Revue de presse « Défense » Date : 3 mai 2011 Sommaire des ...
42 pages
Français

Revue de presse « Défense » Date : 3 mai 2011 Sommaire des ...

-

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
42 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Revue de presse « Défense » Date : 3 mai 2011 Sommaire des ...

Informations

Publié par
Nombre de lectures 112
Langue Français

Extrait

 
Revue de presse «Défense »
contact : adulou@numericable.fr Votre avis nous intéresse : si vous voulez réa ir à un article de la Revue de resse, vous pouvez soit contacter directement le responsable de thème de Défense soit réagir sur les forums de discussion de laCommunauté deDéfense,en cliquant sur le lien :www.revue-defense-ihedn.fr (si vous n’y arvenez as, reco iez le lien dans votre moteur de recherche L’équipe de la Revue de presse Défense vous remercie de votre confiance et de votre intérêt our son travail, toutes vos su estions sont les bienvenues.
La Santa Maria est l’une des trois nefs ui ermit à Christo he Colomb de découvrir la Jamaïque, le 3 mai 1494  Date : 3 mai 2011 Sommaire des articles ro osés 1 Enjeux de la Défense, Doctrine, Concepts, Missions :  Forces spéciales et assassinats ciblés  Antoine Basbous : Al Qaïda va se restructurer 2Relations internationales - Europe de la défense - OTAN :  Tunisie : 2011, une année compliquée dans tous les scénarios, selon une étude  Terrorisme : rien n’est réglé 3Armements - Industries - Économie :   Le Dixmude a parfaitement franchi le cap des essais en mer   Le sous-marin Ouessant devrait partir cet été pour la Malaisie   de surveillance maritime ensPékin renforce ses mo info IH our Chine)  Mort de ben Laden : une influence limitée sur le pétrole 4Les forces armées - Air - Marine - Terre - Gendarmerie :   : transfert d’autorité du détachement OMLTAf hanistan   a ement des renforts du 6Côte d’Ivoire : désenèmeBIMa  Cadets de la défense : remiers as dans l’armée de terre  Atalante : visite du commandant de la force aux marins du Nivôse  en visite sur la base aérienne deLibye : le général Paloméros Souda, en Crète 5)Zones de conflits :
  rêt de 3 milliards de dollars réclament un ensLes rebelles lib  En Syrie, une vague massive d’arrestations  Protestation estudiantine hier à Alger / Au moins 15 blessés dans les rangs des étudiants 6 et menaces :Rensei nements Le nom de l’unité des commandos américains ui a tué Ben Laden   reste classifié    etits-enfants du fils et desObsè uesd’El Guedaffi : l’ONU se retire de Tripoli   arrestations en vertu de la loi antiterroriste ne : cinGrande Breta   ais fran mi : le Mali craint une radicalisation d’AOta es   la mort de Ben Laden, feu vert aux franchisés d’Al-QaïdaA rès  Marc Trévidic : Ben Laden a joué un rôle fédérateur de nombreux rou es islamistes 7Sécurité intérieure :  S nthèse de resse de la douane  Un trafic de drogue démantelé sur la Côte d’Azur 8 environnement climat :Éner ie  La France en retard sur ses objectifs d’énergies renouvelables, selon les rofessionnels:  Energie solaire : la tour de Bourkika 9Géopolitique de la culture :   s’informentSeuls 11% des consommateurs de resse exclusivement en ligne 10Géopolitique de l’information :   ouvoir selon son bon ue consulter le Conseil du numériLe ouvernement ourra   timiser un datacenter existant éta es our oGreen IT : uatre   roRIM dévoile ses nouveaux Blackberr de nouveaux services et  Finances : Facebook en surchauffe  MVNO : la poste mobile, sur le point de se lancer, affiche de hautes ambitions  une partie des services et lancePlaystation Network : Sony rétablit un ro ramme de com ensation  on envoie moins de messages mais on communique mieux »Xavier Garcia (Clearswift) : «   Usages numériques : vers la disparition des frontières rofessionnelles et rivées ?  Réseau piraté : Sony découvre 25 millions de victimes de plus 11Jour après Jour :le 3 mai 12Revue de presse internationale en lan étran ue ère :  rejection of US Fighters will not affect Indo-US ties : Antony  US South American Navies Train and Prepare while in Rio de Janeiro  (Exclusive) Vertical Lauching system for attack subs developed  Patrol ForceChina Bee s u Maritime   British Aircraft Carrier May Become Tourist Attraction in Gibraltar 13)Titres d’articles publiés sur le site de la revue Défense de
l’IHEDN :http://www.cybel.fr/html/Communaute/defense/forums/index.php  
 *****
Votre avis nous intéresse : si vous voulez réagir à un article de la Revue de presse, vous ouvez contacter directement le res onsable de thème ou réa ir sur les orums de discussion de la Communauté deDéfense, en cliquant sur le lien :www.revue-defense-ihedn.fr (si vous n’y parvenez pas, recopie le lien dans votre moteur de recherche)  1/ ENJEUX DE LA DEFENSE - DOCTRINE - CONCEPTS - MISSIONS   THEME 1 - 1:Forces spéciales et assassinats ciblés Source, journal ou site Internet : Le monde diplomatique Date : 2 mai 2011 Auteur : Philippe Leymarie Adressé par : Jean-François Mazaleyrat
La mort au Pakistan d’Oussama Ben Laden met fin à dix ans de tra ue : la « lus vaste chasse à l’homme » jamais lancée à l’échelle internationale se termine un peu « à la Far West », sans avoir fait de quartier, en ayant fait disparaître le corps, et sur le registre typiquement américain de la vengeance. « Justice a été rendue », a lancé le président Obama qui, dans le sillage de son prédécesseur George W Bush, avait lancé les forces spéciales et les drones Predator de la CIA sur les traces de l’inspirateur d’Al Qaeda et des attentats de se tembre 2001… Ben Laden, ui avait écha é à l’intervention des trou es américaines en Af hanistan consécutive aux attentats, avait été localisé pour la dernière fois par des témoins en novembre 2001 à Kandahar dans le sud afghan. Les services de renseignements régionaux ou occidentaux ont longtemps estimé qu’il se cachait dans la zone « tribale » bordant la frontière entre l’Afghanistan et le Pakistan. Mais les spécialistes reconnaissaient en privé qu’ils n’avaient aucune piste sérieuse. Jusqu’à ce renseignement, reçu dé à en août dernier selon le résident Obama, et atiemment ex loité de uis, us u’à ermettre ces dernières semaines le montage d’une opération commando héliportée, réalisée ce premier mai, à une centaine de kilomètres d’Islamabad, après un ultime feu vert de la Maison blanche.
La CIA militarisée
On évoque le rôle de la Central Intelligence Agency (CIA), qui dispose de plusieurs dizaines de représentants au Pakistan, et a procédé ces dernières années à des centaines « d’assassinats ciblés », grâce aux frappes de drones Predator : en deux ans, analysait la semaine dernière le New York Times, Leon Panetta (actuel directeur de la CIA, eut-être futur ministre de la défense) a aidé à transformer l’a ence d’espionnage en organisation paramilitaire, notamment en augmentant l’utilisation de drones au Pakistan, tandis que le Général Petraeus (actuel chef des opérations en Afghanistan, et promis à la direction de la CIA) a joué aux espions en s’appuyant sur des unités spécialisées et des entreprises privées spécialisées dans la sécurité pour mener à bien des missions secrètes pour l’armée : « Le résultat est que les militaires et les es ions sont arfois virtuellement im ossibles à distin uer uand ils mènent des o érations classifiées au Moyen-Orient et en Asie Centrale. Certains membres du Congrès s’en sont plaint, en disant que cette nouvelle façon de faire la guerre ne permet qu’un maigre débat sur l’échelle et l’envergure des opérations militaires. En fait, les agences militaires et d’espionnage américaines opèrent dans un tel secret qu’il est souvent difficile de trouver des informations spécifiques sur le rôle américain dans des missions majeures en Irak, Af hanistan, Pakistan, et maintenant en Lib e et au Yémen. [1] » En février 2009, râce à la confrontation de cartes de Google Earth, il avait été possible de prouver que la CIA utilisait, pour la mise en
oeuvre de certains de ses drones, la base de l’armée de l’air pakistanaise de Shamsi (ou Bandari), située à 300 km de la ville de Quetta (un des fiefs des talibans akistanais), et à 150 km des frontières af hane et iranienne. Moshin Hamid racontait récemment, sur le site du Guardian de Londres, avoir aperçu nombre d’a ents robables de la CIA dans la ré ion de Lahore. Dans une artère de cette ville, deux cito ens pakistanais avaient été tués par Raymond Davis, reconnu plus tard comme agent de la CIA [2]. On sait, depuis la révélation de documents par Wikileaks en novembre dernier, que de petites équipes des forces s éciales US sont « embar uées » (embedded) de uis 2009 au sein d’unités akistanaises dé lo ées au nord et au sud du Waziristan, dans les zones tribales longtemps considérées comme un des principaux sanctuaires de la mouvance Al-Qaida : une mission de « conseil, rensei nement et surveillance », dans le but notamment « d’éclairer » les cibles en vue d’une poursuite par satellites, ou plus directement par des drones armés  Predator et Reaper.
Assassinats ciblés
Ces frappes auraient fait 400 à 700 morts en 2009, dont une majorité de civils, selon les calculs du New America Institute. En dépit de l’hostilité de l’opinion, et de vertueuses proclamations sur la souveraineté du pays, les autorités et l’armée pakistanaises ont apporté leur soutien à ce programme de frappes ciblées, souhaitant simplement que les « bavures » soient aussi limitées que possible. L’efficacité militaire (et donc oliti ue) de ces drones a été mise en doute, au Pakistan comme aux Etats-Unis. En 2010, selon le Washington Post, il y a eu 118 attaques de Predators – chiffre record. Selon les comptes établis par le Pentagone, douze leaders talibans ou d’Al-Qaida ont été éliminés ; mais, 94 % des victimes seraient des combattants de base, voire des civils – en armes ou non. Et chaque attaque coûterait au minimum un million de dollars. Le 17 mars dernier, une frappe de missiles tirés par un drone Predator, au nord-ouest du pays – la se tième en neuf ours – a fait trente-cin tués : des insur és, mais aussi lusieurs chefs tribaux civils et des policiers. Les quatre missiles tirés par le drone américain à New Adda visaient un centre d’entraînement des talibans pakistanais, dans leur bastion du district tribal du Nord-Waziristan. La moitié de l’état-major d’Al-Qaida aurait pu être éliminée par ces frappes. Selon un rapport publié en 2010 par la New America Foundation, un think tank de Washington, ces attaques ont fait entre 1 439 et 2 290 morts depuis 2004, don un cinquième environ n’étaient pas des activistes. La plupart de ces appareils sont pilotés depuis la lointaine base aérienne de Creech, au Nevada, près de Las Vegas, à plus de 12 000 kilomètres de leurs objectifs… Ces derniers mois, l’effectif d’a ents de la CIA et de soldats des forces s éciales US au Pakistan avait dé assé les 300 personnes : les autorités d’Islamabad avaient demandé à Washington d’en réduire le nombre, devenu trop voyant.
Guerres sales
Mais l’essentiel des « forces spéciales » américaines est déployé à l’est et au sud de l’Afghanistan, depuis l’offensive déclenchée en octobre 2001. La capture de chefs de guerre, l’exfiltration d’amis ou d’ennemis, la libération d’otages, la mise en sécurité de ressortissants, etc. font partie des missions classiques de ce type d’unités, de même que :
la recherche et la transmission de renseignements ; la neutralisation d’objectifs vitaux (pour l’adversaire) ; l’ouverture de théâtre et la ré aration de sites our l’accueil d’unités conventionnelles ; le contrôle avancé et le guidage d’aéronefs pour des opérations aéroportées ou des frappes aériennes ; les opérations psychologiques (PSYOPS) ; la protection de personnalités (VIP) ou de sites sensibles à l’étranger ; la formation, l’assistance et l’encadrement de mouvements ou pays amis pour la conduite d’opérations militaires, d’action de guérilla ou de contre-guérilla.
Ces « forces spéciales » sont nimbées d’une aura de mystère… la culture du « secret défense » et de la  clandestinité… des actions commandos, exécutées avec force et ra idité, ar de etites é ui es autonomes e très mobiles de « surhommes » surentraînés, super-équipés, souvent à l’arrière des lignes ennemies, sous camoufla e, sans res ect des usa es militaires habituels (uniformes, rites, lois de la uerre, etc.), entre Rambo, Mad Max et Mash… Une réputation sulfureuse qui n’est pas toujours méritée, ces hommes restant des militaires, avec grades, encadrement, règles d’engagement, chaîne de commandement, etc. Même s’ils ont été utilisés ar l’exécutif américain our de « sales cou s », des « uerres sales », et autres actions de  guérilla ou contre-guérilla, pour tenter d’en changer le cours (en Asie, au Proche-Orient, en Amérique latine, en Afri ue). Le 5ème rou ement des Bérets verts, ui a artiennent à l’armée de terre, sont s écialisés dans les infiltrations selon des techniques de pointe, et les interventions au proche Orient, dans l’océan Indien et en Afrique du Nord (il doit y en avoir actuellement en Libye …). La Delta force, souvent en coopération avec la CIA, avait rencontré des échecs retentissants lors du raid our la libération d’ota es en Iran (1980) et la guerre civile à Mogadiscio (1993) : elle a été largement impliquée dans la traque de Ben Laden. C’est elle ui avait re éré et uidé les raids aériens our l’élimination de Moussab Al-Zarkaoui, le chef d’Al-Qaida en Irak. NOTE il existe aussi les Navy-SEALS, héritiers des nageurs de combat, mais aptes au combat « Sea, Air, Land », qui a donné leur nom ; les SAS (Special air services), qui font du contre-terrorisme intérieur, etc.
Ouvertures de théâtre
Une demi-douzaine de pays dans le monde possèdent la panoplie complète des forces spéciales, dans toutes les spécialités techniques (terre, air, mer, transmissions, etc.) et géographiques (commandos en milieu désertique, tropical, maritime, etc.). En France, à la suite des insuffisances constatées durant la guerre du Golfe, il a été décidé de re rou er un ensemble dis arate d’unités d’élite au sein d’un Commandement des opérations spéciales (COS), créé par décret en juin 1992. Avec autorité sur 3 000 hommes [3], il a pou objectif de fédérer les unités spéciales des trois armées du « premier cercle », et de planifier et conduire leurs missions : le 1er RPIMa (Régiment parachutiste d’infanterie de marine) de Bayonne, spécialiste de l’action directe ; les Commandos-marine Jaubert, Trepel, De Penfentenyo, De Montfort, Hubert et Kieffer ; les Commandos parachutistes de l’air (CPA 10) ; le 13ème RDP (Régiment des Dragons parachutistes) de Dieuze, spécialisé dans le renseignement ; le 4ème RHFS ; l’antenne CIET ; l’EHS - Escadrille des hélicoptères spéciaux, et l’Escadron 3/61 Poitou (transport tactique).
Mais d’autres unités [4], appartenant à un « deuxième cercle », peuvent être requises pour l’exécution d’opérations du COS : Grou e d’intervention de la endarmerie nationale (GIGN) ; les unités de la Brigade de renseignement (BR) de l’Armée de terre ; les unités de la 11e Bri ade arachutiste, notamment le Grou ement des commandos arachutistes (GCP) et le 17e Régiment de génie parachutiste (17e RGP) ; Le Groupement de Commandos de montagne (GCM) de la 27e Brigade d’infanterie de montagne ; Le Grou e commando am hibie (GCA) du 21e Ré iment d’infanterie de marine (21e RIMa) ; les Équipes d’observation dans la profondeur (EOP) des régiments d’artillerie ; les Détachements d’intervention nautique (DIN) des unités du génie.
Les troupes du COS ont été engagées dans une série d’opérations, le plus souvent des « ouvertures de théâtre », où il s’agit en priorité soit de faire du renseignement, soit de montrer ses muscles : Oryx (décembre 1992 - anvier 1993), en Somalie ; Amar llis (avril 1994), uis Tur uoise ( uin- uillet 1995), au Rwanda ; Azalée (septembre-octobre 1995), aux Comores ; Almandin (1996), en République Centrafricaine ; Alb (mars-juillet 1997), en Albanie ; Kahia (décembre 1999), en Côte d’Ivoire ; Vulcain (14 août 2000), au Kosovo ; Artémis (juillet-septembre 2003), en République Démocratique du Congo ; Arès (août 2003-janvier 2007), en Afghanistan ; Licorne (en cours), en Côte d’Ivoire ; Benga (juillet-décembre 2006), en République
Démocratique du Congo ; Boali (mars 2007), en République Centrafricaine ; Thalathine (sauvetage des marins du Ponant, au lar e de la Somalie) en avril 2008 ; Mali et Burkina (en cours), suite à l’enlèvement des salariés d’Areva et de Vinci au Niger, en septembre 2010.
Notes [1]Le Mondedu 28 avril 2011.
[2] Moshin Hamid, “American predators in Pakistan”, The Guardian, 22 février 2011.
[3] Tous les personnels des unités des forces spéciales (et surtout leurs familles) sont protégés par le respect de l’anonymat (arrêté du 15 septembre 2006).
[4] Unités que recense le siteLes forces spéciales en action THEME 1 - 2:Antoine Basbous : Al Qaïda va se restructurer Source, journal ou site Internet : Le Télégramme Date : 3 mai 2011 Auteur : Philippe Reinhard Adressé par : Jean-François Mazaleyrat
Antoine Basbous est directeur de l'Observatoire des pays arabes. Il analyse les conséquences géopolitiques de la disparition d'Oussama ben Laden sur le front du terrorisme international.
En tuant Oussama ben Laden, les Américains ont-ils supprimé le patron du terrorisme islamiste ou seulement un symbole?
Les deux à la fois. Ben Laden était l'incarnation du terrorisme islamiste, il était le chef charismatique. Il a porté le drapeau de ce terrorisme à son paroxysme avec la destruction des tours du World Trade Center. Après la disparition de ben Laden, va-t-il y avoir une guerre des chefs au sein d'al-Qaïda ? Je ne le ense as. Le successeur uasiment intronisé serait al-Zawahiri. C'est le numéro 2 reconnu. C'est un homme actif, un idéologue important. Les multiples numéros 3 ont tous été éliminés. Il ne reste plus que Zawahiri comme personnalité reconnue. C'est donc probablement l'homme qui va recevoir l'allégeance de tous les autres. Mais al-Qaïda va passer par une phase de déprime. Le moral va être au plus bas, et certains vont peut-être se dire que cette cause est perdue puisque ben Laden est tombé. Les pays occidentaux se ré ouissent de la dis arition de ben Laden, mais ils annoncent aussi un renforcement de la vi ilance. Faut-il craindre une riposte des groupes d'al-Qaïda Dans un premier temps, je pense qu'al-Qaïda va se restructurer pour couper les branches susceptibles d'être pourries, donc je ne pense pas qu'ils puissent réagir aussi facilement. Pour monter des opérations terroristes, il faut non seulement de la foi, mais aussi des moyens.  L'émer ence de ce u'on a a elé le « rintem s arabe» n'est-il as le lus rand dan er ui menace aujourd'hui les terroristes ?
Oui!On observe, depuis quelques mois, une soif de liberté et de bien-être dans le monde arabe. La rue arabe ne crie pas «À mort l'Amérique!» ou «À mort l'impérialisme occidental!». Les gens de la rue disent aux dictateurs:«Dégage!». Ils réclament la liberté, le dialogue et la démocratie. En une décennie, le monde arabe a énormément chan é et les as irations sont à l'o osé de celles de leurs aînés ui étaient sensibles au discours de ben Laden.
La disparition de ben Laden change-t-elle la donne en Afghanistan?
Les talibans sont exclusivement ortés sur leur ro re cause. Au cours des siècles, ils ont combattu Alexandre le Grand, les Britanniques, les Soviétiques. Maintenant, ils combattent les Américains et la coalition. Même si la disparition de ben Laden leur porte un coup au moral, ils ont suffisamment d'énergie pour poursuivre leur lutte.
Peut-on sortir du guêpier afghan?
Pour ce ui concerne la coalition, sachant u'on ne ourra amais en finir avec les talibans, maintenant ue ben Laden est éliminé, il devrait être possible de remettre le pays dans les mains des autorités locales et se retirer en disant «Mission accom lie». 2/ RELATIONS INTERNATIONALES - EUROPE DE LA DEFENSE -OTAN :   THEME 2 - 1:Tunisie : 2011, une année compliquée dans tous les scénarios, selon une étude Source, journal ou site Internet : Le Quotidien d’Oran Date : 3 mai 2011 Auteur : El Kadi Ihsane Adressé par : Jean-François Mazaleyrat Le scénario le plus optimiste d'une étude où l'Etat tunisien injectera 6 milliards de dollars dans l'économie, prévoit le retour en 2012 au rythme de progression de l'activité de 2010. Cela présuppose le redémarrage de l'investissement rivé, du tourisme, et une lé ère baisse du taux directeur de la Ban ue centrale de Tunisie. 2011 est une «année perdue» dans tous les scénarios. «2012 sera une année essentielle. La Tunisie devrait retrouver avec 5% le taux de croissance de 2010, il y'aura une amélioration de l'emploi mais la situation macroéconomique sera encore compliquée» a annoncé Hakim Ben Hammouda, directeur de l'Institut de formation et de coopération technique (IFCT) de l'OMC, lors du 14ème forum de l'hebdomadaire Réalités ui s'est tenu à Hammamet du 27 au 29 avril 2011. Ce sont les remières conclusions d'une étude conduite par une vingtaine de chercheurs non encore livrée, qu'a rendu publiques le directeur de l'IFCT. Hakim Ben Hammouda a bien précisé qu'il ne citait que le scénario le plus optimiste, celui ou l'Etat tunisien réussit à mobiliser 6 milliards de dollars dès l'année 2011 pour venir en soutien à l'économie par différents programmes publics. Le scénario prévoit un redémarrage de l'investissement au dernier trimestre de l'année en cours, un rebond de la destination Tunisie et devra être é alement soutenu ar la Ban ue centrale de Tunisie (BCT), par une baisse du loyer de l'argent. Dans la prospective de l'IFCT, «2011 est, rapporte son directeur, une année très compliquée, où le taux de croissance du PIB ne dépassera pas le 1,83%» toujours selon le scénario d'un fort plan de relance à l'économie. Plusieurs intervenants ont confirmé qu'il était réaliste de considérer 2011 comme une année perdue sur le plan de l'expansion de l'économie, mais dont les retombées sur le mo en lon terme vont être très bonnes avec l'établissement d'un cadre oliti ue stimulant pour les affaires. Selon Ghazi Ben Tounes de la fondation Waito, la «crise» révolutionnaire a obligé la Tunisie à puiser 600 millions de dollars dans des réserves de change de 4,5 milliards de dollars aujourd'hui. Le tourisme a perdu 30% de son chiffre d'affaires au premier trimestre de l'année.   Le G8 et l'Euro e our consolider la transition   L'étude de l'IFCT ne s'est pas contentée de regarder vers l'avenir, elle a également travaillé sur les goulots qui ont conduit à la Révolution de décembre 2010. Des signes précurseurs de la crise ont été identifiés, «des indicateurs comme l'investissement du privé stagnaient les dernières années. La fiscalité directe se
développait moins vite que les prélèvements indirects», ou encore les transitions technologiques ne se faisaient as dans le tissu économi ue. «Cela ne va as s'arran er en 2011» a ex li ué le Pr Jean-Louis Reiffers, qui redoute notamment les effets socialement dévastateurs de la hausse internationale des prix des biens alimentaires. «Si on n'offre as une vision, la situation ne crée as d'antici ation» et les investisseurs vont différer leurs décisions. Le professeur Reiffers invite le prochain G8 de Deauville en France, à se pencher sur le cas tunisien. Il propose que le G8 adopte «un programme de soutien à la démocratisation en Tunisie», u'il « arantisse la stabilité des rix des roduits de base», u'il crée «un fonds de soutien monétaire» à la balance des paiements tunisienne et qu'il finance «un soutien à la construction constitutionnelle». Le rofesseur Reiffers a é alement a elé l'Union euro éenne à travailler sur une autre forme d'association avec la Tunisie. «Cela pourrait être à terme toute l'Europe sauf les institutions», faisant allusion à l'acquis communautaire qui ferait de la Tunisie un pays aux standards de l'Union européenne, sans en être un Etat membre. Le rofesseur Reiffers a ra elé ue l'Allema ne a dé ensé 700 milliards de dollars pour 18 millions d'Allemands de l'Est après la chute du mur de Berlin. Selon lui, il faudrait 24 milliards d'euros seulement our consolider les rocessus démocrati ues en Tunisie et en E te «En terme d'ordre de grandeur pour l'Europe, c'est un peu comme construire un hôpital dans un pays riche».   THEME 2 - 2:Terrorisme : rien n’est réglé Source, journal ou site Internet : El Watan Date : 3 mai 2011 Auteur : Ali Bahmane Adressé par : Jean-François Mazaleyrat Les conditions exactes de la mort de Ben Laden, on les saura bien lus tard, des années eut-être, lors ue des officiels ou des agents secrets américains se prêteront à des révélations ou des indiscrétions. Pour l’heure, il faut se contenter de la version (controversée) de l’Administration de Washin ton, à sa tête Obama ui, au passage, a redoré considérablement son blason terni tant par l’enlisement de ses troupes dans le bourbier afghan que par sa gestion contestée des affaires internes de son pays. Après le désastre des Tween Towers de New York, l’Améri ue vient d’assouvir sa revanche mais, en même tem s, elle ouvre rand la voie à d’autres aventures terroristes, peut-être moins spectaculaires que celle de septembre 2001, mais tout aussi san lantes. Le mot, le même ue celui rononcé aux Etats-Unis, a dû résonner hier dans la bouche des ens d’Al Qaîda, dès l’annonce du décès de leur chef spirituel : la revanche. Maintes fois, en divers endroits, la mouvance terroriste a répondu coup sur coup et il faut s’attendre, dans les jours ou les semaines à venir, à de foudro antes ri ostes. C’est ainsi ue fonctionne cette or anisation. L’émir ui succèdera à Ben Laden ne fera pas de quartier et sera impitoyable car tout nouveau à ce poste suprême, il devra donner des gages à ses trou es. Une artie de ces dernières n’attendra même as le feu vert du nouveau chef car elles fonctionnent par elles-mêmes, Al Qaîda n’étant à leurs yeux qu’une référence spirituelle ou un label. Si elles sont surtout actives en Irak, au Yémen, au Sahel et au Maghreb, elles n’ont jamais délaissé les terrains européen et nord-américain, certes difficiles mais hautement roductifs en matière d’im act s cholo i ue. La mouvance terroriste a saisi l’importance de frapper les opinions publiques par la résonance médiatique faite à ses actions, inté rant celle concernant ses rises d’ota es. Les médias du monde entier se rêtent à ce eu, notamment les télévisions. Tout le monde a à l’esprit le rôle joué par la chaîne qatarie Al Jazeera qui a diffusé la plupart des messages de Ben Laden lancés depuis la destruction des tours jumelles de New York. Tous les cou s ortés à Al Qaîda ces dernières années, à travers une collaboration internationale oussée, n’ont pas réduit ses capacités de nuisance. Celles-ci risquent de s’accentuer en Afrique du Nord et au Sahel en raison, notamment, de l’im act de la situation chaoti ue ré nant en Lib e. Quel ue eu é ar né ces dernières années, le Maroc vient de renouer avec le terrorisme – Marrakech ciblée dernièrement par un kamikaze – et l’Algérie voisine, elle, n’arrête pas de subir les assauts d’AQMI, quatorze gendarmes ayant été massacrés le mois dernier. Les mo ens dé lo és ar les Etats sahéliens et uel ues a s occidentaux apparaissent dérisoires dans cette immense zone, en large partie désertique et où les divergences entre gouvernements et entre alliés restent encore fortes. Si elle a un impact négatif sur la mouvance terroriste, la
mort de Ben Laden ne signifie pas la fin d’Al Qaîda et encore moins la disparition du terrorisme. Le traitement de ce fléau exi e des mesures com lexes et fortes, sécuritaires certes, mais davanta e oliti ues, économiques, sociales et culturelles. A ce niveau-là, rien ne s’est dessiné, du moins dans le tiers-monde où la misère reste le rinci al terreau, le fanatisme reli ieux venant seulement s’ a u er. 3/ ARMEMENTS - INDUSTRIES - ECONOMIE   THEME 3 - 1:Le Dixmude a arfaitement franchi le ca des essais en mer Source, ournal ou site Internet : Mer et Marine Date : 3 mai 2011 Auteur : Adressé par : François Jouannet
Il n' aura as de seconds essais en mer avant livraison, reuve ue la cam a ne menée la semaine dernière au large de Belle-Ile s'est parfaitement déroulée. Du 26 au 30 avril, conformément au planning fixé, le bâtiment de projection et de commandement Dixmude, réalisé par les chantiers STX France, a appareillé pour la première fois de Saint-Nazaire, afin de mener des essais de propulsion, de manœuvrabilité et de navigabilité. A bord, on comptait quelques 320 personnes, dont une centaine comprenant l'équipage de conduite de la Marine nationale ainsi ue les é ui es de DCNS et de la Direction Générale de l'Armement (DGA). Quasiment terminé, le nouveau BPC de la flotte française est revenu samedi dernier à Saint-Nazaire, où STX va achever les travaux en vue d'un départ du navire début juillet vers Toulon. Depuis le port varois, DCNS procèdera alors aux essais et à la mise au point du système de combat et du système d'armes, la livraison du Dixmude étant prévue début 2012.  THEME 3 - 2:Le sous-marin Ouessant devrait cet été artir pour la Malaisie Source, journal ou site Internet : Mer et Marine Date : 3 mai 2011 Auteur : Adressé par : François Jouannet
Actuellement en attente à Brest, le Ouessant, un ancien bâtiment de la Marine nationale utilisé entre 2005 e 2009 pour la formation des premiers sous-mariniers malaisiens, devrait partir pour l'Asie cet été. Selon le chef d'état-ma or de la marine malaisienne, le trans ort devrait être effectué en août, l'ob ectif étant de transformer le Ouessant en musée dans la base navale de Lumut. Le convoyage se fera probablement au moyen d'un navire semi-submersible. Construit à Cherbourg et mis en service en 1978, le Ouessant est l'un
des quatre sous-marins diesel d'attaque du type Agosta. Long de 67.6 mètres pour un déplacement de 1725 tonnes en lon ée, ce bateau, armé ar un é ui a e de 54 marins, dis ose de 4 tubes de 550mm et ouvai embarquer 20 torpilles et missiles antinavire Exocet SM39. Désarmé en 2001, il avait repris du service uatre ans lus tard, a rès une mise à niveau effectuée ar DCNS, our les besoins du contrat Scor ène Malaisie. L'Ouessant a, ainsi, assuré la formation à la mer des premiers équipages des deux nouveaux bâtiments commandés par la marine malaisienne, qui ne disposait pas jusque là de sous-marins. Au total, 146 marins ont obtenu leur ualification de sous-marinier lors des 42 sorties à la mer et lus de 9100 heures de plongée réalisées entre 2005 et 2009, année de la livraison du premier Scorpène malaisien, le Tunku Abdul Rahman, suivi l'année suivante ar son sistershi , le Tun Razak.  THEME 3 - 3:Pékin renforce ses moyens de surveillance maritime ( our info IH Chine) Source, ournal ou site Internet : Midi Libre Date : 3 mai 2011 Auteur : Adressé par : Jean-Pierre Dussaix et Jean-François Mazaleyrat La Chine va renforcer ses mo ens de surveillance maritime avec davanta e de ersonnel et de navires d’inspection, a annoncé hier le quotidien China Daily. A cet effet, la surveillance marine chinoise va recruter cette année 1.000 agents supplémentaires pour porter à "au moins 10.000" le nombre de ses personnels, ajouté le China Daily citant un responsable chinois. L’agence va également acquérir 36 bâtiments d’ins ection au cours des cin rochaines années, ui viendront s’a outer aux 300 dé à affectés à cette tâche par la Chine. La Chine va "mener des patrouilles maritimes régulières plus fréquemment afin de renforcer l’application de la loi dans les eaux dépendant de la Chine pour sauvegarder les droits maritimes du pays en 2011", selon la même source.  THEME 3 - 4:Mort de ben Laden : une influence limitée sur le étrole Source, ournal ou site Internet : Usine nouvelle Date : 3 mai 2011 Auteur : Barbara Leblanc Adressé par : Didier Lundy
 © penywise - morgueFile Suite à la mort d’Oussama Ben Laden, survenue dans la nuit du 1er au 2 mai, la question de la volatilité des rix du étrole est relancée. Dès le 2 mai, les rix du étrole se re liaient à l’ouverture de la Bourse de New York, la mort du chef d’Al Qaida faisant espérer au marché une diminution des risques géopolitiques. Peu après, à 14h20 GMT, ils repartaient à la hausse pour atteindre 114,21 dollars. Le baril de "light sweet crude" s’échangeait à 113,40 dollars, soit en recul de 53 cents par rapport à vendredi. Dans le même temps, le baril de Brent de la mer du Nord perdait 1,64 dollar à 124,25 dollars sur le marché londonien."Le fait qu'Oussama Ben Laden soit désormais hors du tableau réduit peut-être la prime de risque incluse dans les prix, les courtiers la retirant de leurs calculs", commente Tom Bentz, expert chez BNP Paribas cité par l'AFP. Pour William Ramsay, directeur du programme énergie à l’Institut français des relations internationales (Ifri), "la mort du chef d’Al Qaida ne devrait avoir une petite influence que durant deux
 
jours maximum, car comme toujours les évènements vont et viennent. Si on perd 1% aujourd’hui, il y aura une autre influence demain qui fera remonter les prix" 25% ris le début de l’année, les cours ont. De uis et atteint un sommet depuis le 22 septembre 2008 vendredi dernier."Je ne vois pas d’effet à court ou moyen terme ,, assure William Ramsa contacté ar l'Usine Nouvelle.On a tué l'icône, pas les causes des problèmes"néanmoins des représailles, notamment sur les sites pétroliers.Certains analystes craignent "Al Qaïda représente une menace pour l'offre de pétrole, et les craintes de représailles pourraient soutenir les prix", estime ui ourraient toucher des sites Phil Fl nn, de PFG Best. Des re résailles étroliers notamment en Arabie Saoudite. Mais pour William Ramsay,faut du temps de préparation de grande"il ampleur pour une telle action".  4/ LES FORCES ARMEES - Air - Marine - Terre - Gendarmerie   THEME 4 - 1: : transfert d’autorité duAf hanistan détachement OMLT Source, journal ou site Internet : defense.gouv.fr Date : 3 mai 2011 Auteur : EMA Adressé par : André Dulou  Le 26 avril 2011, s’est déroulée à Nijrab, la cérémonie de transfert d’autorité des chefs de détachements OMLT (o erational mentorin liaison team), attachés au Kandak 33 (bataillon). Le lieutenant-colonel B. succède au lieutenant-colonel L., sous-chef d’état-major à la 7e Brigade blindée, et prend ainsi le commandement de l’OMLT K3. A cette occasion, le lieutenant-colonel L. a souligné les progrès effectués par le Kandak 33 au cours des six derniers mois, faisant référence aux opérations marquantes : Blacksmith Hammer, en décembre 2010, et Eternal Blacksmith en avril 2011, auxquelles les militaires de l’armée nationale af hane (ANA) ont artici é. Il a é alement mentionné les nombreuses o érations réalisées en vallée de Showkhi, et particulièrement celle qui a eu lieu au mois de mars dernier, durant laquelle ANA et OMLT ont effectué la plus grande saisie d’armement de l’année. Le lieutenant-colonel B. aura pour mission de poursuivre le travail accompli par ses prédécesseurs dans la formation de l’Armée nationale afghane, étape essentielle à l’avènement d’un état afghan autonome.   THEME 4 - 2:Côte d’Ivoire : désen des renforts a ement du 6èmeBIMa Source, journal ou site Internet : defense.gouv.fr Date : 3 mai 2011 Auteur : EMA.COM Adressé par : André Dulou Le 29 avril 2011, 2 compagnies du 6e d’infanterie de marine (6 bataillone BIMa) projetées à Abidjan au profit de la force Licorne ont quitté la République de Côte d’Ivoire. 2 compagnies des forces françaises ré ositionnées au Gabon, ro etées début avril à Abid an au rofit de la force Licorne, ont uitté la Côte d’Ivoire le 29 avril. Après un mois de présence à Abidjan, la situation sur place a permis de désengager ces renforts temporaires. Depuis le Gabon, le 6e avait déployé un état-major tactique renforcé de deux BIMa compagnies issues du 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP) de Calvi et du 3e de régiment parachutistes d’infanterie de marine (3e RPIMa) de Carcassonne. Le 6e a assuré la sécurisation de BIMa l’aéro ort d’Abid an, la défense d’em rises fran aises et le oint de re rou ement des ressortissants. L’état-major du 6e BIMa et la compagnie du 2e sont retournés  REPau Gabon où ils continueront leur mission d’entraînement et d’aguerrissement. La compagnie du 3eRPIMa, présente sur le continent africain depuis six
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents