UE Histoire des sciences – Master LophissSC2 20112012 Liste de ...
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Description

UE
Histoire
des
sciences
–
Master
Lophiss­SC2
2011­2012
Liste
de
sujets

Mode
d'évaluation
:
deux
sujets
au
choix
doivent
être
choisis
dans
la
liste
proposée
mais
relèveront
 impérativement
 de
 deux
 modules
 distincts
 du
 cours.
 Les
 devoirs
 rendus
n'excéderont
pas
une
quinzaine
de
pages
par
sujet.
Sauf
 mention
 contraire,
 les
 articles
 qui
 figurent
 dans
 les
 courtes
 bibliographies
 sont
disponibles
en
ligne
dans
l'environnement
numérique
de
travail
(ENT)
de
Paris‐Diderot.
Des
 copies
 des
 chapitres
 des
 livres
 non
 disponibles
 à
 la
 bibliothèque
 générale
 de
l'Université
 seront
 éventuellement
 proposées
 aux
 étudiants
 qui
 choisissent
 les
 sujets
correspondants.

Premier
module
:
Traditions
scientifiques
anciennes
:
problèmes
et
enjeux
1.
Science
ou
non
science
:
sur
les
formes
d'inférence
dans
les
pratiques
de
divination.
‐ Rochberg,
F.
(2009)
:
Conditionals,
Inference,
and
Possibility
in
Ancient
Mesopotamian
Science,
Science
in
Context
22(1),
5–25
(2009).
  • comment
 peut‐on
 décrire
diverses

  • 
l'exemple
de
l'
  • 
‐ rochberg
  • des
 livres

  • notion
 de

  • la
 note

  • 
‐
 geoffrey

  • 

 

  • on
 the


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Langue Français

Extrait

UE
Histoire
des
sciences
–
Master
Lophiss­SC2

2011­2012

Liste
de
sujets


Mode
d’évaluation
:
deux
sujets
au
choix
doivent
être
choisis
dans
la
liste
proposée
mais

relèveront
impérativement
de
deux
modules
distincts
du
cours.
Les
devoirs
rendus

n’excéderont
pas
une
quinzaine
de
pages
par
sujet.

Sauf
mention
contraire,
les
articles
qui
figurent
dans
les
courtes
bibliographies
sont

disponibles
en
ligne
dans
l’environnement
numérique
de
travail
(ENT)
de
Paris‐Diderot.

Des
 copies
 des
 chapitres
 des
 livres
 non
 disponibles
 à
 la
 bibliothèque
 générale
 de

l’Université
seront
éventuellement
proposées
aux
étudiants
qui
choisissent
les
sujets

correspondants.


Premier
module
:
Traditions
scientifiques
anciennes
:
problèmes
et
enjeux

1.
Science
ou
non
science
:
sur
les
formes
d'inférence
dans
les
pratiques
de

divination.

‐ Rochberg,
F.
(2009)
:
"Conditionals,
Inference,
and
Possibility
in
Ancient

Mesopotamian
Science",
Science
in
Context
22(1),
5–25
(2009).

‐ Rochberg,
F.
(2004)
:
«
The
Heavenly
Writing.
Divination,
Horoscopy,
and

Astronomy
in
Mesopotamian
Culture»,
chapitre
7,
«
The
classification
of

Mesopotamian
celestial
inquiry
as
science
».
Copie
disponible
sur
demande.

‐ Bottéro,
J.
(1987)
:
Mésopotamie,
l'écriture,
la
raison
et
les
dieux
,
Gallimard,

Folio
Histoire.


‐ Ritter,
J.
(1989)
:
«
Babylone
‐1800
‐
Chacun
sa
vérité
»
dans
Eléments

d'histoire
des
sciences,
M.
Serres.
Paris,
Bordas:
39‐61.


2.
L'impact
historiographique
de
la
découverte
des
sources
cunéiformes
dans
le

changement
de
perception
des
sciences
anciennes.


‐ Rochberg,
F.
(2004)
:
«
The
Heavenly
Writing.
Divination,
Horoscopy,
and

Astronomy
in
Mesopotamian
Culture»,
Prologue
et

chapitre
1,
«
The

Historiography
of
Mesopotamian
Science
».
Copie
disponible
sur
demande.


‐ Rochberg,
F.
(2002)
:
"A
consideration
of
Babylonian
astronomy
within
the

historiography
of
science",
dans
Studies
in
history
and
philosophy
of
science,

2002.

‐ Otto
Neugebauer,
(réédition
1990).
Les
sciences
exactes
dans
l'antiquité,
Actes

Sud,
ou
The
Exact
Sciences
in
Antiquity,
Dover,
1957.


3.
Comment
arbitrer
entre
plusieurs
interprétations
?
Variété
d’interprétations

des
sources
anciennes
:
deux
exemples
privilégiés
(la
tablette
P322,
la
tablette
BM

13901).

‐ J.
P.
Britton,
C.
Proust,
et
S.
Shnider
(2011).
"Plimpton
322:
a
review
and
a

different
perspective."
Archive
for
History
of
Exact
Sciences
65(5):
519‐566.

‐ Robson,
E.
(2001)
:
"Neither
Sherlock
Holmes
nor
Babylon
:
A
Reassessment

of
Plimpton
322",
dans
Historia
Mathematica
(28)
2001.

‐ Otto
Neugebauer,
(réédition
1990).
Les
sciences
exactes
dans
l'antiquité,
Actes

Sud,
ou
The
Exact
Sciences
in
Antiquity,
Dover,
1957.
Chapitre
1.

‐ Caveing,
M.
(1994).
Essai
sur
le
savoir
mathématique
dans
la
Mésopotamie
et

l'Egypte
anciennes,
Presses
Universitaires
de
Lille.

‐ Thureau‐Dangin,
F.
(1938).
Textes
Mathématiques
Babyloniens.
Leiden,
Ex

Oriente
Lux,
Introduction
et
chapitre.
I,
p.
1‐11

‐ Høyrup,
J.
(2010).
L'algèbre
au
temps
de
Babylone
­
Quand
les
mathématiques

s'écrivaient
sur
de
l'argile,
Vuibert,
Préface
de
Karine
Chemla,
introduction
et

chapitre
2.


4.
Existait­il
des
langues
formelles/artificielles
dans
les
traditions
savantes
de

l'Inde
ancienne?
Est
ce
un
bon
critère
pour
qualifier
la
scientificité
de
ces

disciplines
savantes?

‐ Staal,
Frits
«
The
Science
of
Language»,
in
The
Blackwell
Companion
to

Hinduism,
347‐359,
2007.

‐ Bronkhorst,
Johannes
«Panini
and
Euclid:
reflections
on
Indian
Geometry»

in

Journal
of
Indian
Philosophy
29
(1‐2):
43‐80,
2001.

‐ Roddam,
Narasimha
«Epistemology
and
Language
in
Indian
Astronomy
and

Mathematics»
in
Journal
of
Indian
Philosophy
35:
521‐541,
2007.


5.
A­t­il
existé
«
une
science
alternative
»
dans
le
sous­continent
indien?

‐ Texte
de
Caraka
vu
en
cours.

‐ Nanda,
Meera,
«
Prophets
facing
backward:
postmodern
critiques
of
science
and

Hindu
nationalism
»
in
India,
Rutgers
University
Press,
2003.

‐ Nandy,
Asis
«Alternative
Sciences»,
OUP,
1995.

Si
vous
choisissez
ce
sujet,
vous
pouvez
obtenir
une
copie
de
ces
textes,
en
vous

adressant
à
Agathe
Keller.


6.
Les
systèmes
calendaires
chinois.
‐ Sivin,
Nathan,
«
Cosmos
and
computation
in
early
Chinese
mathematical

astronomy
»,
T'oung
Pao,
55,
1969.
Texte
à
télécharger
sur
le
site
du

département.


7.
Être
médecin
dans
la
Chine
du
Moyen
Age.

‐ Hymes,
Robert,
«
Not
quite
gentlemen:
Physicians
in
Sung
and
Yuen
China
»,

Chinese
science,
8,
1987.
Disponible
sur



 http://www.uni‐tuebingen.de/sinologie/eastm/back/pdfs/eastm_vol8_1987.pdf

Consigne:
La
question
que
je
voudrais
voir
traiter
est
celle
de
la
variété
des
profils
de

personnes
qui
s'engagent
dans
des
activités
de
savoir,
le
rôle
de
l'Etat,
des
stratégies

familiale,
etc,
sur
la
base
du
cas
de
la
médecine
dans
la
Chine
du
Moyen‐Age.
Je
pense

que
l'article
est
riche
et
qu'il
peut
être
un
point
de
départ
à
partir
des
notes
duquel
les

étudiants
peuvent
prendre
des
chemins
variés.
L'article
permet
aussi
de
réfléchir
à
la

question
des
sources
de
l'histoire
des
sciences.


8.
Haudricourt,
Métailié,
et
les
articles
qu’ils
citent


Consigne:
problème
de
la
représentation
des
plantes.


9.
Histoire
des
mathématiques
au
Japon
:
les
frontières
nationales
sont­elles
un

bon
cadre
pour
l’histoire
des
sciences

‐
Annick
Horiuchi,
Les
mathématiques
japonaises
à
l'époque
d'Edo,
Vrin
1994.

Il
vient
d'en
sortir
une
version
anglaise,
mise
à
jour,
chez
Birkhaueser.
Consulter
si

possible
cette
dernière.


10.
Qu’est­ce
que
calculer
?

Partir
des
descriptions
de
l'usage
des
baguettes
telles
qu'on
les
employait
dès
les
débuts

de
notre
ère
en
Chine,
descriptions
qu'on
trouve
dans
les
diverses
publications

suivantes
(On
peut
se
concentrer
sur
multiplication
et
division):

‐
Li
Yan,
Du
Shiran,
Chinese
mathematics:
a
concise
history,
pp.11‐19

ainsi
que
dans
Martzloff,
Histoire
des
mathematiques
chinoises
:
selon
qu’on
le
trouvera

en
francais
ou
en
anglais,
les
pages
diffèrent.
Il
s'agit
du
chapitre
sur
les
instruments
de

calculs
et
du
debut
de
celui
sur
les
techniques
de
numération.

Voir
également,


‐
K.
Chemla,
"Positions
et
changements
en
mathématiques
à
partir
de
textes

chinois
des
dynasties
Han
à
Song‐Yuan.
Quelques
remarques",
Extrême­Orient,

Extrême­Occident,
18,
1996,
p.
115‐47.
Article
en
ligne
à:
http://persee.cines.fr/web/revues/home/prescript/article/oroc_0754‐
5010_1996_num_18_18_1021.
(vise
à
reflechir
sur
ce
que
sont
les
positions
dans

la
pratique
des
calculs
avec
baguettes)

——"Le
jeu
d'opérations
opposées
mais
complémentaires
dans
les
textes

mathématiques
chinois
anciens.
Premières
remarques",
in
:
Siegmund
Probst,
K.

Chemla,
Agnès
Erdély,
Antonio
Moretto,
Ceci
n'est
pas
un
festschrift
pour
Imre

Toth,
29‐12‐1996.
Consultable
à
l’adresse
http://halshs.ccsd.cnrs.fr/halshs‐
00004274/
(montre
des
considerations
philosophiques
sans
doute
à
l'oeuvre

dans
la
maniere
de
pratiquer
les
opérations
de
multiplication
et
division).

Puis
se
tourner
vers
les
transformations
des
manières
de
calculer,
que
décrivent

‐
Li
Yan,
Du
Shiran,
Chinese
mathematics:
a
concise
history,
pp.175‐185

et
l'article
de
Lam
Lay
Yong,
Isis,
1972.
Lam
Lay
Yong
a
également
traduit
un
ouvrage

chinois
du
13e
siècle
du
même
auteur
que
celui
dont
son
article
parle
(Li
Yan,
Du
Shiran,

Chinese
mathematics:
a
concise
history,
y
renvoie
dans
les
pages
en
question).
Il
est

possible
de
creuser
de
ce
côté‐là.

La
problématique
que
je
propose
de
prendre
pour
ce
mini‐memoire,
c'est:
qu'est‐ce
qui

est
 en
 jeu
 dans
 la
 manière
 dont
 on
 calcule?
 (outil
 de
 réflexion

mathématique/philosophique/commodité
 des
 calculs,
 etc)
 Comment
 peut‐on
 décrire

diverses
manières
de
calculer,
pour
parvenir
à
rendre
compte
des
différences
entre

elles?


11.
Qu’est­ce
que
«
l’histoire
cognitive
»
?
Le
cas
des
diagrammes
dans
les

mathématiques
grecques.

‐
Reviel
Netz
(1999),
The
shaping
of
deduction
:
a
study
in
cognitive
history,

Cambridge.

‐
Reviel
Netz
(2005),
«
The
limits
of
text
in
Greek
Mathematics
»,
Boston
Studies

in
the
Philosophy
of
Science
1,
vol.
238,
History
of
science,
history
of
text,
Part
IV,

161‐176.


12.
Quel
statut
et
quel
contexte
pour
les
textes
mathématiques
de
l’Antiquité
?
Le

cas
de
la
rhétorique
ancienne.

‐
Alain
Bernard
(2003

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  • BD BD
  • Documents Documents