The Boxer de Sheridan Jim
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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The boxer de Jim Sheri FICHE FILM Fiche technique
USA/Irlande -1998 - 1h53 Couleur
RÈalisateur : Jim Sheridan
ScÈnario : Jim Sheridan Terry George
Image : Chris Menges
Montage : Gerry Hambling
Musique : Gavin Friday Maurice Seezer
InterprËtes : Daniel Day-Lewis (Danny Flynn) Emily Watson (Maggie Flynn) Brian Cox (Joe Hamill) Ken Stott (Ike Weir) Gerard McSorley (Harry)
L E
Daniel Day-Lewis (Danny Flynn)
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tive du nÏud Ïdipal. Avec passion, le pËre est partout nommÈ, tandis que l mËre exige et inspire tantÙt le sacrifice tantÙt la joie dÕune vitalitÈ rebelle. Je me rÈjouissais ‡ lÕidÈe de voir un fil intitulÈThe boxer. On pouvait suppose quÕil mettait en scËne le corps ‡ cor leste et implicite, aux rÈsonances mul tiples, qui est ´‡ lÕafficheª depuis lon temps ‡ lÕÈcran. Par ailleurs, le sport m paraÓt rÈbarbatif ‡ lÕextrÍme, et je n jamais assistÈ ‡ un match rÈel. Tout e pensant aux rÈalisations de Vidor Walsh, Rossen, Wise, Robson, Huston Scorsese et Kitano, entre autres jÕapprÈhendais obscurÈment la revivi cence de souvenirs lointains. Natif d lÕUlster, mon pËre avait ÈtÈ dans sa je nesse champion des poids plume d lÕuniversitÈ de QueenÕs, ‡ Belfast. Or, dËs le gÈnÈrique qui ouvre en plon gÈe sur une cour de prison, on enten lÕaccent chantant du Nord. Un gardie sÕadresse au poids plume solitaire q s'entraÓne ardemment : Danny Flynn. ¿ Belfast, deux mythes sont entremÍlÈs lÕaura de la boxe, et les tÈnËbres Èm nant du coeur de la lutte armÈe pour un patrie indivise. En tant que dÈnonciation de lÕintrans geance idÈologique,The BoxersÕinsËr aussi dans lÕintertextualitÈ dÕautr films irlandais sur le conflit politique e Irlande du Nord. On peut citerCal(1983 de Pat O'Connor, ouNothing Personal (1995) de Thaddeus OÕSullivan. Si, d part et dÕautre, la primautÈ est donnÈe la vie individuelle sur une toile de fon dÕengagement collectif, la force deTh boxerrÈside dans la maniËre dont l sort de lÕun devient lÕaffaire de to Selon Sheridan, lÕintÈrÍt de la comm nautÈ consiste ‡ mettre fin au cercl vicieux et sanglant des reprÈsailles motivÈes trËs souvent par un dÈsir d vengeance personnelle. CÕest ‡ de telles rÈflexions que Danny s livre. Ex-membre de lÕIRA, condamnÈ 14 ans de prison pour un attentat dont il nÕÈtait pas responsable, il a purgÈ s peine en gardant le silence, mais en p
nant ses distances par rapport ‡ lÕorg nisation. Il regagne son quartier, sauv son ancien entraÓneur du ruisseau, e remet sur pied le gymnase Holy Family offrant aux jeunes de tout bord des acti vitÈs autres que la drogue ou la guÈrilla Il est accusÈ de trahison. La mÈfiance d ses ´ camarades ª sÕaccroÓt lorsqu Danny renoue avec sa fiancÈe dÕautr fois, car, Maggie Ètant la fille du diri geant de lÕIRA et maintenant lÕÈpou dÕun dÈtenu patriote, elle doit Ítre, tell Calpurnia, au-dessus de tout soupÁon Avec une cadence de plus en plus mar quÈe, le conflit, situÈ donc ‡ plusieur niveaux, suit le cours dÕenchaÓnemen meurtriers. Le parti pris du metteur e scËne est cependant le renversement d clichÈs topiques. Ainsi les ´troubles naissent-ils au sein mÍme de lÕIRA. L tentatives de nÈgociations entreprise par leur chef, ÈcÏurÈ ‡ la vue de tant de sang versÈ, suscitent lÕhostilitÈ dans l rangs des ´officiersª. Traditionnellemen orangiste, la devise ´No Surrender! (Nous ne nous rendrons pas !) devien tacitement un slogan nationaliste. De mÍme, en ´jetant lÕÈpongeª au sixi me round dÕun match qui se dÈroul dans un club privÈ de Londres, o˘ lÕ‚pr tÈ au gain et le sadisme parmi les spec tateurs huppÈs laissent entrevoir la bar barie de la civilisation, Danny refuse d se conformer au lieu commun d ´champª. Il nÕira pas jusquÕakunock-out nÕarrachera pas la victoire ‡ un adversa re (noir) au visage ensanglantÈ. Il prÈfË re ‡ la violence le chemin qui mËner peut-Ítre ‡ la paix, en tout cas ‡ la liber tÈ dÕexpression. Iconographiquement, le film entier es scandÈ de clichÈs. PoÈsie rime avec iro nie dans lÕÈvocation, ‡ travers le dÈco dÕune vieille culture. Drapeaux, tablea et graffiti sÕÈtalent sur les murs. Ici, u bÈnitier ; l‡, une harpe. Des photos d boxeurs, morts pour la patrie, doiven Ítre sauvÈes de lÕincendie. Quel est l regard jetÈ par James Connolly, l socialiste exÈcutÈ en 1916, sur les excË
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
clan des OÕNeill, jadis princes de lÕUlster, est levÈe au nom de quel appel? de quelle exhortation ? Au-dessus de la mÍlÈe, lÕhÈlicoptËre de lÕarmÈe britan-nique plane. Pendant un Èclair, les amoureux innocents sÕÈvadent de la ville pluvieuse aux tons bistres et claustro-phobes. LÕÏil du photographe Menges quitte les gros plans et les contre-champs dans un dÈictique de plongÈes sur les rËglements de comptes. Une scËne de noces, faisant clairement allusion ‡Breaking the Waves, annonce le dilemme de la femme. Effectivement, Emily Watson doit assu-mer dansThe boxerle rÙle de lÕÈpouse ´fidËle ‡ toute Èpreuveª! Avec son visa-ge angÈlique, sa bouche sensuelle, elle le fait ‡ merveille, formant avec le beau tÈnÈbreux un couple attendrissant, mais en rompant avec le stÈrÈotype quÕon essaie de lui imposer. Elle rejette en fait un double interdit, venant de chacun des parents. Le stoÔcisme qui a caractÈrisÈ le comportement immolateur de sa mËre dÈfunte lui paraÓt stÈrile. Qui plus est, elle en dÈnonce, devant son pËre, lÕhypocrisie : ´Savais-tu ce que son sou-rire lui co˚tait, chaque fois que tu quit-tais la maison, pour les besoins de la cause ?ª lance-t-elle. ´CÕest parce quÕelle tÕadorait comme un dieu quÕelle acceptait de souffrir ainsi.ª Mais Maggie cÈdera-t-elle quand mÍme aux exigences de son fils si exclusif ? Peut-on reprocher au cinÈaste le choix du happy end ? Le dÈnouement nÕest-il pas un deus ex machina, littÈralement ? Le pËre tout-puissant intervient... AprËs la nature tragique des pÈripÈties, le spectateur croit-il ‡ la rÈsolution non ambiguÎ du conflit individuel ? Dans un cadre romantique, le scepticisme aussi existe. Sheridan me rÈpondrait sans doute que, face au fantasme idÈalisÈ de lÕindivi-sion, de la rÈunification ‡ tout prix, il fal-lait, une fois encore, un renversement de clichÈ, celui du sacrifice hÈroÔque et ultime.
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membre du Sinn FÈin, dÈputÈ aux deu premiers Parlements de lÕ…tat libre grÈviste de la faim, me parle de m grand-mËre, dont je ne me souviens pas en disant : ´Oui, la cause. Eh bien, ell en est morte ma mËre. La cause lÕ tuÈe!ª Dans les films sur la boxe, la femme n quitte pas le champion des yeux. E regardantThe boxer, mes sentiment vont du cÙtÈ de la femme. Eithne OÕNei Positif n∞445 - mars 199
A ceux qui ne seraient pas encor convaincus quÕun indÈcrottable machi me anime toutes les organisations para militaires de la planËte,The boxe apporte la preuve irlandaise: lÕhistoir stupÈfiante, et peu connue, des femme de prisonniers de lÕIRA, placÈes sou surveillance affective et sexuelle afi que le moral des troupes ne sombre pas. En apparence, le film de Jim Sherida raconte la vie dÕun boxeur, Danny Flyn qui sort de quatorze ans de prison pou un attentat quÕil nÕavait pas commis, qui va se battre pour la rÈconciliatio des communautÈs catholique et protes tante autour du ring. Mais, insidieuse ment, se glisse une toute autre histoire sentimentale et infernale : celle que ten tent de vivre, sous le regard hostile de extrÈmistes de lÕIRA, Danny et Maggi sa jeune compagne dÕautrefois ‡ qui il permis, alors quÕil Ètait en priso dÕÈpouser son meilleur copai AujourdÕhui, celui-ci est ‡ son tour de riËre les barreaux, et ses camarade veillent ‡ la vertu de sa femme... Dan la premiËre partie deThe boxer, assu rÈment la meilleure, rËgne lÕatmosphËr crÈpusculaire des causes mortes, de vies ratÈes, des reconversions impos sibles. On suit les premiers pas d Danny hors de prison, et ce retour ‡ l libertÈ a un go˚t de cendre : son entraÓ neur a sombrÈ dans lÕalcoolisme, la
est toujours aussi moche, une explosio retentit, une de plus, une derniËre, san raison. Sheridan filme de loin, en silen-ce, lÕhorreur dÕune violence insens puisque lÕaccord de paix est possibl auquel ne peuvent se rÈsoudre les extrÈ mistes de chaque camp. The boxerest un film ‡ la fois coura geux et Èdifiant. Courageux parce que, sans Èpargner les Anglais - on voit u dirigeant historique de lÕIRA dÈnonc leur ‚pretÈ dans les nÈgociations -, Sheridan ne craint pas de se mettre dos une partie de la communautÈ catho lique. Edifiant parce quÕil revendiqu sans honte son didactisme, sa ´pÈdago gie de la paixª, puisant dans la tradition du film social britannique. Cette recherche de lÕefficacitÈ a son revers : l caractÈrisation extrÍme des person nages, la linÈaritÈ un peu simpliste du rÈcit et, surtout dans le dernier quar dÕheure, un sentimentalisme exacerb Mais, ne serait-ce que pour la singulari tÈ de son intrigue sentimentale, bien servie par les excellents Daniel Day-Lewis et Emily Watson,The boxeres un film qui honore plutÙt la cause quÕ dÈfend. Vincent Rem TÈlÈrama n∞2512 - 4 mars 199
Quatorze ans aprËs. Sortant de prison, lÕex-boxeur Danny Flynn revient dan son quartier dÈvastÈ de Belfast. Il y retrouve ses voisins, ses anciens compa-gnons de lÕIRA et son ancienne fiancÈ Maggie, qui sÕest mariÈe et dont le ma est en prison. Danny entreprend d remonter sur le ring. Entre lui et Maggie, rien nÕa changÈ.
Tour de force CÕest peut-Ítre la premiËre fois quÕ film de boxe, par essence violent, milite aussi ouvertement contre la violence tout en prÍchant pour une libÈration de
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film tout entier repose sur les contradic-tions. Son propos est de rÈsoudre les conflits, de concilier les inconciliables, bref, de rassembler. Les hommes et les femmes, les catholiques et les protes-tants, les Irlandais et les Anglais. Et conformÈment ‡ la difficultÈ de la t‚che, Jim Sheridan sÕen acquitte en mÍlant film de boxe et histoire dÕamour, deux genres a priori antagonistes, ne serait-ce quÕen regard des publics auxquels ils sÕadressent respectivement. ¿ la base de lÕhistoire dÕamour, il y a un conflit classique: deux amoureux ne peuvent pas vivre lÕun sans lÕautre mais ne peuvent pas non plus vivre ensemble parce que les conventions sociales sÕy opposent. Le contexte de la guerre civile irlandaise accentue le drame: pour nÕavoir pas respectÈ les rËgles, les extrÈmistes catholiques se retrouvent enfermÈs dans une logique qui les obli-ge ‡ observer des rËgles encore plus strictes. Danny Flynn, le boxeur interprÈ-tÈ par Daniel Day-Lewis, dÈcide de sÕopposer ‡ certaines de ces rËgles qui pÈnalisent toute la communautÈ et en particulier les femmes de prisonniers, obligÈes dÕafficher une conduite irrÈpro-chable. Danny Flynn est inspirÈ de Barry McGuigan, ancien champion de boxe et consultant sur le film. Il considÈrait la boxe comme la seule faÁon acceptable de se battre, ‡ condition quÕelle soit pra-tiquÈe selon les rËgles. De la mÍme maniËre un peu naÔve, Danny pense que sa conduite a valeur dÕexemple pour ses compatriotes et de rÈdemption pour lui. En remontant sur le ring au lieu de sÕexi-ler en Angleterre comme tout le monde le lui conseille, Danny condamne le ter-rorisme comme une forme de combat sans honneur dont les victimes sont avant tout des innocents. Dans un registre ‚pre et sensible qui rappelle John Ford, Sheridan a dÈvelop-pÈ un drame complexe. Ses acteurs sont tous excellents, notamment les deux interprËtes principaux. Autant Danny - -
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verti, autant Maggie (Emily Watson) esprocËs des Òquatre GuildfordÓ, qui abou-Le rÈalisateur son contraire, gÈnÈreuse et expansivetit ‡ la condamnation de Gerry Conlon et Dans leur situation, ils ne peuvenses compagnons ‡ quatorze annÈes de sÕexprimer que sobrement- aussi bieprison, le film recueille sept citations ‡ Jim Sheridan, qui signe ici son quatriË dans leur langage verbal que gestuel. ClÕOscar: meilleur scÈnario, meilleur rÈali-me long-mÈtrage aprËsMy left foot quÕils arrivent ‡ faire passer est dÕautsateur, meilleur film (Sheridan), meilleur The fieldetAu nom du pËre, est n plus fort.actrice secondaire (Emma Thompson), dans un quartier populaire de Dublin. GÈrard Delormmeilleur acteur secondaire (Pete seize ans, il commence ‡ jouer dans un PremiËre n∞252- mars 199Postlethwaite) et meilleur montage petite troupe de thÈ‚tre fondÈe par so (Gerry Hambling). Il remportera aussi pËre, ouvrier des Chemins de fer. AprË lÕOurs dÕOr et le Prix du public au des Ètudes dÕanglais et de philosophie Festival de Berlin 1994 et le David di lÕUniversity College de Dublin, il crÈe l Donatello. ChildrenÕs T. Company, sous lÕÈgi En 1996, Jim Sheridan coproduit et corÈ-Propos du rÈalisateurduquel il montrera de nombreux spec digeSome motherÔs so,npremier long tacles classiques dans les Ècoles com mÈtrage du scÈnariste Terry George, qui munales. vaudra ‡ celui-ci le prix du meilleur LÕamour tient ici une place de choiDe 1976 ‡ 1980, Jim Sheridan assure l jeune rÈalisateur europÈen. Jim contrairement ‡ ce qui se passe dans ldirection artistique du Projects Ar Sheridan a Ècrit en outre plusieurs plupart des films traitant de la boxe. LeCentre de Dublin, qui deviendra le prin piËces, dontMobile homesetSpike, in femmes jouent un rÙle essentiel dans lcipal centre de crÈation thÈ‚trale de l the first world war, pour laquelle il film. Solidaires des opprimÈs, elles souville. Il se fixe ensuite ‡ New York, o˘ il obtint le Fringe First Award au Festival tiennent chaleureusement Danny, et sdirige de 1982 ‡ 1987 lÕIrish Art dÕEdimbourg. donnent ‡ travers lui lÕillusion de tenCentrer, troupe thÈ‚trale spÈcialisÈ Dossier distributeur tÍte ‡ lÕAngleterre, f˚t-ce le temps dÕdans le rÈpertoire irlandais classique e match. contemporain. Mais les Irlandaises du Nord obÈissenAu cour de son sÈjour ‡ New York, u ‡ un code trËs strict, qui pËse dÕun poiproducteur de thÈ‚tre de Dublin, Noel considÈrable. Les prisonniers politiquePearson, lui propose de porter ‡ lÕÈcra pensent, en effet, que si leurs Èpousela vie de lÕartiste et Ècrivain Christ les trompent, le moral des troupes eBrown. Sorti en 1989,My left footes lÕesprit de lutte sÕeffondreront. CcitÈ ‡ lÕOscar du meilleur film, de lFilmographie femmes sont donc Ètroitement surmeilleure mise en scËne et du meilleu veillÈes, sÈvËrement jugÈes et censuscÈnario. Daniel Day-Lewis et sa parte rÈes, et nÕont pas la moindre vie privÈnaire, Brenda Fricker, y obtiennent resMy left foot1989 The boxerpectivement lÕOscar du meilleur actetraite, ‡ bien des Ègards, d lÕÈmergence des femmes et des valeuet du meilleur second rÙle fÈminin. LThe field1991 fÈminines dans la sociÈtÈ irlandaise.(É)film remportera aussi le David di Je vois tant de films prÈparÈs dans leDonatello 1990.Au nom du pËre1993 moindres dÈtails et qui ne fonctionnenLÕannÈe suivante, Jim Sheridan refa pas ‡ lÕarrivÈe! CÕest lorsque la fictiÈquipe avec Pearson pour rÈaliserTh sÕÈloigne des codes rigides du spefield, adaptation dÕun classique d tacle, colle au rÈel et sÕapproche le plthÈ‚tre irlandais o˘ Richard Harris rem du documentaire, que les choses comporte une citation ‡ lÕOscar du meille mencent ‡ bouger. (É) Je pense quÕunacteur. Il Ècrit ensuite le scÈnario d interprÈtation forte sÕappuie sur ufilm de Mike NewellInto the west(L Documents disponibles au France script fort. CÕest pourquoi mes Èchangcheval venu de la mer), dont Gabriel avec les comÈdiens ont toujours ÈtÈ pluByrne et Ellen Barkin tiennent la vedet Dossier distributeur riches et plus intenses quand ceux-cite. LibÈration - 11 mars 1998 devaient se battre pour leurs personEn 1993, Sheridan signeAu nom d nages. (É) Dossier distribut
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