La Baie des anges de Demy Jacques
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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La Baie des anges de Jacques Demy FICHE FILM Fiche technique
France - 1962 - 1h29 Noir & Blanc / Scope
RÈalisation et scÈnario : Jacques Demy
Musique : Michel Legrand
InterprËtes : Jeanne Moreau (Jacqueline Demestrelle) Claude Mann (Jean Fournier) Paul Guers (Caron) Henri Nassiet (M. Fournier)
L E
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Jean, cÕest le frËre de Roland, IÕemplo de banque qui sÕennuie dansLola DÕailleurs ils se ressemblent physiqu ment. La mÍme tristesse congÈnitale, l mÍme ennui affichÈ, cette mÍme form de disponibilitÈ sceptique au hasard cette mÍme faÁon de se dÈcider sur un pulsion, un instinct, un coup de tÍte. Le dÈbut du film (les deux amis, IÕexp rience du jeu au casino dÕEnghien, l relation au pËre, la dispute, le dÈpar vers la cÙte) est dÕune rare rigueur. De nous propose les prÈmisses de son his toire selon un schÈma descriptif qui touche ‡ la perfection. La concision des dialogues, les jeux d regard entre les deux jeunes gens, l contamination dÕune passion qui sÕÈta au rythme dÕune agitation continue (a bord dÕune fÈbrilitÈ qui annonce dÈj toutes les autres), la fermetÈ Ètrange d dÈcoupage, nous prÈparent ‡ une visio que le rÈalisateur souhaite, peu ou pro distanciÈe : tout concourt ‡ traduir lÕesprit du film qui ne se veut ni leÁon d morale, ni fable, ni constat psycholo gique. DËs la rencontre de Jean ‡ Nice ave Jackie le ton change, pas la nature d faux suspens qui sÕest Ètabli dËs les pr miËres mises au Casino ; les scËnes d jeux sont montÈes en fondus enchaÓnÈ (procÈdÈ rarement utilisÈ par Demy pou traduire le temps qui passe mais qui sont, ici, parfaitement en situation) e gardent trËs souvent cette forme a cours du film, avec au plus de lÈgËre variations de montage. Faux suspens dans la mesure o˘ les sur prises des gains ou des pertes, si elle ne sont pas, ‡ coup s˚r, prÈvisibles, fonc tionnent sur des nÈcessitÈs dramatique qui, elles, sont attendues de toute Èvi dence par le spectateur, mÍme sÕil n peut dÈterminer exactement le momen prÈcis o˘ elles sÕimposeront. De l‡ vient sans doute queLa Baie de angesperd en Èmotion ce quÕil gagne e dÈmonstration de la fatalitÈ. Les dispute des amoureux, leurs bouderies, leur rÈconciliations, leurs ruptures mul
pliÈes, nÕont guËre de rÈsonances rÈell ment sentimentales. Et Áa nÕest pas se lement parce que chacun dÕeux est, fin lement, plus amoureux de sa propre pas-sion que de lÕautre, mais cÕest parce q Demy sÕobstine ‡ les inscrire dans de cadres (plages, chambres dÕhÙtel, bar etc...) qui ne sont que salles dÕattente d casino. Les deux motifs musicaux de Michel Legrand (piano et banjo) qui ponctuent ou les Ètats de sursis (par rapport au jeu) ou les tentations romanesques (rarement abouties - la sexualitÈ vraie est complË-tement absente des rapports rÈels de ce couple) forment des ponctuations qui ne font quÕaccentuer le caractËre piÈgea du scÈnario. La fin du film, tÈlÈphonÈe, si elle entre dans la logique et du rÈcit et de la dÈmonstration (‡ un certain niveau dÕintoxication, il nÕy a pas dÕÈchappa re) par contre frustre ce quÕil y a en nou de dÈsirs de coÔncidences avec les per-sonnages. Demy, prisonnier dÕune logique dram tique, en construit finalement une autre, esthÈtique (pas dÕidentification possibl pas de projection quÕaurait peut-Ítre pe mis un autre type de mise en scËne) qui, en dÈfinitive, laisse insatisfait. La tendresse naturelle de Jacques Demy sÕest dÈfendue dÕintervenir dans hasard qui se transforme en destin. Pour magnifiquement cohÈrent quÕil soit,La baie des angesen paie, quelque part, tribut et cÕest notre participation sensibl qui sÕen ressent. Gaston Haustrate CinÈma 81 n∞271/272 - Juillet/Ao˚t 81
De tous les films de Jacques Demy,La Baie des angesest le plus secret et pourtant le plus simple. SimplicitÈ et mÍme minimalisme dÕun scÈnario rÈdu ‡ sa plus simple expression: un couple et le Jeu, cÕest tout ou presque. Au poi quÕon peut voirLa Baie des anges comme une sorte de va-et-vient obses-
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
une salle de jeu. Pour ce film, Demy semble avoir renoncÈ ‡ son go˚t profond de lÕarabesque, du croisement, du cache-cache, au profit dÕun art plus abs-trait voire plus gÈomÈtrique. De croise-ment, il nÕy en aura quÕun mais, ‡ la puissance deux. Il sÕagit de la rencontre de Jean (Claude Mann) avec Jackie (Jeanne Moreau). DÕabord ‡ Enghien o˘, profane venu sur les conseils dÕun ami tenter sa chance, il voit Jackie se faire expulser pour avoir trichÈ. Image menta-le qui sera dÈcisive puisquÕelle initie Jean en une seule fois aux mystËres du Jeu et quÕelle dÈcide de sa chance et de son dÈsir de jouer. DËs lors, lorsquÕil la revoit ‡ Nice, la vraie rencontre se pro-duit tout naturellement, figure dÕun des-tin qui va droit au but. Loin de lÕara-besque donc,La Baie des angesest le produit dÕune collision formelle entre le cercle et la ligne droite. Comme dans Lola, le premier mouvement est un long travelling-avant, ultra-rapide, qui longe la merÑligne droite qui va vers une destination inconnue, ligne de fuite en avant quÕon ne peut plus arrÍter. Cette trajectoire absolument rectiligne aura dÕailleurs de nombreux Èchos, soit lorsque les deux amants marchent sur la Promenade des Anglais, soit lorsquÕils roulent en dÈcapotable amÈricaine. Le cercle, on aura devinÈ, cÕest la roulette, ou plus exactement ces gros plans de roulette sur la musique enivrante de Michel Legrand, vÈritable ponctuation rythmique du film, rÈpÈtition obsÈdante et magnifique. La rencontre du cercle et de la ligne droite, cÕest la spirale. La spirale du Jeu, toujours semblable ‡ elle-mÍme et tou-jours diffÈrente. Spirale qui enferme et projette ‡ la fois. Jouer cÕest pÈnÈtrer chaque jour un peu plus dans les cercles de lÕEnfer. Ces plans rÈpÈtÈs du couple entrant au casino, Èchangeant ses billets contre des plaques ou sÕasseyant ‡ la table ronde, donnent ‡ chaque fois le sentiment quÕun tour dÕÈcrou supplÈ-mentaire est donnÈ ‡ cette passion ´ ª
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sans fin). Mais jouer cÕest aussi part vers lÕinconnu, Ítre lancÈ dans u abÓme, Ítre dÈpossÈdÈ de sa propr individualitÈ. En ce sens, les moment les plus magiques deLa Baie de angessont sans doute ceux o˘ Jacki et son amant ne cessent de gagner, pui de gagner encore et toujours, jusquÕ‡ c quÕils dÈcident enfin, dans un Ètat demi- somnambulique, dÕarrÍter la spir le du gain. Pris dÕun vertige soudai comme Jeanne Moreau et Claud Mann, nous vacillons et sentons le sol manquer sous nos pieds. L‡, Dem atteint ‡ un cinÈma purement musical (au-del‡ mÍme de la partition d Legrand) et purement abstrait, qui nÕ pratiquement pas dÕÈquivalent dans l cinÈma franÁais (‡ part peut-Ítre l valse sans fin deMadame de...). Rarement comme ici, on aura eu cett impression grisante de pÈnÈtrer au cÏur dÕun monde sans limite o˘ tout devie possible : acheter une voiture amÈricai ne, un smoking, une robe de soirÈe, des cendre dans le palace le plus luxueux d Monte-Carlo. Mais si les sÈquences o˘ le couple sort du casino complËtemen fauchÈ sont elles aussi extraordinaires cÕest que ces richesses matÈrielles so dÈrisoires et quÕelles ne se suffisent pa ‡ elles-mÍmes. Elles ne sont que le qualitÈs provisoires dÕune puissanc inqualifiable, aussi active dans le gai que dans la perte. ´Le gain, IÕargent n signifient rien pour moiª dit Jackie, dan une sÈquence o˘ elle explique ‡ Jean s passion.La Baie des angesest le seul film qui prend le Jeu comme puissanc spirituelle (avec peut-ÍtreLÕArnaqueu de Robert Rossen, qui lÕenvisage sou lÕangle plus dostoÔevskien du rachat). C nÕest pas pour rien que Jackie compar le Casino ‡ une Èglise et le Jeu ‡ un religion. Religion du hasard certes mai dÕun hasard qui devient nÈcessitÈ. Il y du rituel, du cÈrÈmonial, du sacrÈ e somme dans tous les gestes du jeu, ce gestes rÈglÈs dÕune liturgie que Dem capte admirablement, sans craindre l rÈpÈtition : IÕentrÈe sous les vo˚tes d
Casino, la ´transubstantiationª de lÕargent liquide et tangible en plaque abstraites et quasi-impalpables, le fran chissement du seuil de la salle de jeu, le bruit familier et magique de la roulette, le choc des plaques les unes contre les autres, la voix impersonnelle du croupie qui officie et qui rÈcite la litanie des chiffres gagnantsÉ Ce rituel nÕa dÕailleurs un sens que pour les fidËles les initiÈs qui croient au hasard, ‡ la bille qui tourne dans la roulette. Le jeu contient tous les possibles, IÕInfini e somme. Il a le pouvoir exorbitant d transformer ‡ sa guise lÕhomme e misÈrable ou en puissant. La chance es ici la forme la plus haute de la gr‚ce. Le cinÈma de Demy se fait pascalien (l soumission ‡ la gr‚ce ou le pari) ou mÍme bressonien. Ce rapprochement avec Bresson, pou Ètonnant quÕil soit, nÕest dÕailleurs fortuit. Je mÕÈtais toujours demandÈ c quÕÈtait devenue lÕadmiration profon que Demy portait ‡ Bresson. Elle est, au del‡ des grandes diffÈrences de style, tout entiËre dansLa Baie des anges. DÕabord dans lÕexigence dÕune for pure et dÈcantÈe, mais plus encore dan le personnage de Jean et surtout de so pËre (Henri Nassiet). Je pense particu-liËrement aux deux sÈquences o˘ sÕaffrontent le pËre et le fils. Nulle terg versation dans les dialogues car l conflit, psychologique seulement e apparence, est directement transpos au plan Èthique. LÕenjeu est dÕauta plus bressonien quÕil est essentiell ment question dÕargent. Argent dÈj filmÈ ici par Demy comme un ´Die visibleª et investi par le pËre dÕune pui sance morale symbolique face ‡ lÕimm ralitÈ du Jeu, dieu invisible, pour qui lÕargent nÕest quÕun prÈtexte ou simple carburant. Henri Nassiet donne dÕailleurs au personnage du pËre un inflexibilitÈ toute bressonienne. Quant Claude Mann, il est peut-Ítre une sort de ´modËleª qui rencontre un hÈros e creux auquel il prÍte une voix blanche et monocorde tout ‡ fait appropriÈe. En
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creux car littÈralement absorbÈ par Jackie-Jeanne Moreau, ´lÕombre blancheª (pour prendre le titre de lÕarticle de Jean Collet paru dans les Cahiers ‡ lÕÈpoque de la sortie du film). La Baie des angesest le film de la blancheur. Et curieusement on repense, via les pages que Deleuze lui consacre dans ´LÕImage Mouvementª, ‡ la blan-cheur translucide des films de Sternberg, puissance dÕabsorption par excellence. Jackie nÕest-elle pas une sorte dÕÈquivalent de la MarlËne de Sternberg, dominatrice, mystÈrieuse, insaisissable (mais dÈj‡ Lola et Lola-Lola dansLÕAnge ble)uSauf que ? Jackie cÕest Jeanne Moreau et quÕelle donne ‡ son personnage un cÙtÈ enfan-tin et vulnÈrable que Sternberg nÕaurait certes pas acceptÈ. Cette blancheur aveuglante, matÈrialisÈe par la robe inoubliable de Jeanne Moreau, nous semble en tous cas comme un gage dÕincorruptibilitÈ. NÕest-ce pas cette blancheur qui a justement prÈservÈLa Baie des angesdes ravages du temps ? Peut-Ítre. Ce qui est s˚r, cÕest quÕ‡ lÕheure o˘ on cherche ‡ battre le rappel des classiques du cinÈma fran-Áais, en voil‡ un dont la modernitÈ nÕa pas vieilli. Comme un film de Sternberg ou de Bresson justement. Thierry Jousse Cahiers du cinÈma n∞415 - Janvier 1989
Entretien avec le rÈalisateur
C'est au Festival de Cannes o˘ nous Ètions pourClÈo, que jÕai eu lÕidÈe de La Baie des anges. Nous Ètions tous deux en panne, AgnËs avec sa MÈlangite, moi avec mesParapluies. Il fallait que je fasse quelque chose, que je tourneÉ par dÈsir, par manque, et que je tourne absolument en septembre comme prÈvu. A partir dÕimpressions de casinos jÕai Ècrit dÕun seul coup le scÈ-nario deLa Baie des anges, obtenu lÕadhÈsion du producteur Decharme et s
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dialogues, car si je nÕÈcris pas le ditrËs douÈe, comÈdienne jusquÕau bole plus important(ratÈ) etUne logue pour quelquÕun, jÕai lÕimpresdes ongles, qui entre entiËrement danchambre en ville(catastrophique et, que je vais faire quelque chose de boÓun personnage. On peut tout faire avemalgrÈ le soutien dÕune partie de la cri-teux. Bref, en trois semaines tout Ètaielle, elle ne vit que pour cela ; si elletique, retentissant Èchec commercial). conclu... et jÕai tournÈ en septembre.une scËne o˘ elle doit souffrir, pleurerNouveau dÈsastre d˚ ‡ Yves Montand dËs la prÈparation de la scËne son visaavecTrois places pour le 26.Demy a Je ne vois dansLa Baie des angesneu nÈammoins des admirateurs enthou-ge se faÁonne, se dÈforme. une histoire dÕamour, ni un film sur lsiastes qui voient en lui l'un de nosIl nÕy a aucun dÈcalage entre le perso jeu : cÕest, pour le personnage dnage que jÕai imaginÈ et ce quÕellemeilleurs cinÈastes. Jeanne Moreau, la fin dÕune descentdonnÈ. Et je suis dÕautant plus irritÈMort en 1990. aux enfers, pour celui de Claude ManJean Tulardlire ces articles tapageurs o˘ lÕon parl lÕentrÈe aux enfers, Paul Guers jouade mimÈtisme sur Marilyn Monroe parcDictionnaire des rÈalisateurs lÕange noir. Mais ce nÕest en aucuque Jeanne, dans ce rÙle, porte une che faÁon ´lÕEnfer du Jeuª. «a nÕest ni dvelure trËs blonde... Elle est telle parc criptif, ni pittoresqueÉque le personnage le demandait et no CÕest en tout cas ce que jÕai voulu fapour fabriquer une nouvelle Jeann Filmographie sentir. Ici la passion devient un vice eMoreau sur un certain modËle. tous les rapports des deux personnageFinalement, je pense quÕen ce mome Courts mÈtrages : sont conditionnÈs par le jeu. DÕune padire du mal de Jeanne Moreau - ou d Le sabotier du Val de Loire1956 lÕenvie de jouer cÕest quelque choseBrigitte Bardot, cÕest faire du mal a Le bel indiffÈrent1957 devient plus violent que le dÈsir et puicinÈma tout simplement. MusÈe GrÈvin1958 il y a un cÙtÈ magique au moment o˘ ilRenÈ Gilso La mËre et lÕenfant1959 jouent, ils deviennent presque abstraitsCinÈma 63 n∞74 - Mars 196 ils sont poussÈs par une force mystÈ Ars1959 rieuse, veulent deviner le chiffre, avoi le sentiment trËs fort de dominer l Longs mÈtrages : hasard. Le rÈalisateurLola1961 Les sept pÈchÈs capitaux1962 Comme pourLola, vous avez Ècrit entiË La Baie des Anges1963 Jacques Demy est nÈ ‡ Ponch‚tea rement le film vous-mÍme ? Est-ce qu Les parapluies de Cherbourg1964 (Loire Atlantique) en 1931. cÕest une exigence absolue ? Les demoiselles de Rochefort1967 Un poËte et, comme tous les poËtes JÕai aussi Ècrit moi-mÍmeLa Baie de Model Shop1968 contraint ‡ iÕexil. Etudes dÕart ‡ Nant anges, je prÈfËre cela. Mais je nÕai rie Peau dÕ‚ne1971 puis assistanat auprËs de Grimault et d contre un scÈnario proposÈ. Si jÕai ref The Pied Piper of Hamelin1972 Rouquier. DÕexcellents courts mÈtrage sÈ plusieurs films aprËsLola, cÕest si (Le joueur de fl˚te) DÈbuts dans le long mÈtrage avecLol plement parce quÕils ne me convenaie LÕÈvÈnement le plus important dont le titre est un hommage ‡ Oph¸l pas. JÕaime tellement tourner quÕil n depuis que lÕhomme a marchÈ sur la et ‡ saLola MontËs. Essai pour accli pas de raison que je me prive de rÈalise lune1973 mater la comÈdie musicale en France un film sous le prÈtexte que le scÈnari Lady'O1979 Les parapluies de CherbourgnÕest pas dÕabord de moi. Une chambre en ville1982 toutes les paroles du dialogue son Parking1985 chantÈes sur une musique de Michel Enfin, arrivons ‡ ´la questionª par excel Legrand (avouons que c'est parfois irri lence : Jeanne Moreau ? tant ou ridicule), puisLes demoiselle Mais cÕest trËs simple : elle joue av de Rochefortqui doivent beaucoup tant de plaisir et cÕest un trËs grand pla l'entrain de Gene Kelly. ExiI au Documents disponibles au France sir que de lÕavoir comme interprÍte, ell Etats-Unis (le dÈcevantModel Shop) se plie ‡ toutes les exigences du travail en Angleterre (le brillantThe Pie CinÈma n∞75 - Avril 1963 dÕun travail qui a parfois ÈtÈ pÈnibl Piper of Hamelin), au Japon (Lady O Revue du CinÈma n∞446 - FÈvrier 1989 avec des nuits, des aubes ; sa conscien et seulement trois films en France TÈlÈrama n∞2459 - 26 FÈvrier 1997 ce, sa bonne volontÈ exemplaires, enfi Peau d'‚ne(charmant),L 'ÈvÈnemen ∞ -cÕest une comÈdienne, faut-il le re
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