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Cours de langage Pascal G1 SI/ISIM LUBUMBASHI CHAPITRE I INTRODUCTION I.1 Généralités En informatique, un langage de programmation est une notation conventionnelle destiné à formuler des algorithmes et produire des programmes informatiques qui les appliquent. D’une manière similaire à une langue naturelle, un langage de programmation est fait d’un alphabet, un vocabulaire, des grammaires et des significations. Les langages de programmations permettent de décrire d’une part les structures des données qui seront manipulées par l’outil informatique, et d’autre par d’indiquer comment sont effectuées les manipulations, selon quels algorithmes. Ils servent de moyens de communication par lesquels le programmeur communique avec l’ordinateur, mais aussi d’autres programmeurs ; les programmes étant d’ordinaire écrits, lus, compris et modifiés par une communauté. Un langage de programmation est mis en œuvre par un traducteur automatique, compilateur ou interpréteur. Un compilateur est un programme informatique qui transforme dans un premier temps un code source écrit dans un langage de programmation donné en code cible qui pourra être directement exécuté par un ordinateur, à savoir un programme en langage machine ou en code intermédiaire, tandis que l’interpréteur réalise cette traduction à la volée. I.2.

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Publié le 26 mars 2014
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Langue Français

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Cours de langage PascalG1 SI/ISIM LUBUMBASHI
CHAPITRE IINTRODUCTION
I.1 Généralités En informatique, un langage de programmation est une notation conventionnelle destiné à formuler des algorithmes et produire des programmes informatiques qui les appliquent. D’une manière similaire à une langue naturelle, un langage de programmation est fait d’un alphabet, un vocabulaire, des grammaires et des significations.
Les langages de programmations permettent de décrire d’unepart les structures des données qui seront manipulées par l’outil informatique, et d’autre par d’indiquer comment sont effectuées les manipulations, selon quels algorithmes. Ils servent de moyens de communication par lesquels le programmeur communique avec l’ordinateur, mais aussi d’autres programmeurs; les programmes étant d’ordinaire écrits, lus, compris et modifiés par une communauté.
Un langage de programmation est mis en œuvre par un traducteur automatique, compilateur ou interpréteur. Un compilateur est un programme informatique qui transforme dans un premier temps un code source écrit dans un langage de programmation donné en code cible qui pourra être directement exécuté par un ordinateur, à savoir un programme en langage machine ou en code intermédiaire, tandis que l’interpréteur réalise cette traduction à la volée. I.2. Historique Le langage Pascal a été conçu dans les années 1970 parNiklaus Wirtha l' ETH de Zurich en Suisse, en s'inspirant d'Algol 60 et d'Algol W dans le but d'avoir un langage permettant d'enseigner la programmation structurée et facile a implémenter.Ce nouveau langage fut nommé ainsi en l'honneur de Blaise Pascal mathématicien, physicien philosopheet écrivain français (1623-1662) Wirth créera plus tard Modula pour répondre au besoin de programmation modulaire et aussi Oberon. Le compilateur "P4" fut diffusé en source auprès d'autres universités pour 20$. Il ne générait pas directement du code machine mais du P-Code un code pour une machine virtuelle. Pour porter le compilateur sur une autre machine il n'y avait donc pas besoin de changer le compilateur lui même, mais juste de réécrire l'interpréteur de p-code pour la nouvelle machine. Ce fut le premier pas de la diffusion de Pascal dans le milieu universitaire. I.3. Les concepts de base d’un Programme Pascal a.Programme: Un programme est une suite d’instructions destinées à l’ordinateur. Or l’ordinateur est un langage machine qui n’utilise que deux symboles: 0 et 1. On utilise donc un langage de programmation, ici le Pascal, permettant de produire des programmes lisibles et facilement modifiables. Ces programmes sont traduits en langage machine à l’aide d’un compilateur. b.Code source Un programme en Pascal (exercice par exemple) peut être écrit avec un traitement de texte, un éditeur de texte ou directement dans le logiciel de programmation édité par Borland. Le programme ainsi réalisé est stocké sous forme de fichier avec l’extension .pas (exercice.pas). c. Compilationet édition des liens La version en langage machine d’un programme s’appelle aussi le code objet du programme. L’éditeur de lien (linker) est un programme auxiliaire qui intègre, après la compilation du fichier source, le code machine de toutes les fonctions utilisées dans le programme et non définies à Ass DjoKABWE MULAJA 1
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l’intérieur. A partir du code objet du programme exécutable qui peut être chargé dans la mémoire pour être exécuté. Codesource
 Oui
 Compilateur
Erreur de s ?
Non CodeOb
Editeur de liens
Pro exécutable  Lancementdu programme Fig1 Processus d’exécution d’un programme en pascal I.4 Structure d’un Programmation en Pascal Un programme est composé d’une suite d’instructions qui peuventêtre assimilés à des phrases du langage. L’étude du langage consiste à apprendre les règles de formation de ces instructions. La structure générale d’un programme en Pascal peut se définir de la façon suivante : Une partie en-tête qui contient le nom du programme et ses paramètres éventuels. -Une partie déclarative : qui regroupe les déclarations des variables à utiliser -Le corps du programme qui contient les instructions -Il existe un ordre prédéfini pour introduire les éléments du corps du programme. Exemple de programme :
En-tête
Partie déclarative
Programnom du programme; Usesunités utilisées; Constdéclaration de constantes; Typedéclaration de types; Functiondéclaration de fonction; Proceduredéclaration de procedure parametrée; Vardéclaration de variables;
BEGIN{programme principal} Corps du programmeCommandes Ass DjoKABWE M 2
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Grammaire du Pascal Un nom du programme respecte les règles liées aux identificateurs et ne peut contenir le -caractère point « . » Un programme principal débute toujours par BEGIN et se termine par END. (avec un point). -Alors qu’un sous-programme (ou fonction, procédure, bloc conditionnel…) commence lui aussi par un Begin et se termine par un End ; (sans point mais avec un point virgule) Chaque instruction se termine par un point virgule -Les noms de constantes, variables, procédures, fonctions, tableaux, etc. (appelés -identificateurs) doivent être des noms simples et explicatifs. Les identificateurs doivent impérativement être différents de ceux d’unités utilisées, de mots -réservés du langage du Langage Pascal. Les identificateurs ne doivent pas contenir de caractères accentués, ni d’espace, ni de point et -ni les caractères suivants : @, $,&, #, +, -,*,/. Mais le caractère de soulignement est autorisé (underscore “_”). De plus Turbo Pascal ne différencie aucunement les majuscules des minuscules. Les chiffres sont acceptés ormis en première place Un identificateur ne peut être égale à un mot réservé du langage Pascal -Pascal permet également l’insertion des commentaires dans un programme en procédant -comme suit {ici votre commentaire entre accolades} ou encore (* ici vos commentaire entre parenthèses et étoiles *)
I.5 Types de données élémentaires
Chaque donnée a un une classification celle-ci influe sur la plage des valeurs possibles, les opérations qui peuvent être effectuées, et la représentation de la donnée sous forme de bits. Chaque langage de programmation offre une gamme de types primitifs, incorporés dans le langage. Certains langages offrent la possibilité de créer des nouveaux types. Les types de données primitifs courants sont les nombres entiers, les nombres réels, les booléens, les chaines des caractères et les pointeurs. En pascal on trouve les types de données suivants : bits non signé)0...255 (8Byte : -128..127 (8bits signé)Shortint : 0…65535 (16bits non signé)Word : -32768…32767 (16bits non signé)Integer : Longint :-2147483648…2147483647 (32bits signé) Real :(64 bits signé)2. 9 e-39…1.7 e38  e 5.0 e-324…1.7Double :308 Boolean :true ou false Fichier de…File…of : chaîne de caractère (maximun 255)String : : chaîne de caractère de longueur numString [num] Char :caractère (les 256 caractères ASCII) Ass DjoKABWE MULAJA 3
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I.6 Constante
Un nom utilisé pour faire référence à une valeur permanente. C’est aussi un identificateur qui garde la valeur qui lui est attribuéedurant tout le programme. Sa valeur ne peut être modifiée. Il existe 4 types de constantes : entière, à virgule flottante, de type caractère et de type chaine.
Exemple :Const
Euro = 6.55957 ; Base = 100 ; Touche = ‘a’ ; Message = ‘Mon nom est Joseph, Joseph KABILA !’)
I.7 Les variables Une variable est une zone mémoire où l’on peut stocker des informations identifiées par l’identificateur. Elle peut être modifiée dans le corps du programme. Une variable est un nom utilisé dans un programme pour faire référence à une donnée manipulée par un programme. Les variables se différencient des constantes par le fait qu’on peut leur affecter des valeurs qui peuvent être modifiées pendant l’exécution du programme. La mémoire d’un ordinateur est similaire à une suite de « cellules » occupant chacune un octet. Les cellules mémoire ont des numéros croissants dont le premier vaut 0. Ces numéros sont les adresses des cellules mémoire. L’adresse à partir de laquelle une donnée est rangée en mémoire est l’adresse de l’objet, plus précisément l’adresse du début de la donnée. 799 800 801 802 803 804 805 806807
i c integer Char
f Real
Définition des variables La définition de la variable consiste à la déclarer, avant qu’elle ne soit utilisée. En d’autres termes elle consiste à déterminer le nom, le type de la variable et à lui réserver de l’espace mémoire conformément à son type. En pascal pour déclarer les variables on utilise le mot clé VAR Exemple : Var a : real ; b : real ;Définit 3 variables de type réel c : real ;
on peut également définir ou déclarer plusieurs variables sur une même ligne en utilisant le séparateur « , » la virgule, pour séparer les différentes variables. Var Ass DjoKABWE MULAJA 4
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 a,b, c :REAL; { définit 3 variables de type réel}  x,n, toto :INTEGER; {définit 3 variables de type entier} Identificateurs Pour nommer les constantes, les variables, on utilise une séquence de lettres ou des chiffres (commençant toujours par une lettre ou par le caractère _ ). ATTENTION, seuls les 32 premiers éléments sont significatifs ! Affectation L’affectation d’une variable se fait au moyen de l’opérateur symbolisé par:=
c:=c‘a’ ; ,:=a +b ;somme:=nb1+nb2 ;
Exemple avec des variables :
Varc : char ; i, j : integer ; f : real ; Begin c :=‘Z’ ; i := 1; c := ’A’ ; j :=i ; f := -3.14 ; End.
Les variables définies dans cet exemple sontglobales :sont utilisables dans tout le elles programme. Contrairement aux variables globales, les variables locales, définies dans une fonction ou procédure, ne peuvent être utilisées que dans le blocbegin…endoù elles ont été définies.
I.8 Présentation d’un programme en Pascal
Program….. ;{En-tête du nprogramme}
Uses{ Utilisation des unités/ bibliothèques}…. ; Const{Déclarations des constantes }…. ; Type{ Déclaration des types}…. ; Var…. ;{ Déclarations des variables}
Procedure… ; Function… ;
{définition des procédures} {définition des fonctions}
Begin{programme principal : OBLIGATOIRE}  Instruction;  … End. { fin du programme}
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Chapitre II LES ENTREES ET SORTIES Pour transmettre des données saisies au clavier à unprogramme (entrées) ou pour afficher à l’écran les données par un programme (sorties), il faut faire appel à un ensemble de fonctions appartenant à l’unité d’entrée-sortie. Il faut donc faire apparaître en début du programme l’instruction suivante : USES CRT ; II.1 Sorties 1. Définitions
La sortie consiste à afficher les informations à l’écran, on utilise la fonctionWriteou Writelnpour affichage formaté des données, formaté signifie qu’on contrôle la forme et le format des données affichées.
La fonction admet la syntaxe suivante : Write(argument_1, argument_2,…, argument_n) ;  Ou Writeln(argument_1, argument_2,…,argument_n) ; Avec argument_1,…,argument_n : les éléments à afficher. Exemples : Write(‘Bonjour’) ; Writeln(‘Cher ami’) ;  a:= 2+3 ; Writeln(‘la somme 2 + 3 donne ‘,a) ; La fonctionWriteécrit à l’écran les arguments (chaine de caractère, constante, variables). La fonctionWritelnla même chose. La seule différence est que, à la fin de l’écriture du exécute dernier argument, il y à passage à la ligne suivante
NB: le texte doit être entre apostrophe. Si le texte à afficher contient une apostrophe, il faut alors la doubler. Les différents noms de variables doivent être séparées par des virgules.
2. Largeurd’affichage
La largeur d’une valeur est le nombre de caractères ou des chiffres qui seront affichés. Pour spécifier la largeur, on place un nombre entier suivant la variable à afficher séparé par undouble point.
Remarque :Si la représentation d’une valeur nécessite moins de position qu’en indique la valeur, celles-ci seront complétées par des espaces.
Exemples: Pi := 3.14159 ; Ass DjoKABWE MULAJA 6
Résultat de l’affichage
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Writeln (Pi) ; Writeln (Pi : 20) ; Writeln (Pi : 0) ;
3.141590000E+00  3.14590000E+00 3.1E+00
3. Précision Comme pour la largeur d’affichage, on peut spécifier la précision des valeurs à afficher. La spécification de précision est un nombre entier qui suit la largeur minimale et est séparé de cette dernière par un double point. Pour les nombres réels, il indique le nombre des chiffres après la virgule. Exemples: Résultat de l’affichage pi := 3.14159 Writeln (pi) ;3.141590000E+00 Writeln (pi :20 :5) ;3. 14159 Writeln (pi :0 :4) ;3.1416 II.2 ENTRÉE
1. Définitions
La commandeRead permetà l’utilisateur de rentrer une valeur qui sera utilisée par le programme. Cette commande provoque ne provoque pas le retour chariot, c'est-à-dire que le curseur ne passe pas à la ligne.
Syntaxe Read(variable) ;
La commandeReadLn permetà l’utilisateur de rentrer une valeur qui sera utilisée par le programme. Cette commande provoque le retour chariot. C'est-à-dire que le curseur passe à la ligne suivante. Lorsqu’aucune variable n’est affectée à la commande. Il suffit de presser sur la touche « ENTREE » du clavier.
Syntaxe Readln(Variable1, variable2) ;
2. Exemples Programexemple1 ; Varnom : String ; BEGIN Write (‘Entez votre nom :’) ; Readln (nom) ; Writeln (‘ Votre nom est’, nom) ; Readln ; END. Remarque: A chaque valeur saisie il faut valider par la touche ENTREE pour que la saisie soit prise en compte.
II.3 LECTURE DIRECTE DU CLAVIER
1. Définition
Il existe une fonction avec laquelle on peut entrer des données sans valider par la touche ENTREE. Cette entrée manipule uniquement des caractères. Il faut donc déclarer le type CHAR. Ass DjoKABWE MULAJA 7
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C’est la commandeReadKey,elle est l’équivalent de la commandeReadLnà la seule différence est que le readkey donne une variable de type Char (caractère ASCII).
Syntaxe X:= ReadKey; Il exite une équivalente à cette commande très utile pour sortir d’une boucle :Keypressed
Syntaxe Repeat Commandes Until keypressed ; Exercice 1.Ecrire un
Ass DjoKABWE MULAJA 8
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CHAPITRE III LES OPERATEURS
Le langage pascal dispose d’opérateurs classifiés en deux types : Les opérateurs unaires (unary operators) admettent un unique opérande, -Les opérateurs binaires (binary operators) possèdent deux opérandes, -Les opérateurs du pascal sont classés selon des niveaux de priorité, la plus haute priorité valant 1. « Priorité plus haute » signifie une exécution prioritaire de l’opérateur.
III.1 Opérateurs arithmétiques Ces opérateurs procèdent à des opérations arithmétiques sur leurs opérandes. Les opérateurs arithmétiques sont :
Opérateur Significationexemple + Additiona+b - Soustractiona-b * Multiplicationa*b Binaires / Divisiona/b Div Divisionentière adiv b Mod Modulo(reste) amod b Unaire-a- Négation Exemples :2+4, 2/4, 2 mod 4 (1*2)-(3*4),-x, 7div 3 III.2 Opérateurs de comparaisons Les opérateurs de comparaison sont des operateurs binaires et comparent la valeur de leurs opérandes. Les opérandes n’ont pas besoin d’être du même type. Le résultat de la comparaison donne une valeur booléenne correspondant à la valeur logiqueFALSE( faux) ou alorsTRUE(vraie). Les opérateurs de comparaison sont :
Opérateur = < > < = >= < >
Signification Opérande 1égal2? à Opérande Opérande1 différent de opérande 2? Opérande 1inférieur ou égalà opérande 2? Opérande 1supérieur ou égal àopérande 2 ? Opérande 1inférieur àopérande 2? Opérande 1Supérieur àopérande 2?
exemple a=b a < > b a < = b a > = b a < b a > b
III.3 Opérateurs Logiques Les opérateurs logiques effectuent les opérations classiques de la logique booléenne. L’évaluation des expressions comportant des opérateurs logiques donne un résultat de type True ou False.
Opérateur Significationexemple and ET(x>2) and (x<10) Binaireor OU(y>0) and (c=’a’) xor OUexclusif (t=0)xor (u=3) Unaire(fini)logique Notnot NON Exemple : l’expression (5<7) and (3>2) a la valeur True
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Chapitre IV STRUCTURE DE CONTROLE
Le pascal dispose de 3 groupes de structures de contrôle de flux. Il s’agit d’instructions par lesquelles on peut contrôler le déroulement d’un programme : Les instructions alternatives (tests et choix) -Les instructions répétitives (itérations ou boucle) -Les instructions de branchement -IV.1 Instructions alternatives (tests & choix) Il existe 3 instructions de tests qui permettent de ne pas exécuter systématiquement certaines instructions mais seulement dans certains cas prévus par le programmeur. Ces instructions sont : If…then…; :test -If…then…else…; :test + alternative -Case…of…else…end; : tests multiples -
IV.1.1 Instruction « if…then…» L’instruction de tests ne s’exécute que si la condition estVraie. Syntaxe ifexpression_logique  theninstruction;
Exemple Programexemple_test ; Uses crt; Vara : integer ; Begin Write(‘entrez un nombre entier’) ; Readln (a) ; Ifa > 0 Thenwriteln (‘votre nombre est positif’) ; End.
Il peut y avoir plusieurs instructions exécutées si le test est Vrai.Thenalors suivi d’un sera blocbegin…end
Ifexpression_logique Then Begin Instruction_1 ;  …  Instruction_n; End ;
Programexemple_test1; Uses crt; Vara: integer;  b:real; Ass DjoKABWE MULAJA 10
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Begin Write(‘entrer un nombre entier :’) ; Readln(a) ; ifa < > 0 Then Begin  b:=1/a ; Writeln(‘l’inverse de a est :’ , b) ; end; End.
IV.1.2. Instruction « if…then…else… ; »
Dans certains cas, on pourra exécuter des instructions si la condition est vraie ou si elle est fausse. Les deux syntaxes sont les suivantes : Ifexpression_logique Theninstruction Elseinstruction ; Ou Ifexpression_logique  Then  Begin  Instruction_A1;  …  Instruction_An;  End  Else Begin Instruction_B1;  …  Instruction_B2; End Exemple Programexemple_alter; Uses crt; Vara : integer; Begin  Write(‘entrez un nombre entier’) ;  Readln(a) ;  Ifa>0 Then writeln(‘votre nombre est positif’)  Elsewriteln(‘votre nombre est négatif’) : End.
IV.1.3 Instruction « Case…of…else…end; » Pour éviter l’imbrication de plusieurs instructions «if» quand il y a plus de 2 choix, on préférera utiliser l’instruction de choix multiples «case». La syntaxe est la suivante :
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