L auberge espagnole de Cédric Klapisch
4 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
4 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Fiche technique du film " L'auberge espagnole "
Produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

Informations

Publié par
Nombre de lectures 143
Langue Français

Extrait

LÕauberge espagnole
de CÈdric Klapisch FICHE FILM Fiche technique
France - 2002 - 2h
RÈalisation & scÈnario : CÈdric Klapisch
Image : Dominique Colin
Montage : Francine Sandberg
Musique : LoÔc Dury
InterprËtes : Romain Duris (Xavier) Judith GodrËche (Anne-Sophie) Audrey Tautou (Martine) CÈcile de France (Isabelle) Kelly Reilly (Wendy) Kevin Bishop (William)
RÈsumÈ Critique Xavier est un jeune FranÁais de 25 ans quiDepuis son premier long mÈtrage (Riens Ètudie lÕÈconomie. Un ami de son pËre luidu tout, 1991), CÈdric Klapisch zigzague propose un travail, mais il faut pour celaentre les genres, les styles, les envies, et quÕil apprenne lÕespagnol. Il dÈcide doncrebondit au hasard de l'inspiration, enchaÓ-dÕaller passer sa derniËre annÈe dÕÈtudes ‡nant des films (celui-ci est le sixiËme) aty-Barcelone, en profitant du programmepiques, disparates et inÈgaux. Difficile de dÕÈchange universitaire europÈen. ArrivÈ ‡"raccorder" la savoureuse chronique sur les Barcelone, il sÕinstalle dans un grand"petites gens" deChacun cherche son appartement avec sept Ètudiants origi-chat(1995) avec la fresque de SF boursou-naires de diffÈrents pays dÕEurope, et tousflÈe (Peut-Ítre) o˘ le cinÈaste s'ensablait venus dans le mÍme cadre que lui. Pendantcinq ans plus tard. Sachant que son plus cette annÈe, Xavier vit une sÈrie dÕexpÈ-grand succËs ‡ ce jour (Un air de famille, riences qui sont comme un parcours initia-1996) est l'adaptation d'une piËce irrÈsis-tique pour lui. Dans lÕappartement, les huittible de Bacri-Jaoui, il reste toujours aussi jeunes apprennent ‡ se connaÓtre et ‡hasardeux de vouloir cerner l'auteur sÕapprÈcier, partageant tous la sensationKlapisch. Son nouveau film ne lËvera pas dÕÍtre des Ètrangers.Étoutes les interrogations, loin de l‡. Rien de trËs extraordinaire n'arrive au hÈros, lui-mÍme trËs ordinaire, de L'Auberge espagnole. Xavier, 25 ans (É), a dÈcidÈ de faire sa derniËre annÈe d'Ètudes ‡ l'Ètranger. Dans le cadre des Èchanges intereuropÈens du programme Erasmus, il part pour Barcelone. (É) On frÙle d'abord la vision simpliste. Le
L EF R A N C E www.abc-lefrance.com
1
D O C U M E N T S
groupe est un Èchantillon trop parfait pour Ítre vraisemblable : sept nationali-tÈs diffÈrentes, un strict Èquilibre gar-Áons et filles, sans oublier la moderne touche gay, apportÈe par une lesbienne trËs sÈduisante (la plus qu'excellente CÈcile de France). Mais Klapisch est habile ‡ esquiver les clichÈs, mÍme s'il est assez roublard pour confier ‡ un jeune Anglais de passage dans le rÈcit le soin de dÈcliner d'un coup tous les lieux communs attendus sur la spÈcifici-tÈ nationale de chaque colocataireÉ D'Èvidence, les complexitÈs de l'identitÈ europÈenne intÈressent autant le cinÈaste que les petites histoires perso de ses protagonistes. Il s'attache ‡ explorer le caractËre de chacun comme il dÈvoile la ville de Barcelone : avec une apparente dÈsinvolture, mais par touches impressionnistes, lÈgËres et prÈcises, il fait mouche. Il faut accepter de passer par une intrigue secondaire piËtrement inspirÈe - la liaison de Xavier avec une jeune FranÁaise mariÈe, coin-cÈe et dÈlaissÈe par son butor de mari -pour apprÈcier pleinement cette balade buissonniËre. Dans cetteAuberge espagnole, on trouve de tout, mais rien de mieux que ces scËnes de pure comÈ-die o˘ Klapisch sait pousser une situa-tion ou une idÈe dans ses ultimes retranchements. Un sommet, dans le genre : le cours de rattrapage sur le plai-sir fÈminin, donnÈ au hÈros ÈberluÈ par la copine lesbienne... En fait, c'est "la vie en vrac", comme il dit, qui passionne Klapisch. Ces moments o˘ il ne se passe presque rien mais o˘ on dit presque tout, pourvu qu'on y applique un regard curieux et donc pertinent. Ainsi, l'espËce de dilet-tantisme narratif cher au cinÈaste finit par dÈgager un charme inattendu : celui que crÈe une distance amusÈe avec son sujet. Un cinÈaste sans dogme ni loi qui refuse de se prendre au sÈrieux : cela continue de faire dÈsordre dans le pay-sage du cinÈma franÁais. Tant mieux. Jean-Claude Loiseau TÈlÈrama n∞ 2736 - 22 juin 2002
On apprend beaucoup de choses dans L'Auberge espagnole. Parmi les leÁons dispensÈes par CÈdric Klapisch, on pourra retenir : les voyages forment la jeunesse ; notre monde est, si l'on en croit Xavier, l'Ètudiant interprÈtÈ par Romain Duris, de plus en plus compli-quÈ ; la vie ‡ la campagne est en revanche plus simple ; et, le plus impor-tant, il faut toujours aller au bout de ses rÍves. C'est ‡ cette t‚che noble, longue et difficile que s'attelle Xavier. Une voix off explique qu'il est sur le point de vivre une aventure exaltante, qui va l'extraire d'une voie toute tracÈe de cadre au ministËre des finances pour le mener ‡ une plus hypothÈtique vie d'Ècrivain. Bien que ce rÈcit d'Èducation sur la mÈtamorphose d'un fonctionnaire en artiste accumule les clichÈs sur l'art comme seule alternative ‡ la tristesse de notre condition, rien ne prÈpare ‡ ce qu'il offre par la suite. (É) CÈdric Klapisch filme une version de "Loft Story" sponsorisÈe par l'Union europÈenne o˘ il est expliquÈ que l'Europe ne pourra se construire qu'en b‚tissant cette grande communautÈ d'hommes et de femmes prÍts ‡ cohabi-ter. Cet appartement sale, mal rangÈ et enfumÈ devient le laboratoire de l'Europe. Les signes de cette union indÈfectible se retrouvent dans les petits gestes quoti-diens qui forgent la solidaritÈ. Nos loca-taires du loft fument des joints, font bar-rage de leur corps devant un propriÈtaire pointilleux et vÈnal prÍt ‡ les expulser, s'organisent pour Èviter qu'une des leurs ne soit surprise par son petit ami en compagnie de son amant et offrent leur chambre au premier invitÈ de passage. (É) Samuel Blumenfield
Le Monde - 19 juin 2002
L'avis de la presse
Le Point- OlivierDe Bruyn AvecL'auberge espagnole, CÈdric Klapisch retrouve toutes les qualitÈs qui faisaient le prix duPÈril jeuneet de Chacun cherche son chat: mÈlanco-lie dopÈe ‡ l'humour ravageur, capacitÈ ‡ en dire long sur le dÈterminisme social sans jamais s'appesantir dans le dis-cours Èdifiant, talent pour dÈpeindre les groupes aux prises avec les contradic-tions communautaires.
Le Parisien- PierreVavasseur Vive, rÈjouissante, naturelle, lÈgËre, bien vue, jamais caricaturale, cette Auberge Espagnolese nourrit au pas-sage du dynamisme et de la beautÈ de Barcelone.
Studio - ThierryChËze L'auberge espagnoleest le film le plus abouti de son rÈalisateur. A voir et ‡ revoir sans modÈration.
Synopsis - SylvieJacquy MalgrÈ parfois des petits signes d'es-soufflement et quelques facilitÈs naÔves dues notamment ‡ la fragilitÈ de l'idÈe de dÈpart, il souffle sur cetteAuberge espagnoleun esprit boy-scout et une bonne humeur contagieuse qu'il serait dommage de bouder.
TÈlÈ Obs CinÈma- OlivierBonnard (...) CÈdric Klapisch revient ‡ un cinÈma plus intimiste et signe une euro-comÈdie joyeusement colorÈe, sensible et tou-chante.
Zurban - ClaireVassÈ Romain Duris, qui a enfin abandonnÈ son look de branchÈ parisien, est parfait en jeune garÁon prÍt ‡ dÈcouvrir la vie et Judith GodrËche joue ‡ merveille son rÙle de bourgeoise coincÈe dont l'hystÈ-rie contenue ne demande qu'‡ faire des Ètincelles.
L EF R A N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 2 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
D O C U M E N T S
Le Figaro- DominiqueBorde Pour une fois, tout y est. Il suffit de se laisser aller et de prendre. Sans cher-cher trËs loin, on peut y trouver de la tolÈrance, de la gÈnÈrositÈ et de la fan-taisie.
Figaroscope - EmmanuËleFrois A travers ce film joyeux et tendre, rempli d'acteurs sympathiques et au diapason, CÈdric Klapisch, europtimiste, nous montre que l'Europe, oui, c'est possible. La preuve par sept.
Aden - PhilippePiazzo ConsÈquence : plus on se laisse porter par la lÈgËretÈ de cette comÈdie tonique, plus fort apparaÓt son thËme.
Monsieur CinÈma- MarcKressman Alors bien s˚r, on pourra chipoter, regretter des passages surrÈalistes vains, et une conclusion un brin naÔve. Mais ne g‚chons pas notre plaisir : L'auberge espagnoleest une excel-lente comÈdie de jeunes qui ne les prend ni pour des idiots ni pour des obsÈdÈs sexuels. C'est pas si souvent !
Chronic'art - GrÈgoireBÈnabent L'Auberge espagnoleest une rÈussite improbable, qui tout en faisant Ètal de ses trouvailles, tient secret son fonction-nement.
Les Cahiers Du CinÈma Vincent Malausa Voil‡ peut-Ítre ce qui rend ce film si sympathique : l'horreur de ce go˚t pour l'ordre et le rangement sur lequel repo-sait tout le film de Jeunet. On filme ici ‡ l'identique une scËne de cuite collective comme plus loin une sÈquence d'amour ou un dÈpart chargÈ d'Èmotion.
CinÈ Live- EmmanuelCirodde CÈdric Klapisch renouvelle la magie de ses films prÈcÈdents, o˘ l'ordinaire rejoint l'extraordinaire dans ce moment idÈal de la jeunesse qui n'a pas encore foutu le camp. Au fond, on aurait tous
rÍvÈ de frÈquenter un jour cette auberge espagnole !
PremiËre - NicolasSchaller (...) le petit film sympa d'un cinÈaste douÈ pour capter les ambiances d'un lieu et pour saisir tous ces petits riens qui font le grand tout.
Positif - M.D. Avec sa mise en scËne trËs classique contrebalancÈe par les expÈriences d'Ècrans divisÈs en plusieurs images et l'utilisation d'une voix off ‡ la premiËre personne,L'Auberge espagnole constitue un objet hybride. www.allocine.fr
Entretien avec le rÈalisateur
Le film respire le ´vÈcuª. QuÕen est-il rÈellement et comment lÕavez-vous Ècrit ? Il y a deux inspirations pour le film. DÕune part, je suis allÈ voir ma sÏur qui a fait ´Erasmusª il y a une dizaine dÕannÈes. Elle Ètait ‡ Barcelone o˘ elle partageait un appartement avec 5 per-sonnes. Suite ‡ un sÈjour dÕune semaine l‡-bas, je me suis dit que ce serait vrai-ment un sujet de film super drÙle, donc jÕai repris cette vieille idÈe et je lÕai nourrie du fait que, moi aussi, je suis parti deux ans ‡ New York. JÕy ai vÈcu le fait dÕÍtre un Ètranger aux Etats-Unis. JÕai habitÈ en colocation et jÕai vÈcu un certain nombre de choses qui, dans le film, sont totalement autobiographiques. Par exemple, lÕhistoire avec la lesbienne est une histoire vraie, celle avec le per-sonnage de Anne-Sophie aussi, mÍme si elle est dÈveloppÈe un peu diffÈrem-ment dans le film. Cette maniËre de pra-tiquer s'applique ‡ mon travail en rËgle gÈnÈrale. DansChacun cherche son chatouLe pÈril jeune, par exemple, il y a beaucoup de choses que jÕavais vÈcues et que je transforme. La fiction fait que lorsquÕon fabrique une histoire, on puise dans le rÈservoir des souvenirs.
Dans le contexte actuel, le propos de L'auberge espagnoleprend une rÈelle rÈsonance politique avec notamment la scËne emblÈmatique o˘ Anne Sophie trouve que Barcelone fait ´assez tiers-mondeª. Vous en aviez conscience lorsque vous avez tournÈ le film ? CÕest marrant parce que le film sÕest beaucoup construit de maniËre incons-ciente et je nÕavais pas remarquÈ quÕeffectivement cette scËne est com-plËtement emblÈmatique du film, sur le fait quÕon ne voit pas ‡ quel point le tiers-monde est partout. Il y a des gens qui nÕaiment pas le mÈtissage et qui ont envie de propretÈ dans tous les sens du terme. Le film fait lÕapologie du mÈtissa-ge, du mÈlange et de ce qui est ´saleª.
L EF R A N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.713 Fax : 04.77.32.07.09
D O C U M E N T S
Je suis assez dÕaccord sur le fait queelle avait ÈtÈ trop rapide parce que lede faire ce film, sans devenir dingue, cÕest un film qui parle beaucoup de poli-tournage nÕa durÈ quÕun mois. EnsuitecÕÈtait de le faire avec du plaisir. Et cÕest tique mÍme sÕil nÕen a pas lÕair. Jeles choses se sont prolongÈes assezce sentiment qui a dominÈ le tournage. pense que cÕest une faÁon de faire rÈflÈ-longtemps puisque le film est finale-On a beaucoup rigolÈ. DÈs quÕon ne se chir tout en Ètant dans la fiction, mÍmement sorti au cinÈma. AprËs, on sÕestcomprenait pas, dÈs quÕil y avait un pro-si je ne lÕavais pas prÈvu comme Áarevu et cÕest surChacun cherche sonblËme, un conflit, on en riait. Tout le puisque jÕai fait le film il y a un an. Je nechatquÕil sÕest passÈ des choses un peumonde Ètait dans cet Ètat parce quÕil y pouvais prÈvoir ni le rÈsultat des Èlec-plus en profondeur. On est devenus amisavait quelque chose dÕabsurde dans la tions ni tout ce qui sÕest passÈ, mais onet tout ce qui sÕest passÈ surPeut-Ítresituation de dÈpart, et du coup je nÕai est toujours bizarrement en cohÈrencea ÈtÈ une expÈrience trËs forte pourjamais eu autant de plaisir ‡ tourner un avec son Èpoque, avec lÕhistoire. CÕestnous deux. Je nÕavais pas envie que Áafilm, il nÕy a jamais eu de trac, de pres-toujours Ètrange de voir, avec 50 ans desÕarrÍte l‡. Il y a une espËce de cheminsion. On tournait vite, on Ètait trËs recul, ‡ quel point, par exemple, lestrËs Èvolutif parce que les chosesactifs, mais tout Áa dans le bonheur. films de 1938 parlent de la guerre, de cenÕÈtaient pas du tout pareil au momentCÕest un film trËs, trËs heureux quoi ! qui va arriver. On sÕaperÁoit quÕon estduPÈril jeuneque surLÕaubergePropos recueillis par Jean-Luc Brunet totalement inscrit dans son Èpoque etespagnole, o˘ il est plus acteur. Notrewww.mcinema.fr quÕon est esclave de ce qui se passerapport a beaucoup ÈvoluÈ en raison de autour. Le contexte social a sans aucunnotre amitiÈ. On se nourrit beaucoup du doute nourri ce film.fait quÕon se voit souvent. Chacun sait ce que lÕon pense lÕun de lÕautre, du Le personnage du jeune Anglais qui metcoup je dis le dÈbut dÕune phrase et il en permanence ´les pieds dans le platªsait ce que je vais dire ‡ la fin. Notre vous permet de jouer avec les clichÈscomplicitÈ fait que le travail est extrÍ-nationaux tout en les dÈtournantÉmement facile avec lui. Plus on connaÓt CÕest s˚r que cÕÈtait pratique avec ceun acteur, plus on peut arriver ‡ lui faire Filmographie personnage de dire ce que tout lecomposer un personnage. Je savais quÕil monde a en tÍte, ´Les Allemands sontpouvait jouer Xavier avec ce cÙtÈ effec-Riens du tout1992 trËs ordonnÈs, les Italiens sont bordÈ-tivement rÈservÈ, voire niais ou coincÈ, Le pÈril jeune1995 liquesª, et de voir ‡ quel point il seet du coup il est touchant parce quÕil y Un air de famille1996 trompe. Tout dÈpend de la personnalitÈarrive mal. Xavier est certainement Chacun cherche son chat de chacun. Evidemment il y a des typesmoins ‡ lÕaise dans la vie que Romain Peut-Ítre1999 nationaux mais en mÍme temps on neDuris ! L'auberge espagole2001 peut pas catÈgoriser et caricaturer lesAviez-vous une idÈe prÈcise de ce ‡ quoi Ni pour ni contre (bien au contrai-gens comme Áa. Le monde est heureuse-allait ressembler ce tournage ? Et quel re)2002 ment plus complexe. Lorsque jÕai fait lesouvenir en garderez-vous ? casting ‡ travers lÕEurope, jÕai fait unLe tournage ressemblait beaucoup ‡ peu comme Xavier en fait : je suis allÈ ‡lÕhistoire. CÕÈtait un bordel organisÈ Copenhague, ‡ Rome, ‡ Londres,parce que pour fabriquer du faux Barcelone. La rencontre avec une tren-dÈsordre il faut Ítre assez ordonnÈ. Pour Documents disponibles au France taine dÕacteurs dans chaque pays mÕaarriver ‡ fabriquer cette espËce de squat donnÈ un panorama de qui sont lesbordÈlique avec plein de gens de natio-Revue de presse importante jeunes aujourdÕhui et de ce quÕils cher-nalitÈs et de langues diffÈrentes, on a Fiches du CinÈma n∞1657 chent, mÍme si ceux-l‡ Ètaient avantintÈrÍt ‡ dire des choses prÈcises ‡ cha-Synopsis n∞20 tout des acteurs.cun. CÕÈtait compliquÈ mais assez Cahiers du CinÈma n∞569, 574 joyeux ! JÕen garde un souvenir trËs dif-CinÈastes n∞7 LÕauberge espagnolemarque votrefÈrent des autres films, parce que lors-É quatriËme collaboration avec RomainquÕon sÕest lancÈ dans lÕexpÈrience per-Duris. CÕest une vraie fidÈlitÈ et unesonne ne savait ce que Áa allait donner. Pour plus de renseignements : nouvelle ÈtapeÉLe jour o˘ on sÕest retrouvÈs avec tous tÈl : 04 77 32 61 26 Disons que notre collaboration surLeles acteurs europÈens, cÕÈtait presque g.castellino@abc-lefrance.com pÈril jeunemythique. JÕavais dit que la seule faÁonsÕÈtait bien passÈe mais
L EF R A N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 4 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents