Lyon-horticole

Description

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d'argent (ex-œquo), M. Combet-Cordier, fleuriste, place Bellecoar, à Lyon, et M. Descolle, jardinier clifz M. le comte de Chardonnet, à Charelte (Isère). Hors conoour.s M.VI. de Reydellet, de Valence, Guénard fils, horticulteur, à Chalon-sur-Saône ; Abel Myard, amateur à Chalon, et B. Comte, horticulteur à LyonVaise.
— Méd.
Grandes Médailles
d'argent, {(u'-cpt/un),
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Cinquième Concours.—
Pour
la plus belle collection de 50 variétée de la série Japonaise.
— Méd. d'argent, MM. Mercier père et
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P. Dâgressy, VlUaVd ot Verne.
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Informations

• Publié par: showyong
• Publié le: 11 janvier 2011
• Nombre de lectures: 200
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 48 Mo

Extrait

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Quatrième Concours. — Pour la plus belle collection 100 variétésen
comprenant tous les genres.
Grandes Médailles d'argent, {(u'-cpt/un), MM. Hoste et Rozain-Boucharlat.
— Méd. d'argent (ex-œquo), M. Combet-Cordier, fleuriste, place Bellecoar,
à Lyon, et M. Descolle, jardinier clifz M. le comte de Chardonnet, à
Charelte (Isère). conoour.s—Hors : M.VI. de Reydellet, de Valence, Guénard
fils, horticulteur, à Chalon-sur-Saône Abel Myard, amateur Chalon, et; à
B. Comte, horticulteur à LyonVaise.
Cinquième Concours.— Pour la plus belle collection de 50 variétée
de la série Japonaise.
Grande Médaille d'argent [(ex-œquo), MM. Hoste et Rozain-Boucharlat.
— d'argent, MM. —Méd. Mercier père et fils. Méd. da bronze (ex-œquo),
MM. P. Dâgressy, VlUaVd ot Verne.
Sixième Concours. — Pour les 25 plus belles variétés.
—Médaille d'argent, M. Hoslc. Méd. de bronze, MM. Rozain-Boucharlat,
Emile Geoin et Madame Rampont.
Typha latfolia Vsleriana dioica
Réduit au 10" de sa grandeur. Réduit au 1/3 de sa grandeur
Plantes de Marais
—Tijplia latifolia (Massette à larges feuilles). Noms vulgaires :
Masse-d'eau, Cliandelle-d'eau, Masse-au-bedeau Roseau-des-,
étangs, Roseau-de-Ia-Passion, Lambourdeau.
Le genre lyplia est répandu dans toute l'Europe, oi'i il croît
dans les étangs, les fossés aquatiques, les marais et les bords desY>^
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LYON-HOETICOL
REVUE D'HORTICULTUREBI-MENSUELLE
PUBLIEE AVEC LA COLLABORATION DE
L'ASSOCIATION HORTICOLE LYONNAISE
PRINCIPAUX COLLABORATEURS MM.
ALPHONSE KARR
,
BELLISSE, A. BERNAIX , BOUCHARLAT aîné, CHARRETON,
CHAUDY. J. CHRÉTIEN, B. COMTE, B. COUSANÇAT, CROZY Fils ainô,
Th. DENIS, Ph. DEVILLE, GAILLARD, GAULAIN, GORRETDUCHER, L -C. F.
HOSTE C. JACQUIER, J. JACQUIER. LABRUYÉRE Fils.
,
LIABAUD, L. LILLE, J. MÉTRAL,
Fque MORIN, NICOLAS, PELLETIER, ROCHET,MOREL, J. MUSSET, J.
ROHNER, J. SCHWARTZ. etc., etc..
%édacteur en : VIVIAND-KOBEI.Chef
LYON
SALUT PUBLlGIMPRIMERIE DU
BELLON RUE DE LA REPUBLIQUE , 33
,
18 8 51885 JANVIER N°
CHRONIQUE
—La en hiver. Je me souviens encore de la joie j^ure que(p-effe
j'éprouvais il a bientôt 25 ans, quand Th. C. me dit un certainy
« t'apprendrai Corrca. »soir : Demain je à gretïer les Il avaity
j'avais quitté l'école,six mois que et que mon père m'avait mis en
rempotaisapprentissage. Je déjà, je bêchais je bouturais au,
besoin, mais je ne greiïais pas. Quand un des garçons jardiniers
de l'établissement racontait qu'il avait gretfé ceci, greffe cela, je
l'écoutais religieusement et je l'admirais je ne sais même pas ce
;
qui me retenait de me jeter à ses pieds en lui criant : Pierre ou
Jacques, vous êtes un grand homme. Quand je pense à cela
maintenant qu3 je me suis rendu compte des causes qui influent sur la
reprise des greffes, j'ai presque honte n'avoir été si naïf. Et si je
vous narre mes premières impressions, amis lecteurs, c'est pour
éviter à quiceux d'entre vous en seraient tentés de dire aux
greffeurs heureux
: Vous êtes des grands hommes. Il vaut mieux
réserver votre enthousiasme occasion.pour une meilleure
Personne voirne s'étonne de germer une graine et on
s'étonnerait de voir se souder deux parties d'un végétal ?
Je n'ai cependant pas l'intention de nier qu'une certaine
habileté ne soit très utile pour réussir une greffe, mais je tiens pour
certain que la réussite de cette opération tient davantage aux
conditions dans lesquelles se trouvent le greffon et le sujet et surtout le
milieu dans lequel ils sont placés.
Dans ce moment par exemple, ceux qui peuvent disposer d'une
serre multiplication chauffée réussiront les greffesà ou d'une bâche
d'une foule d'espèces telles Rosiers, Bignonias, Crattegus,que :
Genista Cytises, Lierres en arbre, Daphnés etc. les, Que,
greffes soient faites en fente ou en cela ne fait rien à laplacage,
chose, l'important est d'avoir de bons sujets et de les maintenir à
20"une température de 15 à centigrades. Pour un certain nombre—^ 4
d'espèces on peut même, à défaut de sujets, greffer sur racines et
obtenir résultats. Ceux quide très bons ont des sujets mis en godets
l'année précédente ne manqueront pas une grelFe, ceux qui les
mettent en godets après les avoir greffés réussiront tout de même,
mais moins facilement.
Quand on ne dispose pas d'une serre ou d'une bâche chauffée,
il est préférable d'attendre la fin de mars. Pour toutes les greffes
faites directement en plein air il est important de couper les
greffons en mars et de les enterrer dans le sable contre un mur au
nord. On greffe au départ la végétation.de Le greffon doit être
très court, la greffe bien mastiquée et au besoin pour les sortes
difficiles à la reprise on entoure le greffon d'une poupée de mousse
ou de chiffon en laissant seulement un bourgeon libre.
—Emploi du suif contre le phylloxéra. M. l'abbé Laborler, curé
doyen de St-Gengoux-le-National (Saôue-et-Loire), a institué des
expériences dans le but de régénérer les vignes attaquées par le
phylloxéra. Ces expériences consistent dans l'emploi du suif en
mince oncouche dont enduit les ceps. Ce procédé, paraît-il,
réussit chasser le phylloxéra vignes, comme ilà des réussit à détruire
une foule d'autres insectes qui attaquent les arbres et les arbustes,
tels que pucerons lanigères, kermès, tigres, etc. Il paraîtrait même,
d'après le rapport de M. Miédan, présenté à la Société
d'agriculture do Chalons-sur-Saûne, que le badigeonnage par le suif,
proposé et pratiqué par M. Laborler, serait d'une efficacité supérieure
à celui qui est proposé par M. Balbiani.
—Flore de Porqucrolles. M. l'abbé Ollivier publie dans la Revue
horticole des Bouches-du-Rhône, journal des travaux de la Société
Marseille, und'horticulture et de botanique de catalogue de la flore
Porquerolles, dans lequel il mentionne à la suite des nomsde
scientifiques les noms vulgaires en langue provençale. Feu le président
Lavallée qui avait bien compris tout l'intérêt qu'il avait à ratta-y
cher aux noms scientifiques des plantes les noms patois usités dans
différentes provinces, aurait certainement consulté ce catalogue
avec intérêt. Ces noms patois outre qu'ils donnent souvent
l'explication obscurs permettentétymologique de certains termes de
,
rapporter avec exactitude à leur scientifique des espèces quenom
les gens de la campagne ne connaissent pas autrement et auxquels
ils attribuent quelquefois des vertus médicinales extraordinaires.
Tavelure des Poires. — des poires,L'article relatif à la tavelure
que nous avo.is publié dans Lyon-Horticole,le précédent numéro du
nous a valu la lettre suivante de M. Casai, horti-notre confrère,
culteur-herboriste à Feyzin (Isère) ;