TENSOPAN
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TENSOPAN
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| Publié par | ibilokar |
| Nombre de lectures | 153 |
| Langue | Français |
| Poids de l'ouvrage | 2 Mo |
Extrait
•
r
•
•
•.*»•.*"
•
. - * •
« * . .
iMkv*Mr*wi
«—-v
ss
=
ÎÎ-'OUEST-ECLAIE.
— 25
septembre
IMS
£
DANS
UNE
USINE D'ARMEMENT BERLINOISE
Une manifestation
du
Front du Travail
pour
tes
travailleurs européens
BERLIN
14 —
D ans
une
usine d'ar-
m em ent
de la
banlieue
berlinoise,
a
tu
Ueu une
ir a m te ltttto n
de
solida-
rité européenne organisée
par le
Front
du Travail
A c e t v occasion,
le D
r
uef
a
rap-
pelé
le
discours prononcé
a
l'occasion
du
i
m u ,
dans lequel
il-
avait mon-
tré
1
action
de-,
Ju'fs. ennem is num éro
1
de >'humanité. l'influence qu'ils exer-
cent dan» tous
les
dom aines grâce
au
pouvoir
de l'o» et.
l'oppression sous
la-
quelle
Us
tiennent
les
nations
et les
peuples.
Il explique alors
par qui les
Juifs
sont
soutenus
et
fait' ressortir
que
les E tats capitalistes anglo-am éricains
son t alliéfi
au
bolchevism e.
ce qui ré-
duit
s
néant
l'affirmation
des
com -
m unistes
qui
prétendent lutter contre
les puissances d'argent.
«
c m la
raison pour laquelle
ces
n ation s
com battent
l'Allem asne,
qui
voulait détr>i>rt!
la
prim auté
de l'or. »
n souligne
que la
guerre actuelle
est
une guerre
de
continents,
ce qui en-
traîne
la
nécessité
de la
solidarité
européenne
:
s
Ce
n'est
pas le
sort
de
l'Allemagne
3
u>
se
joue actuellement,, m ais celui
*
«Europe entière.
*
«
SI
l'Allemagne s'écroulait, tous
les
peuples
du
continent
«'écrouleraient
avec rite
».
affirme-t-ll
Il analyse rapidem ent
la
politique
de
l'Angleterre
VIS-B-VIS
des
nations conti-
n en ta le: depuis
des
siècles
et.
s'adres-
sant
particulièrem ent
aux
Français,
leur m ontre
la
vanité d'espérer
que
les Anglais leur rendront leur
flotte.
ieur Empire
et
leur liberté économ ique.
Il leur dem ande
de se
souvenir
des
précisions
qu'a
données
le
m aréchal
Pétaln
sur les
victim es
des
raids ter-
roristes anclo-am érirains
qui ont
fait
plus
de
4.000 m orts
et
"20 000 blessés
dans
la
population française.
.
«
Ce ne
sont
pas des
appareils alle-
m ands
qui ont
bombardé Paris, m ais
des avions-de
vos
anciens alliés, dit-il.
Celui
qui
après
ces
faits,
est
encofé
anglophile
est
trop stnplde pour
que
l'on m usse discuter avec
lui. »
«
En
face
c*e nos
ennem is, conclut
le
D' Ley. se
dressent Adolf Hitler,
le f u c e
et
l'Empereur
du
Japon,
qui
lutteront ensem ble Jusqu'à
la
victoire.
»
LE
CHAMPIONNAT PASCOT
Un avion anglo-américain
s'écrase à Paris
sur
les magasins du Louvre
PARIS,
24
septem bre
(de
notre corres-
pondant parisien).
—
quoi qu'on
en
dise,
notre belle équipe
de
Bretagne
a
subi dim anche dernier
Un
sérieux échec
devant
les
joueurs
de
Nancy.
On
aura
i beau dire
que
ces
derniers sont appelés
S
ar ieur classe
et
leur Valeur certaine
Jouer
un
rôle prépondérant dans
le
i cham pionnat, m ais
11 ne
faut
pas ou-
blier
que
l'équipe
de
Bretagne
a été
constituée a v e c
des
élém ents pouvant
Individuellement'
'
rivaliser
avec
les
meilleurs
des
clubs adverses.
De ce
.
fait, elle doit elle-m êm e avoir cen s-
<
cienee
de sa
valeur,
s'Imprégner
de
•
cette belle vérité
et
agir
en
consé-
i quence.
Il est
donc inadm issible qu'elle
'
n'ait
pu
taire qu'un m atch
nul
avec
Nancy, d'autant m ieux qu'elle Jouait
sur
son
terrain
et
devant
ses
suppor-
ters.
Les
R ennais sont donc descendus
d'un échelon
au
olassem ent, m ais
di-
m anche prochain,
au
cours
de la 4*
journée
de
C ham pionnat,
ils
doivent
faire
l'Impossible
pour
S'accrocher.
Volet quels sont
les
niatches
de
cette
4« ;ournée.
A Lens
:
Lens contre B ennes.
A Nice
:
Nice contre Toulon.
A Vlermont
:
Olermont contre G re-
noble.
A Montpellier
:
M ontpellier
contre
Ile
de
France.
A Nancy
:
N ancy contre Lille,
-
A Reims
:
Reim s contre Rouen.
A
Pau :
Paris Capitale contre, Bor-
deaux.
A Lyon
:
Lyon contra M arseille.
En dem andant
aux
R ennais
de
s'ac-
crocher dim anche,
on
peut
évidem -
m ent dem ander
s'il n'y a pas un peu
PARIS.
34. —
Lors
du
passage,
la
nuit dernière,
des
avions
anglo-am é-
ricains
sur la
capitale,
le tir de la
D .
o . A., a
atteint
l'un
d'eux
qui
s'est
abattu
sur les
m agasins
du
Louvre.
n était environ
l h. 30,
entre deux
tirs
de D. C. A. les
Parisiens, ceux
du centre
de la
ville
en
particulier,
purent
entendre
le
puissant
ronfle-
m nt
d'un
moteur
de
bombardier lourd
qui volait
à
basse altitude. L'instant
d'après,
le
bruit d'une forte explosion
retentissait
d a n s
la
nuit.
L'appareil
venait
de
s'écraser
sur les
m agasins
du Louvre, dém olissant entièrem ent
les
ateliers
de
réserve
du 6«
étage, ins-
tallés
sur la
partie
des
bâtim ents
que
"
lim ite
la rue
St-Honoré
et
vers l'ex-
trém ité
qui
donne
rue
Leringo.
Ce m atin,
la
circulation
dans
les
rues
avoisinnnt.es
est
interdite
et,
c'est
par
les
jardins
du
Palais-Royal
que
les Parisiens doivent gagner
les
lieux
d e leur travail. Pom piers, agents
d é
police gardes mobiles travaillent sans
arrêt
au
déblaiement
:
dans
la rue
s'am assent
lés
débris
de
toute nature
parmi lesquels
on
reconnaît
une
aile
d'avion,
une
énorm e roue avec
son
pneu Intact.
Une
foule
dense
stationne
aux
abords
du
m agasin.
D es fragm ents
de
carlingue sont
ac-
crochés
aux
grilles
du
jardin
de
l'In-
f a n t e , qui borde
le
Musée
du
Louvre.
A quelque cent mètres près,
l'appa-
reil aurait
pu
s'écraser
sur
celui-ci.
A
i l
heures,
six
cadavres
non
iden-
tifiés
ont été
retrouvés
II
s'agit vrai-
sem blablem en
des
aviateurs.
POUR PRÉPARER L'AVENIR
DE
LA
QUALITE FRANÇAISE
(Suite
de la
1**
page)
Or
Je
mécanisme
des
Comités d'or-
ganisation
ne
prévoit, point
de
tels
rapports
: la
Cnmmissior Interpro-
fessionnelle comblera cette lacune
en établissant
la
liaison horizontale
indispensable entre
les
Industries
d'art
et de
création,
c'est-à-dire
toutes celles
qui
font beaucoup plus
appel
à
l'homme
qu'à la
machine
et
où l'ouvrier doit apporter
non
seu-
lement
de la
conscience
et de
l'habi-
leté,
mais
de
l'imagination
, et du
goût.
La commission projetée aura
une
composition purement
profession-
nelle,
à
l'exception
d'un
commissaire
qui représentera
le
gouvernement,
et
dont
le
rôle essentiel sera celui
d'un
arbitre chargé
de
maintenir l'équi-
libre entre
les
divers intérêts
en
cause. Elle sera pourvue
d'un bu-
reau
permanent,
comprenant
un
président
et six
membres choisis
au.
sein d'une commission consultative,
formée elle-même
de
membres
de
droit (directeurs
ou
présidents
des
Comités d'organisation
où
t'insè-
rent
les
industrica
en
cauae)
et da
membres nommés
par le
gouverne-
ment
en
raison
de
leur compétence
et
de
leur valeur technique.
Ainsi constituée, elle aura pour
rôle,
d'abord d'aider
les
industries
d'art
et de
création
A
traverser
nos
temps,
difficiles, ensuite
de
prépa-
rer l'avenir, soit
en
améliorant
ou
en restaurant
ta
qualité, soit
en dé-
veloppant
nos
exportations d'objets
d'art, soit
en
organisant notre pro-
pagande
sur les
marchés étrangers.
C'est
là une
grande
et
utile tâche
:
la composition
de la
commission
—
qui n'aura
rien d'une
institution
étatiste,
ce qui
écarte toute crainte
d'un recours abusif
à
l'autorité
—
nous
est
garante qu'elle
remplira
efficacement
sa
mission
et
qu'elle
saura user
de
tous
les
ménagements
désirables
à
l'égard
de
fleurons par-
ticulièrement sensibles
et
fragiles,
mais
qui
sont
les
plus précieux
de
notre économie.
Les
artisans
de la
qualité française dans
ses
formes
les plus hautes vont donc avoir
le
moyen d'étudier
en
commun
les
pro-
blèmes d'aujourd'hui
et de
demain,
et
de
retrouver
le
chemin
de la
gran-
deur
et de la
prospérité
: à eux de
savoir
s'en
servir
et de
demeurer
fidèles
aux
disciplines
tradition-
nelles,
ce qui ne 1rs
dispense
pas
de puiser dans
le
présent
les
élé-
ments d'inspiration
qui
donneront
à leurs oeuvres
le
frémissement
de
la
vie.
A.
L.
ROMAN
POLICIER VÉCU
• • • • .
•
•
•••
i
•
11.
. i
. •
n —
. -
|p •
• • • — •
ii _
i
•
Maurice Leblanc, Gaston Leroux,
Conan Doyle et Georges Simenon
n'ont jamais trouvé mieux. •.
LTLLB,
24. — Ces
Jours der-
niers,
u n
Jeune h o m m e
de 18 ans,
h a b ita n t
le
faubourg
de
M ans,
A
M aubeuge,
se
présentait
au
chef
d e
la
Sttrete
et lui
expliquait
que
•On Père Ayant
été
victim e.
11 y
a
quelques jours,
d'un vol de
43.200 francs,
il
avait résolu
de
faire
la
lum ière
sur
cette affaire.
8 e *
soupçons s'étant portés
sur
sa
voisine.
Mlle
ROBO
Sam in,
49
ans. il
avait noué avec elle
des
relations
intim es
et
était
parvenu
à lui
faire avouer qu'elle
était bien l'auteur
de ce vol.
A
la
tête
d'une
fortune
de
plusieurs
m illions.
Mlle
Sam in
déclara
à son
Jeune
ami
qu'elle
avait volé poussée
par
l'avarice
e t
le
supplia
de n'en
rien dire.
—
Bi tu
parlais, ajouta-t-elle.
Je
m e
jetterait
&
l'eau.
Or,
au
cours
de la
nuit,
la
rentière
disparut,
et
c'est
alors
q u e
le
Jeune h om m e décida d'aler-
ter
la
police
Peu
de
tem ps après,
on
reti-
rait
de la
Sambre
le
cadavre
de
Mlle Rose Sam in.
Des
riverains
déclarèrent
que la
nuit
précé-
dente, vers
23
heures,
ils
avaient
en ten d u
des
appels
au
secours.
Mlle Sam in avait^elle
été
assas-
sinée
?
Les
enquêteurs
interrogèrent
lo n g u em en t
son
jeune
am i.
Mais
celui-ci
ayant
fourni
un
alibi
irréfutable
et
aucune
trace
de
violence n'ayant
été
relevée
sur
le cadavre,
ils
durent
abandon-
ner leurs soupçons.
U ne nouvelle ém otion attendait
1« Jeune h om m e
: un
notaire
lui
apprit
le
lendem ain
que
Mlle
Rose Sam in
lui
léguait tou s
ses
biens
L'enquête
se
poursuit.
M. Yves JOBSELIN
de
BAINT-
RTLAIRE
et Mme. née
Françoise
HUON
de
PENAN8TER sont h e u -
reux
de
faire nart
de la.
naissance
de leur fille. I8ABRL1.E
Kerauzern,
le 4
Septem bre
1948.
Le
prochain
i
Vwsell
de
révi*ton
pour
le»
volnntnfrea
français
de
la
Wafft**
SI S.
•ARIS,
14 - Le
treenali» eemell
de révision pour
les
volontaires Iran,
•ait
de la
Waffan
S. S. te
tiendra
a
Pari»
M M
teoitmart, • , • M » * ! * ! . * :
•outre
du
Boit
d*
Boulcjnt, Métro
Part»
""
d'exagération
et si le
sim ple
bon
sens
n'oblige
pas à
déclarer
que la
tache
parait surhum aine
aux
Bretons,
s o n
adversaire, Léhs,
a
actuellem ent
la
forte coto, m otivée
par la
forme
do
l'équipe. Depuis
le
démit
de la
saison,
les.Joueurs
de
l'Artois volent
de
succès
eu succès'
et
leur, dernier
en
date
s'est
soldé
par un
retentissant
6-0 aux dé-
pens
des
Norm ands. C'est
une
réfé-
rence
à n'en pus
douter. M ais
il mut
se souvenir qu'en d'autres tem ps
ies
R ennais
s'en
furent
un
Jour
a
Rouen
m atcher
les
Normands; Pour leur'
re-
prise
du
football professionnel,
les
B re-
tons
s'en
revinrent avec
une
magnifi-
que victoire
se
chiffrant
par 4
buts
à
0. Pourquoi donc
l'équipe
de
Prouff
n'accom pliralt-elle
pas une
belle per-
form ance dim anche
en
allant
à
Lens
?
Certes,
une
victoire sera difficile,
car
tout
de
m êm e Lens
est un
rude m or-
ceau,
m ais
un
petit d'écart seulem ent
nous com blerait d'aise.
A Nancy,
la
rencontre
sera rude
entre
les
Lorrains
et les
Lillois.
Les
doux équipes Sont jeunes, jouent très
vite.
Ou
peut tout
de
m êm e accorder
une meilleure chance
aux
Lillois.
La
capitale
aura
pour
adversaire
B or-
deaux,
et la
chance
de
Jouer
a
Saint*
Ouen.
Ce
Sera
là son
plus gros atout,
car' Bordeaux
com m ence
a
devenir
dangereux.
Les
Rém ois
et les
R ouen-
nais,,
deux battus
de
dim anche der-
nier,
se
trouveront
aux
prises. Tout
de m êm e
les
Rém ois
ont
tait m eilleure
im pression
que les
Norm ands.
Des
autres rencontres, nous voyons v a in -
queurs
:
Nice, Olermont,
M ontpellier
et M arseille.
i
Henri
COOMMOX.
.
airain connaissait
l'armistice italien
avant sa publication
Mais
il
n'en
informa
pas
de
Gaulle
qui est
vexé...
ALGER,
24. — Le
correspon-
dant
de
l'agence
«
United Press
»
en
Afrique
du
Nord
annonce
qu'un diftérena sérieux vient
de
neltre entre
d»
Gaulle
et
G lraud,
en raison
du
fait
que
Glraud
était
inform é
du
prochain
ar-
m istice avec l'Italie
e*t
qu'il
n'en
avisa
pas le
com ité d'Alger
Se-
lon
des
renselgnem nts
de
source
française. Glraud connaissait
la
nouvelle
de
l'armistice cinq Jours
avant qu'il
ne
soit annoncé.
De G a u lla
en
tant
que
prési-
d en t chargé
de
toutes
les
ques-
t i o n
civiles
et
politiques, cher-
che
A
subordonner
—
com m e
au
tempe-
de la
R épublique
— les
affaires
m ilitaires
a
l'autorité
civile
tandis
que
Giraud estim e
que
les
questions m ilitaires,
dé-
jà subordonnées
au G. Q G. an-
flo-am érlcain.
ne
doivent
pas
trg gênées
par
dessus
le
m arché
en étan t
soum ises
à une
n ou -
velle
autorité.
Les chefs m ilitaires anglo-am é-
ricains restent
en
dehors
de ce
dllfèrena
m ais
le
général Eisen-
hower
aurait
insisté
pour
. que
l'ex-genéral Giraud
ait les
m ains
suffisam m ent
libres.
La réglementation
des
ventes
aux enchères publiques
V i c m
44. — Une loi
publiée
ce
m atin
au
Jovrnal
Ollicie.
modifie
la
lof
d
lb4i
fir les
ventes
aux
enchères
de r.iarchandue» neuves. Elle spécifie
que
nui ne
peut faire
de»
enchères
publique»
un
procède
nabituel
de
l exercice
ae son
commerce.
Jon'« interdites
les
ventes
au
détail
volontaires
aes
m archandises
neuves
a
2ri
publie,
su»
enchères. Sont inter-
dites égalfm ent
tes
ventes
au
détail
volontaire»
par les
même» m oyens,
de
marrnandif.es
d'occasion dont sont pro-
priétaires
ou
détenteurs
des
commer-
çants
qir ne
sont
os»
inscrits
au re-
gistre
ai
com m erce
et sur le
rôle
des
ratent», depuis deux
ans au
m oins
dans
1
ressort
du
tribunal
de
pre-
m ier; instance
où
elles doivent être
opérées.
Se n.int
pta
com prises dans
cette
défense
les
v eites faites
oar
autorité
de Justice, après décès Hnuldatlon
Ju-
d iciaire
ain.il
que le»
ventes
a cri
publie
de
com rstlblt»
e t dé
m enue
m t r c e r l a , . . . .
DISTRICT
OU
PINISTERE-NORO
AVIS IMPORTANT
AUX
CLUBS
Les prem iers m atches
de
cham pion-
nat,
conform ém ent
aux
Instructions
com m uniquées
par le
secrétariat
du
C.
D F. en
date
du 16
courant, auront
Heu
le SI
octobre,
et la
Coupe
de
Bre-
tagne
le 7
novem bre.
LJ
La réunion
de la
Com m ission
dé
gestion étant prévue pour
la
première
sem ain e
d'octobre,
les
retardataires
pourront
adresser
leur
engagem ent
pour
le 30
septem bre, dernier délai.
Passé cette date, aucune suite favo-
rable
ne
pourra être donnée
par la
C.
D. F. aux
dem andes
qui
pourraient
être adressées.
Les cltros nouveaux
et
ceux n'ayant
pas disputé
les
cham pionnats'
de la
saison 42-43 doivent s'adresser
de
toute
urgence
au
secrétariat,
adm inistratif
du
C. D F.,
boite postale
330,
R ennes,
conform ém ent
aux
décisions
parues
précédem m ent,
et non au
D istrict
qui
ne peut être qu'un agent
de
trans-
m ission
à
l'organism e sus-lndlqué.
Com m ission
de
gestion.
—
Réunion
d e
la
Com m ission
de
gestion m ardi
6
octobre,
A 17 h, 30, au
lieu habituel,
Objet
:
cham pionnats
de la
saison
43-44;
form ation
des
groupes
et
calên-
drler.
Le président
du
District,
O.
Louchez.
(D
COUPE CHARLES-SIMON
A Rennes
:
Stade R ennais contre
A.
S. Servannaise
(délégué,
M.
Poupet),
(arbitres. Juges
de
touché,
MM.
Sim on,
Bousquet, G u l l l o u x ) . \
A Satnt-Malo
:
U. S.
Servannaise
contre Etoile D inardaise (Fourel)
(Le-
breton, Bolssonnet, X ..,).
,
A
Landerneau
:
La
Landernéenne
contre
A. 8.
Brestolse (Bourvon),
(Gal-
m ard, M ayls, O uillou).
A Quimper
:
Stade Qulmpérols con -
tre
Herm ine
Concarnoise
(Louchez),
(Ropart, M archais, B rélivet).
A Dtnan
:
Stade
D lnannals
contre
Dinard Am ical-Club (Barré),
(Qallet,
Lcgallais,
Le
M lntler).
A PloërmÊl
:
C. S.
Ploerm elals con -
tre
A. S.
Chem inots R ennais
(X.), (Le
M aître).
' ,
A Lesneven
:
Stade Lesnevlen con -
tre
Stade
Léonard
(Salaun),
(Ré-
gnier).
,
.
_ .
A Guingamp
: En
A vant
de
u u l n -
gam p contre Stade Lannlonnaia
(Ja-
m et),
(Couffrand, Calvet, D uigou).
A Douarnenei
:
U. 8.
D ouarnenlste
contre K orrigans
(Le C es), (Le Men,
Le
Ooff,
X.)
_
m
•'•'
'•
A st-Pol-dè-Lèon
:
E. S. du
KrelS-
ker contre
E. S.
Salnt-B rieuc (Rlvoal-
lon ),
(Darsel, B enjam in, T an gu y).
A Vannes
:
Véloce V annetais contre
Stella-M aris (Boutln), (Eveno).
.
A conoarneau
; U. S.
Concarnoise
contre
F. C.
Lorient (Pensée), (ArnouS,
Troalen,
Le
T orrec).
A Qulmperlé
:
U. S.
Qulmperlolse
contre
Garde
Saint-Ivy
(Penvern),
(M allet, Bellour.
X .).
A
Pontivy
:
Stade Pontivycn contre
Phalange d'Arvor (K erdraln), (R agot).
A Fougères
:
Drapeau
de
Fougères
contre
U. S.
Liffréenne
ou
Ploérm el-
Sports (D avid). (Geoffroy, Bédier,
p u -
tertre).
l
1
"
5
'
A
L'A. S.
BRESTOISE
Les
cotisations
pour
la
saison
1943-1944 sont fixées
t u x
tarifs
sui-
vants
:
• '.-..
M embres
actifs,
toutes
catégories,
60
fr.
(com prenant
le
coût
de la
carte sportive).
Membre»
honoraires,
m essieurs
et
dam es,
800 fr.
M embres
bienfaiteurs,
300 fr. et
plus.
Les m em bres
honoraires
et
bien-
faiteurs,
aux
term es
des
règlem ents
de
ces
com pétitions,
sont
inform és
que leurs cartet
ne
seront
pas
vala-
bles pour
les
m atches
de la
Coupe
de
Bretagne,
de la
Coupe
Charles-
Sim on
et du
C ham pionnat
de
France
am ateur
;
leurs
cotisations
auront
donc
le
sens
exact
d'appui
et de
%vmpathle
envers
le
club
et non
plus
le
caractère
d'un
abonnem ent
annuel
Les cotisations
de»
membres actif»
devront être payée»
d'ici
le 5
octo-
bre,
entre
les
m ains
de M.
Joseph
Salaun.
trésorier,
ou de MM. Gno-
nach
(football);
Chulton
(baslcet-
b alli;
Le
Clech
(athlétism e).
Passé
le
6
octobre,
les
cotisations
non ré-
glées seront augm entées
de 10 fr. et
encaissées
a
dom icile.
Les cotisations
des
m em bres bien-
faiteurs
et
honoraire» so n t
A
verser
entre
<es
m ains
de M.
Joseph
Sa-
laun.
trésorier
du
Club,
2 bis,
pla-
ce Vaiiban,
à
Brest,
ou au
com pte
chèques postaux
de
celui-ci
:
60S-20
R ennes
:
elles
peuvent
égalem ent
être versées entre
nos
m ains.
Par
avance,
nous
adressons
nos
rem erciem ents
&
tous ceux
qui
vou-
dront bien
A ce
sujet,
faciliter
et
notre tâche
et la
trésorte
du
club
par
un
prompt
versem ent.
La Présidant
dt
l'A.».
B rtttoliti
Jos.
GUIHERY.
Boite
postale
no 15,
Brest.
U )
MATCHES AMICAUX
A AURAY.
—
D im anche,
au
Parc
des Sports
du
Loch
:
É lisions
de
Van-
nes
(l et 2)
contre Airéenne
( l e t 2 ) .
(1)
1
AU
F. O.
LOR1ENTAIS
Sont convoqués
;
Gutllant, OtUlllou,
Goujon. Gtairec,
Le
G aillard, Guille-
m ain, Quelren,
Le
Dantec
Le
Béchon-
n
B
c. Cultfsord. Mercier. Joie.
Le
Ooff.
i
C orrespondsnce
dim anche
m atin
à
Rosporden.
Retour assuré
dim anche
soir. Délégués
: Le Hen,
Souabaut
et
M ercier
1
UN APPFX
AUK
JOUEUBS
DU S.N.U.C.
'
Tous
les
membres
de la
section asso-
ciation
dU
S .N .U .C ,
ainsi
que
ceux
ayant fait
une
demande
d'admtssioh
au club,
son
ipriés
de se
présenter
à
la réunion
qui
aura lieu
le
vendredi
24 septembre,
à 19
heures,
au
Café
du
Helder,
28, rue <i«
Strasbourg
Afin
de
connaître ceux
qui
auraient
m être touchés
par les
événem ents
du
.6 ,
ceux
dés
membres
qui ne
pour-
raient assister
à
cette réunion, vou-
dront bien donner
de
leurs nouvellet
à
M.
JNâtt,
M,
ras
dt
I*
MoatMos.
I
r,
BASKET-BALL
CHAMPIONNAT
DE
BRETAGNE
A BREST
Terrain
de la rua
Vauban
: Es-
pérance contre
B. C. de
Lambézellee.
Rencontre
équilibrée
en
perspeé-
tive,
entre
ces
deux
formations jeu-
nes
-
et
allantes.
Terrain
du
Foyer
s
stade Morlat-
slen contre
P. L. M.
Brestols.
Pour
son
premier match
en
Divi-
sion d'honneur,
le
Stade Morlaisien
aura
en
face
de M une
formation
que
l'on dit
plus forte
qu
e
celle
de
la saison dernière. C'est
r
dire qu'elle
doit être redoutable pour
les
meil-
leurs.
Terrain
d u
Gardes
i E. s.
Kerbon-
naiso contre
A. S.
Brestoise.
Les asbelsté»
qui,
espérons-le,
se-
ront
au
complet, doivent obliger
lés
Kcrbonnals
A
sortir leur grand
jeu
pour vaincre.
x
T o
.
u
»
oe
»
matches
commenceront
A
18
heures.
-
(i)
MATCHES AMICAUX
A LAMB8ZELLEO
Stade
dt
Tréomou
i
Milice Saint-
Michel contre
C. N.
Brestols.
Trois rencontres sont
A
l'affiche
et laissent prévoir trois parties ser-
rées
et
intéressantes, surtout celle
qui mettra
aux
prises
les
équipés
premières
qui
Joueront
A 16
heures.
A QUIMPER.
Dimanche, basket
féminin
à 10
heures, place
du
Champ
de Bataille, U.S.K.
(2)
contre
la
Quim-
péroise
(2). A U
heures, équipes pre-
mières.
Masculin,
boulevard
de
Kerguelen,
13
h. 80.
équipes cadets;
A 14 h. 18,
équipe» secondes;
à 15
heures, équi-
pes
.
première».
..
Place
du
Champ
de
Bataille, Jeanne
d'Arc contre Quimpérois*;
A 15 h. 30,
équipes secondes;
A M h.
30,- équipes
premières..
;
A KERFEUNTEUN.
—
Gars
d"Ys de
Tréboul
(1 et 2)
contre U.6.K.
(1 et
2).
A 14
heures.
j
LES SERVICES LOCAUX DES OEUVRES DE LA MARINE
On sait
que
dans tous
les
ports m ili-
taires
et
dans
de
nom breuses villes
de
France,
le
Secrétariat
d'État
à la
M arine
a
créé
un
Service
local
dos
OE uvres
de la
M arine,
Les sorvlccs locaux
dés
OE uvres
de
la M arine
(S. L, o . M.j
sont
des
orga-
nism es sociaux destines
A
venir
en
aide
S tous
les
m arins, anciens m arins
et
à leUrs fam illes, ainsi qu'aux veuves
et orphelins
du
personnel
de la Ma-
rins,
qu'il s'agisse d'assistance sociale
A domicile,
d'assistance m édicale,
de
secours pécuniaires,
de
conseils dans
les affaires adm inistratives, Juridiques
ou
de
fam ille,
des
enfants (jardina
et
garderies-d'entants,
arbres
de
Noël,
colonies
de
.vacances),
e tc ..
Signalons particulièrem ent
loi
l'aide
apportée
aux
m arins dém obilisés pour
leur trouver
un
-emploi.
Que
tous
les
m arins
qui
cherchent
une
Situation
n'hésitent
pas à
écrire
au S. L. O. M.
du lieu
de
leur. résidence pour
lui de-
m ander conseil. M ais
ils ne
doivent
pas
négliger, pour
que
leur dem ande
ait
le m axim um
de
chances d'aboutir
à
leur
gré, de
bien préciser leur situ a-
tion
(âge,
grade
et
spécialité,
degré
d'instruction, état
de
santé, situation
de fam ille, e t c . ) . Aucun
des
rensei-
gnem ents
fournis
par les
intéressés
n'est inutile.
Les
8. L. O. M.
sont,
en
effet, avisés
des postes offerts
par les
adm inistra-
tions
et par les
entreprises privées
et
peuvent ainsi rendre
de
grands ser-
vices.
Ils se
chargent,
en
outre, dans
la plupart
det cas. de
soum ettre
la
candidature
des
Intéressés
a ces
postes.
Mais,
par
contre,
lorsqu'un
m arin
trouve,
un
em ploi,
il ne
doit
pas
m a n -
quer
d'en
aviser
le S. L. O. M. ou il
était inscrit- pour
que
celul-ol
le
raye
de
ses
listes.
Il existe
un S. L. O. M. A
Cherbourg
(pour
la
M anchet,
à
Brest (pour
les
côtcs-du-N ord
et le
Finistère
a
l'ex-
ception
des
quartiers
de
Giitlvlnec
et
de O oncarncaui,
h
Lorient
(pour
le
M orbihan
et les
quartiers
de
Gullvlnec
et
de
C oncarneau),
a
Rochcfort (pour
la Charente M aritime
1,
à
R ennes (pour
la Sarthe, l'IUe-et-Vilaine
et la
M ayen-
n e):
a
N antes (pour
le
M aine-et-Loire,
la Loire-Inférieure
et la
partie
de la
«ône Nord
de
l'Indre-et-Loire),
e t c ..
Rappelons
a nos
lecteurs qu'au Ser-
vice Local
des
OE uvres
de la
M arine
de Paris
(21, rue de
l'Arcade)
fonc-
tionne pour
la
zone Nord
un
service
de
renseignem ents
aux
fam illes
auquel
celles-ci peuvent s'adresser soit pour
rechercher
des
m arins dont elles sont
sans nouvelles, soit pour correspondre
avec
des
m arins retenus'hors
de
France,
soit pour régler
des
questions d'état
civil (actes
de
décès)
ou des
questions
m ilitaires
(certificats
de
disparition,
attribution
de la
m ention
c
Mort poqr
la France
»,
e t c . ) .
YVES
KERMADEC.
Renseignements maritimes
Mette t*fHMM
«n
mesure
M
«sonner
A
not iM ttu rt tout
Itt
rtnttlgntm anta
d'ordr» maritime dont
Ht
ptuvtnt avoir
kttclt)
•
«aida», indemnités diverses,
tentions
do la
martnt militaire
M I
marchande.
Adresser
l i
oorretpondanto
au
aar»
«les
des
renseignements maritime*
A
t l'OUEST-ECLAIR
», A
Ronne*
et
telndr*
«SOI
tronc» aaur
tr
al»
COURSES
A
MAISONS-LAPFITTE
PROKOSTICS
DU
SAMEDI
35
1"
c, :
Kartoum,
Salvator
; » c. !
Stormy
Weater,
Tranquil
;
3« c. :
Hté-
roclée. Cordon Rouge
; Bt
c. :
Hestôn,
Malborough
;
6s c. :
Dixt. Sirfer
i
7*
c.
:
Wanrfouer,
Fericy.
COURSES
O»
MANS
Dimanche
26
Septembre
Nos
préféré»
Prix
des
M inim es
: 2c. A.
Brcycr,
Feuille
de
Vigne.
Prix
dé
Marnera
:
Saflverte,
Sun-
Pompon.
Prix
des
Pom m iers
:
Roi des
Indes.
Risette
m
Prix
du
Lude
:
Abbas. Bella-Fita.
Prix
des
Chaum es
:
Mont-Dore,
Mo-
nopaline.
Prix
du
Pults-dé-4-RoUet
:
Représ.
Arnaud,
Pierrette
du
Balcon.
Le
M. ow P. «
ta
H u
ita
0
.M
U : E . H
H.
CYCLISME
DIMANCHE
• '
4» GRAND PRIX
DE
QUttlPERLt
La Pédale Sportive Qulmperlolsè
re-
nouvelle daps
le 4«
Grand Prix oyclute
de
la
ville
dé
Qulmperlé,
le
38•sep-
tembre,
la
belle épreuve cycliste
qui
obtient chaque année
le
plus grand*
succès,
Elle
se
disputera
sur le
clrouit
suivant
:
Qulmperlé
(départ place
Saint-Michel
A 13 n. 30),
Mellac,
Ban-
nalec, Salnt-Thurien, Querrlen. Qulm-
perlé
(2
fols
ce
circuit), Arzano,
Ré-
dénê,
Qulmperlé
(arrivée
haut
du
Poullou).
Elle
est
dotée
des
prix ol-après
:
1".
1.500 fr.
plus
100 fr, de
prime;
2»,
1.000 fr.
plus
500; 3". 800 fr.
plus
300;
4». 600 fr.
plus
200; M, 400 fr.
plus
100; 6», 300 fr.; 7». 250 fr.: 8*
200
fr.; o». 150 fr.; 10-, 100 fr.; IL
100
îr.',
1». 100 fr.
.
Pour s'engager, s'adresser
: F.
Huon.
8,
rue
Savary.
i
DIMANCHE,
A
LAILLE,
COURSES
SUR
PISTE
Dim anche.
A
Lalllé,
à 15 h., réu-
nlon
sur
plcte organisée
par le
Comité
des Fêtes, avec
fe
concours
du
Oyélo-
Club Rennais.
g
LES
COURSES
COURSES
AU
TREMBLAY
Résultats
du 24
septembre
PRIX ALOES (40.000
fr., 2.150 m„
8 part.).
— 1.
Blackberry
; 2.
CAairt-
pervet.
3.
Dârlng,
Gag.,
22 ; pi.,
13.
18, 18.
PRIX WI8KY (gentlem en, 50.000
fr.,
2.000
ni,.. 8
part.).
— 1.
Baadi,
2.
Mer-
cury
Boy,
3.
Carinosto.
GOR,,
14 ; pi., Il, 13, 14.
PRIX
LA
JAVE (50.000
fr„
1.400
m.,
11 part.).
— i.
Fair Kate,
2.
KHnty.
3.
Tango.
G ag., i>4
;
pi., 22, 14.
18.
PRÏXT1DGARD OILLOIS (200.000
fr.,
2.600
m., 0
p art.).
— 1.
Ecurie Bous-
sac gagnante
: 1.
Marsyas,
2.
Royal-
liunter,
3.
Sccr.
Gag.,
13 ; pi.,
11.
16, 17.
PRIX TARGETTE (hand., 6U.000
fr.,
2.000
m.. 13
part.).
- 1.
Fiordc.
2.
Fronde,
3.
Santa-Rita
II.
O ag.,
120 ; pl„ 48. 20, 178.
PRIX 8PE E (apprentis, 50.000
fr„
2.300
m.. 6
part.)
~ 1.
Soleil-Rot,
2.
La Mortciâre,
3. Afr
Chips.
G a*.,
20 ; pi., 14. 28 .
Jumelé,
75.
'
^RIX
VITUPÈRE (50.000
fr.,
MO
m.,
17 partants).
—
Oead heat pour
1A
deuxièm e plau
: 1.
Mikaella
;
2,
La
Favorite
:
3.
Dvina,
G t.
64
; pi.. 23. 23. 18.
0
PRONOSTICS
DU
DIMANCHE
26
C'est encore
une
ancienne épreuve
:
Prix Henri-Dclam are,
du
nom d'un
an-
cien anim ateur
de la
Société d'Encou-
ragem ent,
qui
aura
les
honneurs
de
la jo u r n é e Elle
est
dotée, cette année,
de 400000 francs
et
devrait
revenir
encore,
s'il se
présente,
a
Norseman.
0
O. dt V.
LES COURSES
DE
CAEN
DIMANCHE
36
gr.pTr.MaRi
No"
raoNoitics
..Prix
dt
Bénouviiie
:
Secteur
D, 8 a -
lah.
.
.rriT
de
Mondralnvlllè
:
Satinette,
sorcière.
„
..PHx
de
Formlgny
.'
Raquette
U,
Rosalie.
rri.r
des
Trols-Monts
:
PandttUB,
Rlras-tu
T
Pria Victor Hungtr
:
Ondée
du
Soir,
Radtlwlll,
r."-
_ ,';;
Prit
dp.
Tour ville
t
QQutrnero, QUI*
UUM
v i a
*
JLA
RADIO
-m
Problèm e
du 25
septem bre
HORIZONTALEMENT
1.
Eurêka, dit-il.
en
sortant
du
bain.
—
II.
Citoyen om érlcain, Avoir besoin.
III.
PEtmet toutes
les
absurdités. Deux
lettres
de
Besancon. Robuste.
— IV.
Qui prend hardim ent
le
bien d'autrut.
— .
Critique envieux. Souvent éclairée
par
une
rose.
— VI De
bonne fam ille.
Font partie d'ittie poulie.
—
VII.
R apt.
—
VIII.
Ne
reste
pas ici.
M inent.
—
IX .
Destructeurs
jadis
vénérés.
Du
verbe
avoir.
M am m ifère.
— X. Au
bout
du fil.
S a n s voilés. Phonétique-
mëtit
:
donne
de
l'air
— X.
N égation.
Trace
de
souci. Pied
de
vigne.
VERTICALEMENT
1.
Apporte
une
légère restriction
A
l'Idée
que
le
m ot
suivant exprim e. Ville
d'éau.
— 2.
Convenable.
— 3.
Près
de
m ille. Séjour
de»
vertueux. Troisièm e
personne.
- 4.
D ans certains
cas, on
l'avale. Elan.
— 6
R ésultat d'une
ré-
flxion. Sert
A
encourager.
—-
6.
Phoné-
tiquem ent
:
prénom féminin
ou
m as-
culin.
Assure
— 7. Fin de
verbe. Pho-
nétiquem ent
:
anim al carnassier noc-
turne. Tout» m ince.
— 8.
Dissem blable.
—
9.
H abillent Phonétiquem ent
:
suf-
fisant.
— 10.
Celle
de la
tranquillité
n'est
pas.
encore revenue. Marque
la
Jonction, sert
A
m esurer
la
terre
—
11.
Adresse. Perm et souvent
de
ram asser
A celui
qui le
Jette. Liquide
à
2.000
dégrés
S o l u t i o n
d u 18
S e p t e m b r e
HORIZONTALEMENT.
— I.
Zoospo-
rées.
• I l
O dieuses.
- III. SI. Se. Ni. •
IV Teinturier,
• V.
Verseras.
-
VI. Clé.
—
VII.
Homme. T eta.
-
VIII. Nuées
Ins.
—
IX
lèn a. Corse.
• X,
E st..G ênées.
VERTICALEMENT.
— 1.
Zootechnie.
-
3
Od.
Loués,
i
3;
O isivem ent.
- 4,
s e i-
ne.
Mea.
- 5. Pu
Tries.
- 6.
Os»us.
Ce.
•
7.
Récréation
- 8. Es. Ir.
Erre.
- 9,
N éantlse
- 10.
Soirs. Ases.
BOURSE
DE
PARIS
SÉANCE
DU 24
SEPTEMBRE
Tenue
du
m arché généralem ent plus
satisfaisante.
Les
réalisations
de ces
jours derniers
ont
déterm iné
un
assai-
nissem ent salutaire
et il
stemble
que la
cote, débarrassée
des
offres
qui
l'en-
com braient,
devienne
désorm ais
sen-
sible
aux
dém andes
qui-
ont
com m encé
A
se
m anifester.
Les
Banques, Char-
bonnage*
et
Produits Chimiques «ont
m ieux, tandis
qui les
com partim ents
Electrique
et
Ciments sont irréguliers.
Ferm eté
des
Rentes
Banque René LOYER,
PRINCIPALES E M IS S IO N !
OS
LA
JOURNÉE
DU DIMANCHE
28
8EPTEM BR I
RADIO-PARIS
10
h. :
Transm ission
de la
m esse
dom inicale.
«> U h. 10 :
C'était
une
fable.
• 11 li. 30 : Les
M aîtres
de la
M usique
:
M ozart.
4» 13 h. :
L'orches-
tre
de
Casino
de
Radio-Paris.
Dir.
:
Pierre Telller.
4> 15 h. 45 : «
Amour
tzigane
», de
Franz Lehar, avec
le
S
rand orchestre
de
Radio-Paris,
Dlr.
:
osef Holzer.
4> 19 h. :
Sport
et
m usi-
que.
O 19 h. 30 : La
France dans
le
m onde.
4» 19 h. 40 :
L'ensemble
Guy
Luypacrts.
4> 20 h. 20 : «
Bichon
»,
pièce
en
trois actes
de
Jean
de Le-
traz.
4> 22 h. 20 :
L'orchestre
du
Nor-
m andie.
RADIO
NATIONALE
10
h. 05 :
M esse célébrée
A la
B asi-
lique
de
Ltslcux.
4> 11 h. 05 :
Concert.
t l 3
h. 60 : t La
Flûte enchantée
».
17
h. 35 :
Reportages sportifs.
4»
18
h. : « Les
Trois M ousquetaires
».
4»
21 h. 45 :
Comédie.
PRINCIPALES
EMISSIONS
DE
LA
JOURNEE
OU LUNDI
27
SEPTEMBRE
RADIO-PARIS
12
h. 16 :
Paul
von
Béky
«t son or-
chestre.
4» 13 h. 20 :
L'orchestre
de
Paris.
Dlr. :
K ostla
de
Konstantinoff.
A
14 h. 15 : «
Phl-Phl
».
opérette
de
Christine.
4> 15 h. 15 : Les
grands
so-
listes.
4» 16 h. :
Raym ond Verney
et
son ensem ble tzigane.
4 16 h. 30 : Nos
chansonniers.
4» 17 h. 30 :
L'orchestre
de cham bre M aurice H ewltt.
4> 18
h.
16:
M aria Beronlta, soprano.
4> 18 h. 40 :
Alec Slniavine
et sa
musique douce.
4»
19
h. 30 ; Un
neutre vous parle.
4
20
h. 20 :
Jouons ensem ble avec l'or-
chestre R ichard Blarcau.
4 22 h. 15 :
L'orchestre
du
Théâtre N ational
de
l'Opéra.
Dlr.
:
Louis
Pourestler.
4»
23
h. 15 :
L'orchestre Jean Y atove.
Inform ations
: 7 h., 8 h., 9 h., 13 h„
14
h.,
15 h..
17 h., 20 h., 22 h., 24 h.
RADIO
NATIONALE
12
h. :
O rchestre.
4 12 h. 45 : Mu-
sique légère.
4 13 h.
45
:
Causerie
sur
le
soja.
4
16 h. 15 f
SoliBtos.
4
15
h. 30 : «
Néron
»,
com édie.
4 18 h. :
D es chansons.
4> 18 h. 40 : « Ici l'on
chante
». 4 1» h. 62 :
Concert
par
l'orchestre national.
4 23 h. 25 : So-
listes;
Inform ations
: 6 h. 30 7 h. 30,
8
h. 30, 12 h. 30. 18 h. 30. 17 h. 30,
19
h. 30. 21 U.
30,
22 h. 45, 23 h. 45.
AUDITEURS BRETONS,
ECOUTEZ
RENNES-BRETAGNE
LUNDI
27'
SEPTEMBRE.
— 19 h. :
t
Les
abeilles
A la
ferme
», par Lou-
veaux.
4 19 h. 08 :
Ar
choisit
hag ar
greun
(le
colza pour graine),
par
Ar C'houcr Kozh.
POUR
LKS
SEMAILLES
D'AUTOMNE
Les
circonstances
ont
obligé
beaucoup
de
fabricants
de
pro-
duits
Anti-carie
A
modifier
la
com position
de
leurs spécialités.
C'est ainsi
que la
Société
des
Produits Saint-Eloi,
en
atten d an t
de revenir
A
l'ancienne
form ule
qui, depuis
30 ans, a
établi
ea
solide réputation,
a dû,
provisoi-
rem ent, utiliser
un
com posé
de
Formai
(Trloxym ôtyléne),
d o n t
l'empldA
est
d'ailleurs
courant
dans
Ue
nom breux pays produc-
teurs
do blé
(Australie, Canada,
etc..)
L'expérience
p r o u v e
que le
T rloxym éthylèn)
se
dissout assez
len tem en t dans l'eau. C'est pour-
quoi,
en VUP
d'obtenir
le
m axi-
m u m
d'efficacité,
Il est
recom-
m andé
de
m élanger
la
Poudre
Saint-Eloi
A
l'eau
au
m oins
24 n.
avant l'emploi.
Il
faudra arroser
les grains
en les
brassant longue-
m ent pour assurer leur com plet
mouillant;.
Les
sacs
destinés
A
transporter
les
grains traités
de-
vront être, désinfectés
par
trem -
page dans
la
solution
do
Poudre
Saint-Eloi.
Le
fin Ira je
tue
ta
lame
A»
I A
lave san* feutrer
lA
PROVIDENCE^AlNAGES(
mm
Pour loulevtr tant tjffoH
* K
votre malade
Peur diminuer
sa»
souffrance*,
après avoir prit
l'avis
du
médecin,
louez
un
LIT-PUP0NT
10,
rua Hauttfeuillt, Pari» 0«n. 05-61
ESTOMAC
AIGREURS, GASTRITE*
P O U D R E S
DE
COCK
18.
rut de la
Perl».
Paris
Vi*oN'>06S.P.30IÊ[
«,«.
ftl'OhorW'ir'mnnn
F.tmmai
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2 9 Septembre, Nouvelle
Lune
.M AM ANS, d o n n é e
A v o s
e n f a n t s
la
Vermifuge SORIN
O U I D Ê Ï U U 1 Ï
LES
V E R S
D E P O T
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T O U T E S
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E n t e n d e * c e t a p p e l p e n d a n t qu'il
eat e n c o r e t e m p s .
V os
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a c tu e ls
:
a c id ité , c r a m p e s , b r û lu -
res,
gaz,
s o m n o le n c e , s o n t a u ta n t
d'Indices q u 'u n e m alad ie d ig e s t ly e
p eu t v o u s g u e tte r . F erm ez-lui
la
porte
en
p ren a n t a p r è s ch a q u e
r -p a s
u n e
p e tite d o s e
de
p o u d r e
tivi
q u e lq u e s
c o m p r i m e s
d e
M agn ésie liism n rce.
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b o u ca n *****)*» ),
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cju reu p r o v o q u a * !
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du
c o u r
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da
manau*.
i"«ir
Pour
r t i r o u v t r
la
r y th m a
k a r tfi a q u a n o r m a l , pu " f i e r
vfjfraj
•kanç
ai
ab flrasar
v o ir a
l a n i * » * ,
j M i a y a i
TlN lO tA N .
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B o i t
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al
n u i r a i
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« » d a i< « a t.
O iu ré n q u a »
«t
a n ll t p a i m o d l q u t i
Sowlocj t r r . * « l
r a # < d t .
AvtUM O )
in'onranca
n
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T o u ta t p h a r m a c i f l . l f i b * r a l o < r a «
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I t l
' T e n s i o n élevée^
Migraine», V apturt
e s s o u ffle m e n ts
M a u x
de
téta
V e r t i g e * , V a ric e s
H é m o r r o ïd e s
.
R e to u r d'Age
.
troubla»
de
la
"
>
»"
••
"
"^
cinquantaine
par
l'ail médicinal,
500
fol» plu» actif que
la
plante,
en
prenant
dt
1 F.x'AII,
A
bn.io
d'extrait inodore d'ail chlorophylle,
qui
assouplit
les
artères
et
purifie
le
sang,
tl
bien f|u't'ii général
la
tension baisse
na-
turellement.
Le»
malaise», varice*
ou
hém orroUcs, rapidement soulagés, finis-
sent
pur
disparaître. L'organisme rever-
dit. É x'A il, toutes pharm. Lab.
du B ac.
46.
r.
du
Uac. Asnléres. Visa n» 21 P.4792.
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dt
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. . .
h . ••
il
»,»• ni
i
n
M I I I I
«
m«
m
Le,
petite
bonne
fem m e,
le
soir venu,
n'a pas le
courage d'as-
sister
au
retour d'Aurlelle auprès
d'Olivier,
La
rivale
est
rentrée
assez
tard dans
la
soirée
; son
beau
vi-
sage porte
les
m arques
de
l'ennui
et tout
de
suite, elle
dit :
—
Mot qui me
faisais
une
telle
fête
de
passer
une
partie
de cet,
été
si
clém ent auprès
de
vous,
et
11 faut
que Je
vous quitte dans
trois Jours.
Une
am ie
—
c'est
son
mari
qui m'a
téléphoné
ce
m atin
et
c'est
elle
que Je
suis allée voir
aujourd'hui
— est
souffrante... plus
nerveuse
que
véritablem ent malade,
m ais dnns
un
état îébrlle
oui
don-
n e
de
l'inquiétude
a
son
entoura*
go.
Elle
va ae
trouver seule pendant
une sem aine; com m e
son
mari
est
très contrarié
de
devoir
la
quitter,
elle réclame
ma
présence Mais
Je
reviendrai... chère com tesse.
Je re-
viendrai:
à
m oins
aue
voua
ne
vouliez plus
de
votre Aurtelle.
—•
Com m e
si Je
pouvais
ne
plut
vouloir
de
vous, ensorceleuaa,
ré-1
pond
Mme do
Chflrny-splncourt
avec
une
Indulgence souriante.
V
OUMaate-nutt
heure*
da
aUaaco.
Stawi VQmowt
de ma {Bette
roman inéiiu
jai
Marie
da
IValLLf
Puis,
le
m atin suivant,
la
visite
de
Dlxmër
Le géant porto
un
costum e
de
bonne coupe, maie
ses
gants
pa-
raissent
le
gêner
et o n le
sont
mal
a l'aise dans
des
chaussures trop
étroites.
•
Olivier
le
reçoit dans
ea
cham -
bre
le
fait aiweolr dans
un
fau-
teuil profond
qui
prédispose
& la
béatitude,
lui
orfre
un
Henry
Clay
très pale
que
l'autre fait craquer
en connaisseur, m ais qu'il mat*a-
cre
d'un
coup
de
dent.
Le
Jeune
hom m e accom plit
ces
gestes d'hos-
pitalité avec
un
rien
d'Imperti-
nence Juaulant
la
hauteur
qui
voudrait
se
faire Jour chez
le
visiteur.
—
Voila,
dit
celui-ci.
J'ai
réflé-
chi
à
votre proposition
car
J'aime
Isa hom m es
qui ont du
cran Avec
vous
je
Joue tartes
sur
table. C'est
vrai,
je
fais
de la
contrebande
:
tantôt ceci, tantôt cela.
Mon
équi-
p a i t
et moi
aê
som m e*
pat da*
N» 17 o u 25
SEPTEMBRI
194a
forbans
;
m etton s
que
nous som -
m es sim plem ent
des
commerçant»
d'un genre... spécial.
—
C'est ainsi
que Je
l'entend*,
coupe Olivier
;
quoique
Je
n'aurais
aucun scrupule
de
m'associcr avec
des forbans.
Dlxmer avale
un peu
pénible-
m ent
sa
salive
et
poursuit
:
—
En ma
qualité d'agent
d'af-
faires,
je
m'occupe donc
de
tout
ce
qui est
commercial
;
cela
m'a
appris
A
Juger
les
hommes. Votre
démarche auprès
de mol m'a
m on-
tré votre esprit d'Initiative.
—
Au
fait.
,
Le géant
a un
m ouvem ent
des
mâchoires
en
avant.
On
sent qu'il
a plus envto
de
broyer Olivier
que
de continuer l'entretien.
Cepen-
dant
H
ajoute
:
—
Acheter
et
vendre sont deux
opérations dans lesquelles
je
suis
pftisé maître
;
Ramyl
a dû
vous
le
dire
—
Kamyl
m'a dit
aussi
que
vous m anquiez souvent
de
psy-
chologie
en
paasrmt
de la
pomma-
de
à
ceux
qui n'en ont
cure
et
en vous prenant pour
un
graad
h o m m e
—
V o u a u v m a u l t e z
I
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