La lettrine Culture (décembre 2011)
24 pages
Français

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Description

Le magazine de décembre 2011. Retrouvez vos auteurs.

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Publié par
Publié le 03 décembre 2011
Nombre de lectures 389
Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Extrait

    
LA REVUE DE NO
                                             
                                     
L 
 
     
Chapitres
LES GRANDS AUTEURS HARLAN COBEN, BEIGBEDER...Page 4-6
ENTRETIEN OPHIE HERFORT Page 7-8
LES AUTRES AUTEURS Divine KANZA, Calouan... Page 9-16
FAITS DIVERS LA LETTRINE CULTURE LA Délicatesse page 17-18
QUI SOMMES-NOUS ? n savoir plus sur nous, nos anciens numéros...page 19-24
     
Rien ne s'oppose à la nuit : Bouleversant portrait d’une femme bipolaire, Rien ne s’oppose à la nuit est aussi l’occasion, pour Delphine de igan, de résoudre l’énigme de la douleur maternelle.
Retour à Killybegs :  Sorj Chalandon renoue ici avec les batailles irlandaises, les slums de Belfast et les vertes terres d'Erin. Tyrone Meehan, traître du roman éponyme, prend la parole dans "Retour à Killybegs" .
Sans un adieu : Laura Ayars et David Baskin sont un couple connu, Laura est top model devenue femme d'affaires et David, une superstar de l'équipe de basket des Celtics. près une lune de miel, un évènement tragique surgit : David s'en va nager et n'est plus de retour. Harlan Coben nous réserve un on suspense qui fait révolutionner le monde du thriller.
Premier bilan après l'Apocalypse : Un livre subjectif et totalement personnel, Begbeder ne se prive pas non plus de mettre des auteurs contemporains (Jauffray Depentes, Houellebecq), certains sont logiques, d'autres surprennent, mais tous sont raiment des livres qu'il défend avec son coeur.
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Donnez-nous un peu plus d'informations concernant votre dernier livre "Le Jocond- Qui était vraiment Mona Lisa ? publié aux éditions Michel Lafon ? Que souhaitez-vous faire partager aux lecteurs ? Ce que je souhaite partager avec le lecteur, c'est déjà d'une part ma passion immodérée pour la quattrocento et pour Léonard de inci, le génie certes mais l'homme surtout dont on entend moins souvent parler en raison de son apparente discrétion alors que ses pairs n'ignoraient pas son homosexualité ni ses liens privilégiés avec ses élèves : Melzi et le fameux Salaï dont il est question dans l'ouvrage. Ma thèse porte sur l'identité de la célèbre Joconde, à savoir qui était la muse de la salle 6 du Louvre ? Pour moi, il ne fait aucun doute que la thèse officielle qui fait autorité depuis 500 ans est fausse. Je fais référence à la thèse de asari à laquelle je n'adhère pas du tout.
Ce peintre et biographe, contemporain de Léonard de Vinci n'a selon les esperts du centre de recherches du Louvre jamais vu l'œuvre de sa vie, on se demande bien comment, il peut être à ce point certain que Mona Lisa Gherardini est le modèle ayant servi à la Joconde que Léonard a par ailleurs laissé vierge de titre! Pour moi, c'est inconcevable ! Surtout que dans son "Vite", un essai écrit trente ans après la mort du maître, Vasari en fait un descriptif faussé. Il dit qu'elle a des sourcils. La Joconde n'en a pas! Que l'on peut voir ses veines saillir sous la peau, alors que le procédé employé pour peindre le visage de La "Joconde" l'interdit. Le sfumato mis au point par Léonard a pour but de rendre un visage aporeux, idéalisé, sans trace d'humanité et cet habile procédé technique se compose d'une vingtaine de couches de glacis superposées, alors voir des veines saillir sous la peau, me paraît impossible! Léonard couchait dans ses carnets le nom de ses commanditaires. Il n'a jamais mentionné le nom de Francesco Bartolomeo del Giocondo (soit disant commanditaire du portrait de son épouse : Mona Lisa Gherardini). Il y a ien un "comte Francesco" dit Francesco Melzi, amant et élève de Léonard mais pas de Francesco Bartolomedo del Giocondo, marchand de tissu florentin de son état et qui n'a amais croisé la route du maître! Notons par contre cette extrême ressemblance entre La Joconde" et le " portrait du " Saint Jean Baptiste". A propos de ce dernier, Salaï amant de Léonard posera de façon certifiée, ne trouvez-vous pas la ressemblance frappante? Merci Sophie Herfort.
page 8
 
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