baguettes - Grain de rizn° 38
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baguettes - Grain de rizn° 38

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Nombre de lectures 203
Langue Français
Poids de l'ouvrage 6 Mo

Extrait

osul a'ovsnLe. oi v. làLe «arg d niir e »zeau nouvarriest oLgnév .eia euv n aigru . iz rdeicossa'Lop noitanob noohruustis hemin. Amme de caisu emsel ohtn-riè aess deempr telt uo sùonneé contaitde é monorter es ed tnetueoqévr ou peruvdler ans esné  ,e notre jeunesselus oy fes l lous erisnep se ,stannooinsou mreus heul  a eedadsniv enous ed pvéd aebuocu'l eossa- ,leelf re aeds on mieux pour qu àlioVèvel rlalàt ese nestuomeDes instants à partager. Les rencontres estivales sont des moments privilégiés où l'on a le temps de partager avec les autres le plaisir de se retrouver, d'aller à la pêche, jouer à la pétanque, ou simplement papoter au bord de la Loire et profiter du soleil. C'est le rare moment où tout le monde est disponible, on est là juste pour être ensemble, un peu hors du temps: le passé, le présent et le futur s'entremêlent. A ceux qui ne sont pas sur la photo on vous attend l'année prochaine à la rencontre estivale du mois d'août 2010 à Vouvray.A bientôt.Publication de l'association des anciennes et des anciens de la F.O.E.F.I.Fédération des Oeuvres de l'Enfance Française d'IndochineGrain de riz n° 38On l'attendait, on espérait, on désespérait mais finalement il est arrivéNEstnnmi éccaapuevisaltoi rtènqéer( suef eii )jmnesa  sedmpqnataèu inriàs en  nncérteeee  ut,v  oxpus u(eoeje nou)ss su,co oresn nl.l tsa e Eautsp  uxaaq xsuu f csri esèanirn moepcsuaoe rsrn aeesotd  onrenteas s tuq rqxpuo uliuteust vsoén ée.p(oueau)rrsss-   succèdent les années de la matu-éfoefi, les années Lem tbeé unrrtee nadoua undvsee  lll'éaa,  suscnoo ccnihtaitaninougint eéa-.  rité où, à partir de notre passé com-mun, nous essayons de construire Un coup de chapeau et des relations plus profondes et des remerciements cha-plus solidaires.leureux aux anciens qui Sib, eaeunctroeu-pn oéuvso qnuéo ulsé paovqoune s p oetn tq uim ceonnét inl'uaesnsto cài sa'tiimonp liqauveerc.  avons très peu parlé de notre blessure commune : de ciation vive et puisse répondre aux attentes de tous. Mais labsence de nos mères et de nos pères. Cette blessure n'oubliez surtout pas que la force d'une association, c'est la était si profondément enfouie en nous que très peu vitalité de ses adhérents, de ceux qui sont toujours là pour dentre-nous en ont parlé, à leur femme, et surtout à leurs donner un coup de main. Aussi, faisons connaître l'associa-enfants. Cest pour rompre ce silence que nous avons accep-tion et, chacun à notre niveau, incitons les anciennes et les té de témoigner dans le film de Philippe Rostan, « Inconnu, anciens de la FOEFI à adhérer (celles ou ceux qui ne le sont présumé Français » où beaucoup se reconnaîtront dans ce pas encore ou qui ne le sont plus) pour qu'ils nous rejoignent titre. A travers le film, nous avons voulu dire que nous avons et participent aux rencontres qui restent des moments inou-tous eu à porter cette blessure et quil est temps aujourdhui bliables.     Jacqui M.d’en parler, entre-nous, avec nos enfants qui eux aussi ont souffert de nos silences et qui ont besoin de savoir.1
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