i>, RLE DAMIRITK, 2 ^•#ic'' . fij1^ iVMll>)l BBAITZ-AH7S.DE LA lalTTERATITHB ET DBSJOTJnïTAL 2' -Série. (tome B. .f\.ALûPHt AUX BUREAUX DE L'ARTISTi:. (iiK ô'.iiiR »l:lN^;-s*l^T-^.F.llJUl^ . 1840. }i z fft' icy ^i:i iit^tt ^wwm M. David, iiGulenberg léché que nous représenteA sluluc de venu et mal les Allemands ap-inau- Strasbourg, elqueThorwaldsen, queété dignement?)£. a leur grand artiste (l'un vaut l'antre),n'est pas ici le pellent de leur c(Mégurée. Ce Mayence. Certes,sur la place publique demaintenir les a représenté^^'- momentde des monuments publics,pas la peine d'élevercritique. Au- ce n'estdroits de la et d'honneur, à vos grandsd'enthousinsmedo bronze nou- de gloire,tour ce envoyer à la postérité la plus reculée,hommes, pour lesvellement Tondu , il ay mal bottés, si mal bAtis. si mal couverts.cris d'en- si mal vêtus, siencore trop de viendra plus tard;une fois, la critiquetliousiasme , trop de Mais, encore Davidalors prétentions de W.transports , trop d'émo- nous nous occuperons des siècle nous regarderons dutions amoncelées pour à devenir le Plutarque de ce ; , ellevous nouvelle,quand la place où s'é-que nous venions bas en haut la statue premier devoir,combien cette sta- rendue à la circulation. Notredire lève sera la ville de Slrasbour!
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