Les Quatre Vents de l’esprit
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Les Quatre Vents de l’esprit

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Description

Les Quatre Vents de l’espritVictor Hugo1881« Je vis les quatre vents passer. – Ô vents, leur dis-je »« Je vis Aldebaran dans les cieux. Je lui dis »LE LIVRE SATIRIQUE – Le SiècleI : Inde IraeII : « Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle »III : « Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! ô haine ! »IV : ÉclipseV : « La satire à présent, chant où se mêle un cri »VI : Voix dans le grenierVII : Le Soutien des empiresVIII : Écrit sur la première page d'un livre de Joseph de MaistreIX : Se laisser calomnierX : À un homme finiXI : À ****XII : Anima vilisXIII : LittératureXIV : À un écrivainXV : Le Mont-aux-pendus (Jersey)XVI : Le Bout de l'oreilleXVII : L'EchafaudXVIII : Jolies FemmesXIX : « Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille »XX : « La hache ? Non. Jamais. Je n’en veux pour personne »XXI : « C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux »XXII : « Elle passa. Je crois qu’elle m’avait souri »XXIII : Sur un portait de sainteXIV : Ecrit après la visite d'un bagneXXV : « Le spectre que parfois je rencontre riait »XXVI : Les BonzesXXVII : « Et les voilà mentant, inventant, misérables »XXVIII : Aux prêtresXXIX : « Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile »XXX : Idolâtries et PhilosophiesXXXI : « Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine »XXXII : « Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur »XXXIII : « C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture »XXXIV : « Il faut agir, il faut marcher, il faut ...

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Langue Français

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Les Quatre Vents de l’esprit Victor Hugo 1881
« Je vis les quatre vents passer. – Ô vents, leur dis-je » « Je vis Aldebaran dans les cieux. Je lui dis »
LE LIVRE SATIRIQUE– Le Siècle
I : Inde Irae II : « Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle » III : « Ô sainte horreur du mal !Devoir funèbre ! ô haine ! » IV : Éclipse V : « La satire à présent, chant où se mêle un cri » VI : Voix dans le grenier VII : Le Soutien des empires VIII : Écrit sur la première page d'un livre de Joseph de Maistre IX : Se laisser calomnier X : À un homme fini XI : À**** XII : Anima vilis XIII : Littérature XIV : À un écrivain XV : Le Mont-aux-pendus (Jersey) XVI : Le Bout de l'oreille XVII : L'Echafaud XVIII : Jolies Femmes XIX : « Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille » XX : « La hache ? Non. Jamais. Je n’en veux pour personne » XXI : « C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux » XXII : « Elle passa. Je crois qu’elle m’avait souri» XXIII : Sur un portait de sainte XIV : Ecrit après la visite d'un bagne XXV : « Le spectre que parfois je rencontre riait » XXVI : Les Bonzes XXVII : « Et les voilà mentant, inventant, misérables » XXVIII : Aux prêtres XXIX : « Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile » XXX : Idolâtries et Philosophies XXXI : « Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine » XXXII : « Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur » XXXIII : « C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture » XXXIV : « Il faut agir, il faut marcher, il faut vouloir » XXXV : « Paris, le grand Paris agonise. Je pense » XXXVI : « Soit. C’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre quivole » XXXVII : « Je suis haï. Pourquoi? Parce que je défends » XXXVIII : « Oui, vous avez raison, je suis un imbécile » XXXIX : « Puisque je suis étrange au milieu de la ville » XL : « Ainsi nous n’avons plus Strasbourg, nous n’avons plus » XLI : « Quique tu sois qui tiens un peuple dans ta main » XLII : Dieu éclaboussé par Zoïle XLIII: Ils sont toujours là XLIV: Fulgur
Zénith - Nadir
DEUX VOIX DANS LE CIEL
LE LIVRE DRAMATIQUE― La Femme
I : Margarita, comédie
II : Esca, drame
Les deux trouvailles de Gallus
NOUS « Nous sommes les proscrits ; nous habitons l’abîme »
LE LIVRE LYRIQUE― La Destinée
I : « Je suis fait d’ombre et de marbre » II : Aux oiseaux et aux nuages III : « Quand le bien et le mal, couple quinous obsède » IV : « La calomnie immonde et qu’on jette en courant » V : Chanson d'autrefois et Chanson d'aujourd'hui VI : Près d'Avranches VII : Chanson VIII : « Coup d’épée ; oui, mais non de poignard. » IX : En écoutant chanter la princesse *** X : « Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble » XI : « Dieu ne frappe qu’en haut. Infimes que nous sommes » XII : Nuits d'hiver XIII : Chanson d'autrefois et Chanson d'aujourd'hui XIV : Jersey XV : Androclès XVI : Àma fille Adèle XVII : En marchant le matin XVIII : « Un groupe tout à l’heure était là sur la grève » XIX : Sur la falaise XX : « J’ai beau comme un imbécile » XXI : En marchant la nuit dans un bois XXII : Lueur à l'horizon XXIII : Sous terre XXIV : Bestiarium XXV : Chanson XXVI : Remontrances XXVII : Pati XXVIII : « En hiver la terre pleure » XXIX : « L’absolu, l’éternel. Rien après, rien avant » XXX : Chanson XXXI : ÀMeurice – À Vacquerie XXXII : Tourmente XXXIII : « Ma vie entre déjà dans l’ombre de la mort » XXXIV : Entrée dans l'exil XXXV : « L’immense Être inconnu sourit. L’aube réveille » XXXVI : « Oh !quoique je sois, sur la grève » XXXVII : Exil XXXVIII : « Ô mon âme, en cherchant l’azur, ton vol dévie » XXXIX : « Tant qu’on verra l’amour pleurer, la haine rire » XL : La nuit, pendant que les pêcheurs sont en mer XLI : Duo XLII : Pensées de nuit XLIII : « Quand Eschyle au vautour dispute Prométhée » XLIV : « Ô misérables amas de vanités humaines » XLV : « Le sommet est désert, noir, lugubre, inclément » XLVI : « Oui, la terre fatale, oui, le ciel nécessaire » XLVII : Lettre XLVIII : Promenades dans les rochers XLIX : Rencontre d'une petite fagotière L : À J. de S…, laboureur à Yvetot LI : Le Parisien du faubourg LII : « Ô rois, de quije vois les royaumes, là-bas » LIII : « J’aicoudoyé les rois, les grands, le fou, le sage » LIV : Une rougeur au zénith LV : Horreur sacrée
LVI : « L’âme humaine est sans cesse en tous les sens poussée »
En plantant le chêne des États-Unis d’Europe dans le jardin de Hauteville-House le juillet 1870
Aux proscrits
LE LIVRE ÉPIQUE― La Révolution
I : Les Statues II : Les Cariatides III : L'Arrivée
« Soit. Mais quoi que ce soit qui ressemble à la haine »
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