FUNCTION AND SCOPE SPEECH AND LANGUAGE IN PSYCHOANALYSIS by Jacques Lacan (fr-angl)
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Description


In particular, we must not forget that the separation embryology, anatomy, physiology, psychology, sociology, clinical does not exist in nature and that there is a discipline of neurobiology at which the observation compels us to add the epithet human for us. "
(Quote chosen to highlight an Institute of Psychoanalysis in 1952).
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Langue Français

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Lacan : Un enseignement qui est interpréation
Dans son tout dernier enseignement, Lacan fait une place à son sinthôme et ce que pourrait être l’incidence de son sinthôme tel qu’il était amené à le présenter. Tout cela est scabreux, tenir le Il, je n’ai jamais pris les choses comme ça, n’y ai jamais songé. En relisant Lacan une fois de plus, j’ai laissé tomber ce qui n’était pas opératoire. La pensée de Lacan n’allait pas de soi, que ça prenne la tournure d’un enseignement, à partir de 1959 et tenir le coup pendant 30 ans, n’était pas une vocation de jeunesse. A toujours insisté sur le fait qu’on le lui a demandé, pouvait être une coquetterie, ce qui est un topos dans la la littérature gréco-latine , l’auteur vient s’excuser sur scène.S’agissant de Lacan, je ne vois pas pourquoi on lui refuserait que cette réticence ait été authentique.: solitaire du savoir. Chez les grands mathématiciens gardent leurs papiers et les sortent des décennies après: Gaus. On a chez Lacan dans « Propos sur la causalité psychique », la main qui se referme sur les vérités. Un certain »garder pour soi », pourquoi les autres auraient besoin de savoir, dans la chaleur du séminaire, Lacan enchaînant année après année. Pas d’enseignement jusqu’à l’âge de 50 ans, a commencé dans son salon du 3, rue de Lille, nous n’étions pas plus de 30, serrés. L’enseignement n’est pas une aspiration mais un renoncement à la jouissance solitaire du savoir. Pour chaque séminaire préparerait plus que ce qu’il pourrait présenter au public. Quand il évoque l’enseignement dans les « Ecrits »- page 297, en 1970, il fait part de sa réticence. Le savoir est autre chose que ce que l’enseignement imagine. L’enseignement est un obstacle au savoir et en particulier pour l’analyste « à ce qu’il sache ce qu’il dit ». Ce que dit l’analyste en tant qu’analyste est interprétation n’est pas enseignement , peut espérer que ses principes lui interdisent d’espérer que son discours soit pris comme un enseignement. Quand il traite la question, l’analyste n’a rien à faire de l’enseignement. Lacan fait entendre « mon enseignement c’est une
interprétation », grand eFet de la conjecture, ne se laisse pas universaliser à tire-larigot. je me suis consacré à le transformer en enseignement ce qui était interprétation, à le détacher de la conjecture. Les autres faisaient enseignement de ce qui était matière à interpréter. Un enseignement qui est interpréation.
M.BELïLOS
http://mbelilos.wordpress.com/2010/03/17/notes-du-cours-de-jacques-alain-miller-du-17-mars/
Egalement
Nouvelle publication surmbelilos
Freud et la guerre samedi à Toulouse et vendredi àMontauban
bymarlène Belilos
Samedi 12 janvier De 11h à 13 H - Salle des guerilleros, hôpital Joseph Ducuing, 15 rue Varsovie, Toulouse Guerre et Inconscient Rencontre – conversation avec Marlène Belilos autour de son livre : Freud et la guerre (Ed.Michel de Maule, Paris 2011) Présentation de l’ouvrage par l’auteur Guerre et civilisation, Francis Ratier Vers la paix perpétuelle, André [...]
Traduction google
Lacan: An education that is interpréation
ïn his latest teaching, Lacan makes room for his sinthome and what could be the impact of the sinthome as it was brought to the present. All this is scabrous, hold the thread, ï've never had anything like that, have never thought of. By reading Lacan once again, ï let go of what was not operating. Lacan's thought was not of course, it takes the appearance of a teaching from 1959 and keep going for 30 years, was not a vocation youth. Has always insisted that the asked, could be an aFectation, which is a topos in Greek and Latin literature, the author has to apologize on stage. With regard to Lacan, ï do not see why they would refuse that this reluctance was genuine. Solitary knowledge. Among the great
mathematicians keep their papers and leave after decades: Gaus. Lacan was in "About the psychic causality," the hand closes on truths. A "keep to yourself" why others would need to know in the heat of the seminar, Lacan chaining year after year. No teaching until the age of 50, started in his living room, 3, rue de Lille, we were not more than 30 turns. Teaching is not an aspiration but a renunciation of solitary enjoyment of learning. Prepare for each seminar more than he could present to the public. When he mentions education in the "Writings" - page 297, in 1970, he expressed his reluctance. Knowledge is another thing that teaching imagine. Teaching is an obstacle to knowledge and in particular for the analyst "that it knows what it says." Said that the analyst is an analyst interpretation is not teaching, hopefully its principles forbade him to hope that his speech be taken as a lesson. When he addresses the question, the analyst has nothing to do with education. Lacan heard "My teaching is an interpretation" large eFect of conjecture, does not allow universal tire-larigot. ï am dedicated to transforming teaching what was interpreted to detach it from the conjecture. Others were teaching that was material to interpret. Education is interpréation.
M.BELïLOS
http://mbelilos.wordpress.com/2010/03/17/notes-du-cours-de-jacques-alain-miller-du-17-mars/
Also
New publication on mbelilos
reud and war Saturday Toulouse and Montauban riday
by marlène Belilos
Saturday, January 12 from 11 am to 13 H - Hall of guerrillas, Ducuing Joseph Hospital, 15 rue Warsaw, Toulouse War and Unconscious Dating - conversation with Marlene Belilos around his book reud and war (Ed.Michel Maule, Paris 2011) Presentation of the book by the author of War and civilization, rancis Ratier Towards perpetual peace, Andre [...]
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Le lacanisme est un avatar du freudisme. On comprendra que la cause laca-nienne se plaide comme la cause freudienne. Terrible impérialisme idéologique, institutionnel et politique que les “pyramidaux” de Lacan mèneront vers l’élaboration d’ une “international lacanian association” suite à la scission de 1963 avec l’AP. L’innovation lacanienne réside dans la recherche de la théorisation du sujet de l’inconscient. Rendons à Lacan ce qui revient à Lacan, comme on laisse à l’Homme ce qui revient à sa mémoire. L’homme serait-il ligoté au mat de son navire (destin) tel l’Ulysse d’Homère auprès des sirènes si:
“l’amour c’est donner ce que l’ on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas”?
Ou alors, la célèbre phrase de Jacques Lacan rejoindrait-elle la pensée de Pascal, à savoir:
“tout ce qui est incompréhensible ne laisse pas d’être”
Jacques Lacan conçoit la critique littéraire dans la promotion de la structure du langage “telle qu’elle puisse recouvrir ce sujet neuf à se produire en tant que sujet divisé dans son être”; il poursuit par “c’est parce que l’ inconscient nécessite la primauté d’une écriture que les critiques glisseront à traiter l’oeuvre écrite comme se traite l’ inconscient.” Sous réserve que “l’oeuvre écrite n’ imite pas l’ eet de l’inconscient, elle en pose l’équivalent, pas moins réel que lui, à le forger dans sa courbure”.
reud démontre que le “signiIant” a en quelque sorte été refoulé et que c’est là le point d’ appel du ux inépuisable de signiIcations qu’il “précipite dans le trou qu’il produit” que Lacan commente comme suit: “interpréter consiste certes, ce trou, à le clore. Mais l’interprétation n’a pas plus à être vraie que fausse. Elle a à être juste, ce qui en dernier ressort va à tarir cet appel de sens, contre l’apparence où il semble fouetté au contraire.”¨ (Source: préface de Lacan “c’ est à la lecture de reud” au livre de R. Georgin, Lacan).
rans tassigny source :http://users.swing.be/sw271551/
ONCTïON ET CHAMP
DE LA PAROLE ET DU LANGAGE
EN PSYCHANALYSE
par Jacques Lacan
« En particulier, il ne faudra pas oublier que la séparation en embryologie, anatomie, physiologie, psychologie, sociologie, clinique n’existe pas dans la nature et qu’il n’y a qu’une discipline : la neurobiologie à laquelle l’observation nous oblige d’ajouter l’épithète d’humaine en ce qui nous concerne ».
(Citation choisie pour exergue d’un ïnstitut de Psychanalyse en 1952).
Le discours qu’on trouvera ici mérite d’être introduit par ses circonstances. Car il en porte la marque.
Le thème en fut proposé à l’auteur pour constituer le rapport théorique d’usage, en la réunion annuelle dont la société qui représentait alors la psychanalyse en rance, poursuivait depuis dix-huit ans la tradition devenue vénérable sous le titre de « Congrès des Psychanalystes de langue française », étendu depuis deux ans aux psychanalystes de langue romane (la Hollande y étant comprise par une tolérance de langage). Ce Congrès devait avoir lieu à Rome au mois de septembre 1953.
(82) Dans l’intervalle, des dissentiments graves amenèrent dans le groupe français une sécession. ïls s’étaient révélés à l’occasion de la fondation d’un « institut de psychanalyse ». On put alors entendre l’équipe qui avait réussi à y imposer ses statuts et son programme, proclamer qu’elle empêcherait de parler à Rome celui qui avec d’autres avait tenté d’y introduire une conception diFérente, et elle employa à cette In tous les moyens en son pouvoir.
ïl ne sembla pas pourtant à ceux qui dès lors avaient fondé la nouvelle Société française de Psychanalyse qu’ils dussent priver de la manifestation annoncée la majorité d’étudiants qui se ralliaient à leur enseignement, ni même qu’ils dussent se démettre du lieu éminent où elle avait été prévue.
Les sympathies généreuses qui leur vinrent en aide du groupe italien, ne les mettaient pas en posture d’hôtes importuns dans la Ville universelle.
Pour l’auteur de ce discours, il pensait être secouru, quelque inégal qu’il dût se montrer à la tâche de parler de la parole, de quelque connivence inscrite dans ce lieu même.
ïl se souvenait en eFet, que bien avant que s’y révélât la gloire de la plus haute chaire du monde, Aulu-Gelle, dans sesNuitsattiques, donnait au lieu dit duMons Vaticanusl’étymologie devagire, qui désigne les premiers balbutiements de la parole.
Que si donc son discours ne devait être rien de plus qu’un vagissement, au moins prendrait-il là l’auspice de rénover en sa discipline les fondements qu’elle prend dans le langage.
Aussi bien cette rénovation prenait-elle de l’histoire trop de sens, pour qu’il ne rompît pas quant à lui avec le style traditionnel qui situe le « rapport » entre la compilation et la synthèse, pour lui donner le style ironique d’une mise en question des fondements de cette discipline.
Puisque ses auditeurs étaient ces étudiants qui attendent de nous la parole, c’est avant tout à leur adresse qu’il a fomenté son discours, et pour renoncer à leur endroit, aux règles qui s’observent entre augures de mimer la rigueur par la minutie et de confondre règle et certitude.
Dans le conit en eFet qui les avait menés à la présente issue, on avait fait preuve quant à leur autonomie de sujets, d’une méconnaissance si exorbitante, (83) que l’exigence première en ressortait d’une réaction contre le ton permanent qui avait permis cet excès.
C’est qu’au delà des circonstances locales qui avaient motivé ce conit, un vice était venu au jour qui les dépassait de beaucoup. Qu’on ait pu seulement prétendre à régler de façon si autoritaire la formation du psychanalyste, posait la question de savoir si les modes établis de cette formation n’aboutissaient pas à la In paradoxale d’une minorisation perpétuée.
Certes les formes initiatiques et puissamment organisées où reud a vu la garantie de la transmission de sa doctrine, se justiIent dans la position d’une discipline qui ne peut se survivre qu’à se tenir au niveau d’une expérience intégrale.
Mais n’ont-elles pas mené à un formalisme décevant qui décourage l’initiative en pénalisant le risque, et qui fait du règne de l’opinion des doctes le principe d’une prudence docile où l’authenticité de la recherche s’émousse avant de se tarir ?
L’extrême complexité des notions mises en jeu en notre domaine fait que nulle part ailleurs un esprit, à exposer son jugement, ne court plus totalement le risque de découvrir sa mesure.
Mais ceci devrait comporter la conséquence de faire notre propos premier, sinon unique, de l’aFranchissement des thèses par l’élucidation des principes.
La sélection sévère qui s’impose, en eFet, ne saurait être remise aux ajournements indéInis d’une cooptation vétilleuse, mais à la fécondité de la production concrète et à l’épreuve dialectique de soutenances contradictoires.
Ceci n’implique de notre fait aucune valorisation de la divergence. Bien au contraire, ce n’est pas sans surprise que nous avons pu entendre au Congrès international de Londres où, pour avoir manqué aux formes, nous venions en demandeurs, une personnalité bien intentionnée à notre égard déplorer que nous ne puissions pas justiIer notre sécession de quelque désaccord doctrinal. Est-ce à dire qu’une association qui se veut internationale, ait une autre In que de maintenir le principe de la communauté de notre expérience ?
Sans doute est-ce le secret de polichinelle, qu’il y a belle lurette qu’il n’en est plus ainsi, et c’est sans aucun scandale qu’à l’impénétrable M. Zilboorg qui, mettant à part notre cas, insistait pour que nulle sécession ne fût admise qu’au (84) titre d’un débat scientiIque, le pénétrant M. Wälder put rétorquer qu’à confronter les principes où chacun de nous croit fonder son expérience, nos murs se dissoudraient bien vite dans la confusion de Babel.
Nous pensons, quant à nous, que, si nous innovons, ce n’est point à nous d’en faire état, et il n’est point de notre goût de nous en faire un mérite.
Dans une discipline qui ne doit sa valeur scientiIque qu’aux concepts théoriques que reud a forgés dans le progrès de son expérience, mais qui, d’être encore mal critiqués et de conserver pour autant l’ambiguté de la langue vulgaire, proItent de ces résonances non sans encourir les malentendus, il nous semblerait prématuré de rompre la tradition de leur terminologie.
Mais il nous semble que ces termes ne peuvent que s’éclaircir à ce qu’on établisse leur équivalence au langage actuel de l’anthropologie, voire aux derniers problèmes de la philosophie, où souvent la psychanalyse n’a qu’à reprendre son bien.
Urgente en tout cas nous paraît la tâche de dégager dans des notions qui s’amortissent dans un usage de routine, le sens qu’elles retrouvent tant d’un retour sur leur histoire que d’une réexion sur leurs fondements subjectifs.
C’est là sans doute la fonction de l’enseigneur, d’où toutes les autres dépendent, et c’est elle où s’inscrit le mieux le prix de l’expérience.
Qu’on la néglige, et le sens s’oblitère d’une action qui ne tient ses eFets que du sens, et les règles techniques, à se réduire à des recettes, ôtent à l’expérience toute portée de connaissance et même tout critère de réalité.
Car personne n’est moins exigeant qu’un psychanalyste sur ce qui peut donner son statut à une action qu’il n’est pas loin de considérer lui-même comme magique, faute de savoir où la situer dans une conception de son champ qu’il ne songe guère à accorder à sa pratique.
L’exergue dont nous avons transporté l’ornement à cette préface, en est un assez joli exemple.
Aussi bien s’accorde-t-elle à une conception de la formation analytique qui serait celle d’une auto-école qui, non contente de prétendre au privilège singulier de (85) délivrer le permis de conduire, s’imaginerait être en posture de contrôler la construction automobile ?
Cette comparaison vaut ce qu’elle vaut, mais elle vaut bien celles qui ont cours dans nos convents les plus graves et qui pour avoir pris naissance dans notre discours aux idiots, n’ont même pas la saveur du canular d’initiés, mais n’en semblent pas moins recevoir valeur d’usage de leur caractère de pompeuse ineptie.
Cela commence à la comparaison que l’on connaît, du candidat qui se laisse entraîner prématurément à la pratique, au chirurgien qui opérerait sans asepsie, et cela va à celle qui incite à pleurer sur ces malheureux étudiants que le conit de leurs maîtres déchire comme des enfants dans le divorce de leurs parents.
Sans doute cette dernière née nous paraît s’inspirer du respect qui est dû à ceux qui ont subi en eFet ce que nous appellerons, en modérant notre pensée, une pression à l’enseignement qui les a mis à rude épreuve, mais on peut aussi se
demander à en entendre le trémolo dans la bouche des maîtres, si les limites de l’enfantillage n’auraient pas été sans préavis reculées jusqu’à la niaiserie.
Les vérités que ces clichés recouvrent, mériteraient pourtant qu’on les soumette à un plus sérieux examen.
Méthode de vérité et de démystiIcation des camouages subjectifs, la psychanalyse manifesterait-elle une ambition démesurée à appliquer ses principes à sa propre corporation : soit à la conception que les psychanalystes se font de leur rôle auprès du malade, de leur place dans la société des esprits, de leurs relations à leurs pairs et de leur mission d’enseignement ?
Peut-être pour rouvrir quelques fenêtres au grand jour de la pensée de reud, cet exposé soulagera-t-il chez certains l’angoisse qu’engendre une action symbolique quand elle se perd en sa propre opacité.
Quoi qu’il en soit, en évoquant les circonstances de ce discours, nous ne pensons point à excuser ses insusances trop évidentes de la hâte qu’il en a reçue, puisque c’est de la même hâte qu’il prend son sens avec sa forme.
Aussi bien avons-nous démontré, en un sophisme exemplaire du temps 1 (86) intersubjectif , la fonction de la hâte dans la précipitation logique où la vérité trouve sa condition indépassable.
1AJOUT DE LA REDACTïON AïN D ACTUALïSER LES ARCHïVES LACAN
Source :http://www.ecole-lacanienne.net/bibliotheque.php
Cette rubrique vous propose une importante collection de textes divers de Jacques Lacan que vous pouvez télécharger à votre guise. En imprimant les diFérents séminaires (séance par séance), vous aurez l'équivalent d'une photocopie, et pourrez alors comparer avec l'une quelconque des versions établies qui circulent, dans le commerce ou sur le Net. Versions bilingues / Versiones bilingües Ajouté le 13 août 2012 rançais / Espagnol : Vous trouverez ici divers textes de Jacques Lacan dans ses versions bilingues, préparées par des membres de l'École lacanienne de psychanalyse. Aquí encontrará diversos textos de Jacques Lacan en versiones bilingües preparadas por miembros de la École lacanienne de psychanalyse. Pas-tout Lacan. Ajouté le 8 juin 20Vous pouvez dès maintenant avoir accès à la plupart des petits écrits lancés à tous vents par Jacques Lacan, de 1928 à 1980 (à l'exception des séminaires). ïl vous sut pour cela de cliquer au bon endroit. Séminaires Jacques Lacan Ajouté le 7 juin 2012 Désormais, l'ensemble du fonds Lacan (séminaires) disponible à l'elp est présent sur ce site. Vous pouvez télécharger, séance par séance, ce qui vous importe dans les sténotypies des séminaires, sous un format image lisible à l'aide d'Acrobat reader (très répandu sur le Web et téléchargeable gratuitement). Télécharger sur le site Epel Ajouté le 5 juin 2012
Rien de créé qui n’apparaisse dans l’urgence, rien dans l’urgence qui n’engendre son dépassement dans la parole.
Google traduction
Lacanianism is an avatar of reudianism. ït is understood that the cause is Lacanian reudian advocates as the cause. Terrible ideological imperialism, institutional and policy that the "pyramid" of Lacan lead to the development of an "ïnternational Lacanian association" following the split of 1963 with the AP. The Lacanian innovation lies in the search for theorizing about the unconscious. Let Lacan what Lacan returns, as it leaves the man who returns to his memory. The man be tied to the mast of his ship (destiny) as the Ulysses of Homer with sirens if:
"Love is giving what one does not have to someone who does not want"?
Or the famous phrase of Jacques Lacan join she thought of Pascal, namely:
"All that is incomprehensible does not cease to be"
Jacques Lacan conceives of literary criticism in the promotion of language structure "as it can cover about nine to happen as a subject in its being divided" he continues with "this is because the unconscious requires the primacy of writing that critics slide to treat the written work is treated as the unconscious. "Subject to" work written n 'not mimic the eFect of the unconscious, it raises the equivalent no less real than him, to forge in its curvature. "
reud demonstrates that "meaning" has somehow been repressed and that is the point of Appeal inexhaustible ow of meanings that "rushes into the hole it produces" Lacan says as follows: "interpret is certainly this hole to close. But the interpretation is no more to be true than false. ït has to be right, which ultimately goes dry sense of this call against the appearance whipped where it seems the opposite. "¨
L'ensemble de la collection de Littoral et de la Revue du Littoral sont désormais entièrement et gratuitement téléchargeables sur le site epel. De même les premiers numéros de la revue critique Quid pro quo. Revista Litoral n°33 à 42 Ajouté le 12 septembre 2010 Vous trouverez ici des exemplaires de la Revista Litoral,, au format pdf Herramientas Ajouté le 17 avril 2007 Herramientas propuestas por la revistaOpacidades
(Source: preface to Lacan 'c' is the reading of reud "the book of R. Georgin, Lacan).
rans Tassigny source: http://users.swing.be/sw271551/
UNCTïON AND SCOPE
SPEECH AND LANGUAGE
ïN PSYCHOANALYSïS
by Jacques Lacan
"ïn particular, we must not forget that the separation embryology, anatomy, physiology, psychology, sociology, clinical does not exist in nature and that there is a discipline of neurobiology at which the observation compels us to add the epithet human for us. "
(Quote chosen to highlight an ïnstitute of Psychoanalysis in 1952).
The speech will be found here deserves to be introduced by his circumstances. Because it bears the mark.
The theme was suggested to the author to provide the theoretical use in the annual meeting with the company which represented psychoanalysis in rance, continued for eighteen years now venerable tradition under the title of "Congress psychoanalysts in rench, "extended from two years to psychoanalysts Romance language (Holland there is a tolerance range of language). This Congress to be held in Rome in September 1953.
(82) ïn the meantime, serious disagreements in the rench group led secession. They were revealed on the occasion of the foundation of an 'institute of psychoanalysis. " One could then hear the team that managed to impose its laws and its program, it would prevent proclaim talk to Rome with other who tried to introduce a diFerent approach and she employed for this purpose every means in his power.
Yet he seemed not to those who once had founded the new rench Society of Psychoanalysis dussent they deny the protest announced the majority of
students who rallied to their teaching, or even that they resign dussent prominent place which it was intended.
Generous sympathy they came to the aid of the ïtalian group, do not put in the position of unwelcome guests in Universal City.
or the author of this speech, he thought he was rescued, he had to be some uneven show the task of speaking the word in any collusion included in this same place.
He remembered, in fact, that long before there would reveal the glory of the highest chair in the world, Aulus Gellius, Attic Nights in his, gave the place called Mons Vaticanus vagire the etymology of which means the Irst beginnings of speech.
So if his speech was to be nothing more than a cry, at least he would then renovate the auspices of the discipline it takes the foundation in the language.
As well as the renovation was she the history too much sense for it not about him should break with the traditional style that is the "nexus" between the compilation and synthesis, to give him the ironic style of a questioning of the foundations of this discipline.
Since his listeners were those students who expect us to speak, it is primarily addressed to them he fomented his speech, and to renounce their place, rules that occur between omens mimic the rigor thoroughness and confusing rule and certainty.
ïn the conict which in fact had led to this conclusion, it was demonstrated to their autonomy of subjects, failure to so exorbitant that the Irst requirement (83) emerged as a reaction against the steady tone which allowed the excess.
ïs that beyond the local circumstances which had led to this conict, a deputy came to light that far exceeded. We could just pretend to settle so if authoritarian training psychoanalyst, raised the question of whether the established modes of this training did not lead to the end of a paradoxical minorisation perpetuated.
While the forms of initiation and powerfully organized reud saw the guarantee of transmission of his doctrine, justiIed in the position of a discipline that can survive only stand at a complete experience.
But they did not lead to a formalism disappointing that discourages initiative by penalizing risk, which is the reign of the learned opinion of the principle of prudence docile where the authenticity of the research wanes before drying up?
The extreme complexity of the concepts that are involved in our Ield that nowhere spirit, exposing his judgment, no longer runs the risk of completely discover its measurement.
But this should have the eFect of making our Irst about, if not unique, postage theses by the elucidation of principles.
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