Renan, Taine, Michelet - Les maîtres de l histoire
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The Project Gutenberg EBook of Renan, Taine, Michelet, by Gabriel MonodThis eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it,give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online atwww.gutenberg.netTitle: Renan, Taine, Michelet Les maîtres de l'histoireAuthor: Gabriel MonodRelease Date: February 26, 2009 [EBook #28200]Language: French*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK RENAN, TAINE, MICHELET ***Produced by Mireille Harmelin, Eric Vautier and the Online Distributed Proofreaders Europe at http://dp.rastko.net.This file was produced from images generously made available by the Bibliothèque nationale de France(BnF/Gallica)LES MAITRES DE L'HISTOIRERENAN, TAINE, MICHELETPARGABRIEL MONOD1894TABLEDédicace.—À Charles de Pomairols.Préface.ERNEST RENANHIPPOLYTE TAINEI.—La vie de Taine.—Les années d'apprentissageII.—Les années de maitriseIII.—L'homme et l'œuvreJULES MICHELETI.—La vie de MicheletII.—L'homme et l'œuvreAPPENDICEI.—Michelet éducateurII.—Le Journal intime de MicheletÀ CHARLES DE POMAIROLSMon cher ami,J'ai tenu à inscrire ton nom en tête de ce volume. Les études qui le composent ont trouvé chez toi, lorsqu'ellesont paru séparément dans divers recueils périodiques, une sympathie qui a été pour moi le plus précieux desencouragements. Ton goût littéraire si délicat et ton sens moral si droit me garantissaient que je ...

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Publié le 08 décembre 2010
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Langue Français

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*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK RENAN, TAINE, MICHELET ***
Title: Renan, Taine, Michelet Les maîtres de l'histoire Author: Gabriel Monod Release Date: February 26, 2009 [EBook #28200] Language: French
LES MAITRES DE L'HISTOIRE RENAN, TAINE, MICHELET PAR GABRIEL MONOD 1894
Produced by Mireille Harmelin, Eric Vautier and the Online Distributed Proofreaders Europe at http://dp.rastko.net. This file was produced from images generously made available by the Bibliothèque nationale de France (BnF/Gallica)
TABLE
Dédicace.—À Charles de Pomairols.
Préface.
ERNEST RENAN
HIPPOLYTETAINE
I.—La vie de Taine.—Les années d'apprentissage
II.—Les années de maitrise
III.—L'homme et l'œuvre
JULES MICHELET
I.—La vie de Michelet
II.—L'homme et l'œuvre
APPENDICE
I.—Michelet éducateur
II.—LeJournal intime 
deM icehelt
ÀC HAREL SDE POAMRIOLS
Mon cher ami, J'ai tenu à inscrire ton nom en tête de ce volume. Les études qui le composent ont trouvé chez toi, lorsqu'elles ont paru séparément dans divers recueils périodiques, une sympathie qui a été pour moi le plus précieux des encouragements. Ton goût littéraire si délicat et ton sens moral si droit me garantissaient que je ne m'étais pas trompé en donnant à ces essais sur des écrivains que j'ai personnellement connus, que j'ai admirés et aimés, non la forme d'une analyse critique de leur œuvre aboutissant à l'approbation ou à la réfutation de leurs doctrines, mais celle d'essais biographiques où j'ai cherché à démêler les rapports qui existent entre leurs écrits et leur vie, la nature de leur influence, les idées et les sentiments qui les ont inspirés. Quelques personnes se sont étonnées que j'aie pu parler avec une sympathie presque égale d'écrivains aussi dissemblables que le furent Michelet, Renan et Taine; et que j'aie mêlé si peu de critiques à l'exposé que j'ai fait de leurs idées. Elles auraient aimé me voir indiquer les points sur lesquels je me sépare d'eux et les motifs de mon dissentiment. Je n'ai point pensé qu'il importât beaucoup au public de connaître mon sentiment personnel sur les questions religieuses, philosophiques et historiques que Taine, Renan et Michelet ont abordées et résolues chacun à leur manière. Si je croyais devoir le dire, je le ferais directement, et non sous forme de réfutation des idées d'autrui. Je crois d'autre part avoir suffisamment indiqué, bien qu'avec discrétion, les points sur lesquels ces grands esprits me paraissent avoir donné prise à la critique. Je n'ai point caché le tort qu'une sensibilité et une imagination trop vives ont fait chez Michelet à la critique de l'historien et à l'observation raisonnée du savant; la part de responsabilité qui lui revient dans ce culte aveugle de la Révolution française dont nous avons si longtemps souffert; l'influence troublante que les luttes religieuses et politiques ont exercée sur la sérénité et l'équilibre de sa pensée. J'ai indiqué comment Renan, trop sensible à la crainte de paraître juger autrui ou imposer ses opinions alors qu'il avait rejeté la foi absolue et l'autorité sacerdotale, trop désireux de poursuivre les nuances infinies de la vérité, trop porté par sa nature à un optimisme et à une bienveillance universels, avait encouru le reproche de tomber dans le dilettantisme, et avait engendré des imitateurs dont le scepticisme superficiel, raffiné et pervers a rendu haïssable ce qu'on appelle leRenanisme.J'ai laissé voir que chez Taine il y avait quelque désaccord entre la hardiesse de sa pensée et la timidité de son caractère, et que ce désaccord pouvait expliquer quelques uns de ses jugements historiques; que ses convictions déterministes et la puissance logique de son esprit lui ont fait méconnaître ce qu'il y a de complexe, de mystérieux, d'insaisissable dans la nature et dans l'homme; qu'il a trop cru à la possibilité de réduire à des classifications fixes et à des formules simples l'histoire et la vie; qu'il a pris trop souvent la clarté et la logique d'un raisonnement pour une preuve suffisante de sa justesse; qu'il a eu enfin, lui aussi, dans les écrivains naturalistes et matérialistes de ces dernières années des disciples dont les hommages étaient pour lui une amertume et presque un remords. J'aurais pu sans doute insister plus que je ne l'ai fait sur les imperfections de leurs œuvres et sur les limites de leur génie; mais il me semble que j'aurais alors altéré la vérité du portrait que je voulais tracer d'eux. Au lieu de m'attarder à dire ce qu'ils n'ont pas fait et ce qu'ils n'ont pas été, j'ai cherché à montrer ce qu'ils ont été et ce qu'ils ont voulu faire. Connaissant personnellement leur valeur morale, j'ai cherché à leurs doctrines et à leurs actes, des explications naturelles, légitimes et élevées, même à ce qui pouvait me surprendre ou me choquer en eux. Les sachant incapables de céder sciemment à des motifs frivoles ou bas, j'ai cru en agissant ainsi faire œuvre d'équité. En présence d'hommes supérieurs, la sympathie est la voie la plus sûre pour comprendre; et l'œuvre la plus utile de la critique est d'expliquer en quoi les grands hommes ont été grands, les ressorts secrets de leur génie, les motifs légitimes de leur influence. Ce n'est que longtemps après leur mort, quand le temps a mis chaque chose à son rang, qu'on peut discerner les défauts, les lacunes, les défaillances qui ont rendu certaines parties de leur œuvre caduques ou nuisibles. Et même alors, n'est-ce pas sur les parties durables et bienfaisantes qu'il est le plus nécessaire d'insister? Les influences nuisibles n'ont d'ordinaire qu'un temps; les influences bienfaisantes sont éternelles. C'est l'honneur de la critique scientifique de notre siècle d'avoir su sympathiser avec les esprits les plus divers pour les mieux comprendre, d'avoir cherché à expliquer et à légitimer par conséquent, dans une certaine mesure, en les expliquant, leur manière de sentir et de penser. Que dirait-on aujourd'hui d'un critique qui jugerait Calvin d'après les piétistes étroits et déplaisants qui se réclament de lui, Rabelais d'après les chroniqueurs orduriers qui se disent rabelaisiens, Racine d'après Campistron, Voltaire d'après M. Homais? qui reprocherait à Bossuet de n'avoir pas conçu l'histoire universelle comme Herder ou Auguste Comte, et à Pascal d'avoir eu pour disciples les convulsionnaires de Saint-Médard? S'attacher surtout à mettre en lumière les côtés lumineux du génie des grands penseurs et des grands artistes, et montrer de préférence ce qu'ils ont ajouté aux jouissances esthétiques et aux richesses intellectuelles et morales de l'humanité, c'est faire acte d'équité. Lorsqu'il s'agit de contemporains à qui l'on doit le meilleur de sa pensée, c'est un devoir de reconnaissance. Tu en as ainsi jugé quand tu as écrit sur Lamartine un livre où le plus inspiré des poètes trouvait son vrai critique chez un poète dont l'âme est parente de la sienne. Le même sentiment m'a guidé dans ces esquisses plus modestes, sur Renan, Taine et Michelet. J'ajouterai que ma sympathie et ma reconnaissance pour ces trois hommes également et diversement grands, se mêlent d'une nuance plus marquée d'admiration pour Renan, pour Taine de respect, et pour Michelet d'affection.
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PRÉFACE
tanté auporta apeds e  tattcd  enaRee qué itacagvid ettec snad nuqi'slc racaétirsent un état soc laiu uoté nd tame'âPe. onrsn'neue-x.sC no tic'nne vqu'ur syaleueuqilobmia ruop redii nse  cen, d xuenu'ég sarénacarretè ade cuxitucilreiastp raqu'aux f époque euqilpparuel no'que qutiri clas itutc re sedp ulorde acc qui, etntmedes a  ladtrd tn sna selucod, mais aussi dantioi nihtsroqieu tseesat qcet ouianidroaciléd er nonain,leme seuy a 'uliectr'dniissai qu, térivértxe enu ceva tis leoute à tiblel  a sednaec sunruscleput,fee  l tirsnesnu'dpse  ce qui pothèseseve  nfe's yrtuon sli ;etneiov ean das phys ses l a' etearribrtins le datoir'hiscca'resui'd ortnirdua elntfasiaidaevsriaer senm anquent pas de leS str .d a' nteatioivinde dct, at ed tnemélé nu, meisivctjeubes eaptrd m-mê enuque ellela critid er snali ,tne om dneai drscee e qu dirdeho'en ia s;sm o éslia esglrès vetisipo'd ,rûs ed sèrpant opérer à coupeitnfiqieup ueevobl'rvseioatscn ih erotseuqi te 
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