Les jeunes et la littérature
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Les jeunes et la littérature

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Description

Voici quelques extraits de littératures de jeunes talents littéraires insoupçonnés m'ayant honorés de l'autorisation de les publier.

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Publié par
Publié le 26 octobre 2011
Nombre de lectures 467
Langue Français

Extrait

  
Chers lecteurs, Bloggeuse sur Skyrock, jai découvert quelques jeunes talents insoupçonnés. Je suis fière de publier quelques extraits de leurs réflexions, de leurs souffrances si magnifiquement écrites. Voici des extraits de livres, des critiques littéraires mais aussi des textes écrits avec amour et détresse.    
La critique est un vice
http://la-critique-est-un-vice.skyrock.com/
Description :
Je ne recherche ni la gloire, ni le succès. Je veux simplement des avis qui m'aident à avancer.
Laissez-vous transporter. Je ne veux que partager avec vous, ce qui me tient àcœur
J'ai un rêve fou... Celui d'être publié un jour et que mes écrits soient reconnus.
Voilà un extrait de mon livre "la critique est un vice . " Javais déjà coupé la conversation, avant qu’elle n’eu le temps de répondre. Aurore c’était toujours posé beaucoup trop de question. Elle était ce genre de fille qui sans cesse se demandait si elle était bien. Les femmes, je métais souvent questionné sur elles. Sur ce qu’elles pensaient, sur ce qu’elles étaient. Brunes blondes, rousses. Grandes, petites, minces, potelées. Les femmes font comme tout être humain, parties de notre monde. Certaines sont provocantes, et vous regardent de leur air hautain. Leurs sourires est comme une demande implicite, une invitation à les rejoindre. Et puis il y à celles qui baissent la tête, se renferment, vous esquissent un sourire incertain comme une première approche. Elles ont un espoir que l’on fasse le premier pas vers elles. Dautres au contraire, sont directes. Elles nous côtoient comme si nous ne venions pas de nous rencontrer, au détour dune ruelle. Elles nous invitent à boire un verre, parlent des heures et sen vont, en toute bonne amitié. Il y a aussi
ces femmes jalouses. Fragiles, vulnérables qui se sont déjà fait tromper, ou on eu un traumatisme enfantin, qui leur a fait perdre toute notion de confiance. Elles contrôlent, demandent, étouffent par peur de perdre, mais se sont des femmes pour lesquelles leur amour ne peut être remise en cause, tellement il est réel. Et puis il y a ces femmes joueuses. Celles qui vous charment, vous séduisent. Celles avec qui vous profitez de tout. Vous vous laissez aller, pour plus tard recommencer à jouer. Moi je nai vu qu’une femme. L’unique dans ma vie. Celle qui au départ était timide, puis se lâchait à force de rendez vous. Qui parlait peu, mais qui apprenait au fil du temps à se dévoiler. Celle qui après un moment de divagation, est entré dans ma vie et la changé. Elle ma fait grandir et apprécier la vie telle quelle est. Son sourire était une délivrance. Ses yeux admiratifs, étaient signe d’amour. Sa jalousie témoignait de son amour. Cette femme est belle. Peut importe la couleur de ses cheveux. Son poids. Sa taille. Je ne voyais plus quelle, car elle était mienne. La moitié de mon cœur. Toutes autres femmes, s’étaient effacées de mon champ de vision. Je n’admirais qu’elle, car elle était mon avenir. Je naimais pas en elle ce qu’elle s’efforçait de paraître auprès des autres, mais en priorité la pureté de son âme. Aujourd’hui, son âme n’a pas changé, mais notre situation n’est plus la même. Parfois il y
a des jours, où les souvenirs m’assaillent tellement, qu’ils laissent en moi un goût amer. J’ai l’impression que je pourrais changer le cours des choses, mais j’ai si souvent essayé. Rien n’y a fait. Et si cette soirée, n’aurait pas pris cetournant, je ne sais pas ce qu’il en serait advenu. Parfois la vie nous laisse de mauvaises surprises. L’incompréhension qui s’était emparé de moi, m’avait refroidi l’esprit. En ce moment là, plus rien ne comptait. Mes études étaient devenues le centre de ma vie, et jamais je n’avais pensé à ce que tout pouvait provoquer. Lécoute, la compréhension, et les discussions, étaient maître de notre couple. J’en ai voulu à Aurore,de ne pas m’en avoir parlé avant.Et cette prise de conscience, d’un éloignement, m’avait laissé au fond de l’estomac, une boule lourde de remords. Si par amour, j’aurai du m’en rendre compte, c’était pour le bien de notre futur, qu’elle mavait quitté. Trop studieux et moins attentionné, ses mots étaient devenus les maux de moncœur. J’aurai changé. Tout plaqué même. Mais les coups de fils nont pas réussi à renouer le passé au présent. Huit ans de vie commune, envolé. Tant de complicité et d’enjouement face à notre bonheur. C’est lorsqu’elle est partie pour de bon, que j'ai compris à quel point je l’aimais.
la-critique-est-un-vice
Deux jours après que mon frère soit revenu, son cœur c'est éteint. La lumière qui brillait jusqu'aux derniers instants dans ses yeux, c'est envolé en même temps que son âme. Elle est partie le sourire aux lèvres, sa main dans la mienne. J'étais seul se jour là, et lorsque ses yeux se sont fermés, je l'ai encore plus été. Mon cœur à failli s'éteindre aussi. J'ai perdu ma mère. La femme qui m'avait donné la vie. Le plus dur dans tout ça, ça a été de prévenir mon père. Mes doigts ont tremblé, lorsque j'ai sorti mon téléphone. Comme si son cœur était toujours rattaché à celui de ma mère, il à décroché déjà à moitié en pleur. Il suffoquait et mon cœur c'est crispé. J'aurais aimé être la  pour lui. Il m'a seulement demandé si c'était fini. Je n'ai pu lui répondre. Les larmes qui
coulaient le long de mes joues, m'empêchaient de dire quoi que se soit. Il m'a lancé un « j'arrive » et à raccroché. Une infirmière ainsi qu'un aide soignant, étaient arrivés entre temps. Mais lorsque la mort nous attire à elle, et qu'on ne peu plus faire marche arrière, le massage cardiaque n'à été là, que pour leur donner bonne conscience. Je les ai poussés lorsqu'ils ont finis, leur demandant un moment seul. J'ai serré ce corps inerte contre moi, ma poitrine meurtrie contre la sienne éteinte. Je l'ai embrassé comme une dernière fois, m'imprégnant de tous ses traits, me jurant de ne jamais l'oublier. Deux mains se sont posés sur mes épaules. Mon père était là. Malgré ma vision brouillée, j'apercevais la blancheur de sa peau. Il avait regardé sa femme, d'un regard amoureux. J'avais vu luire dans ses yeux, une lueur. Comme si les souvenirs avaient défilé dans son esprit. Comme si il se souvenait de son adolescence, de sa vie tracé avec elle. Il m'avait dit un jour, que sa plus grande peur, même après autant d'années de mariage, serait de la perdre. Il m'avait avoué ressentir toujours autant de sentiments et qu'il veillerait à jamais sur elle. Il l'aimait et était heureux de ne pas être tombé dans la routine. Mes parents faisaient parti des rares personnes âgées, qui se promenaient encore mains dans la main. Je l'imaginais maintenant seul, condamné à marcher les mains dans ses poches.
          
 
     
 http://way-0ut-of-my-mind.skyrock.com/ .Des lettres, des mots, des phrases, des textes..Plaise à celui qui aime lire.Ouvrez grand vos yeux et laissez votre imagination divaguer....------------------
Justeunchemin,endehorsdemonesprit.
Protégez-Vous.
Jevaismourir
Un jour à attendre, puis un mois. Douze mois sans signe d'espoir et bientôt deux ans.En vain je me bats. Le sang qui coule dans mes veines est contaminé. Le processus c'est déclenché, ma vie est désormais comptée. J'aimerai te dire de revenir vers moi, que mes derniers instants je veux les vivre avec toi. Mais qui sait ? Demain sera peut-être la fin, ou le commencement d'une toute autre vie sans fin proche. Personne ne le sait. Alors je profite, en mal de vivre. Je me tue pour respirer, empoisonné par tous ces médicaments. Je n'avais rien demandé. Et j'ai compris lorsque le médecin est revenu, ce fameux jour. J'ai compris lorsque dans ses yeux, j'y ai vu une lueur s'éteindre.
«Tu es atteinte du VIH».
Triste, déboussolée, l'accepter est la seule solution. Vous êtes impuissant face à cela. Et moi je l'aimais. Et moi j'avais confiance en lui. Je lui ai donné mon cœur, comme un signe d'amour. Je lui ai appris à affronter la vie, main dans la main. Il n'a su que me trahir. Déçue, je l'ai été. En colère aussi. Mais que faire ? Mes sentiments n'ont pas diminué. Je l'ai insulté, injurié, prié de disparaître à tout jamais. Il l'a fait, après maintes excuses. Seulement il est trop tard. J'ai en moi le poison d'un amour. J'ai en moi, la mort qui peut frapper à tout instant. Et je n'ai pas peur. J'ai juste froid sans ses bras. Je sais que lui seul me comprendrai, mais j'ai tellement de rancœur. Je lui en veux et pourtant parfois je voudrai qu'il soit là. Mes pleurs témoignent ma faiblesse. Cette maladie est la pire qui puisse exister. Elle est irréversible. Une fois que notre corps y est emprunt, on ne peut s'en débarrasser. Jevaismourir...Ouicommetoutlemonde.Seulement mes heures sont comptées. L'amour c'est beau, parfois ça fait mal. Moi je n'ai vécu que des moments merveilleux,mais
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