Jeanne et le garcon formidable de Ducastel Olivier
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

Extrait

FICHE FILM
Jeanne et le garÁon formidable
www.abc-lefrance.com
D O C U M E N T
PassÈ la premiËre sÈquence du film, le spectateur dispose dÕune certitude dÕune interrogation (É). La certitude est quÕon vient dÕassister au dÈbut dÕ comÈdie musicale enjouÈe et coquine, ce qui, dans le paysage du cinÈma contemporain, nÕest pas banal. LÕinter gation porte sur la capacitÈ du film ‡ tenir semblable pari. La deuxiËme sÈquence est elle aussi chantÈe, par Jacques BonnafÈ ‡ Virginie Ledoyen ; il lui parle de l'amour, et du sida. L‡ on se dit que ces Ducastel et Martineau,(É) poussent un peu loin le bouchon. Et en mÍme temps on ne peut pas ne pas Ítre saisi par lÕÈmotion prÈcise et simple q Èmane de la scËne, gr‚ce ‡ la justesse des mots employÈs, ‡ lÕattention ave laquelle les cadres et les distances sont choisies, les gestes mesurÈs - ou dÈme-surÈs -, les couleurs, les dÈcors, les ÈlÈ-ments de costumes assemblÈs. Pour tenir,vaille que vaille, cette gageure dÕune comÈdie musicale ´ sur ª (comm on dit) le sida. Mais d'abord, et enfin, une splendide histoire dÕamour. Une histoire qui se construit en allant du simple au compliquÈ, du petit au grand, en commenÁant par les dÈtails, pour toucher ‡ lÕamour, la mort, les garÁon et les filles (É) en douceur, sans pathos ni prÍche. (É) LÕimportant, il est dans la confiance culottÈe que Ducastel et Martineau font au cinÈma, dans lÕaud ce de tenter les aventures dÕimages de rÈcit les plus improbables. Ils ne les rÈussissent pas toutes. Et alors ? (É) Les conventions de la comÈdie musicale passent remarquablement l‡ o˘ elles devraient paraÓtre plus artificielles : dans les scËnes intimistes. Gr‚ce ‡ une rÈalisation fluide et proche, qui accom-pagne le mouvement des corps, joue en souriant sur la distance aux mots, volon-tiers lestes, et met en place les voiles de la pudeur envers ce qui est difficile ‡ regarder et ‡ entendre : pas les corps, ni les paroles du dÈsir, mais la douleur et la maladie, IÕimpuissance et la rag contre lÕimpuissance. Le film nÕa pas force noire deEncore/Once Mo
tournÈ par Paul Vecchiali, sa mise e scËne nÕen est pas moins affirmation d choix, politiques et artistiques.Jeann et le GarÁon formidablene march pas ‡ la nostalgiedu musical comm Tout le monde dit ´I Love youª, d Woody Allen ni nÕen pervertit les cod commeOn connaÓt la chanson dÕAlain Resnais.(É) Le murmure seul convient pour fredonner cette vÈritÈ (É) : Áa vaut le coup de vivre. Jean-Michel Frodo Le Monde - Jeudi 23 Avril 1998.
Bien s˚r, en voyant cette comÈdie musi cale franÁaise, on ne pourra sÕempÍch de penser ‡ Jacques Demy(É). Et incontestablement, Olivier Ducastel e Jacques Martineau revendiquent cett filiation dËs le dÈbut du film, qui sÕouvr sur la porte tournante dÕune agence d voyages, promettant des va-et-vient e des chassÈs-croisÈs que le rÈalisateu desDemoiselles de Rochefortmet tait en scËne avec une virtuositÈ exem plaire. Il y a dÕautres parentÈs avec lÕu vers de Demy, ‡ commencer par cell bien en chair et en os, que crÈe la prÈ sence de Mathieu Demy (fils du cinÈas te) dans le rÙle dÕOlivier, le personnag masculin principal. Et lÕon retrouve le mÍmes thËmes chers au cinÈaste nan tais, notamment la quÍte du partenair idÈal, que Jeanne mËne dËs sa premiËr chanson, mÍme si cÕest dÕune mani trËs diffÈrente des romantiques jumelle de Rochefort : Jeanne a beaucou dÕamants et un appÈtit sexuel insatiabl et revendiquÈ. Cela nÕa rien dÕÈtonna plus de trente ans et une rÈvolutio sexuelle ont passÈ. CÕest l‡ la grand force deJeanne et le garÁon formi dable: sÕinscrire dans son Èpoque prouver combien la comÈdie musical est aujourdÕhui capable (É) desaisir quelque chose de lÕair du temps. O peut dire sans hÈsiter quÕOlivi Ducastel et Jacques Martineau ont s
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Èpoque et le genre pourtant quelque peu tombÈ en dÈsuÈtude. Chez eux, la comÈ-die musicale prend ‡ bras-le-corps notre monde et devient un matÈriau unique pour exprimer ses espoirs, ses tragÈ-dies, ses rÍves et ses dÈsillusions, observÈs sous deux angles essentiels : le sida et le rapport ‡ la citÈ. Savoir vivre avec la maladie du siËcle, trouver sa place et ses mots dans une sociÈtÈ en mal dÕintÈgration et dÕenga-gement, autant de questions qui sÕexpri-ment avant tout par le corps et la parole, qui ne sont jamais tant liÈs que dans la chanson et la danse. Dans lÕacte de chanter, le corps sÕinvestit plus Ènergi-quement que dans lÕacte de parler : le langage sÕapproprie le corps. Dans le cas de la danse, cÕest le corps qui sÕapproprie le langage, qui devient lan-gage. CÕest en se rappelant ces Èvi-dences que lÕon mesure la force du pro-jet cinÈmatographique deJeanne et le garÁon formidable, qui donne au per-sonnage principal dÕune comÈdie musi-cale un corps atteint du sida qui finit par se taire et tomber en poussiËre. (É) CÕest de cette utilisation paradoxale du genre que jaillit en grande partie la force dÕÈmotion et dÕexpressivitÈ de Jeanne..., qui forge dans le matÈriau mÍme de la comÈdie musicale les malaises dÕune gÈnÈration. Dans les films de Demy, on jouait sur les mots avec une grande libertÈ dÕesprit et dÈsinvolture, nÕhÈsitant pas ‡ flirter avec une certaine facilitÈ dÈconcertante. DansJeanne et le garÁon formidable, on cherche des mots qui Èchappent et ne sont plus joyeusement et ludiquement interchangeables (É). Standardiste, Jeanne utilise des mots impersonnels, et FranÁois, aprËs avoir chantÈ la tragÈdie de son ami mort du sida, a peur dÕavoir ´glacÈ la conversa-tionª. On a beau Ítre dans une comÈdie musicale, il nÕest guËre facile ici de badiner avec les mots. Jeanne est une fille pressÈe, dans le mouvement insou-ciant des aventures amoureuses lÈgËres
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libÈrÈe, elle est en quelque sorte le per sonnage modËle dÕune comÈdie music le des annÈes 90. Mais le film nÕaura d cesse de mettre ‡ lÕÈpreuve ce joli bri de vie, transformant sa ronde de amours en course contre la mort. DÕemblÈe, ce feu follet est placÈ e situation duelle, son travail de standar diste la condamnant ‡ lÕimmobilism Mais ce sont des coups dÕarrÍt plus tr giques qui vont bousculer sa vie. RefoulÈe ‡ lÕentrÈe dÕune salle de ci ma qui affiche complet,elle se voit chan ter la tragÈdie du sida par FranÁois, lor d'une promenade au fil de lÕeau o Jeanne ne danse ni ne chante : ell Ècoute. DÕautres obstacles enraiero son parcours: la manifestation dÕAct-U qui la fait arriver en retard ‡ son rendez vous avec Olivier, et lÕannonce de l maladie de celui-ci lors dÕune ´Java d sÈropoª, qui sera leur unique dans ensemble. Par la suite, leurs lieux d rencontre ne seront guËre propices ‡ l danse : le lit du petit dÈjeuner domini cal, puis, plus tragiquement,celui dÕun l dÕhÙpital.Jeanne et le garÁon formi-dableest une bien curieuse comÈdi musicale, o˘ la danse rÈvËle une forc mÈlancolique lors dÕun ´ Tango d malaise ª, au cours duquel Jeanne, s rendant compte que ce nÕest ´pas s place de danser avec des bourgeoisª dÈcide de quitter son petit ami Jean Baptiste, promis ‡ une brillante carriËr de commercial. Cette scËne est dÕauta plus symptomatique que la chanson d Jeanne est un monologue intÈrieur. RepoussÈe dans ses retranchements, l comÈdie musicale est utilisÈe de maniË re inhabituelle : le chant nÕest pas u mouvement dÕextÈriorisation de ses se timents, une ouverture ‡ lÕAutre. DÕori ne modeste, Jeanne trouvera son ´gar Áon formidableª dans la mÍme couch sociale que la sienne. Cette fractur sociale sÕexprime par ailleurs dans l rapport ‡ lÕengagement, le parti pris l plus marquant de Ducastel et Martinea Ètant de ne pas avoir fait des scËnes manifestations - pourtant potentiel
ment les plus Iyriques et les plus chorÈ-graphiques - des scËnes chantÈes e dansÈes. CÕest que lÕarticulation du collectif et lÕindividuel se rÈvËle problÈmatique, le dÈbut du film est ‡ cet Ègard trom peur. On aperÁoit trËs nettement des sil houettes passant ‡ lÕarriËre-plan, derri re les vitres de lÕagence de voyage dans laquelle travaille Jeanne. Surtout, la premiËre scËne chantÈe est un scËne de groupe, celle des ´EmployÈs de mÈnageª, chargÈe dÕun message d contestation sociale. Toutes ces pro-messes dÕinscription dans une comm nautÈ ne seront pas tenues. Et pou cause: le lien au collectif est quelqu peu perdu. Jeanne ne fait que passe dans le ballet des employÈs de mÈnag et ne se rend pas ‡ la manifestatio dÕAct-Up, contrairement ‡ ce quÕel avait promis ‡ FranÁois. Ses intÈrÍt amoureux prennent le dessus et Jeann ne fera appel ‡ lÕassociation que po rÈsoudre ses problËmes intimes. SuggÈrant dÕorganiser une manifest tion pour retrouver Olivier, elle met clai-rement lÕaction collective au service d sa personne. Le film nÕest pas pour autant une apol gie de lÕindividualisme et du repli s soi, comme le rÈvËle la musique. Alor que lÕon trouvait chez Demy des vari tions sur un mÍme thËme, la musique d Jeanne et le garÁon formidable composÈe par Philippe Miller, est un mosaÔque de chansons aux inspiration esthÈtiques et culturelles diverses (É). Cette musique est ‡ lÕimage de Jeann jeune femme qui puise partout o˘ ell peut lÕÈnergie de se construire et d trouver la force dÕaller de lÕavant, fais fi de ce qui pourrait lÕarrÍter dans so Èlan : la maladie dÕOlivier, le bouquet d fleurs dÕun garÁon dont elle nÕest p amoureuse, un vieux grognon qui lui reproche de lÕavoir bousculÈ en pÈn trant trop brusquement dans la rame d mÈtro o˘ elle va apprendre la mor
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Amour en la faisant atterrir sur les genoux dÕOlivier... CÕest que lÕhistoire de Jeanne est aussi celle de lÕacceptation de lÕambivalence de lÕexistence, qui, dÕun mÍme mouvement, lui fait dÈcou-vrir lÕamour et sa perte. Incontestablement, Ducastel et Martineau ne sont pas dans lÕombre de Demy: ils se sont Èpanouis ‡ sa lumiËre, y trouvant une vitalitÈ propre qui leur permet de rÈaliser une comÈdie musica-le passionnante parce quÕelle fait entrer en rÈsonance notre Èpoque, fantaisiste et lÈgËre avec ses pas discrËtement dansÈs et ses saynËtes volÈes au temps, fonciËrement Èmouvante parce que tra-vaillÈe par une profonde mÈlancolie qui traverse tout le film et finit par faire trÈ-bucher Jeanne dans une allÈe du cime-tiËre. Mais dÈj‡ sÕamorce un sourire sur son visage. A lÕheure quÕil est, nul doute que Jeanne est repartie dans le tour-billon de la vie, forte de cette rencontre amoureuse qui Ètait un premier pas -de danse- vers lÕAutre. Claire VassÈ Positif n∞447 - mai 1998
(É) CÕest quand il ose se coltiner aux limites de la biensÈance et du bon go˚t que le film se montre le plus fidËle ‡ Demy, mais aussi le plus convaincant, et non quand il reste frileux et refuse les conventions du mÈlodrame ou du drame. (É) Evidemment, cela ne va pas sans danger (É). Car ‡ vouloir trop (bien) rendre hommage, en accumulant les clins dÕoeil, on finit par parodier. (É) CÕest l‡ le plus gros dÈfaut du film : il est difficile de sÕy laisser aller ‡ pleurer parce quÕil est trop rÈfÈrentiel. (É) Si politiser la comÈdie musicale est une bonne chose (Demy ne sÕen privait pas), lÕillusion ne doit pas en p‚tir. (É) Jean-Baptiste Morain Les Inrockuptibles n∞148
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(É) Si le film rÈussit parfaitement ‡ nouer lÕÈmotion dans lÕespace intime lyrique des duos de la passion, il dÈfaill souvent ‡ occuper harmonieusement le espaces plus larges, ‡ chorÈgraphier le scËnes de comÈdie. Il faut dÈpasser l premier quart dÕheure, un peu clip (aus pour se dÈtacher de ses rÈfÈrences), e arriver ‡ la scËne-Seine o˘ Jeann reÁoit la confidence-complainte d FranÁois (É) militant d'Act-up, sur le deuil difficile de son amour mort d sida. Alors on tombe (É) sous le char-me empoisonnÈ du film. Camille Taboula Cahiers du cinÈma n∞523 - avril 199
Propos des rÈalisateurs
Jacques : nous avons voulu faire un fil ‡ la fois triste et joyeux sur le plaisir d vivre, un film qui chante la beautÈ de l vie et lÕhorreur du sida, un film qui mu mure avec insistance : Áa vaut la pein de vivre, alors faites attention ‡ vousÉ (É) ce qui est s˚r, cÕest que lÕidÈe d dÈpart Ètait de faire une comÈdie musi cale et que la seule histoire quÕ mÕimportait de raconter Ètait celle-c jÕai mÈlangÈ les deux et je nÕai jam eu aucun problËme avec Áa. Olivier : Je suis comme vous vous e doutez un fan, un fou des films d Jacques Demy et, si jÕapprÈcie le comÈdies musicales amÈricaines, elle mÕennuient parfois un peu, peut-Ítr parce quÕelles ne sont le plus souve que des divertissements. On peut chan ter des choses tragiques ‡ lÕOpÈra pou quoi pas dans une comÈdie musicale ? Jacques : (É) Jeanne nÕest pas un marginale, elle est juste une jeune fill dÕun milieu populaire comme le plu grand nombre dÕentre nous dÕailleu (É) Olivier : (É) La premiËre vraie rencont
amoureuse de sa vie avec Olivier v lÕouvrir ‡ une autre dimension de la vi au don, ‡ la perte, et en ce sens son par cours est celui dÕuen initiation. (É) Jacques : (É) Militer ‡ ActUp est Èvi-demment une excellente faÁon dÕabo der la question du sida, mais cela n rÈsout pas tout. Je nÕavais pas envie d faire un film sur le militantisme : il y de trËs beaux documentaires l‡-dessus (É) Je voulais raconter de la faÁon la plus crue possible ce qui nous est arriv ‡ nous, ‡ notre gÈnÈration, (É) Olivier : (É) je trouve important que le personnage de Jeanne ne souffr dÕaucun prÈjugÈ. Quand Olivier l annonce quÕil est sÈropo, elle lui rÈpon ´cÕest pas grave, on a mis des prÈserv tifsª. Ca peut sembler dÕune lÈgËret effroyable mais cÕest charmant et su tout aimant, au fond le sida, Áa ne chan ge rien et Áa change tout. (É) Jacques : (É) JÕai Ècrit ´Jeanne et l garÁon formidableª tout seul, trË vite, dans un quasi Ètat dÕurgence (É alors que je militais ‡ ActUp depuis plu sieurs annÈes. (É) Nous avons choisi tous les acteurs du film sur leur capacitÈ ‡ chanter, sau pour Virginie (É) Virginie nÕest pa chanteuse et le rÙle de Jeanne compor te 9 chansons dans des styles trËs diffÈ rents (É) Nous avons prÈfÈrÈ faire appel ‡ une chanteuse professionnelle Elise Caron. (É) (É) [formidable], jÕaime beaucoup c mot (É) Ètymologiquement, formidable veut dire ´ce qui fait peurª. Les ren contres les plus fortes ont lieu avec de gens formidables qui nous subjuguent e donc font peur car ils ont quelque chose. Olivier : Quand on a cherchÈ un titre, j dÈsirais vraiment pour une question d sonoritÈ que ce mot soit dans le titre. Il y a plusieurs couleurs dans le film et j trouvais que cÕÈtait beau dÕannonc cette couleur l‡, celle de formidable ! une Èpoque Áa a failli sÕappeler ´Olivi a le sidaª ! CÕest bizarre mais Áa faisa un peu peur aux financiers !
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Les rÈalisateurs
Jacques Martineau NÈ le 8 juillet 1963. Titulaire de lÕagrÈ-gation de lettres modernes. A reÁu une formation musicale de chanteur lyrique. Jeanne et le garÁon formidableest son premier scÈnario. Depuis il a partici-pÈ comme dialoguiste ‡ lÕÈcriture du scÈnario du deuxiËme long mÈtrage de Jean-Paul SalomÈ,Restons groupÈs.
Olivier Ducastel NÈ le 23 fÈvrier 1962. Ancien ÈlËve de lÕIDHEC, diplÙmÈ dÕÈtudes et de recherches cinÈmatographiques ‡ lÕuni-versitÈ de Paris III. A suivi une carriËre de monteur : assistant de Sabine Mamou surTrois places pour le 26de Jacques Demy, monteur de documen-taires dontlÕHomme libredÕAnette Dutertre etdeNous les enfants du XXËme siËcle, de Vitali Kanevski. Il a ÈtÈ monteur son. Dossier distributeur
Filmographie
Le go˚t de plaire
Documents disponibles au France
Gazette Utopia-n∞181-du 22 avril au 19 mai 1998 Positif-n∞447-mai 1998 Cahiers du cinÈma-n∞523-avril 1998 Aden- n∞30 22 au 28 avril 1998 Le Monde jeudi 23 avril 1998 TÈlÈrama-n∞2519-22 avril 1998 Les Inrockuptibles n∞148- du 22 au 28 avril 1998 LibÈration-mercredi 22 avril 1998
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