocaux que dans une coaboratîon accrue avec es servîces iscaux visant à optimiser le recouvrement.
Des relations Etat / collectivités territoriales refondées sur la transparence,impliquant unpartage des données Inancières et un pilotage réellement concer-tédes inances pubîques. De ce poînt de vue, nous soutenons ’îdéed’une loi de Inancement spéciIque pour les collectivités territoriales.
Assumant pleinement nos responsabilités, dialoguant en véritable partenaire avec l’Etat et les différents échelons de collectivitésterritoriales, investies d’une véritable autonomie, nous, métropoles, communautés urbaines, communautés d’agglomération et grandes villes membres de France urbaine, souhaitons plus que jamais, dans le cadre de la République des Territoires que nous appelons de nos vœux, prendre une part actîve à a gestîon de notre destîn natîona et européen, en faisant notamment en sorte d’accompagner notre pays et nos citoyens dans les transitions, qu’elles soient d’ordre territorial, numérîque ou écoogîque, auxquees îs doîvent faîre face.
Nos propositions
Pour contribuer pleinement au débat qui mobilise notre pays, et au-delà des orientations cî-dessus déinîes, es éus urbaîns proposent des mesures concrètes pour améîorer notre capacité d’action et notre vie en société.
Investîs d’une responsabîîté partîcuîère dans a réussîte de a France, et concentrant es prîncîpaux enjeux économîques, socîaux et envîronnementaux, es éus urbaîns sont égî-tîmes pour être en sîtuatîon de responsabîîté quant à a déinîtîon et à a mîse en œuvre d’un nombre croissant de politiques publiques.
Finances locales
Nous rappeons deux prîncîpes fondamentaux auxques nous sommes attachés :
•stopper l’érosion des ressources localesinduite par la baisse des dotations et ainsi garantir le niveau des concours de l’Etat, •cesser les injonctions de l’Etat de dépenses nouvellespesant sur l’équilibre des inances ocaes.
Dans ce cadre, nous proposons de :
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mettre en place une loi de Inances dédiée aux collectivités, instrument du renouveement de a gouvernance des inances pubîques ocaes ;
remplacer, à l’euro l’euro, les compensations par de la fiscalité transférée afin que les reculs d’autonomie Iscalede caractérîser a décentraîsatîon françaîse ; cessent
déinîr une nouvee approche de apéréquationprenant en considération la réalité des soîdarîtés întercommunaes et contrîbuant à réduîre es dîsparîtés d’effort isca ;
sécuriser le versement transport, rouage essentîe du modèe économîque de a mobîîté ;
éargîr aux projets structurants des grandes aggomératîons les Inancements innovantsmîs en œuvre pour déveopper e Grand Parîs Express. La pîste d’un assoupîssement de a durée des DSP devra égaement être étudîée.
Développement durable et transition énergétique
Nous souhaitons que les intercommunalités urbaines soientdes autorités organisatrices de l’énergie, et devîennent, avec es vîes, des acteurs majeurs en matîère de quaîté de l’air, de gestion des déchets, de l’eau et de la biodiversité. Nous proposons de :
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assumer pleinement la compétence énergie, ce qui passe parla possibilité de sor-tir des syndicats d’énergie, lécher vers es întercommunaîtés urbaînesune partie de la hausse de la contribution climat énergieetrééquilibrer les relations entre les territoires et les concessionnairesde a dîstrîbutîon d’éectrîcîté et de gaz ;
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assocîer de manîère systématîque es éus urbaînsau déclenchement des mesures à prendre pour lutter contre la pollution atmosphérique pour aboutir à uneco-décîsîon, dès ors que cees-cî ont une încîdence inancîère sur es budgets de eurs coectîvîtés ;
rendre modulablel’éco-contribution perçue auprès des fabrîcants de pro-duîts ain de favorîser eur éco-conceptîon et rempacer es éco-orga-nismes et les instances de gouvernance de gestion des déchets par un établissement publiccomposé des dîfférentes partîes prenantes ;
rééquilibrerla représentation au sein des agences de l’eau etrecentrer leursbudgets et leurs actionsau proit de a gestîon du cyce de ’eau. Nous demandons par aîeurs que ’Etat cesse ses ponctîons sur e budget des agences ;
faire en sorte que les intercommunalités puissentrecevoir directement les Inancementspermettant de compenser les atteintes à la biodiversité.
Logement, cohésion sociale et territoriale
Nous souhaitons que le prochain gouvernement développeune approche intégrée et transversale du fait urbain, articulée avec la montée en puissance de nos responsabilités. I doît égaement promouvoîr, à nos côtés,les mixités sociales et fonctionnelles dans les territoires et conforter les programmes de rénovation urbaine portés par l’ANRU et les collectivités locales,au service des parcours résidentiels et des mobilités durables. Nous proposons de :
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créerun grand ministère de l’Aménagement des territoires, rassemblant le loge-ment, l’urbanisme, les transports et la politique de la ville, indispensable, aujourd’hui, pour mener des poîtîques pubîques cohérentes ;
continuer à mutualiserl’objectif de 25% de logement social à l’échelle des grandes agglomérations en assouplissant et territorialisant le calcul pour chaquecommune-membre, seon e nîveau de tensîon des marchés ocaux de ’habîtat ;
développer, avec le soutien de l’Etat,une offre de logements diversiIée et adap-tée à toutes les catégories de population selon leurs revenus, de l’hébergement d’urgence à l’accession sociale à la propriété,couplée à une offre de bureaux et de commerces, en veillant à lutter contre l’étalement urbain et à redynamiser les cœurs de vîes en dîficuté ;
rapprocher les interventions de l’ANRU et de l’ANAH, dans le cadre des pro-grammes locaux de l’habitat (PLH) et des projets de territoire, en sîmpîiant a gestîon admînîstratîve et inancîère des opératîons ;
offrir la possibilitéaux métropoles qui le souhaitent de fusionner avec leur dépar-tementsur leur territoire etpermettre aux communautés urbaines d’appeler, sur la base du volontariat,des compétences sociales des départements.
Education, culture et citoyenneté
Les grandes villes et agglomérations sont des acteurs importants de la culture, puisque la part de inancement qu’ees consacrent aux poîtîques cuturees dépasse cee de ’Etat. Paraèement, eur rôe va croîssant dans e domaîne de ’éducatîon avec un învestîssement soutenu et grandissant dans la petite enfance, le périscolaire et sur le temps scolaire dans e cadre de ’éducatîon artîstîque et cuturee. Forts de eur connaîssance ine des besoîns et des aspîratîons de eurs admînîstrés, es maîres et présîdents sont es pus à même de rendre cohérentes les interventions des différents acteurs concernés. Nous avons besoin pour cea par exempe de :
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mettre en place des contrats d’agglomération d’expérimentation culturellevisant à déinîr des poîtîques cuturees partagées entre a grande aggomératîon et ’Etat dans e cadre d’un traîtement dîfférencîé des terrîtoîres, avec es moyens approprîés ;
créer une capitale française de la culture, déclinaison nationale de la capitale eu-ropéenne de a cuture ;
développer la mise en œuvre des Journées citoyennesdans es écoes, coèges et ycées, dans e cadre du mouvement natîona de a Journée cîtoyenne ;
élargir les missions du conseil d’écoleain qu’î puîsse suîvre a mîse en œuvre du projet éducatîf de terrîtoîre (PEDT) en întégrant es temps pérîscoaîres ;
s’agissant du fonctionnement des établissements scolaires, renforcer l’autoritédesdirecteurs d’écolepour eur permettre de dîaoguer dîrectement avec es éus ocaux.
Développement économique et emploi
Catayseurs d’înnovatîon, es grandes vîes et grandes aggomératîons produîsent 50 % de a vaeur ajoutée de notre pays, par ’anîmatîon d’écosystèmes unîversîtaîres, économîques et scîentîiques. Ees jouent un effet d’entraînement majeur qu’î convîent de renforcer. Le développement économique n’est pas en soi une compétence, mais nécessite la mobili-sation de forces conjuguées, tout partîcuîèrement des terrîtoîres urbaîns aux côtés des régions. A ce titre, nous proposons de :
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donner aux métropoes un accès dîrect à a base de données des investissements internationauxtenue à jour par Busîness France ;
conier aux grands terrîtoîres urbaîns e co-pilotage avec les régions du service public de l’emploisur leur territoire et leur permettre de siéger au sein des Commis-sîons empoî des Comîtés régîonaux pour ’empoî et a formatîon professîonnee ;
conforter le co-pilotage par les métropolesdes pôles de compétitivitéainsi quedes sociétés d’accélération du transfert de technologieet associer les grandes agglomé-ratîons à a gouvernance de tout écosystème organîsé (custer) sîtué sur eur terrîtoîre ;
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permettre aux grandes aggomératîons de dîsposer des outîs nécessaîres ain de jouer pleinementle rôle d’opérateurs ouverts aux territoires voisinsdans une perspective« d’Alliance des territoires ».
Sécurité, prévention de la radicalisation et lutte contre le terrorisme
En complémentarité de l’action de l’Etat, les maires sont pleinement engagés au quotidien pour assurer a sécurîté des bîens et des personnes. L’évoutîon des enjeux de sécurîté appee toutefoîs à repenser a gouvernance, a déinîtîon des objectîfs et des moyens mîs en œuvre pour assurer, dans un esprit de co-construction, une politique de sécurité renouvelée. Face à une menace permanente, la lutte contre le terrorisme suppose de constituer un réseau de coniance entre ’ensembe des partîes prenantes, dans un esprît de responsabîîté et d’engagement. Forts de ce constat, les élus de France urbaine appellent le gouvernement à :
S’agissant de la sécurité publique :
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bâtir une gouvernance partagéede la sécurité au niveau des territoires, entre Etat et collectivités territoriales, en complétant les champs d’action des polices munici-pales et notamment :
• créer une école nationale de la police municipaleen favorisant les passerelles avec les tout métîers de a sécurîté ;
• enrichir les formationsîées aux dîfférents types d’armement ;
• permettre à tître d’expérîmentatîon e contrôle des identitéspour es agents de Poîce munîcîpae ;
• autorîser ’accès au ichîer d’îmmatrîcuatîon des véhîcues et des véhîcues voés ;
• élargir les compétences de fermeture administrativeaux maîres.
S’agissant de la prévention de la radicalisation et de la lutte contre le terrorisme :
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créer les conditions d’un dialogue permanent entre l’Etat, les préfectures et les maîres en facîîtant es échanges d’înformatîons ;
renforcer et pérenniser les moyens Inanciersalloués au titre du Fonds interministériel de préventîon de a déînquance (FIPD) ain d’assurer a sécurîsatîon des étabîssements scoaîres, des étabîssements cutures et des sîtes tourîstîques ;
clariIer et accompagner le développement d’actions de préventionla de radîcaîsatîon au seîn des Conseîs ocaux et întercommunaux de sécurîté et depréventîon de a déînquance (CLSPD- CLISPD) ;
renforcer les dispositifs de suivides personnes radîcaîsées après sîgnaement, en lien avec les préfectures en encourageant la mise en œuvre d’actions éducatives, cîtoyennes aînsî que des actîons d’însertîon socîae et professîonnee ;
renforcer les moyens dédiés à la formation des élus, des agents et de l’ensemble des professionnels agissant dans le champ de la prévention et le suivi des personnes radicalisées.
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