Musiques Libres 2012
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Musiques Libres est placé sous les bons auspices du très UN DÉSIR NOMMÉ TRAMWAY facétieux et regretté John Cage (1912-1992) « C’est une histoire, racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signife… rien » William Shakespeare (Macbeth) ais que se trame-t-il donc à Besançon s’interroge légitimement le voyageur qui débarque sur le paysage lunaire qu’ofre actuellement Mnotre bonne ville ? Défoncée, crevassée, tranchée, la cité a des airs de bataille de Verdun, même si le staccato des marteau-piqueurs sonne plus Terrible accident de tramway à Besançon en 1899… déjà ! aimablement à nos oreilles que celui des armes lourdes. Faut vous dire que Si un bruit vous dérange, écoutez-le recommandait le regretté John Cage notre maire et son conseil municipal ont décidé de nous doter d’un superbe dont nous fêtons cette année le centenaire. John Cage, un compositeur tramway. C’est très tendance. Et la ville doit soufrir pour devenir belle, que nous avons beaucoup programmé ici et dont l’esprit fotte sur la Cité respirable et silencieuse. Ben oui, parce qu’un tramway c’est très silencieux, bisontine et ce festival. on ne l’entend pas arriver et… boum ! Car les travaux du tramway occasionnent inévitablement un certain Un bruit écouté longtemps devient une voix écrivait Victor Hugo, illustre nombre de perturbations, en particulier sonores, celles qui nous natif du cru. Alors, à l’écoute de la rumeur et du paysage sonore, l’évidence intéressent précisément.

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Publié le 15 septembre 2012
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Extrait

UN DÉSIR NOMMÉ TRAMWAY
Terrible accident de tramway à Besançon en 1899… déjà !Si un bruit vous dérange, écoutez-lerecommandait le regretté John Cagedont nous fêtons cette année le centenaire. John Cage, un compositeurque nous avons beaucoup programmé ici et dont l’esprit flotte sur la Citébisontine et ce festival.Car les travaux du tramway occasionnent inévitablement un certainnombre de perturbations, en particulier sonores, celles qui nousintéressent précisément. À l’origine, il s’agissait d’organiser cette éditionautour du centenaire du génial John Cage (19121992). Programmer despièces, des concerts, mais nous l’avions déjà beaucoup célébré par le passé.Alors… et puis si on se hasarde actuellement à arpenter cette ville enchantier ou à y flâner, on est, par endroit, immédiatement immergé dans unenvironnement sonore bruitiste, un univers, bon sang mais c’est bien sûr,qui est celui de Cage et de la fameuse musicalisation des bruits.Ainsi donc, la Ville de Besançon rendait un hommage bien involontaire augrand compositeur, il suffisait tout simplement de laisser cet esprit soufflersur notre manifestation. Quand le désir des uns (un superbe tramwayflambant neuf) recoupe les préoccupations des autres (Musiques Libres) onse dit que cette modeste manifestation est parfaitement en résonance (sic)avec sa ville.Et pour illustrer cet état de fait nous avons demandé à un certain nombred’artistes (poètes, musiciens, danseurs) de bien vouloir imaginer, autour dece chantier, un parcours musical et poétique pour rythmer cette 12e édition.En toute liberté, avec une seule recommandation :faites l’humour, pas la gare… du tramway.
Musiques Libres est placé sous les bons auspices du trèsfacétieux et regrettéJohn Cage (1912-1992)
« C’est une histoire, racontée par un idiot, pleine de bruitet de fureur, et qui ne signifie… rien »William Shakespeare (Macbeth)
Mavnioos ytqraeug eeb suoern  tqnruea i vmdileélebt a?i rlD qdéuofeon snc ucàré  lBee,e  cspraaenyvçsaoasngs eés eli,un ttnreaarinrroec hgqéeu el,oé lgair tceii tmaéc etamu deelenlset  almier esn t de bataille de Verdun, même si le staccato des marteaupiqueurs sonne plusaimablement à nos oreilles que celui des armes lourdes. Faut vous dire quenotre maire et son conseil municipal ont décidé de nous doter d’un superbetramway. C’est très tendance. Et la ville doit souffrir pour devenir belle,respirable et silencieuse. Ben oui, parce qu’un tramway c’est très silencieux,on ne l’entend pas arriver et… boum !Un bruit écouté longtemps devient une voix écrivait Victor Hugo, illustrenatif du cru. Alors, à l’écoute de la rumeur et du paysage sonore, l’évidences’est imposée, nous devions apporter une réponse musicale et poétiqueaux perturbations engendrées par le chantier, mais aussi rappeler qu’unemanifestation de ce type est certes consacrée à la création, mais est aussi unlieu de rencontre, d’échange, d’écoute et de réflexion. En d’autres termes,et pour paraphraser sans vergogne un slogan qui a fait florès, pour ceuxqui ont quelque chose entre les oreilles (donc vous, bien sûr). Que l’onnous permette d’alimenter le débat civique de quelques questions quinous taraudent comme : n’y atil pas une contradiction à vouloir éradiquertout véhicule à moteur et regretter les fermetures d’usines automobiles(exemple PSA) avec leurs cohortes de chômeurs ? Ou encore : un véhiculeà moteur fonctionne à l’énergie fossile, un tramway à l’électricité, donc àl’énergie nucléaire : à terme, auronsnous gagné au change ?Bref, vous l’avez compris, nous cultivons toujours ce brin d’impertinencequi nous caractérise et que d’aucuns taxent de mauvais esprit même sinous connaissons bien le proverbe chinois qui rappelle que,lorsque le sagemontre la lune, l’imbécile regarde le doigt.Et dans Besançon, vieille ville sans bagnoles l’on pourra, bientôt, se rendre àMusiques Libres en tramway. Qu’on se le dise.Philippe Romanoni
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Jed 1 Novembre / 1800 / Grand KrsaalCRéAtIoNgratt
Yukik NAKAMURA & Niclas DESMARCHELIER« Shinde anami ga saku mn ka /Crois-tu que la plante fleurisse après sa mort ? »
L’œil de BatailleLes noces d’Éros et de ThanathosHommag à Gorgs BATAIlleMubsaitqtuuse,s  Lciobrmems,e  fecsteiuvxa l qdeu i laiAmme obuire n Lsibarvee, ntau rseor uhhoarist éd ess assesnoticieerrs  Georges Bataille (18971962), d’autant plus que la Fête des morts se situedurant cette période. Manière, comme une autre, de célébrer les nocesd’Éros et de Thanathos. Georges Bataille est un auteur dont l’importanceet l’influence vont bien au delà des cercles littéraires et de la Confrérie desÉrotomanes Distingués. Nous retenons surtout, à l’instar de la journéed’étude de la bibliothèque du Centre Georges Pompidou, qu’il a dénoncé, trèstôt, le repli sur soi des sociétés occidentales, l’obsession de l’accumulation etinvité à exister dans la dépense improductive, dans l’intensité et dans l’excès,dans une combustion perpétuelle par le rire, les larmes, l’extase, l’érotisme…Bien sûr, c’est toujours un auteur sulfureux. Ce qui n’est pas pour nous déplaire,même si Tonton Georges (l’autre) nous avait prévenus :Les braves gensn’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux. Décliné en trois parties, cethommage proposera trois performances dont deux créations (commandesd’AsproImpro) et, pour respecter le principe de transversalité artistique quinous est propre, présentera des textes, bien sûr, mais aussi de la danse, de lapoésie sonore, de la musique électroacoustique, de la musique improvisée…
À l’invitation d’AsproImpro pour Musiques Libres et en hommageà Georges Bataille, Yukiko Nakamura et Nicolas Desmarchelier ontimaginé une pièce pour un corps et quatre hautparleurs. Le philosophesera présent en filigrane à travers le son de sa voix, retravaillée etincorporée à la diffusion sonore.Shinde anami ga saku mono kaCrois-tu que la plante fleurisse après sa mort ?
et au lieu. Telle une ombre, Yukiko Nakamuratraverse l’espace. Le corps s’étire, sedétend et se tord, sculpté de l’intérieurpar le mouvement de l’air. NicolasDesmarchelier projette le son.Goutte à goutte, l’espace seremplit et chacun plonge aucœur de la matière sonore.Matière de son, matière decorps, une performanceconcrète et sensuelle.
Création de l’associationSO avecYukiko Nakamura (danse)Nicolas Desmarchelier(création sonore, diffusion)
Les noces d’Éros et de Thanathos Hommage à Georges Bataille
tneiCahatioovisimprrdbmer/ 2 h003/ P nsJeudi 1er Noveitetur KalsaNacaahM USLERA/ 1 165  2/  lespouronce 2 ccéuoevtroSrieéd a soiréerts de l zened àecalev , uez pne: e enpraBategseGroeàmmagoNHoéAtIuxCRhTedtesorÉdesocnesLleilnataohs
Ce soir, Natacha Muslera cherchera à nous faire partager une expériencevocale de décomposition sonore avec lyrisme.Chercher l’érotisme sonore, dépasser la pornographie du son lisse,hygiénique, mécanique, numérique, ultra compressé, statique. Imaginonsun glossaire sonore et buccal chez Georges Bataille : cri, chuchotement, rire,crachat, combustion, déchirure, gros plan, organique, putréfaction, éclat,bestial. (N. M)Le beau, au sens bataillien, serait l’épreuve del’immonde, une expérience de décompositioninsensée, excessive, capable de déclencherune extase, athéologique. Transposercette recherche sur la voix, le chant,afin de les libérer définitivement deleur rôle à tenir, de leur dimensionformellement esthétique, cequi ne les empêcheront pas deprocurer des émotions, sansdoute d’un autre type, lieu d’unej’ouïesens possible… Voilà ce àquoi s’attelle Natacha Muslera.
Ce duo fonde son action sur le principe de battle : deux artistes combattenten scène comme on combattrait sur un ring (les shorts en moins). Ils sefont face avec des choses apprises par chacun et ce qu’ils sont à même dedécouvrir ensemble.Ici la contrebasse, nue ou sous effets, affronte la lecture et l’écriture que lesspectateurs peuvent suivre en direct sur un écran. Principe idéal, quand ontraduit le mot battle on atterrit direct sur le terrain de Bataille. En scène, undispositif d’atelier où tout se fait à vue (écriture, vidéo, sons et musique)et visite cette idée laissée par Bataille : Nous savons tous ce qu’est la poésie,elle nous fonde, mais nous ne savons pas en parler.Il faudra donc que cettebattle/Bataille donne à voir les tranchées hypnotiques, énergiques etbruitistes creusées par nos deux protagonistes dans les pages de L’érotisme,duCoupable et surtout deL’impossible.
Natacha Muslera (voix, microphones, amplis)
Guillaume Malvoisin (lecture, écriture en directprojetée sur écran par vidéoprojection),Sébastien Bacquias (contrebasse, loop, noise),Anthony Dascola (son)
e1 roccnilleàeroeGsegataBatanshoHoagmmsdrÉsoetedBatailleLesnocee/tlatSBIAQUAC BneisabS & NISIALVome MllaueGuioérals d  eectr2ealon c Kitsaur/ 03teP / erh02 r NovembJeudi 1e aosreére tedl 
Un désir nommé tramway # 1 ∕Poésie sonore, électroacoustique
Vendred 2 Novembre / 1130 / Grand KrsaalgrattParice CAZELLESEmmanuel MIEVILLE« À laffût d rafft » 
D’un côté ily a Huguettequi habite quaiVeil Picard : "Ce bruitme rend folle dingue ! »et de l’autre il y a John Cage :Si un bruit vous dérange,écoutez- le !Patrice Cazelles, poète sonore, etEmmanuel Mieville, compositeur, se sontmis à l’affût du raffut. Comment traiter cetteinformation en respectant Huguette et Cage.D’abord « le boucan » c’est aussi du son et avec du sonon fait de la musique et en rajoutant une pincée de voixet des textes passés à la moulinette de l’oralité on peut réussirun plat sonore, poétique et décalé. La performance hybride destextes, des improvisations, des sons naturels traités par ordinateur,des éléments bruitistes et du silence habitable, la densité des trames(sans jeu de mot) musicales proposées par Emmanuel Mieville,génèrent un contexte sonore puissant, « piscine à sons » dans laquellePatrice Cazelles se débat avec énergie à coup de textes, d’imprécations,d’emportements et de plaisir.C’est en nageant qu’on apprend à nager et en écoutant…
Patrice Cazelles (textes, voix), Emmanuel Mieville (électroacoustique)
Duo corps, marteau-piqueur ∕Un désir nommé tramway # 2 
Vendred 2 Novembre / 1800 / Grand KrsaalgrattCamille ESCUDERoAnhny CARCoNE« Les percées clandestines »La cité bisontine vit aurythme des travaux en vuede faire circuler un nouveautram…C’est dans ce contexte,irisant les nerfs des habitants,que nous avons souhaitéinviter lesPercées Clandestines,dispositif polymorphe pensé pourl’espace urbain.Un territoire citadin porte le sceau desmutations passées, présentes et à venirdont il est l’objet. Il est, en somme, unchantier permanent dessiné par poussées,par bourgeonnements, où le « neuf » est senséfleurir pour effacer l’ ancien ». Le mot chantier«s’achoppe à son étymologie désignant « le baudetassigné à la construction humaine »… la marched’un âne qui navigue sur deux temporalités : uneinjonction d’avancer et le désir de reculer…Pour cette édition de Musiques Libres, Camille Escudero etAnthony Carcone revisiteront leur pratique de l’improvisationlibre dans une « percée » ambivalente, reviendront aux textures« estemporanées » qui désignaient les pièces improvisées duXVIIe siècle… Des textures qui sortent du temps. Ils glisseront surune trame invisible tandis que le pouls de la Cité continue à battreson train…
Camille Escudero (corps), Anthony Carcone (marteau-piqueur)
sioépetrenosoeérioSesnadeEm© uorL taleelamunsoa éers rt ldec 2 ecnoropsel 2 / 5 l16 / 1 tKsraa 0 /ePt1er concert edl  aosreéI as »Veentéd 2ndremerbN vo023 e /ÜSe llbeAoEN« KInahc n mevm t
Isabelle Üski (chant, danse, texte, poésie sonore)Véronique Gougat (création lumière)
2econcert de la soréeAnna PIEtSCH & Dminique RoUSSEAUDuo MA « Delicate landing »
Anna Pietsch (danse, voix)Dominique Rousseau(contrebasse, récit),Louna Guillot(lumière)
Enao c’est une chanson ! Un chant du pays qui s’avèreun peu étrange, pas comme les autres, unechanson qui a du caractère, qui se faitattendre, puis entendre et…voir ! Une chanson qui veut tout chanter,qui se perd dans la lumière et lemouvement et dont les paroless’éclaboussent de sensjusqu’à ne devenir qu’unepulsation.Enao est un voyage quiinterroge ce que peutêtre une chanson, et quiemmène avec les mots, lavoix, mais aussi le gesteou la lumière. Le chant etla lumière dansent.Le geste devient musical.Tout cela porté dansun élan de vie primaire,archaïque, qui surprenddans les lieux et la manièreavec lesquels il se manifeste.Avec humour, surprises etsensibilité…
Delicate landing… recevoir et être reçu. Donner l’autorisation d’atterriren douceur : quelque chose se pose sur la piste de l’écoute, prend appuiet  nourri de gravité  s’en va vivre dans l’air. Le MA est un concept issu dela pensée orientale. Il fait allusion au rapport entre l’espace et le temps,à l’instant même où émerge la partie perceptible de la création.Le duo MA, fondé par Dominique Rousseau et Anna Pietsch jouedes pièces de composition instantanée, nourries de la mémoired’un travail commun et des impromptus du moment présent.Anna Pietsch collabore régulièrement avec la trèsbisontine compagnie de danse contemporaine deNathalie Pernette.
Soirée danse et poésie sonore
Vendred 2 Novembre / 2030 / Pett Krsaal
DleciCéxipraélvula(ovaineCose),Guylorpmasivoresi(n,x)rnBeontioiv
Samed 3 Novembre / 1800 / Grand Krsaalgratt
Ccile DUVALGuylaine CoSSERoNBernard MARtIN« Démesrément myens »Le poète est celui qui soulèveles pierres au-dessus del’horizon afin qu’elles sebaladent dans le monde del’inconnu et nous reviennent par lavoie des airs comme un langage faitde violence et de sons(Alain Astruc).Il y a sous l’appellation de chantierun éventail assez vaste de possibilités.Ici, dans ce travail artistique, le chantiermet en relation. Deux voix et une trompetteimprovisent ensemble avec pour structure destextes de Henri Michaux, Alain Astruc, Bruno Jouhet,Raymond Queneau, Charles Pennequin. Les textesseront envoyés dans les airs et reliés à la voix deGuylaine Cosseron et la trompette de Bernard Martin.La voix des poètes est traversée par les sons, les sons sonttraversés par la parole. Les pierres sont soulevées et l’espaceest recomposé par l’écriture et la musique. Un double du mondeapparaît : ce qui nous relie et ce qui est sans cesse mouvant, etle poète, sans cesse, déconstruit : avec Charles Pennequin nousallons droit au mur et le mur s’ouvre, Henri Michaux bâtit avecde la fumée, du brouillard et des sons de peaux de tambour,Raymond Queneau reconstruit drôlement la ville…
Un désir nommé tramway # 3
Catherine Karako (danse, images), Pascal Marzan (guitare, musique)
CRéAtIoNSamed 3 Novembre / 1130 / Grand Krsaalgratt
Caherine KARAKoPascal MARZAN« Trll de drame »Tout en produisant une ambiance de chantier à partir de photos, sons,objets, en utilisant ces documents, non pas d’une manière technique etmécanique, mais à travers le regard, le mouvement du danseur, l’oreilledu musicien, l’enjeu est de multiplier les possibles et d’arriver à dessituations paradoxales. Le chantier comme un principe actif, espace enmutation, au seuil du déséquilibre.
eT)ettepedsetxrtMadaromtr(inalni,nAur,cAtslesCharequiPennirneciMxuahaR,ruBJnoheouHt,ymondQueneautméomnirésdUn4#yawmarusiqmnoreesoeivéspmoreuiPiséo
obéraevcelcléébrissimeCirqueulPsemlrupsetaececlilTo),essetrtenolgnujdeteurt(calenBàunnonoçnasevoaurpolaolcirieuxdulesmilttuerdajzz,abecesotceexenll.eruaLtsilarepoésetiqueludetsLnuse.ituqnionsiusrcpenusnadunnoceretsquequeltesrsoutuotrganemédétesdeuxontunpderbsa.oTsultimiripntveàfni(sebmtnemurtssbârdeletonsetn,)sqoeuerhccrepnatunesellialesquesubétmdserohvorbmridoigts,tdesesuledruotuareynourtotaifuiqset,edivllMreçoisFrandeietédteerbiliuqéssdu,reéceenilomvuentôcmeneronttoieilibéquiofocsunniteonnc.nusLenssoorrpealgngaenuterritoireàlareloxpelsietepruelcevatnorrenceurn.Latiodétitniesenorterprmfocurteetrpmisivoecnal,munquiointcommelbeopelsarssons,bâts)Frbrase,tbueb,shrmoerllMüe,glon(jricuaevgröJeuqnouvelleetnousaisneenM suqieuerquoi.Se rércci.selenÀsapnamerliseoteluexesyurleponiquutnemomnU.seuiqétpoteesqudiitnosulxuvbiarvouéeadensitéemialàecaptniudesnrgmentearicAeuquonuaevsiaiderlh,pleeinnMesuc riacssvelleetiquenouatsniseuqleuqelr,oisCes.ntefnrnemoebrtecedespa,lanceeérioStlestuuetteselsebgaamcneùopeeorrfurteUn.nuttabelgneruionsbratxvisaunaegéhcdseadsntenrsveonctsjebosertuatesebopséeidseAtrsniverspleinderopsretsnadulssaivezsouantretnafecnojeru,unncereàfacoptE.eemmocruveouNduquirCauhTâért1e03/ L  ere / 20h3 Novembnoc trecl ru2 se 5 /po  /62 1lénèsnH)réeida(ynaut-ReMoncile idemaS)xiov,epar(hdanchesBreirée 2e concert occnre tedl  aosl edos aeéri
Ccile MoNt-REYNAUDHélène BRESCHAND« Ariane(s) »Ariane(s) est une installation spectacle musicale et aérienne. L’image dufil d’Ariane a inspiré à nos deux protagonistes une déambulation dans undédale de cordes : un chemin à inventer chaque soir, au fil des cordes d’unlabyrinthe vertical et des cordes d’un instrument de musique, ici la harped’Hélène Breschand. Cécile MontReynaud, acrobate aérienne et architectede formation, imagine et parcourt un espace créé par sa corde « fileuse »aux multiples brins développés en rideau. Ainsi le labyrinthe est construitpar les fils euxmêmes et devient comme un grand instrument. L’espace,la lumière, le son sont entièrement habités, traversés, tendus, coupés,hachés par les cordes fileuses dont la matière première est un fil de coton dediamètre 3mm : un fil d’Ariane.Ariane(s), une aérienne dans ses cordes et une musicienne dans les siennescomme autant de sujets de tensions, de vibrations, de flottements etd’appuis.
 3 Nmedibre oveml  a sedeéaSosriéACRreâtr 1eoNtI 03h02 /éhT eL /etirb(tagrM )eöJisMançolleerviELLIVREFrR LEÜL MisçanCé
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