Optimum Globe Fund Nemian
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Langue Français

Extrait

abc
Reporting Annuel
/ Mandat de Gestion Equilibrée
Optimum Globe Fund
Les performances passées ne préjugent pas de celles à venir et ne sont pas constantes dans le temps.
Performances calculées en € et nettes de frais de gestion.
Source :
Rothschild & Cie Gestion.
Gestionnaire:
Denis Faller
E-mail : Denis Faller@rothschild.com
Tel : +33 40 74 42 83
Dépositaire :
Rothschild & Cie Banque
Société de Gestion :
Rothschild & Cie Gestion
29, avenue de Messine
75008 Paris
+33 1 40 74 40 74
www.rothschildgestion.fr
6 mois
9,85%
Date de création : 07 mai 2007
PERFORMANCE AU 29 DECEMBRE 2010 (%)
OPTIMUM GLOBE FUND
EVOLUTION EN 2010 (en base 100)
3 mois
1 mois
10,62%
2010
6,15%
23,53%
INFORMATIONS GENERALES
Toute souscription dans l’un des OPCVM ne peut être effectuée qu’après lecture du dernier prospectus visé par l’AMF.
Ce document ne constitue pas un élément contractuel, et ne saurait engager la responsabilité de Rothschild & Cie Gestion en cas d’erreur ou d’omission.
Commentaire sur le marché en 2010
L’année boursière en 2010 a été marquée par des inquiétudes récurrentes sur les
développements de la crise de la dette souveraine en zone euro, et son impact sur la
stabilité financière, et sur les risques d’une éventuelle rechute de l’économie américaine.
L’activité économique s’est révélée meilleure qu’attendu en Europe, grâce notamment au
retour du dynamisme de l’Allemagne porté par une forte demande des pays émergents et
le processus mondial de reconstitution des stocks. L’économie américaine a connu un
passage à vide pendant l’été qui a conduit les autorités monétaires à entamer une
nouvelle phase d’assouplissement quantitatif pour juguler les risques déflationnistes.
Alors que les banques centrales dans les pays développés pratiquent des taux
historiquement bas et procèdent à des mesures non conventionnelles pour éviter une
rechute de l’économie, de nombreux pays émergents affrontent des risques de surchauffe
et doivent recourir à des politiques monétaires plus restrictives. Cette divergence de
politiques monétaires due aux disparités de performances économiques a provoqué dès
l’automne une forte instabilité sur les marchés des changes et accru les flux de capitaux
spéculatifs vers certaines zones émergentes. Malgré cet environnement complexe et
incertain, les sociétés cotées ont continué d’afficher des marges bénéficiaires record,
permettant aux marchés actions de revenir sur leur niveau d’avant la faillite de Lehman.
Le MSCI World gagne 17,46% en €. Les marchés émergents terminent encore en tête
avec un gain de 24,76% en €, grâce notamment aux bourses asiatiques, hors Chine. Les
obligations souveraines consolident depuis l’été en raison d’une moindre aversion au
risque liée aux meilleures perspectives économiques, mais aussi du regain d’inquiétudes
sur le risque souverain dans la zone euro. L’indice Euro MTS limite ainsi son gain à
0,88% en 2010, tandis que l’or, recherché pour ses qualités tous terrains, progresse de
38,87% en €.
90
100
110
120
130
30-12-09
12-03-10
24-05-10
05-08-10
17-10-10
29-12-10
Commentaire sur la performance en 2010
Sur l’année 2010, le mandat Optimum Globe Fund a réalisé une performance de 23,53%.
En janvier, maintien d’une exposition élevée aux actions à 94,9% des actifs. Le
portefeuille conserve un biais très cyclique. Achat de deux banques US (Citigroup et Bank
of America). Sur le plan géographique, les actions américaines sont majoritaires, suivies
de l’Asie ex. Japon Au cours du mois de février, poursuite du renforcement des
financières.
En mars, des ventes sont effectuées sur les services pétroliers et produits de luxe en
faveur des bancaires notamment.
Au cours du mois d’avril, le poids des actions dans le portefeuille progresse de 93,3% à
95,8% des actifs.
En mai, poursuite du renforcement des actions qui pèsent désormais 97,2% des actifs à
travers l’achat de valeurs aurifères et des services pétroliers touchés par la marée noire
dans le Golfe du Mexique.
En juin, les actions représentent 99,3% des actifs. Le secteur du luxe est allégé au profit
des valeurs aurifères.
Durant le mois de juillet, le poids des actions est allégé à 94,1%. Les valeurs
technologiques passent de 15,1% à 25,8% de la poche actions (achats de Google,
Infosys et Baidu) tandis que les produits de base diminuent de 23,1% à 7,8%. Les valeurs
US sont allégées à 44,9% de la poche actions contre 53,2%.
En août, la dégradation de la conjoncture aux USA focalise les inquiétudes tandis que les
données économiques européennes surprennent favorablement. Les actions US sont
réduites, ce qui ramène le poids des actions à 89,5% des actifs.
En septembre, l’anticipation d’un nouveau soutien quantitatif de la Fed aux USA permet
aux marchés actions de rebondir. Renforcement de Baidu et constitution d’une ligne
Christian Dior.
En octobre, les marchés actions poursuivent leur rebond, plusieurs indices retrouvant
même leurs plus hauts depuis 2008. Les actions pèsent 96,9% des actifs. Renforcement
des valeurs aurifères mais aussi des services pétroliers.
En novembre, poursuite du renforcement des services pétroliers tandis que les valeurs
Boeign et Rolls Royce sont vendues (retard dans le programme Dreamliner et déboires
de Qantas).
En décembre, les changements dans le portefeuille sont mineurs.
Perspective pour l'année 2011
Le consensus reste optimiste sur l’évolution des marchés actions en 2011 grâce la conjugaison de plusieurs facteurs de soutien déjà à l’oeuvre en 2010 : des prévisions bénéficiaires
conférant des niveaux de valorisation historiquement bas, mais aussi attractifs relativement aux autres classes d’actifs ; le maintien de taux d’intérêt bas pour une longue période dans
les pays développés ; des sociétés disposant de liquidités record devant permettre une vraie reprise des opérations de M&A et/ou des distributions de dividendes exceptionnels.
Néanmoins, quelques sources d’incertitude sont susceptibles d’alimenter la volatilité sur les marchés actions, d’autant que de nombreux indices ont retrouvé leurs niveaux d’avant la
chute de Lehmann: l’impact sur le rythme de croissance et plus particulièrement sur la demande finale des plans de restriction budgétaire dans les pays développés; la gestion de la
crise de la dette souveraine en zone euro et ses implications sur la viabilité de la zone euro ; le probable tassement de la demande issue des pays émergents suite aux resserrements
monétaires ; la poursuite de l’instabilité des marchés des changes en l’absence de nouveaux accords globaux ; et l’évolution de l’environnement réglementaire pour le secteur financier.
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