Les glaciers tropicaux en danger Une inquiétante accélération de la fonte des glaces depuis le 19e siècle
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Niveau: Secondaire, Lycée, Terminale

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Les glaciers tropicaux en danger : Une inquiétante accélération de la fonte des glaces depuis le 19e siècle. Page 13 N e pa s je te r su r la v oi e pu bl iq ue L'EDS, une volonté d'unité affirmée décembre 2011 - janvier 2012 - N° 17 - Les accords avec les universités de Columbia et Cornell Page 10 IBM en Sorbonne : John Kennedy Page 12 Interview : Hélène Ruiz Fabri Page 2 D re am st im e. co m

  • équipe de rédaction du fil en parfaite symbiose

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  • département

  • étroite collaboration avec le ser- vice de communication de l'univer- sité

  • disciplines juridiques


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Extrait

LEDS, une volonté dunité affirméeInterview: Hélène Ruiz Fabri  Page 2 IBM en Sorbonne : John Kennedy Page 12 rds avec les universités de Columbia et Cornell Page 10
écem re 2011 - janvier 2012 - N° 17 -www.univ-paris1.fr
Les glaciers tropicaux en danger : Une inquiétante accélération de la fonte des glaces depuis le 19e siècle.  Page 13
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Uneécoleroiteld uo rp Les professeursl Hélène Ruiqzu i Foanbtr i meot tivLéa ulrae nct réAaytinoèns  reviennent sur es raisons de l’EDS. tru ture de tirer parti d t multi pétréo cchreé, édeiss oldeer sq uselqcues fso rmaua tinoonsm  de notre rasseem lbelfefement, ppoliucr anteoturre  élitistes mais, dans lesprit qui est,bénéfice à tous, et pour celui de nous semble-t-il, celui de lUniversité lUniversité. Paris 1 dans son ensemble, de ras-sembler toutes les filières juridiquesQuelles sont les missions de afin de tirer le meilleur parti desl’École de droit ? atouts qui existent dores et déjà : des enseignants-chercheurs de
Le fil de Par1s-décembre 2011 - janvier 2012 2EN UNE
deux axes daction privilégiés sont la politique de formation et la politique internationale, mais sans exclure dautres questions pour lesquelles une concertation peut savérer utile. De fait, nous avons très vite décou-vert nombre de micro-problèmes pour lesquels il était productif dhar -moniser les pratiques des différents départements. Cest donc un grand chantier, qui est mené dans la plus étroite collaboration avec toutes les structures que rassemble lÉcole de droit, à commencer par les UFR, mais aussi dans un étroit dialogue avec les instances centrales de lUniversité, présidence et conseils. Il sagit en effet de maintenir une dynamique
LEDS en chiffres :  99 professeurs dont   14 associés  81 maîtres de   conférences dont   4 associés  33 ATER  98 contrats doctoraux  1 171 doctorants  11 306 étudiants en droit   (sauf doctorants)   inclus CAVEJ et CEP  8 centres de recherche  4 Écoles doctorales  4 Instituts (IEJ, CPCA,  I nstitut des Assurances     et CAVEJ) des équipes de recherche et des écoles doctorales ayant bénéficié des meilleures évaluations, un per -sonnel administratif compétent et efficace (cf. lencadré lÉcole de droit en chiffres). Nous savons que notre capital est, à tous ces égards, exceptionnel. Il sagit de le faire savoir et lÉcole de droit est linstru-ment destiné à le rendre plus visible, en agissant dans tous les domaines où la division en départements a pu savérer source de faiblesse, en termes dorganisation, de coordi-nation, de visibilité. Lobjectif est
Chère lectrice et cher lecteur du Fil de Par1s, Pour la première fois, votre journal accueille une rédaction invitée, celle de lÉcole de droit de la Sorbonne (EDS). Cest un privilège et ce fut un réel plaisir que daccueillir dans les pages du Fil, lensemble de léquipe projet missionnée par la professeure Hélène Ruiz Fabri, directrice de lEDS. Un réel plaisir, car le professionnalisme avéré de tous les participants de cette équipe a permis, lespace dun numéro, détoffer léquipe de rédaction du Fil en parfaite symbiose et pour un résultat riche et valorisant. En huit pages, nous avons lopportunité dune immersion dans lÉcole de droit de la Sorbonne, dores et déjà prestigieuse et reconnue pour sa qualité, et qui conforte ainsi la position de lUniversité Paris 1, comme leader français de lenseignement du droit. Jean-marc Lehu, Directeur de la communication et de la rédaction PoSl Depuis la création de lUniver -sité Paris 1 Panthéon-Sorbonne, les disciplines juridiques (Sections 01, 02 et 03) étaient réparties en plusieurs départements. À lorigine de cette pluralité de départements, se sont trouvées des personnalités de grande envergure et leur action a joué un rôle positif en permettant, par exemple, lémancipation de la science politique, l’identification dune structure pluridisciplinaire consacrée au travail et aux études sociales ou encore la mise en valeur des études internationales et euro-péennes. Mais les circonstances ayant présidé à cette construction ont changé, en particulier de trois points de vue. Dune part, les disciplines juridiques ont fortement évolué, notamment sous limpulsion de leur européanisation, rendant nécessaire un décloisonnement des spécialités. Dautre part, quon lapprouve ou quon le déplore, lenseignement du droit nest plus le monopole des « fa-cultés de droit » ou des départements juridiques ; dautres établissements comme les écoles de commerce ou les instituts détudes politiques (pour ne citer queux) proposent des formations dans lesquelles la part du droit est prépondérante. Dans le même temps, les universités à dominante juridique se livrent à une concurrence à peine masquée et croissante. Enfin, l’internationali-sation toujours plus accentuée des parcours universitaires nous place en compétition directe avec les universités étrangères et leurs écoles de droit. Or, il nest pas un dentre nous qui nait reçu des remarques sur le ca-ractère incompréhensible de notre organisation et sur la très grande difficulté d’identifier l’interlocuteur
que lUniversité Paris 1 Panthéon-Sorbonne adapte ses structures à cette situation nouvelle de manière à occuper pleinement et de manière visible la place que la qualité de son corps enseignant et de ses for -mations lui permet légitimement de revendiquer. La création dun département dédié à lensemble des premiers cycles en 1999 avait déjà révélé le besoin dune gestion plus intégrée des formations (lensemble de ses réali-sations prouve le bien-fondé de cette approche  cf. p. 4, Coup de projec-teur sur lUFR26). Un premier projet de fusion des départements juri-diques avait dans la foulée été porté par notre collègue Yves Daudet qui soulignait que le droit était la seule discipline de lUniversité Paris 1 à n’être pas identifiée au travers d’un seul et unique département, alors que les juristes ont des intérêts com -muns à promouvoir. Sans aboutir, il avait posé les jalons de la réflexion qui a donné naissance à lÉcole de droit de la Sorbonne, inaugurée il y a près de deux ans. Celle-ci veut être un espace didentité commun à lensemble des juristes de Paris 1, visible et attractif, tant au plan interne quinternational. Pouvez-vous présenter plus précisément l’École de droit de la Sorbonne ? Il faut en premier lieu insister sur le caractère fédérateur et intégrateur de lÉcole de droit de la Sorbonne, car cest aussi ce qui fait son origi-nalité. Regroupant les quatre dépar -tements juridiques (01, 05, 07, 26) et le département droit de lUFR 12, elle na pas pour objectif, contraire-ment à dautres universités où ont
globale qui favorise les synergies, permette une meilleure circulation de linformation, en particulier au béné-fice de projets innovants, ouvre aux formations et projets transversaux encourageant la mobilité interne tant des enseignants que des étudiants. Notre action nous conduit, par la même occasion, à travailler sur la co-hérence de notre offre de formation dans son ensemble, pour ladapter et la renouveler en tant que de besoin, et de manière à pouvoir offrir aux étudiants et à leurs enseignants des conditions de travail qui saméliorent sans cesse. Cette dynamique globale veut également promouvoir la pluridis-ciplinarité. Celle-ci existe dores et déjà mais elle peut et doit être accrue en développant les synergies
avec les disciplines connexes au droit (science politique, histoire, etc.), voire dautres disciplines, que ce soit à lintérieur de lUniversité ou par des collaborations avec des établissements extérieurs aussi bien en France (on pense par exemple aux établissements du PRES héSam mais aussi au partenariat avec HEC ou dautres structures densei-gnement) quà létranger. À cette fin, l’École s’attache à développer un réseau aussi dense que possible avec les plus prestigieuses universités étrangères, grâce à une vigoureuse politique de coopération conduite de concert avec la Maison des 
relations internationales de lUniver -sité. Nous souhaitons en effet ampli-fier l’attractivité internationale de nos formations. Certaines, telles que les maîtrises bi-nationales, sont déjà fort connues et sont, à juste titre, source de fierté. Il nous faut poursuivre dans cette voie, au bénéfice de formations dexcellence qui placent bien leurs étudiants, mais sans oublier les M1 et les M2 qui attirent un large public venu des pays les plus divers. LÉcole de droit doit permettre daccueillir encore mieux les étudiants étrangers, dont un certain nombre deviendront ses ambassadeurs. À cette fin, elle prévoit également de développer son offre de cours en anglais, qui, quon le veuille ou non, est devenue indis-pensable pour continuer dattirer des étudiants étrangers de haut niveau.
LÉcole de droit a également pour ambition et pour projet de renforcer les relations avec lensemble des professions du droit et des institutions qui recourent aux juristes, afin d’être considérée comme un interlocuteur indispensable concernant aussi bien la formation que lemploi des juristes (ce qui impose de renforcer nos partenariats avec les professionnels) et comme un réservoir dexpertise juridique sans équivalent. Cette expertise existe. Nos centres de recherche en sont les viviers et lÉcole de droit est un moyen de tirer parti de leurs complémentarités et de favoriser les projets transversaux.
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Elle a déjà, à ce titre, soutenu la préparation du projet de Laboratoire dexcellence (LabEx Norma) et promeut les initiatives qui accroissent la visibilité de la recherche. Comment l’École est-elle organisée ? LÉcole de droit, qui est basée au Centre Panthéon, est une structure assez légère qui fonctionne selon une logique dadministration de mission. Son équipe de direction, composée dHélène Ruiz Fabri et de Laurent Aynès, est à cette fin, assistée de deux personnels administratifs (cf. encadré léquipe de lEDS). LÉcole dispose dun Conseil où siègent des représentants élus de toutes les catégories (enseignants-chercheurs, personnels administratifs, élus Léquipe de lEDS José Manuel Coelho assure à plein temps la fonction de Directeur exécutif de lÉcole de Droit de la Sorbonne. Juriste de formation, il est res-ponsable des différents dossiers de lÉcole (La-boratoires dexcellence, formation et politique internationale, protection de la marque « École de droit de la Sorbonne », fédération des associations étudiantes de lEDS, politique de communication, entre autres). Il est assisté par Camille Bonnemort, à mi-temps, qui, outre la gestion quotidienne de lÉcole, est en charge notamment du secrétariat des sections (dossier de recru-tements des futurs enseignants de lUniversité, des professeurs invités). Pourquoi avez-vous choisi de travailler pour l’École de Droit de la Sorbonne ? La raison est simple, lEDS repré-sente un vrai challenge pour moi. Tout est à construire et par la suite à développer, ce qui ne peut être que motivant. LÉcole en effet se met en place tous les jours et ce sur différents fronts (politique internationale de la Sorbonne, excellence de lenseigne-ment et de la recherche, perspectives dévolution concernant les locaux, etc.). Ma fonction mamène donc
étudiants), des membres de droit (directeurs des départements, présidents des sections), des membres extérieurs nommés. Ce Conseil se prononce sur les grandes orientations de lÉcole et ses prio-rités. De façon plus quotidienne, lÉcole fonctionne grâce au Bureau du Conseil et à la Coordination des départements, qui se réunissent selon une fréquence mensuelle. Elle sest également dotée dune Commission internationale. à travailler simultanément sur des dossiers variés et importants. Cest un travail exigeant, eu égard au développement rapide de lÉcole. Mon expérience de chargé de projets de recherche nationaux (Mars) et européens (Atlas et Transatlantic) acquise au sein de lInstitut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne (IREDIES) a été capitale. Jai pu développer un vrai sens de la communication, de la diplomatie et acquérir des compétences impor-tantes en matière de management, qui sont aujourdhui pleinement utiles et utilisées dans le cadre de lÉcole de Droit de la Sorbonne. Le fait dêtre linterface de lEDS tant vis-à-vis, des services centraux de lUniversité et de ses représentants que des départements et membres de lÉcole elle-même me conduit à entrer en dialogue avec des interlocuteurs très divers. Cest très enrichissant, mais je ne surprendrais pas qui connaît notre Université en disant que c’est parfois difficile et demande à la fois patience et obstination. Je suis ainsi heureux de pouvoir participer au développement de ce beau projet dont lenjeu est non pas dalourdir le système de notre Université mais de la promouvoir et par conséquent de favoriser sa visibilité aussi bien au niveau national quau niveau international.
Le fil de Par1s-décembre 2011 - janvier 2012 4EN UNE Coup de projecteur sur le département des Études juridiques générales (licence en droit, UFR26)
Des bi-formations attractives Tout en faisant dorénavant partie de lÉcole de droit de la Sorbonne, le département des Études juridiques générales est étroitement associé avec tous les départements de lUniversité Paris 1 Panthéon-Sorbonne à travers ses bi-formations. La plus ancienne, qui a contribué à créer en France la technique de la double licence, est la licence droit-histoire de lart. Elle a plus de 10 ans et attire chaque année plus de 1 500 candidatures. Ont ensuite été créées les doubles formations en philo-droit, droit-éco, droit-gestion et droit-géo-graphie et, depuis deux ans, une double L3 droit-science politique, depuis cette année, une double licence droit-histoire. Près de 300 étudiants sont répartis dans ces formations. Des per-sonnels  
administratifs spécialisés ont été ins-tallés au Centre Cassin pour les L1 et L2 et au Centre Panthéon pour les L3, afin de répondre aux difficultés par-ticulières de ces groupes détudiants. Tous les problèmes quotidiens, notamment de coordination avec les autres départements, ont pu ainsi être aplanis. Formation méthodologique Depuis trois ans, un module dexpression orale et écrite a été introduit dans les travaux dirigés de méthodologie et un PRAG issu de lÉcole normale supérieure, M. Simiand, a été recruté pour diri-ger léquipe chargée de ces cours. Les étudiants qui nobtiennent pas la moyenne au premier semestre font un second semestre dexpression orale et écrite et de métho-dologie juridique. La mise en place de ce dispositif a été rendue possible
grâce au plan Réussir en licence ». « Cette expérience a été prolongée par la création, il y a deux ans, dun cours déloquence, proposé en 2e année à titre de bonification. Il est composé dun cours de rhétorique et de séances de mise en pratique au-tour de procès ou de discours simu-lés. Ce cours a immédiatement attiré 80 étudiants parmi les meilleurs et permet de préparer notamment les procès ou arbitrages simulés qui se développent. Ce succès nous a inci-tés à proposer depuis cette année en L3 un cours de culture générale qui est le prolongement du dispositif des première et deuxième années. À peine créé, toujours en bonification, ce cours a dû être dédoublé tant les étudiants (plus de 80) se sont mon-trés intéressés, conscients quils sont insuffisamment préparés en culture générale pour réussir les concours administratifs ou dentrée à lÉcole du Barreau ou de la magistrature. Un département vivier En somme, le Département chargé d e s licences en droit représente aujourdhui un vivier dexcellents juristes formés par des maîtres en leur domaine, ayant une ouverture sur les autres disciplines et une haute exigence en matière dexpres-sion. Les autres départements de droit (UFR 01, 05, 07 et 12) peuvent dés lors les accueillir pour des f o r m a t i o n s de haut niveau de M1 et M2, sachant que le Magis-tère des a c t i v i t é s é c o n o -m i q u e s commence dans notre département en L3 avant de se 
prolonger dans les autres départe-ments jusquen master 2. Le Département des licences en droit délivre également les diplômes de formation continue (dans le cadre du CEP) et de formation à dis-tance (dans le cadre du CAVEJ). Et ses centres délocalisés à Bucarest, au Caire et à Buenos-Aires forment et voient passer les élites juridiques de ces pays dont certains viennent compléter leur formation en M1, M2 et en doctorat à Paris. Plus de 100 étudiants Erasmus et plus de 100 étudiants étrangers sélection-nés par la Maison des relations internationales sont également ac-cueillis chaque année. Lintégration des étudiants Erasmus est assurée par les délégués internationaux de lÉcole de droit et la Maison des RI. À partir de la rentrée 2011, une semaine dintégration a été mise en place pour les autres étudiants étrangers, au cours de laquelle Anastasia Sodiropulou, directrice des licences au sein de lUFR 26, a donné 6 heures de cours quo-tidiennes pendant 6 jours à plus de 60 étudiants étrangers ravis et motivés. Ces modalités daccueil des étudiants étrangers ont suscité lintérêt de plusieurs collègues étran-gers lorsquelles ont été présentées à une réunion dun réseau européen de recherche sur lenseignement du droit à Barcelone. Une structure administrative Plus de 10 000 juristes de très bon niveau sont ainsi formés, grâce au très bon fonctionnement de diverses structures administratives (lUFR26 proprement dite est sous la res-ponsabilité administrative de Fré-dérique Baudier), qui maintiennent une qualité daccueil remarquable. À cet égard, les inscriptions péda-gogiques en ligne (mises en place depuis plus de deux ans) permettent aux équipes de se concentrer sur les cas particuliers. Emmanuel Jeuland, des ÉtuDidreesc tjeuurird idquudesé pgaérnteérmaelent s
niversitéuq eelP érisntdeol Carlimitigétiraitliseréaetso U lnsdat  eurpolcÉeconodatuav lsa ntm jaue rnue jnueemblée,  été, duqina rec neummointdecaiontie  d erdd uariséid sagit de rendreotsuc ue xuqi l oi derid aynopér issua tnevoprul Éoceld  edroit de la enU .ed eses is monsiess  t,
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LÉcole de droit de la Sorbonne, unenjeu de communication identité de lÉcole sans occulter détudiants du Master 2 pro Multi-celle de lensemble auquel elle média interactif dirigé par Bernard appartient, lUniversité. Cétait Darras, qui en ont fait un projet dautant plus important que le mou- dans le cadre de leurs études et vement d’unification des juristesont également réalisé les premières quexprime lÉcole a pu faire naître brochures. Parallèlement, sest des-la crainte que sinée la nécessité de travailler en cette discipline ne étroite collaboration avec le Ser -se constitue en vice de communication de lUniver -« forteresse » ou sité qui sest montré demblée très nait des velléi-disponible à cette fin. Le dialogue tés démanci- permanent, instauré en particulier pation, alors avec Jean-marc Lehu eté Laure que lUniver - exionChristophe, a permis une r sité Paris 1, coordonnée sur la conception, prise dans le la protection et la diffusion de mouvement limage de lEDS. Ainsi avons-nous de consti- pu, dans le respect de la charte tution des graphique de lUniversité, perfec-PRES, a tionner le site Internet de lÉcole tout par-(ecol1e.dfedrot itcdréelear sdoirffbéorennntes .uountiivls-  t i c u l i è - paris r), e r e m e n t de communication (logo, papier b e s o i n à en-tête, timbres, etc.). Nous daffir - travaillons actuellement sur une mer sa brochure de lÉcole, destinée à propre compléter le livret de prestige identité et dont lUniversité sest dotée. Les son unité. nombreuses rencontres internatio-Dans ce nales auxquelles nos coopérations contexte, présentes et futures nous montrent il a donc chaque jour limportance de ces t o u j o u r s instruments. été clair que la mise Cest également ce souci de n place de visibilité qui a motivé la démarche le de droit a i n c r a i t mieux de B tim sneomtn ,nor un ouv chantiee tenA t cïoidaClesePit- Rnes-oud  eisnopmlul id, LGonoale Pasced elocÉl ed seusso, ui qitro dan ds t rant eant contlo elcÉortiedd ol cgera difctleitserp eautis egdm serbme tnemelbisn é quelle se . Cest ce Sorbonnd a rappelé fléhidstéoriarteiv ee t etd ainncsl ulsai vec,it é.à  luivmrea ge avec force lors de la cérémonie en effet, la conquête de visibilité visibles, tout en respectant leur dinauguration de lÉcole, tenue doeu vrcaeg eq ubilé nvéeuct p,romouvoir, cet dans le Grand Amphithéâtre de la deie encore, Répondre au désir d’identification dece dervidu Spui lpanccoa  surpon iotacin-ummoc al eSoonrbeption gra-e 2009.d cémerben ,el2 tous ceux qu’il s’agit de rendre visibles,-lipoa  ledu vnroài tlaruorb aleé plo etes noi oconrgphiqusee rftaiétd,i  s se tnDohiap Be.n ieaudtique de communication, et de ses tout en respectant leur diversitésirelaroro ee cnvutil od cex eumintdoe llis éeéut ua nies as,ou turjoéts  de lUniversité Paris 1. Pour le tout nous ne evons pas avoir peur premier instrument, le site Internet, de dire quelle est la plus grande dun ensemble que ses morcelle-diversité. À ce double défi, s’en .esiaçnarf d  eiraMée tpà  gocriâmctairoontléraacpedl ri ea le , ESDde droitécole ments et cloisonnements rendaient est tout de suite ajouté un troi- Anne-incompréhensible à lextérieur. sième, plus « politique ». Il sagis- Leroyer et au soutien des UFRHélène Ruiz Fabri Mais les outils nécessaires poursait d’affirmer et d’afficher une juridiques, fait appel à une équipeet Laurent Aynès
 aueorpp atesiusniLmrofqitael, 6619utéb dle re1 eL. erbotcode tort il »ravaectru  nocfnia nneet.) êluognA rahC( em dee âg à, ,ujnaec àlqsuoutese t enf son91 n .05ellEsap lsse eky nst eéecuteetN sa(UFR26), né Ce Reentrau c adll e.nE saisonspreé étd orab ed elbasneics seicos secInlà e  dutitst du aleskylsSo. Nseasqer rèiuop n,etsnaissance la conetd e  eocpmèl
la première année de droit. Et, au lorganisation du diplôme, la départ en retraite de sa collègue, maîtrise du logiciel Apogée (Appli-il y a de cela près de 6 ans, elle cation pour lorganisation et la a été promue responsable du pre- gestion des enseignements et des mier cycle de droit au département étudiants), logiciel indispensable des Études juridiques générales pour lorganisation dune scolarité savoir taper à la machine avecIl fallait ses dix doigts, sans regarder le clavier et à la vitesse de la parole !(UFR26). Le service de scolarité du (examens, inscriptions pédago-premier cycle de droit gère 2 900 giques) et d« être apte à encadrer étudiants y compris les bi-licences une équipe et savoir dialoguer avec (les licences Droit/Histoire de lart, les différents interlocuteurs, tout en Droit /Économie et Droit/Gestion, faisant preuve dune certaine Droit/Histoire) et les doubles par - rigueur précise-t-elle. Si elle affec-» cours (Droit et Géographie, Droit tionne tout particulièrement le travail et Philosophie). Lucette Nasselsky en équipe ainsi que le contact avec encadre cinq agents qui lassistent les enseignants et les étudiants, « ce dans ses missions. Ses principales que japprécie le plus, confit-elle, activités consistent à aménagercse talc noie, archihrém  a eedacn avec les enseignants, le planning je reste autonome dans lexercice des cours et des travaux dirigés de mes fonctions et il marrive de (TD), à organiser la IPWEB (Inscrip-prendre des initiatives utiles au bon tions pédagogiques en ligne), à fonctionnement du service. » élaborer le calendrier des examens Lucette Nasselsky vit à Montreuil, (réservation des salles, program- chaque jour, elle prend un grand bol mation des jurys doraux), à dair avant son arrivée à lUniversité. participer au jury des délibérations En effet, comme elle aime la marche, et à mettre en application des ma- elle écourte son circuit en RER et pro-quettes de diplômes sur le logiciel longe ainsi son trajet de son domicile Apogée (Application pour lorga-au centre René Cassin de deux heures nisation et la gestion des ensei- de marche. Pendant son temps libre, gnements et des étudiants). elle sadonne à des activités comme Elle est donc linterface le canevas, ou encore la pétanque entre les enseignants quelle pratique au Bois de Vincennes. et les étudiants. Un Amoureuse de la nature, elle se rend milieu universitaire régulièrement dans sa maison de quelle apprécie campagne, en Indre-et-Loire. Dans vraiment comme en trois ans, Lucette Nasselsky prendra témoigne sa fidé-sa retraite et pourra profiter pleine-lité à lUniversité, ment de ses passions. Cette rencontre quelle a rejoint est donc pour nous loccasion de toute jeune, à seu- connaître le parcours de cette femme lement lâge de 16 discrète et compétente. ans. « Ce milieu de savoir ma permis Lucia Hernandez
Unecarrière eexpmalrieà Paris 1 e -t-elle évolué dans sa IÉcl taurydr ieèsar  ej4 upri 7oduiarqn usêetrsLeu gcaeéuttnjeéoruarlNdeasshs (ueUil sFrkReys2p6or)jn?oit Pagnai.1C ir stna moemyc reimerp ud elu  ditro ddee clsab département des L 15 ans Dès l’obtention de son certificat détude, en 1964, elle suit durant un an des cours à lÉcole commer -ciale Pigier (Charente). Puis à 15 ans, elle se rend à Paris pour tra-vailler au secrétariat dune agence de publicité. Elle y était dactylo-graphe, c'est-à-dire quelle écrivait à la machine à écrire. Cela peut paraître banal à lheure de linfor-matique où tout un chacun use dun ordinateur pour ses activités. Mais pour être dactylographe, il fallait savoir taper à la machine avec ses dix doigts, sans regarder le clavier et à la vitesse de la parole ! Une dextérité que lon pourrait lui envier aujourdhui. À lheure où le « copier-coller » nexistait pas, où le « Retour Arrière » non plus, la faute de frappe prenait alors une toute autre dimension. Cest peut-être pour cela que Lucette Nasselsky ne cesse dapprécier et de vanter les avantages de linformatique, « jadore linformatique ! » afmr-e elle. Elle aspire continuellement à perfectionner ses connaissances en la matière : « plus un travail est informatisé, plus il sera efcace. 
travail (ISST), où elle y a bien connu Marcel David (Cf. Le Fil de Par1s n°15) et Gérard Lyon-Caen qui furent lun puis lautre, directeurs. À cette période, elle prend des cours du soir pour se perfectionner en sténographie afin de passer le concours de sténodactylo. Vers 1970, elle obtient le concours, ce qui lui permet dêtre titularisée. À lInstitut des sciences sociales du travail Lucette Nasselsky exerçait principalement la fonction de dac-tylographe. Elle transcrivait à la machine à écrire tous les cours des enseignants de lInstitut. Elle tapait les textes sur stencil, c'est-à-dire sur un papier spécifique (paraffiné et perforé afin de laisser passer lencre) permettant la reproduction en polycopie. Puis elle en effectuait le tirage. Lucette Nasselsky a su évoluer avec son temps et profiter des avantages de linformatique.  En 1974, elle quitte lISST, pour rejoindre le centre Pierre Mendès France afin d’y assurer la fonction de responsable du secrétariat des L1 et L2 (alors DEUG) Administra-tion économique et sociale (AES). Son voyage au sein des centres de Paris 1 ne sarrête pas là, puisquaujourdhui Lucette Nasselsky est responsable du premier
Le fil de Par1s-décembre 2011 - janvier 2012 6 L’hONNEuRPERSONNELS À
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