Un stage conçu par Gisèle Provost précède la mise en place des ateliers d ethnographie sur le conte Reconduit chaque année depuis il concerne chaque fois stagiaires Bien que le contenu se renouvelle il est possible de donner un aperçu de quelques interventions significatives Une collecte singulière Contes kanaks collectés par Louise Michel Accom pagné l orgue de barbarie par le chanteur Riton la Manivelle de l exposition MNATP Musiciens des rues de Paris novembre avril Michel Aguettaz conte la biographie de Louise Michel intégrant quatre contes kanaks et des chants de la Commune Louise Michel institutrice figure historique prend une part physique et morale active aux combats de la Commune Féministe elle lutte pour l égalité des salaires et du droit l instruction s oppose la prostitution Déportée en Nouvelle Calédonie elle apprend la langue ka nak milite pour son enseignement et collecte des légendes des contes et des chansons de geste qu elle traduit et fait publier Paris en Un fonds prestigieux: la bibliothèque du MNATP Dans ce haut lieu de référence pour le conte on estime volumes le fonds le concernant éditions de col portage romans de chevalerie cabinets des fées études revues catalogues monographie autour de la littérature orale des contes français mais aussi du monde entier et de toutes les époques indiens chinois des Mille et une nuits des soirées bretonnes contes égyptiens de l époque pharaonique contes du Moyen Âge Ce contenu justifie le déroulement de ce stage au musée Une recherche méthodique partir de la notion de conte type est organisée ensui te Il s agit de repérer les variantes d un conte répertoriées dans le Catalogue raisonné du conte populaire français et des pays francophones d outre mer de Paul Delarue et Marie Louise Ténèze qui ont été chercheurs au MNATP et col
5 pages
Français

Un stage conçu par Gisèle Provost précède la mise en place des ateliers d'ethnographie sur le conte Reconduit chaque année depuis il concerne chaque fois stagiaires Bien que le contenu se renouvelle il est possible de donner un aperçu de quelques interventions significatives Une collecte singulière Contes kanaks collectés par Louise Michel Accom pagné l'orgue de barbarie par le chanteur Riton la Manivelle de l'exposition MNATP Musiciens des rues de Paris novembre avril Michel Aguettaz conte la biographie de Louise Michel intégrant quatre contes kanaks et des chants de la Commune Louise Michel institutrice figure historique prend une part physique et morale active aux combats de la Commune Féministe elle lutte pour l'égalité des salaires et du droit l'instruction s'oppose la prostitution Déportée en Nouvelle Calédonie elle apprend la langue ka nak milite pour son enseignement et collecte des légendes des contes et des chansons de geste qu'elle traduit et fait publier Paris en Un fonds prestigieux: la bibliothèque du MNATP Dans ce haut lieu de référence pour le conte on estime volumes le fonds le concernant éditions de col portage romans de chevalerie cabinets des fées études revues catalogues monographie autour de la littérature orale des contes français mais aussi du monde entier et de toutes les époques indiens chinois des Mille et une nuits des soirées bretonnes contes égyptiens de l'époque pharaonique contes du Moyen Âge Ce contenu justifie le déroulement de ce stage au musée Une recherche méthodique partir de la notion de conte type est organisée ensui te Il s'agit de repérer les variantes d'un conte répertoriées dans le Catalogue raisonné du conte populaire français et des pays francophones d'outre mer de Paul Delarue et Marie Louise Ténèze qui ont été chercheurs au MNATP et col

-

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
5 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Niveau: Secondaire, Lycée, Terminale

  • exposé


Un stage, conçu par Gisèle Provost, précède la mise en place des ateliers d'ethnographie sur le conte. Reconduit chaque année depuis 1999, il concerne à chaque fois 80 stagiaires. Bien que le contenu se renouvelle, il est possible de donner un aperçu de quelques interventions significatives. Une collecte singulière ? Contes kanaks, collectés par Louise Michel. Accom- pagné à l'orgue de barbarie par le chanteur Riton la Manivelle, de l'exposition MNATP « Musiciens des rues de Paris » (19 novembre 1997-27 avril 1998), Michel Aguettaz conte la biographie de Louise Michel intégrant quatre contes kanaks et des chants de la Commune. Louise Michel, institutrice, figure historique, prend une part physique et morale active aux combats de la Commune (1870-71). Féministe, elle lutte pour l'égalité des salaires et du droit à l'instruction, s'oppose à la prostitution... Déportée en Nouvelle-Calédonie, elle apprend la langue ka- nak, milite pour son enseignement, et collecte des légendes, des contes et des chansons de geste, qu'elle traduit et fait publier à Paris en 1885. Un fonds prestigieux: la bibliothèque du MNATP. Dans ce haut lieu de référence pour le conte, on estime à 3000 volumes le fonds le concernant : éditions de col- portage (romans de chevalerie, cabinets des fées...), études, revues, catalogues, monographie autour de la littérature orale, des contes français mais aussi du monde entier et de toutes les époques : indiens, chinois, des Mille et une nuits, des soirées bretonnes, contes égyptiens de l'époque

  • clé de lecture du chaperon rouge

  • jeune fille

  • person- nages-clés du conte

  • version créole de cendrillon avec l'épreuve du tri

  • lecture anthropologique

  • conte de tradition orale

  • épreuve des sentiments de reconnaissance


Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 109
Langue Français

Extrait

LE CONTE DE TRADITION ORALE: APPROCHE ETHNOLOGIQUE ET INTERCULTURELLE
Un stage, conçu par Gisèle Provost, précède la mise en place des ateliers d’ethnographie sur le conte. Reconduit chaque année depuis 1999, il concerne à chaque fois 80 stagiaires. Bien que le contenu se renouvelle, il est possible de donner un aperçu de quelques interventions significatives. Une collecte singulière?Contes kanaks,collectés par Louise Michel.Accom-pagné à l’orgue de barbarie par le chanteur Riton la Manivelle, de l’exposition MNATP« Musiciens des rues de Paris » (19 novembre 1997-27 avril 1998), Michel Aguettaz conte la biographie de Louise Michel intégrant quatre contes kanaks et des chants de la Commune. Louise Michel, institutrice, figure historique, prend une part physique et morale active aux combats de la Commune (1870-71). Féministe, elle lutte pour l’égalité des salaires et du droit à l’instruction, s’oppose à la prostitution... Déportée en Nouvelle-Calédonie, elle apprend la langue ka-nak, milite pour son enseignement, et collecte des légendes, des contes et des chansons de geste, qu’elle traduit et fait publier à Paris en 1885. Un fonds prestigieux: la bibliothèque duMNATP.Dans ce haut lieu de référence pour le conte, on estime à 3000 volumes le fonds le concernant: éditions de col-portage (romans de chevalerie, cabinets des fées...), études, revues, catalogues, monographie autour de la littérature orale, des contes français mais aussi du monde entier et de toutes les époques: indiens, chinois, des Mille et une nuits, des soirées bretonnes, contes égyptiens de l’époque pharaonique, contes du Moyen Âge... Ce contenu justifie le déroulement de ce stage au musée. Une recherche méthodique, à partir de la notion de conte type, est organisée ensui-te. Il s’agit de repérer les variantes d’un conte, répertoriées dans le Catalogue raisonné du conte populaire français et des pays francophones d’outre-mer, de Paul Delarue et Marie-Louise Ténèze, qui ont été chercheurs auMNATPet col-
140
Le conte de tradition orale
lecteurs. Les stagiaires s’engagent aussi dans la recherche de « motifs » dans l’In-dex international Aarne et Thompson. Didactique de la variation, en situation d’interculture.Une initiation au re-(46) pérage et à l’analyse des variantes du conte type du Chat botté est proposéeà partir de textes littéraires et de transcriptions de l’oral: Bruno de la Salle, Perrault, trois versions de tradition orale de Corrèze, Algérie et Norvège. Grâce à la multi-plication des variantes (lieux, époques), la compréhension du conte se com-plexifie et s’approfondit, s’ouvre à une lecture anthropologique et symbolique. Jubilatoire, la variation donne du sens. L’exemple du Chat botté peut apparaître extrêmement subversif: revanche des démunis contre les propriétaires; pratiques de troc, mise à l’épreuve des sentiments de reconnaissance (test de gratitude)... Traquant la variation, les stagiaires établissent sur de grandes feuilles des grilles d’analyse qui sont exposées et commentées comparativement avec d’autres éta-blies en classe par des élèves de différents niveaux. Ce travail mène à une mise en formule du conte, relais vers une réécriture et une actualisation possible. Les mécanismes de la tradition orale. Les récits du conte oral couvrent des mil-lénaires :mouvant, anonyme, il s’élabore dans le processus même de sa trans-(47) mission .Qu’il n’y ait pas toujours de texte définitif: oublis, emprunts... des conteurs ou des transcripteurs constituent la variété des collectes, c’est un texte ouvert, expansif et imparfait. Le conte, dans son mécanisme, comme le rêve, est une mise en scène d’images saisies dans une structure narrative (comparaison avec les procédés définis par Freud: condensation, déplacement, inversion). Pour la mémorisation, le voyage du conte est plus important que les mots. La notion de conte métis.Le conte « Nannie Rosette » dit par Marie-George (48) Compper, conteuseMNATP, est ensuite commentéquant à ses composantes française et africaine. Pour la France, « Le loup, la chèvre et ses chevreaux », conte type n° 123, met en garde les enfants envers la venue d’un étranger à la famille. Pour l’Afrique, « La fille recluse » met en garde contre une mère trop envahissan-te qui fait passer son affection maternelle avant les règles de vie collective. Les in-dices qui renvoient à l’histoire de l’esclavage sont analysés: le diable, par exemple, qui emprunte les attributs du maître blanc... Par ailleurs, la création mé-tisse émancipe ce récit de sa double origine pour conquérir une identité propre, créole. Si les trois contes se terminent mal, il n’y a pas de notion de vengeance dans la version créole: personne n’est plus fort que le diable! Souvent dans le corpus antillais, les révoltes échouent, les contes de résignation sont fréquents. Le conte, un outil pour comprendre un usage social.Ce stage se poursuit sou-vent comme un voyage. On analyse ce qui se cache comme réalité sociale derrière ce que nous disent les contes. Elfes et fantômes font tellement partie de la réalité (49) islandaise que les circuits touristiques s’y intéressent! Leselfes, semi-humains, (46) Par Nadine Decourt, maître de conférences, chercheure au CREA (Centre de recherches et d’études en anthro-pologie) et Michelle Raynaud, professeure des écoles à Villeurbanne. (47) Par Nicole Belmont, anthropologue, directrice d’études EHESS. (48) Par Véronique Corinus, professeure de lettres. (49) Par Vanessa Doutreleau, ethnologue.
Le conte de tradition orale
141
vivent en société, à la charnière entre le naturel et le surnaturel. Installés bien avant l’arrivée des premiers colons, ils sont propriétaires du sol et protecteurs de l’Islande. Certains Islandais prétendent les avoir vus – des objets leur appartenant peuvent être exposés dans un musée ethnologique! Ce sont des êtres chtoniens qui se confondent avec la nature, ils habitent les tertres ou les trous des rochers, et en milieu urbain des espaces non altérés par l’homme. Ils se distinguent des trolls, géants balourds des montagnes et des grottes et des fantômes, moins sem-blables aux hommes. Ces personnages sont liés à l’omniprésence de la nature sau-vage en Islande: glaciers, volcans, tempêtes, nuits de six mois... (50) Une lecture ethnographiquedu motif des épingles et des aiguilles dont la symbolique parcourt surtout les contes oraux est explicitée à travers quelques récits :le Chaperon rouge, la Belle au bois dormant, la Petite Sirène... Ce thème renvoie à la socialisation des jeunes filles. C’est le langage qui exprime le mieux l’état d’entre-deux de la pubère. Prendre « le chemin des épingles », c’est quitter l’enfance et s’intéresser à la vie amoureuse. L’épingle est liée à la parure, la sé-duction. L’aiguille est liée à la rencontre du masculin. Les apprentissages du féminin sont une clé de lecture du Chaperon rouge. Ce choix, du chemin des épingles ou des aiguilles, offert à la petite fille quand elle rencontre le loup, est un motif abandonné par Perrault. La petite fille et la grand-mère sont les person-nages-clés du conte, ce n’est pas le loup. Dans ces sociétés rurales, on ne peut pas confondre les deux chemins (voir la version créole de Cendrillon avec l’épreuve du tri). On repère les objets dont parle le conte, la culture matérielle se mêle au langage symbolique, il y a interaction entre pratiques quotidiennes et pratiques ritualisées. Des rites nuptiaux ont lieu autour de la quenouille (Belle au bois dormant...), du fuseau. Ce sont des outils qui transforment la matière, qui signi-fient le passage de la nature à la culture. Le filage commence quand les jeunes filles sont nubiles. En France traditionnelle, les jeunes filles âgées de quinze ans passent un hiver chez la couturière qui leur apprend les rudiments de la couture et les éduquent aux codes féminins, à la sexualité: abécédaire au fil rouge, sym-bolique des trois sangs de la femme – menstrues, défloration, accouchement. Pratiques quotidiennes et pratiques rituelles sont là pour accompagner cette métamorphose et aider aux changements de statut qu’elle induit au sein de la so-ciété. La Sainte-Catherine d’hier marquait le passage de la fillette à la jeune fille. Aujourd’hui, si la fête a changé de sens, on la retrouve entre autres dans certains lycées professionnels parisiens; le 25 novembre, les élèves y célèbrent leur sainte et celle du métier des aiguilles. Cette fête est l’occasion d’apprendre les valeurs professionnelles et de mettre en pratique, dans la réalisation de costumes, les (51) compétences acquises dans le cadre de leur formation. Éduquer par le conte (en Afrique de l’Ouest).Mais comment se transmettent les contes auprès des enfants dans certains villages d’Afrique de l’Ouest, quand il
(50) Par Anne Monjaret (51) Monjaret Anne, « La Sainte-Catherine dans les écoles de la mode : transmission des valeurs professionnelles », Artisans de l’élégance(catalogue), RMN, 1993, p. 188-196.
142
Le conte de tradition orale
(52) n’y a pas d’écoles? Une étude de terrain de plusieurs années,sur les circons-tances de contage, dans des sociétés exclusivement orales en rend compte. Les contes se disent en saison sèche quand le travail de la terre est impossible, et contrairement à ce qui se passe en Occident, ce n’est jamais un spectacle. Les jeunes enfants les entendent d’abord dans la case des mères. À partir de trois ans, ils racontent, s’ils se trompent, on ne corrige pas leurs fautes, seulement on ne les écoute plus. Ils sont libres de leur imagination, et ajoutent autant d’épi-sodes qu’ils veulent, mais dans la logique du récit. Ensuite, quand ils ont acquis une certaine autonomie, ils sont sollicités au cours de séances publiques, seules les erreurs de logique sont corrigées. Les contes apprennent donc à maîtriser la parole et à comprendre le monde. L’enfant va savoir écouter, repérer les enchaînements du discours (pas de la phrase), se situer dans le temps (conju-gaison, récit/dialogue) et l’espace (le sauvage/le culturel, le statique/le dyna-mique), acquérir les mécanismes de symbolisation (sens général/sens particu-lier). Les contes enseignent les modes de comportement de la communauté. Plutôt que d’exalter des prouesses individuelles, les actions des héros africains valorisent la communauté. Non seulement le conte véhicule et structure les connaissances, mais aussi il donne une place à l’individu dans la société. C’est ce que précise Souleyman Mboje, griot, qui intervient fréquemment dans le cadre scolaire. Il n’est pas rare que l’intervention d’un conteur commence par un compliment qui s’adresse à la communauté: «La mère des connaissances c’est cel-le qui permet à des hommes de rencontrer d’autres hommes.» On distingue différents niveaux de conte selon l’âge de l’auditoire: ceux qui ouvrent sur la vie pour « les bambins » et ceux qui, initiatiques, renvoient aux mythes pour « les mentons velus ». Le conte initie à la raison, raconte le fonde-ment des choses, il transmet des logiques, des valeurs, un symbolisme, il définit des codes de comportement, pour une société donnée. Quand un problème se pose, on se réfère aux contes: «N’allez jamais dans un village qui n’a qu’un seul chemin !: évitez la pensée unique. Mais lutter contre la pensée» Ce qui signifie unique, n’est-ce pas encore de la pensée unique? Le conteur sollicite son audi-toire à tout moment en ajoutant à ses récits des proverbes ou des devinettes:S«i vous voyez quelqu’un qui a des oreilles et qui pond des œufs, vous me le direz».Les his-toires, ça se partage. L’acte de raconter, d’ajouter, enrichit l’histoire: «Si vous vou-lez que les connaissances fassent le tour du monde, il faut les confier aux enfant»s. LE CONTE DE TRADITION ORALE Compte rendu :réalisé à partir des enregistrements des séances, en ligne sur le site académique en 2002, avec la collaboration d’Anne Moreau, conseillère pédago-giqueDAAC. Conception, organisation du stage pour le groupe Droits de l’Homme-Cultures :Gisèle Provost.
(52) Par Suzy Platiel, ethnolinguiste.
Annexe143 ANNEXE À la découverte de l’autre... Dormir chez les Massaï m é t h o d e Le but était que les élèvesdrôles, que leur attention futgênerait certainement pas ou comprennent que ce qui leurattirée sur ce qui existeencore que si les Massaï nous paraît naturel chez nous neailleurs et sur la nécessité devoyaient dormir couché, ils l’est pas forcément ailleurs.ne pas juger. Pour mieux fai-pourraient eux aussi nous L’exemple qui les a le plusre comprendre cette nécessi-prendre pour des fous! marqués puisqu’ils en ont re-té, une question-piège: « ÀÀ partir de ce constat de ré-parlé lors des séances sui-votre avis, est-ce que cela estciprocité, est apparue la né-vantes est celui des bergersmieux de dormir debout oucessité de s’adapter afin de ne Massaï qui dorment deboutcouché ?» Le réflexe a été depas choquer les populations sur un bâton... Les élèves, dedire couché, puis voyant queque l’on étudie. Même s’ils même que la professeure decette réponse n’était pasont avoué qu’il leur serait dif-français et la documentalisteconvaincante, ils ont repenséficile, s’ils allaient en Tanza-présentes, ont paru extrême-à tout ce qui nous a été ditnie et rencontraient des Mas-ment surpris et n’auraient pasprécédemment et ont alorssaï, de dormir debout, ils ont imaginé que l’on puisse dor-répondu que les deux se va-très bien compris. Une élève mir d’une façon autre quelaient, que cela dépendaita d’ailleurs fait ce commen-celle dont on a l’habitude.pour qui... Ils ont ajouté quetaire :« C’est comme pour les C’est ainsi, à partir d’exem-si l’on avait l’habitude deMusulmans, il ne faut pas les ples concrets, simples etdormir debout, cela ne nousforcer à manger du porc. » DORMIR CHEZ LESMASSAÏYannick Marin, ethnologue. Source :Claude Rivière,Introduction à l’anthropologie,Hachette Éducation, coll. «Les fondamentaux »,1999, p. 13. e Collège :La Courtille, Saint-Denis, 6 . Atelier « Conte et mythe ».
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents