Radionuclides Public Comment Table Summary - FRE 3sept04.d…
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Deuxième Liste des substances d’intérêt prioritaire (LSIP2) – Commentaires sur l’évaluation des rejets de radionucléides à partir des installations nucléaires (effets sur le biote non humain) Les commentaires sur le Rapport provisoire d’évaluation des rejets de radionucléides à partir des installations nucléaires (effets sur le biote non humain) figurant dans la LSIP2 établie en vertu de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement 1999 (LCPE 1999) ont été fournis par les intervenants suivants : 1. Comité consultatif de la radioprotection 2. Énergie atomique du Canada limitée 3. BEAK International Inc. — au nom de COGEMA, Rio Algom et Denison Mines Limited 4. Cameco 5. COGEMA Resources Inc. 6. Denison Mines Limited 7 Inter-Church Uranium Committee Educational Co-operative 8. Un citoyen de la Saskatchewan 9. Société d’énergie du Nouveau-Brunswick 10. Rio Algom 11. Ontario Power Generation 12. Ministère de l’Environnement et de la Gestion des ressources de la Saskatchewan 13. Saskatchewan Mining Association 14. SENES Consultants — au nom de Rio Algom et Denison Mines Limited Les commentaires et les réponses sont résumés ci-dessous par Environnement Canada. (Tous sont basés sur la version anglaise du rapport.) Commentaires (source) Réponse Généralités 1. L’industrie est déjà strictement réglementée en vertu des lois La protection de l’environnement ne faisait pas partie de la Loi sur le contrôle de fédérales et provinciales, ...

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Deuxième Liste des substances dintérêt prioritaire (LSIP2)  Commentaires sur lévaluation des rejets de radionucléides à partir des installations nucléaires (effets sur le biote non humain)  Les commentaires sur le Rapport provisoire dévaluation des rejets de radionucléides à partir des installations nucléaires (effets sur le biote non humain) figurant dans la LSIP2 établie en vertu de la Loi canadienne sur la protection de lenvironnement 1999 (LCPE 1999) ont été fournis par les intervenants suivants :  1. Comité consultatif de la radioprotection 2. Énergie atomique du Canada limitée 3. BEAK International Inc.  au nom de COGEMA, Rio Algom et Denison Mines Limited 4. Cameco 5. COGEMA Resources Inc. 6. Denison Mines Limited 7 Inter-Church Uranium Committee Educational Co-operative 8. Un citoyen de la Saskatchewan 9. Société dénergie du Nouveau-Brunswick 10. Rio Algom 11. Ontario Power Generation 12. Ministère de lEnvironnement et de la Gestion des ressources de la Saskatchewan 13. Saskatchewan Mining Association 14. SENES Consultants  au nom de Rio Algom et Denison Mines Limited  Les commentaires et les réponses sont résumés ci-dessous par Environnement Canada. (Tous sont basés sur la version anglaise du rapport.)   Commentaires (source)  Généralités 1. Lindustrie est déjà strictement réglementée en vertu des lois La protection de lenvironnement ne faisait pas partie de la Loi sur le contrôle de fédérales et provinciales, notamment par la Commission canadienne lénergie atomique (1948). Ainsi, les membres du public ont pu démontrer au de la sûreté nucléaire (CCSN) et la Loi sur la sûreté et la groupe dexperts-conseils des ministres que les risques potentiels des rejets de réglementation nucléaires (LSRN 2000) (4,5,13) . radionucléides à partir des installations nucléaires pour les espèces non humaines justifiaient une évaluation environnementale en vertu de la LCPE. Dans le rapport dévaluation révisé, il est établi que la LSRN 2000 confère à la CCSN lobligation juridique de protéger lenvironnement. Le nouveau mandat de la CCSN sera étudié par les ministres lorsquils auront à décider de la façon de gérer les risques associés aux rejets de radionucléides à partir des installations nucléaires.
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Commentaires (source)  Réponse 2. Les conclusions entrent en conflit avec les activités fédérales- Lévaluation fédérale-provinciale des nouvelles mines et usines de concentration provinciales conjointes dévaluation environnementale et de duranium a reconnu que les effets des effluents entiers se feraient sentir dans le délivrance de permis qui ont établi que les mines et les usines de champ proche, mais a conclu que les mines et les usines pouvaient être exploitées concentration duranium ne posaient pas de risque important pour sans risque environnemental important dans le champ lointain. lenvironnement (4,5,13) . 3. Este-ce que la proposition visant à considérer les aires de gestion Les rejets de toutes les sources à cinq centrales nucléaires ont été évalués ensemble des déchets comme toxiques aux termes de la LCPE signifie que les et représentaient peu de risques pour lenvironnement. Les aires de gestion des aires de gestion des déchets de réacteurs de puissance sont aussi déchets à ces endroits navaient pas réellement dincidence sur le quotient de toxiques aux termes de la LCPE (10) ? risque, parce quelles sont conçues de manière à ne pas occasionner de rejets dans lenvironnement. Dans le rapport révisé, on conclut que les rejets de radionucléides provenant daires de gestion des déchets « autonomes » ne causent pas de dommages à lenvironnement. 4. Aucune reconnaissance de lutilisation de combustible nucléaire au Ce commentaire dépasse la portée de lévaluation des risques. lieu de mazout ou de charbon (13) . 5. La déclaration dune substance comme étant toxique aux termes de Ce commentaire dépasse la portée de lévaluation des risques. la LCPE a des répercussions socio-économiques (13) . Scientifiques et techniques 6. Absence de consultation ou de contribution valable des exploitants La disponibilité dinformations précises dans les données et les rapports de la de mines et dusines de concentration duranium (2,4,5,6,10,13).  CCSN explique, en partie, le faible taux de participation des intervenants à cette évaluation. Ces derniers ont eu loccasion dexaminer les données utilisées pour évaluer chaque installation et de faire des commentaires au sujet du document justificatif provisoire. De plus, ils ont pu présenter de nouvelles données à la réunion des intervenants de décembre 2000 et aux trois ateliers dune journée en mars 2001 au cours desquels ont été étudiées les questions techniques. 7. Lévaluation ne comprend pas de renseignements appropriés pour Le document dévaluation, de même que le document justificatif, contiennent des les décisions de gestion des risques (13,14).  renseignements sur les taxons les plus susceptibles de subir des effets nuisibles à chaque endroit, la localisation de ces effets, une indication de la répartition spatiale de ces risques et une estimation de lampleur des effets, de même quune indication des radionucléides qui sont préoccupants. 8. Absence dexamen indépendant (1,2,3,4,5,6,8,10,11,13,14).  Un examen par des pairs a été entrepris parallèlement à la période de 60 jours de commentaires du public et des intervenants. Les noms des examinateurs indépendants et leurs commentaires ont été communiqués aux intervenants aux fins dévaluation. Leurs noms sont aussi inclus dans le rapport dévaluation révisé. 9. Inclusion des données sur les rejets de radionucléides à lintérieur Puisque le biote aquatique peut se retrouver dans les eaux de surface près des
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Commentaires (source)  Réponse des limites du projet, comme si elles étaient représentatives du milieu canalisations du point de rejet, les données sur la concentration à ces endroits récepteur (2,4,5,13).  peuvent être utilisées pour estimer lexposition. Pour cette raison, les lacs qui reçoivent des effluents dans le champ proche / zone de mélange font partie de lévaluation. On trouve des exemples semblables de répercussions sur place ou relativement locales qui ont été utilisés dans dautres évaluations réalisées en vertu de la LCPE pour appuyer une conclusion au sujet du caractère toxique aux termes de la LCPE. 10. Forte dépendance à légard des données de zones dextraction et Par définition, les installations nucléaires obtiennent leur permis de la Commission de traitement des minerais (lac Beaverlodge et rivière Serpent) (4,13)  de contrôle de lénergie atomique / CCSN. Par conséquent, lévaluation a été et exclusion de zones relevant du gouvernement du Canada (Port limitée aux installations détentrices de permis de la CCEA / CCSN au moment où Radium) (13).  la LSIP2 a été annoncée en 1995. Cest pour cette raison que Port Radium a été exclu. Puisque les emplacements de Beaverlodge et de la rivière Serpent nétaient plus en exploitation et étaient déclassés, les signes deffets possibles à ces endroits ne sont pas dune importance cruciale pour la détermination de la toxicité aux termes de la LCPE. 11. Exclusion de deux nouvelles installations de pointe (4,5,13) . Ces nouvelles installations, au lac McClean et à la rivière McArthur, ont obtenu un permis dexploitation en 1999 et nont pas été en exploitation suffisamment longtemps pour quon puisse disposer de données de surveillance de lenvironnement et des effluents pertinentes au moment où la portée initiale de cette évaluation a été établie. Depuis, ces données ont été recueillies et ajoutées au rapport dévaluation final. 12. La raison pour laquelle les données présentées au sujet des Les données présentées sur les installations du nord de la Saskatchewan sont plus installations dextraction et de concentration de luranium en nombreuses que pour la plupart des autres installations en raison de la nature de Saskatchewan sont substantiellement plus nombreuses que celles lévaluation, du lieu / de la nature des emplacements à létude et de la disponibilité dautres installations nucléaires nest pas évidente (12).  des données. La toxicité de luranium était une préoccupation aux installations dextraction, mais pas aux centrales nucléaires et dans les aires de gestion des déchets des Laboratoires de Chalk River, de sorte quaucune donnée sur luranium nest présentée pour ces dernières. De plus, les milieux récepteurs de ces dernières sont des systèmes plus simples que dans le cas des mines duranium; ainsi, la surveillance ne nécessite pas autant de données. 13. Il y a un certain nombre derreurs  Ces erreurs ont été corrigées. Dautres erreurs signalées ont aussi été vérifiées et  les données sur la concentration duranium ois  les valeurs pour luranium à Port Hope dansp loeu tr albel epau 5s.o2n7  ((33)) ;;   cdoer rcihgaéqeus ea iun sbteaslloaitni.o nL eàs  dfeesu iflilness  ddea cssalucrualn cfien adlee lsa  oqnut aéltiét ér eetm disaesu tareusx  rréevpirsiéosensn toanntt s  dautres données utilisées (3 ordres de grandeur) (3) ;  été apportées le cas échéant.  les facteurs de conversion de dose pour les C (3) ;   le QR de niveau 1 dans la rivière des Outaouais (3) ;  
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Commentaires (source)   le VESEO pour les mammifères; correction de lEBR pour le tritium (3).  14. La valeur estimée sans effet observé (VESEO) de luranium est Les données publiées sur la toxicité de luranium pour les reins sont importantes et fondée sur la valeur critique de la toxicité (VCT) la plus prudente confirment la pertinence des effets sur les reins. Toutefois, en réévaluant les pour la protection contre les effets mineurs réversibles sur les reins données sur la toxicité de luranium dont il a été question à latelier de mars 2001, chez les humains et na aucune pertinence pour la protection de la on sest rendu compte que le paramètre le plus sensible et le moins ambigu était la survie ou de la reproduction des animaux (3) . mortalité pour la souris nouveau-né. Par conséquent, la VESEO est maintenant fondée sur la mortalité pour la souris nouveau-né plutôt que sur les dommages permanents aux reins. 15. La VESEO de luranium établie pour le bison nest pas La VESEO de la toxicité de luranium pour la faune a été révisée et est maintenant appropriée pour représenter les petits mammifères et les oiseaux (3) . fondée sur la mortalité pour la souris nouveau-né. La VESEO pour la mortalité des souriceaux a été extrapolée en fonction de la masse corporelle du rat musqué, du bison et du renard roux. Dans le rapport révisé, on note quen raison du manque de données acceptables concernant les effets sur les oiseaux, il na pas été possible de fixer de VESEO.  16. La citation de Bosshard et coll. (1992) 1 appuyant une valeur seuil Maintenant que la VESEO pour la faune est fondée sur la mortalité des souriceaux, de 0,5 mg/kg pour luranium nest pas juste (seuil >2 mg/kg et aucun le commentaire est moins pertinent. Néanmoins, Bosshard et coll . (1992) 1  effet <1 mg/kg) (3) . précisent que les changements histopathologiques ne se produisent pas habituellement dans le rein avec une teneur en U dans lorgane <0,5 mg/kg. De plus, la concentration sans effet observé (CSEO) pour lU est estimée à 1 mg/kg-p.c./j. 17. La VESEO de luranium pour les plantes terrestres est trop Après avoir réévalué les données sur la toxicité de luranium à la suite des prudente et devrait être basée sur la germination (14) . réunions du groupe de travail technique de mars 2001, on a décidé de fixer la VESEO pour les plantes terrestres à un niveau équivalent à la CSEO de 300 mg/kg-p.s. mentionné dans une étude sur la germination.  18. Les VESEO de luranium établies pour Daphnia et Ceriodaphnia  Les études sur la toxicité de luranium pour Ceriodaphnia et Daphnia peuvent sont trop prudentes et les études dorigine sont difficiles à obtenir (3).  être obtenues auprès de la bibliothèque de la CCSN par prêt entre bibliothèques. La VESEO a été révisée à une seule valeur pour le plancton représenté par le zooplancton et le phytoplancton (algues) daprès la valeur moyenne des VESEO établies pour Ceriodaphnia , Daphnia et des algues deau douce dans le cadre de quatre études en eau douce. Une deuxième VESEO a été établie pour leau relativement dure, basée sur les données concernant les effets sur Daphnia . Dans tous les cas, le facteur dapplication utilisé était aussi petit que possible (p. ex., 1,0). 19. La VESEO de luranium établie pour les invertébrés benthiques La VESEO pour les invertébrés benthiques a été revue à la suite des discussions de daprès la concentration de dépistage de la plus faible dose latelier de mars 2001. La VESEO révisée est de 104 mg/kg-p.s., daprès la
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Commentaires (source)  Réponse produisant un effet pour le nord de la Saskatchewan et la toxicité des méthode de la concentration de dépistage et utilisant un facteur dapplication de 1. sédiments avec dopage à luranium par BEAK (3,5). La valeur de Cette valeur se situe dans léchelle des faibles niveaux deffets indiqués dans les BEAK International Inc. (1998) 1  de 57 mg/kg devrait être utilisée (te1s9t9s 8d)e 1  toxeitctité en laboratoire, y compris létude de BEAK International Inc. pour la VESEO (14).  . C e VESEO est aussi supérieure aux concentrations de fond types dans le nord de la Saskatchewan et dans la région dElliot Lake, en Ontario. 20. Erreur (x 100) de la concentration de fond de luranium, reportée La concentration de fond est juste. Des notes de bas de page appropriées ont été dans lévaluation de la toxicité de luranium (3).  ajoutées au tableau 6 pour fournir les sources des données et des hypothèses utilisées. 21. Erreur substantielle de la concentration de fond de luranium dans La valeur de base est exacte. Les sources des données et des hypothèses utilisées les sédiments dans le nord de la Saskatchewan (3) . sont fournies dans la note de bas de page du tableau 6. 22. Les risques pour le benthos de lexposition à luranium sont Comme il est indiqué au tableau 7 du rapport dévaluation final, les changements surévalués (3) . apportés à la valeur estimée de lexposition (VEE) et à la VESEO ont entraîné un QR de 0,03 pour le benthos du lac Dunlop, lieu de référence dans le bassin de la rivière Serpent. Toutefois, sept autres lacs qui ont reçu des rejets de mines et dusines de concentration duranium ont des valeurs légèrement supérieures à 1 (1,05  2,6) selon les données recueillies en 1999 dans le cadre du programme de surveillance du bassin de la rivière Serpent. 23. Le risque pour le balbuzard et le vison dans le lac Island à partir On suppose que la faune est exposée aux sédiments littoraux à la même des concentrations duranium dans les sédiments (3).  concentration duranium que celle qui est mesurée dans les sédiments à la station de surveillance. En calculant la concentration duranium dans les sédiments humides, on a utilisé la teneur en eau mesurée du sédiment quand elle était disponible; autrement, on sest servi de valeurs par défaut. Dans le rapport dévaluation révisé, le quotient de risque pour le balbuzard a été retiré. 24. La toxicité de luranium devrait être rajustée en fonction de la Le rapport dévaluation révisé comprend une discussion de lincidence de la dureté dureté (une discussion sur la chimie de leau, notamment sur la é sur la biodisponibilité et la toxicité de luranium. En labsence de et de lalcalinit dureté, devrait être ajoutée) (3) données expérimentales sur la toxicité établies dans des conditions représentatives des eaux qui reçoivent leffluent traité, deux VESEO ont été calculées pour le plancton : une (11 µ g/L) représentative des conditions deau douce (dureté <100 mg/L) et lautre (218 µ g/L) représentative deau dont la dureté est supérieure à 100 mg/L. Pour le poisson, les données disponibles nont permis de calculer quune VESEO (160 µg/L), applicable principalement à leau plus douce (dureté 100 mg/L). < 25 . On trouve dautres contaminants que luranium dans le port de Cet aspect dépasse la portée de lévaluation qui visait strictement les effets du Port Hope, y compris peut-être ceux qui résultent de lutilisation du rayonnement et la toxicité de luranium. port pour les déchets solides de procédés pendant les premières
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Deleted: ).
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Commentaires (source)  années dexploitation (3) . 26. Source des données sur la concentration duranium dans le lac Les sources de données sont précisées dans le rapport dévaluation final. Elliot (14)?  27. Les données historiques sur luranium nont pas été prises en Le risque est évalué pour létat actuel et non pour le passé, dans la mesure du compte pour les sédiments sauf celles de SENES Consultants Ltd. et possible, en se fondant sur les données disponibles. On trouve dans les données NEA Inc. (1994) 1  (14).  antérieures des concentrations plus élevées quaujourdhui, de sorte quelles produiraient des QR plus élevés moins représentatifs. 28. La plupart des données récentes sur luranium pour le lac Ces données ont été intégrées. McCabe et le lac Dunlop de BEAK International Inc. (1996) 1 ne sont pas incluses (3,14).  29. Les données sur luranium dans les sédiments sont basées sur les Toutes les données disponibles sur la teneur en uranium des sédiments ont été valeurs générées, quel que soit le processus de digestion (14).  utilisées, quelles aient été obtenues au moyen deau régale ou autrement. Les répercussions sont exposées dans le rapport dévaluation révisé. 30. Les facteurs dapplication ne respectent pas le guide, p. ex. le Dans le rapport dévaluation révisé, le facteur de 10 appliqué à la CL 50 pour le facteur dapplication devrait être de 100 et non de 10 pour les tête-de-boule est maintenant décrit comme un ratio aigu/chronique. Après données sur la toxicité aiguë de luranium pour le tête-de-boule et réévaluation des données de toxicité pour le lombric, on a décidé que ces données plus près de 1 pour le lombric, puisque les lombrics sont semblables étaient insuffisantes pour en extraire une VESEO fiable. Le rapport dévaluation (14).  révisé continent dautres explications quant au choix des facteurs dapplication. 31. Utilisation de VEE prudentes (2,3,5,14) . Le choix de valeurs de Le rapport dévaluation révisé fournit maintenant des scénarios plus réalistes et ne concentrations dexposition maximales au lieu de moyennes et comprend pas dévaluation des milieux « composites ». Dans le rapport lévaluation de milieux « composites » représentatifs de létat le plus dévaluation révisé, des VEE prudentes et très prudentes ont été utilisées pour défavorable de plusieurs milieux récepteurs dune région sont des dépister les effets toxiques potentiels. Si ces valeurs donnaient des QR prudents <1 écarts importants par rapport au réalisme de lévaluation de niveau 2 pour le taxon visé, les rejets étaient jugés non nocifs. Si le QR était >1 pour un (3,5,6,7,10,12,14). Utilisation de valeurs maximales uniques pour groupe taxinomique quelconque, une deuxième série (plus réaliste) de calculs létude de lexposition (3).  étaient effectués pour ce groupe, en utilisant des VEE plus réalistes. 32. Préoccupations au sujet des VEE du rayonnement de niveau 1 Comme lindique le tableau 29 du rapport dévaluation, les QR prudents pour les pour le calcul des QR des centrales nucléaires (3,9,11).  effets du rayonnement ionisant aux centrales nucléaires sont généralement bien inférieurs à 1,0. Par conséquent, il ny avait nul besoin de calculer des estimations de risque plus réalistes. 33. Utilisation du mot réaliste pour les VEE du rayonnement de Une note a été ajoutée au bas du tableau 29 du rapport révisé expliquant que ces niveau 1 aux centrales nucléaires (3).  VEE mesurées sont considérées comme étant « plus réalistes » que les VEE calculées au moyen des hypothèses prudentes. 34. Le calcul de la dose dexposition au rayonnement pour le poisson Cette démarche a été jugée trop prudente. Par conséquent, les calculs de la dose est le résultat de la somme de la dose des os et de la dose de la chair pour le poisson ont été révisés. Lorsque les données sont présentées uniquement
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Commentaires (source)  (3).  
Réponse pour les concentrations dans les tissus (os et chair), le tissu ayant la plus forte concentration (p. ex., os) a servi à représenter la concentration de tout le poisson. Ce changement, qui peut encore paraître quelque peu prudent, a abaissé la dose estimative du poisson et, par la suite, les QR des effets du rayonnement ionisant sur le poisson. 35. Pour le benthos, le facteur daccumulation dans les sédiments On reconnaît que le facteur daccumulation de 1,0 qui a été utilisé peut être assez pour le biote en général est trop élevé (3).  prudent. En calculant la concentration duranium dans les sédiments humides, on a utilisé la teneur en eau mesurée du sédiment quand elle était disponible; autrement, on sest servi de valeurs par défaut, comme lindique le rapport dévaluation final. 36. Aucune donnée pour étayer les données sur labsorption des Une explication élaborée est fournie à la section 3.4.1.7 du rapport dévaluation sédiments pour les invertébrés benthiques (3).  révisé. 37. La dose dexposition au rayonnement des macrophytes ne tient Lanalyse prudente au moyen des concentrations maximales de leau du lac dans le inexplicablement pas compte des données sur la concentration pour bassin hydrographique et les facteurs de concentration (FC) pour les macrophytes les macrophytes (3).  ont donné un QR légèrement supérieur à 1. Le calcul plus réaliste présenté dans le rapport révisé au moyen des données sur la concentration dans les macrophytes a  montré quil y avait peu de possibilité deffets nuisibles sur les macrophytes aquatiques. 38. Documentation sur les mesures de conversion de 14 C de Bq par Le rapport dévaluation a été révisé (voir la section 3.4.2.3) pour inclure les unité de C en Bq de poids humide de poisson (3).  facteurs de conversion et leur source.   39. Lutilisation des valeurs de non-détection (soit les valeurs égales Lutilisation du seuil de détection pour fixer une limite supérieure à la dose est ou inférieures aux seuils de détection) pour évaluer la dose raisonnable. En aucune circonstance lutilisation des seuils de détection ne dexposition au rayonnement est inappropriée (3).  donnera de dose avec un QR supérieur à 1, surtout dans un calcul plus réaliste. Cet aspect est explicité davantage dans le rapport dévaluation révisé. 40. Le QR du rayonnement de 0,001 pour les macrophytes à Pointe La dose interne des macrophytes a été combinée avec la dose extérieure de leau et Lepreau (tableau 22) ne peut être suivi (3).  des sédiments (dernière page de Bird et coll., 2000); en divisant par la VESEO de 1,0, on obtient un QR révisé de 0,0002, comme lindique le tableau 29 du rapport final. 41. Lapplication du facteur de conversion de dose (FCD) du 90 Sr aux Méthode de réglementation courante quand les radionucléides individuels ne sont particules grossières bêta (3) . pas déterminés et quantifiés. 42. Le FCD du 90 Sr ne comprend pas 90 Y (3) . Correct. Amiro (1997) 1 donne des FCD distincts pour le 90 Sr et le 90 Y. Les calculs de dose au moyen du 90 Sr ont été révisés pour inclure la dose de rayonnement du 90 Y en supposant que la moitié de la radioactivité mesurée est du 90 Sr et lautre moitié, du 90 Y.
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Commentaires (source)  Réponse 43. Traçabilité des quotients de risque pour le marais Duke (3).  Les estimations de la dose du biote dans le marais Duke ont été faites par EACL (1999) 1 au moyen des FCD dAmiro (1997) 1 . Ces valeurs de dose ont été divisées par la VESEO appropriée pour obtenir le QR. Cet aspect est expliqué plus en détail dans le rapport dévaluation final. Il pourrait toutefois y avoir des problèmes de calcul de dose, à cause du FC utilisé pour estimer la dose de 14 C (voir le « facteur de bioconcentration discutable pour le 14 C » ci-dessous). 44. Choix dun facteur de bioconcentration discutable pour le 14 C Les calculs présentés dans le rapport ont été tirés directement dEACL (1999) 1 . Le pour calculer la dose dexposition des invertébrés et des petits choix du FC de 14 C, de Bird and Schwartz (1996) 1 pour calculer la dose mammifères dans les aires de gestion des déchets des Laboratoires de dexposition au rayonnement des invertébrés benthiques pourrait être trop prudent. Chalk River. On devrait avoir recours au modèle de lactivité De plus, le FC pour les mammifères (rat musqué) et sa source ne sont pas évidents spécifique. dans le calcul de la dose par EACL (1999) 1 . Dans le rapport dévaluation révisé, la dose dexposition au rayonnement du biote a aussi été calculée au moyen du modèle de lactivité spécifique. 45. Le processus de sélection de la VESEO ne cible pas des Les paramètres de mesure utilisés pour calculer la VESEO ont été revus et, dans paramètres qui sont significatifs sur le plan écologique (3).  certains cas (p. ex., la VESEO de luranium pour les mammifères, la VESEO de lexposition au rayonnement pour le poisson), ont été révisés. La survie, la croissance, la reproduction et les facteurs qui influent sur ceux-ci sont des paramètres pertinents sur le plan écologique. 46. Utilisation de VESEO prudentes ( 3). Retirer les VESEO de Le rapport dévaluation a été révisé pour inclure seulement un ensemble de niveau 1 trop prudentes de lévaluation, puisquelles ont des VESEO, qui comprend un minimum de prudence, pour les espèces sensibles répercussions potentielles sur les évaluations futures (10) .  potentiellement exposées. 47. Les VESEO de niveau 1 se prêtent bien à toute définition Les VESEO excessivement prudentes ont été retirées. Toutes les VESEO utilisées raisonnable de prudence excessive (3).  dans lévaluation révisée sont considérées comme intégrant un minimum de prudence et comme étant proches des concentrations seuils produisant des effets apparents sur les espèces sensibles. 48. Le facteur dapplication de 10 des VESEO de niveau 1, appliqué Le rapport dévaluation révisé comprend un seul ensemble de VESEO, qui à la VCT de 1 mGy/j, tuant quelques oocytes chez les singes, comporte un minimum de prudence. La même VESEO est utilisée pour tous les contredit le guide (Environnement Canada, 1997) (3).  calculs de QR. Pour le cas en question, une VESEO révisée de 3 mGy/j (1 Gy/a) a été obtenue en appliquant un facteur de 1 et une EBR de 3 à la VCT de 1 mGy/j. 49. Les VESEO de niveau 1 pour lexposition au rayonnement de Le rapport dévaluation révisé utilise un seul ensemble de VESEO pour tous les plantes aquatiques ne représentent pas une détérioration au niveau de calculs de QR. La VESEO pour les plantes aquatiques de 1 Gy/a est maintenant la reproduction ou de la population (3).  basée sur la VESEO pour les plantes terrestres, à cause de la rareté des données concernant les effets dune exposition chronique au rayonnement sur les plantes aquatiques. 50. Surestimation importante des effets potentiels dans le milieu Dans le rapport dévaluation révisé, lutilisation de VESEO, auxquelles sont
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Commentaires (source)  récepteur (3).  
Réponse intégrés un minimum de prudence, les erreurs de calcul corrigées, les concentrations moyennes annuelles de contaminants aquatiques, les concentrations moyennes dans les sédiments (lorsque plus dun échantillon de sédiments ont été recueillis) et les concentrations moyennes de contaminants dans le poisson et les macrophytes (quand ces données sont disponibles) réduit les risques de surestimation importante. Le recours aux taux de concentration selon la moyenne géométrique pour le calcul de la dose du biote en vue dobtenir une évaluation plus réaliste réduit aussi la surestimation. Cependant, lutilisation de FC propres à certains endroits, sils avaient été disponibles, aurait donné une estimation beaucoup plus juste de la dose. 51. VESEO pour les oiseaux : le fait quil ny ait aucun effet sur la Ceci a été corrigé. En revoyant linformation relative aux effets sur les oiseaux, reproduction à 0,05 Gy/a ne justifie pas lacceptation de ce débit de nous avons décidé que les données étaient insuffisantes actuellement pour fournir dose comme niveau seuil des effets (3) . une estimation fiable de la VESEO du rayonnement pour les oiseaux. 52. La méthode fondée sur le poids de la preuve na pas été utilisée; La VESEO en question a été révisée et vise maintenant à représenter les espèces des données de surveillance du lieu qui nont pas été utilisées dans de plancton en général. Ceriodaphnia recurvata nest peut-être pas aussi sensible à lévaluation indiquent quil ny a pas deffet négatif des rejets actuels la toxicité de luranium que dautres espèces de plancton. Les données disponibles duranium, ni même aux niveaux supérieurs antérieurs, sur les pour le lac Island semblent indiquer quil y aurait un changement substantiel dans espèces auxquelles on attribue un QR élevé dans le lac Island, le la composition du zooplancton, ce qui porte à croire à un effet de leffluent de la projet du lac Cluff  c.-à-d. augmentation de la population de mine. Dans la carrière Gunnar, un modèle de différenciation des espèces montre Ceriodaphnia  recurvata dans le lac Island où il y a concentration que >99 % de luranium serait associé aux carbonates et serait non toxique. Les duranium ( Ceriodaphnia prospère dans le lac Island à 0,54 mg U/L); concentrations duranium dans les sédiments du lac Agnes sont élevées, mais pas la carrière Gunnar a été recolonisée par le biote, y compris le poisson; au point davoir des effets nocifs (QR < 1). et on note une structure de communautés dinvertébrés dans le lac Agnes semblable à celle du lac de référence, malgré 111 mg U/kg-p.s. dans les sédiments (5).  53. Labsence totale dintérêt pour les données sur le terrain Les données sur le terrain limitées au sujet des effets sont prises en compte dans le représente une lacune fondamentale de la méthode dévaluation (13).  rapport dévaluation final. Par exemple, par le recours à la méthode de la concentration de dépistage en vue de déterminer la VESEO pour les organismes benthiques.  54. Les données sur le terrain qui ont une valeur écologique À cause des ambiguïtés, les données sur le terrain concernant les effets ne sont nappuient pas les paramètres de mesure (14).  souvent pas prises en compte dans lévaluation. Les données sur les effets environnementaux dans le champ proche ne démontrent pas que les effets sont attribuables précisément à la toxicité de luranium ou à lexposition au rayonnement, parce que dautres contaminants sont aussi rejetés par ces installations. De même, la présence de certains organismes à certains lieux contaminés ne signifie pas que ces organismes ne subissent pas de stress et que
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Commentaires (source)  Réponse dautres organismes nont pas été éliminés. 55. Les VESEO qui ne sont pas des équivalents gamma devraient être Les VESEO ont été corrigées en fonction des facteurs dEBR utilisés pour calculer rajustées en fonction de leur efficacité biologique relative (EBR) (3).  la dose, 3 pour le tritium et 40 pour alpha, lorsquil y a lieu. Dans certains cas, les corrections ont fait en sorte quune autre étude devienne létude la plus sensible; dans ce cas, les données de létude la plus sensible ont été utilisées pour la VCT et pour létablissement de la VESEO. 56. La VESEO de lexposition au rayonnement du poisson est fondée Dans le rapport dévaluation révisé, la VESEO pour le poisson a été changée à sur des effets non observés à léchelle de la population pour une 0,2 Gy/a et est maintenant basée sur les données concernant les effets sur la espèce non indigène (3,14). Consensus international pour les reproduction de la carpe dans le bassin de refroidissement de Tchernobyl. Peu VESEO : 10 mGy/j pour les organismes aquatiques et 1 mGy/j pour détudes ont été faites sur les effets de lexposition chronique au rayonnement les organismes terrestres (1,2,3,4,10,14) . La VESEO pour le poisson despèces de poissons endémiques, et aucune au Canada. Pour cette raison, étant devrait être de 8,8 Gy/a ou 17,6 Gy/a selon les données donné que la carpe est présente au Canada et à cause de la grande qualité des internationales (2).  études de Tchernobyl, la VESEO pour le poisson est basée sur la recherche de Tchernobyl (bien quil existe aussi une possibilité que dautres facteurs que le rayonnement aient contribué aux effets observés à Tchernobyl). Les doses suggérées ne protégeraient vraisemblablement pas les espèces les plus sensibles en milieu sauvage. 57. La VESEO de lexposition au rayonnement des invertébrés Pour autant que nous sachions, il ny a pas de données disponibles pour démontrer aquatiques est basée sur une expérience qui a eu des problèmes que les invertébrés en eau douce ont une radiosensibilité différente des invertébrés méthodologiques et sur un seul organisme marin (3).  marins, comme le pouce-pied. Cependant, à cause de la mauvaise qualité de la croissance / mue des témoins dans le cadre de létude sur le pouce-pied, nous avons décidé de ne pas utiliser cette étude pour calculer la VESEO. Une VESEO révisée de 2 Gy/a a été calculée à partir des données sur le ver polychète ( Neanthes arenaceodentata ). 58. La VESEO de lexposition au rayonnement des amphibiens est Comme il est indiqué dans le rapport révisé, nous avons décidé de ne pas calculer trop faible, car elle est plus faible que la VESEO déterminée pour les de VESEO de lexposition au rayonnement des amphibiens, parce quils ne sont mammifères dont il est généralement admis quils sont plus sensibles pas surveillés aux installations, de sorte quaucune concentration mesurée nétait au rayonnement (3,14). Les amphibiens devraient avoir été utilisés disponible et parce que peu dinformations existent sur les FC des amphibiens. comme paramètres de lévaluation (14).  Lincertitude serait bien plus grande dans les VEE des amphibiens que des autres organismes utilisés. 59. La VESEO de lexposition au rayonnement des invertébrés Il ny avait pas derreur de trois ordres de grandeur. Cependant, à cause de terrestres : erreur de trois ordres de grandeur dans la documentation lincertitude concernant la source de rayonnement et les estimations de la dose et la valeur nest pas rajustée pour un facteur dEBR de 40. (3).  dans les principales études sur les lombrics, il a été convenu à latelier de mars 2001 de baser la VESEO pour les invertébrés terrestres sur celle des invertébrés  aquatiques. Ainsi, la VESEO a été révisée en conséquence.
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Commentaires (source)  Réponse 60. Les gros animaux sont plus sensibles que les petits; difficile à Les gros animaux dont la durée de vie est longue accumulent une plus forte dose expliquer (14).  de rayonnement au cours de leur vie et se reproduisent plus lentement que les petits animaux dont la durée de vie est moins longue; on suppose donc quils sont plus vulnérables. 61. Il ne semble pas que lon ait tenu compte des conséquences à Lévaluation tient compte des plus récentes données annuelles dans leau du lac, long terme de déversements graves au lac Cluff (8) . les sédiments, le sol et le biote pour estimer le risque pour le biote. Cela comprend lajout accidentel du 226 Ra dans le lac Snake, dans la région du lac Cluff. 62. Les conséquences à long terme de laccroissement des produits de On a supposé que les concentrations de radionucléides étaient au point déquilibre; filiation de 238 U et de 230 Th doivent être prises en compte (7,8) .  ainsi, on a supposé quelles étaient à leurs valeurs maximales durant la phase opérationnelle de ces activités minières ou près de ces valeurs. 63. Il ny a pas eu danalyse des dommages internes au biote à la Pour autant que nous sachions, cette affirmation est exacte. suite de lexposition au rayonnement alpha à la mine, malgré 20 ans dextraction de minerai duranium à haute teneur (8) . 64. Les valeurs pour le 210 Po dans leau, les sédiments, le poisson, les Les valeurs du 210 Po ne sont pas données parce quil na pas été mesuré. Dans ces macrophytes et les petits mammifères au tableau 6.29 pour le lac cas, la concentration du 210 Po est évaluée en assumant un équilibre séculaire avec Cluff dans le document complémentaire ne sont pas données (8).  son proche parent le 210 Pb. 65. Les rajustements en fonction de la tolérance régionale devraient Il est établi quil y a des incertitudes associées aux VESEO choisies. Cependant, être appliqués à la VESEO (5,12,14).  compte tenu de labsence de données convaincantes pour justifier leur utilisation, lévaluation ne tient pas compte des différences régionales de sensibilité. Les rajustements en fonction de la tolérance régionale devraient être appliqués à la VESEO seulement lorsquelle est démontrée. Il est aussi possible que les organismes aient une tolérance limitée et que des niveaux élevés soient une cause de stress pour les organismes (p. ex., les organismes pourraient avoir déjà atteint un niveau qui soit proche de leur limite supérieure de tolérance) et, par conséquent, de faibles VESEO doivent être utilisées pour protéger ces organismes. 66. Lanalyse de niveau 3 exige un rajustement de la caractérisation Pour autant que nous sachions, aucune information nest disponible sur le niveau des effets afin de tenir compte de la tolérance des organismes quon de tolérance accru des organismes que lon retrouve dans les régions naturellement retrouve normalement dans les zones naturellement enrichies (14).  enrichies duranium au Canada. Il existe un scénario tout aussi probable selon lequel les organismes des régions naturellement enrichies ne sont pas particulièrement tolérants et peuvent déjà être stressés, de sorte que tout rejet supplémentaire de contaminants est une source de stress encore plus grande pour ces organismes. Comme lindique le rapport dévaluation révisé, toutes les VESEO sont bien supérieures au 90 e percentile de la concentration de fond naturelle duranium. 67. La variabilité temporelle, saisonnière et spatiale devrait être La concentration annuelle moyenne a été utilisée pour estimer la dose, de sorte que
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