L épistolière, nouvelle numéro 3
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Description

Numéro 3 C’est le bruit de l’eau qui bout et l’odeur du café qui m’a réveillé. J’ai ouvert lentement les yeux et j’ai tendu l’oreille. En bas, je devine plus que je n’entends ses pas dans le salon, dans la cuisine. Elle ouvre puis referme la porte de la salle de bain. J’ai à peine entendu l’eau couler. Elle a une façon de se déplacer presque furtive. Je sais qu’elle fait très attention, pour ne pas me réveiller. Ça doit lui demander un gros effort sur elle- même, parce que le reste du temps, vivant seule, même en appartement, elle peut tout de même faire à peu près le bruit qu’elle veut. Elle a des horaires bizarres. Elle vient chez moi, en bord de mer, face à l’océan, loin de tout, pour se ressourcer et se reposer, mais elle ne peut pas s’empêcher de se lever avant le soleil, même en été, comme maintenant. Le jour pointe à peine, et elle a déjà mis la cafetière en route. Maintenant, elle va sortir dans le jardin, faire un tour en humant l’air de la mer, et elle reviendra se servir un café qu’elle prendra sur la terrasse, alanguie sur une chaise longue. J’entends un bruit de clés dans la porte, les gons qui grincent légèrement, puis la porte se referme. Je me lève, je m’habille rapidement et je descends. Elle a ouvert les volets du séjour, et je la vois qui s’éloigne vers la grève, en bordure du jardin.

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Publié le 12 octobre 2013
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Licence : Tous droits réservés
Langue Français

Extrait

Numéro 3
 C’ est le bruit de l’ eau qui bout et l’ odeur du café qui m’ a réveillé. J’ ai ouvert lentement les yeux et j’ ai tendu l’ oreille. En bas, je devine plus que je n’ entends ses pas dans le salon, dans la cuisine. Elle ouvre puis referme la porte de la salle de bain. J’ ai à peine entendu l’ eau couler. Elle a une façon de se déplacer presque furtive. Je sais qu’ elle fait très attention, pour ne pas me réveiller. Ça doit lui demander un gros effort sur elle-même, parce que le reste du temps, vivant seule, même en appartement, elle peut tout de même faire à peu près le bruit qu’ elle veut. Elle a des horaires bizarres. Elle vient chez moi, en bord de mer, face à l’ océan, loin de tout se ressourcer et se reposer, mais elle ne peut pas s’ empêcher, pour de se lever avant le soleil, même en été, comme maintenant. Le jour pointe à peine, et elle a déjà mis la cafetière en route. Maintenant, elle va sortir dans le jardin, faire un tour en humant l’ air de la mer, et elle reviendra se servir un café qu’ elle prendrasur la terrasse, alanguie sur une chaise longue. J’ entends un bruit de clés dans la porte, les gons qui grincent légèrement, puis la porte se referme. Je me lève, je m’ habille rapidement et je descends. Elle a ouvert les volets du séjour, et je la vois qui s’ éloigne vers la grève, en bordure du jardin. L’ avantage d’ habiter milieu au loinde nulle part, qu’ est c’ de tout, a aucune y n’ il délimitation franche entre la fin du jardin et le début de la plage. Seule une partie du bornage est matérialisée par un muret qui, à marée haute, est facilement touché, voire pris d’ assaut par les vagues. L’ estuaire de la petite rivière voisine irrigue le peu de terre présentsur les roches, permet d’ avoir et un jardin fleuri comme partout ailleurs, si ce n’ que les fleurs sont plus est couchées, à cause du vent. Elle aime ce jardin, depuis le premier jour où elle est venue. Elle cherchait un endroit où se poser, je lui avais parlé de cette vielle maison que je restaurais, et que j’ allais habiter. Elle ne comprenait pas ma volonté de quitter mon travail, si passionnant, pour venir me retirer ici, et ne plus faire que quelques missions de
temps en temps, et toujours à distance. Je ne supportais plus la ville et ses mouvements perpétuels, j’ avais besoin d’ air, de liberté, et j’ avais la chance de ne manquer de rien. Je me suis transformé en gentleman-farmer, puis progressivement en ermite. Je ne vois plus grand monde à part les quelques commerçants du bourg, et j’ apprécie énormément ma vie. La première fois qu’ elle est venue ici, elle m’ a appelé. Elle n’ allait pas bien, avait besoin de souffler, voulait savoir si je pouvais l’ héberger. J’ avais fait une croix sur elle en quittant la société, je ne pensais pas la revoir un jour, et soudain, elle était là, avec sa grosse voiture bruyante qui entrait en trombe dans mon jardin. Elle était stressée, tendue, et je retrouvais en quelques secondes toutes les raisons qui m’ avaient fait l’aimer et en même temps toutes celles qui m’ avaient fait quitter cette vie de fou. Cette fois-là, elle était restée quelques jours, et un matin, presque sans prévenir, elle était retournée dans sa ruche, sans laquelle finalement elle ne pouvait pas exister. Depuis, plusieurs fois par an, au gré des péripéties de l’ entreprise ou de sa vie sentimentale quelque peu mouvementée, je la vois réapparaitre, pour un jour ou deux, ou pour un peu plus. A chaque fois c’ est le même rituel: elle m’ appelle quand elle est déjà en route, pour vérifier que je suis là et surtout pour me dire qu’ elle arrive. Elle ne se soucie pas de savoir si j’ ai autre chose de prévu, elle arrive avec armes et bagages, elle travaille par téléphone, prend l’ air, se promène un peu. Elle perturbe complètement mes habitudes durant quelques jours, puis elle repart. Plus ça va, moins elle amène de valises et plus elle reste longtemps, moins elle travaille et plus elle se promène et se repose. Cette vie lui convient finalement, mais elle n’ est pas encore prête à l’ admettre. Un jour, peut être. au maximum, je profite d’ elle laEn attendant, je regarde travailler, je lui fais à manger pas du tout, aidait début,. Au ne m’ elle maintenant, elle s’ intéresse au jardin, aux bêtes. Elle est même venue plusieurs fois avec des plantes qu’ elle a voulu installer autour de la maison. Elle n’ y connait pas grand- certaines n’chose, etont pas survécu au climat, mais cela partait d’ une bonne intention, même si cela consistait à transporter une partie de sa vision du monde dans mon univers.
Cette fois, elle est venue avec une sorte de palmier. Il tiendra le coup cet été, mais dès les premiers signes de l’ automne, et les vents de novembre, il faudra le rentrer et le chauffer tout l’ hiver. Même si c’ est une contrainte, je ferai ce
qu’ il faut pour en prendre soins, et s’ il tient jusque là, au printemps prochain, elle me dira : « raison, il s’ est acclimatétu vois, j’ avais», et je ne lui dirai pas que je le veille quotidiennement et que j’ ai transformé ma vieille ferme bretonne traditionnelle en serre tropicale, uniquement pour son palmier et la joie que j’ ai de la voir heureuse.  Elle a traversé le jardin et a passé ses jambes par-dessus le muret qui surplombe la plage assoirpour s’ y. Elle balance ses pieds comme une petite fille, appuyée sur ses deux mains, les yeux au loin.Je m’ approche doucementet m’ accoude à côté d’ elle.En silence, nous regardons les vagues. La mer descend, et bientôt il sera possible de marcher sur le sable. Ce n’ est pas une vraie plage, juste quelques étendues sableuses qui entourent des rochers aplatis et lissés par les vagues. Ici les vents sont forts, les courants aussi. Pas question de se baigner, mais pour qui veut juste profiter de la vue et du climat, c’ est le paradis. Je tourne mon visage vers elle et je contemple son profil. Elle a des traits fins, la peau claire, presque pâle, qui ne supporte pas bien le soleil. Ses yeux et ses cheveux foncés tranchent sur cette blancheur et la rendent aibelle, attirante. J’ toujours aimé la regarder, même il y a longtemps, quand nous étions au bureau ensemble. Elle me subjuguait, m’ attirait, mais jamais je ne le lui ai dit. J’ ai toujours gardé pour moi ce qui me paraissait être une impossibilité complète. Lentement, presque sans qu’ elle s’ en aperçoive, je me rapproche d’ elle jusqu’ à l’ effleurer, mon bras s’ appuie doucement contre sa jambe, mon épaule la touche et ma tête v appuyer légèrement surient s’ épaule. Elle ne réagit son pas, ne se recule pas, au contraire, elle s’ appuie à son tour légèrement sur moi. Mon cœur se met à battre très fort, je prends son attitude pour un encouragement, et je me risque à passer mon bras autour de ses hanches. Je me tourne un peu vers elle, mes lèvres touchent son bras et mes mains se posent sur ses cuisses. Je commence à la caresser doucement. Elle ne bouge pas, mais ses jambes arrêtent de se balancer, je les sens qui se détendent sous mes doigts, et en même temps, son corps se redresse, se tend, sa poitrine se soulève. Je me relève et je me place derrière elle. Aussitôt, elle vient appuyer son do remonte mes abandonne. Jes et sa tête contre moi et je la sens qui s’ mains le long de ses cuisses, de ses hanches, sur sa taille, son ventre. Je
remonte tellement que mes paumes se posent sur ses seins. Je les malaxe lentement, je les effleure, à travers le tissus fin de sa chemise de nuit. L’ encolure remonte assez haut, mais elle s’ ouvre sur toute la hauteur grâce à des petits boutons que je commence à dégrafer, un à un, en commençant par ceux du haut. Je découvre ainsi lentement le haut de son corps, etj’ écarte les pants sur les côtés. Sa tête est appuyée sur mon torse, et en descendant mon regard, je vois ses seins, maintenant à l’ air, dont les pointes sont tendues.  Les lèvres se posent dans son cou, sur sa nuque, mes mains retournent sur ses seins. Je les sens bouger au rythme de sa respiration, dans mes paumes. On m’ a toujours dit que j’ avais des mains très larges, et souvent les seins des femmes que j’ ai connues s’ y perdaient, mais avec elle ce n’ est pas le cas. Elle a une poitrine magnifique, et juste à la taille de mes mains, même un peu plus grande. Je laisse passer ses petits bouts raides entre deux doigts, je les serre un peu. Elle se redresse, se cambre, appuie sa tête un peu plus sur moi. Ses mouvements m’ encouragent, et je recommence à défaire les lentement boutons de sa chemises, jusqu’ à découvrir son ventre. Je glisse une main derrière les quelques boutons qui restent, je descends doucement, et je m’ aperçois qu’ elle ne porte pas de sous vêtement. Mes doigts rencontrent tout de suite son sexe. attendais à devoir meC’ est une sensation étrange, je m’ glisser entre un tissus et sa peau,et j’ arrive tout de suite à destination. peau Sa est lisse, même à cet endroit là, douce, rien de dépasse. Encore une sensation inattendue mais très agréable. Je sens tout son corps réagir sous mes doigts. Mon bras gauche l’ enserre à la taille, pour la retenir, et ma main droite s’ aventure un peu plus avant. Je sens ses cuisses qui s’ écartent à mon passage, elle respire plus fort, bascule un peu vers l’ arrière pour libérer l’entrée de son intimité. Je trouve son clitoris et fait vibrer la pulpe de mes doigts dessus. Aussitôt elle laisse échapper un petit cri, suivi d’ un soupir. Au rythme de mes avancées, mon sexe s’ est gonflé, et il est maintenant raide et voudrait se relever, mais elle est plaquée contre moi et mon érection ne peu pas être totale. Le muret est à la bonne hauteur, et je sens ma queue qui touche ses fesses. Elle doit la sentir aussi, parce qu’ ellelâche progressivement son appui sur une main et part à son tour explorer mon entre-jambe. En quelques mouvements doux de ses doigts, et en s’ écartant un peu de moi, elle permet à mon sexe de remonter, elle me plaque contre elle et bouge un peu
son bassin. Mon sexe se remet à gonfler encore. Je ne me doutais pa ils qu’ pouvait augmenter de volume à ce point. Elle me fait un effet hallucinant. Je me caresse contre le bas de ses reins tandis que mes doigts ont repris leur jeu. Son clitoris est saillant, et l’ entrée de son sexe est humide. Je la pénètre avec un doigt. Elle écarte encore plus les jambes. Alors je glisse un deuxième doigt en elle. Je sens ses muscles se contracter autour de moi, j’ entre et je sors un peu, plusieurs fois. Son ventre se tend, elle me saisi les hanches pour me coller encore plus contre elle, sa respiration est haletante.  Elle s’ est retournée, est descendue du muret et s’ est glissée entre lui et moi. Accroupie, les jambes écartées autour des miennes, elle a descendu mon pantalon et a pris mon sexe dans ses mains. Il est raide, complètement tendu entre ses d bouge lentement en elleoigts qu’ varier la pression de son faisant étreinte. Je me retiens pour en profiter le plus possible. Elle approche sa bouche de moi et doucement se met à me caresser avec sa langue. D’ abord avec la pointe, elle passe autour de mon gland et sous son rebord, puis s’ attarde à son sommet. Je pose mes mains sur le muret pour me caler, je sens des frissons me parcourir tout le corps. Et puis sa langue se fait plate, et elle parcourt ma verge de haut en bas, d’ abord en dessous, ensuite sur les côtés. Elle tourne la tête pour me lécher sur le dessus. Une de ses mains accompagne le mouvement tandis que l’ autre s’ est emparée de mes parties qu’ elle masse délicatement. Ma respiration s’ accélère et je m’ efforce de la ralentir.Sa langue descend jusqu’ à mes boules, elle les lèche lentement et referme un peu ses lèvres autour. Sa bouche est chaude et sa langue glisse sans effort sur moi. Elle reprend mon sexe dans sa bouche. Je le vois qui disparait et réapparait, lentement, régulièrement. Je sens sa main qui continue de me serrer. Tout mon corps est tendu, je lutte autant que je le peux pour ne pas jouir. Elle accélère, je sens sa bouche humide et douce qui me masse, j’ ai les reins en feu. Elle doit sentir que je ne vais paspouvoir tenir longtemps parce que d’ un coup elle se retire et lève les yeux vers moi. C’ est la première fois qu’ elle me regarde. Son regard brille et elle sourit. Elle passe sa langue sur le tour de ses lèvres. J’ ai une vision totale d’ elle, son visage, sa gorge, ses seins dont les bouts pointent toujours, ses jambes ouvertes. J’ aperçoisl’ entrée de son intimité. Je me détends un peu. Elle met ses mains sur mes hanches et doucement, avec la
pointe de sa langue, vient rechercher mon gland et ma verge qui ne fléchit pas. Elle me lèche par petits mouvements, parcourt tout mon membre qui se redresse encore un peu à chacun de ses passages. Elle ouvre sa bouche et lentement, elle m’ attire en elle en bougeant mon bassin vers l’ avant. Ce mouvement me plait. J’ ai l’ impression de la prendre, mais c’ est dans sa bouche que je suis. Mon sexe y j’ ai l’ impression d’ aller jusque dans leentre en entier, fond de sa gorge. Elle me tient toujours et m’ imprime un mouvement de va et vient. Je serre les fesses, ses mains cherchent à me les écarter, elle me caresse le bas du dos, revient sur mes cuisses, passe son pouce au creux de mon aine et me masse entre les jambes. Je sens son ongle qui touche mes boules, je m’ agrippe le plus possible au muret, je ne veux pas jouir! Cette foisc’ est moi qui me retire d’ un coup, je respire difficilement, je me contrôle tant bien que mal.  Je l’ ai remontée vers moi et reposée doucement sur le muret, une jambe de chaque côté de moi. Elle se penche un peu en arrière, arcboutée sur ses mains et j’ atmoi. Sa chemise est entièrement ouvertetire ses hanches vers maintenant meet je vois sa chatte suintante qui n’ attend plus que moi. Je baisse pour la sucer. Son sexe est brulant et complètement inondé. Je passe ma langue à plat sur son clitoris. Elle se coup et laisse échapper uncambre d’ un soupir.Ma bouche explore l’ intérieur de ses cuisses puis reviens vers son sexe. Je remets ma langue à plat contre elle et entame un petit mouvement de haut en bas, pour la masser doucement. Sa réaction est immédiate,je l’ entends qui soupire, je la sens qui retiens un cri, ses jambes se referment autour de ma tête. Je descends très légèrement et entre la pointe de ma langue dans sa partie la plus humide. Je l’ explore et la bois. Son liquide est un peu sucré. J’ aspireson clitoris entre mes lèvres, mes mains se font plus fermes pour retenir ses hanches, elle a des soubresauts de tout le corps, ses cuisses m’ écrasent les oreilles, et un son guttural s’ échappe de sa gorge.  Je me suis redressé, je mets mes mains sous ses fesses pour la soulever légèrement, et je l’ attire vers moi. Mon sexe est toujours droit et raide, et il entre en elle sans effort.L’ intérieur de sa chatte me caresse et me serre
légèrement. Il fait doux et chaud dans son ventre. Elle est à moitié basculée en arrière, ses seins sont dressés vers le ciel, sa gorge est offerte. A chacun de mes assauts, je vois les muscles de son ventre se contracter. Je baisse les yeux pour me voir entrer en elle. Je trouve cette vision encore plus excitante que les sensatio Mes en me masturbant dans sa chatte. mouvements sontns que j’ ai lents, je la pénètre doucement, comme pour mieux ressentir chaque centimètre de ses profondeurs. Mais à ce rythme là, je ne vais pas tenir longtemps. J’ accélère d’ un coup, je la prends de toutes mes forces. Cette fois elle ne gémit plus, elle crie, redresse la tête, me regarde droit dans les yeux. So elle m’ encouragen regard qui était si doux tout à l’ heure se fait provoquant, en poussant un râle à chaque fois que je touche brusquement le fond de son corps. Je vois sa poitrine qui se soulève, elle respire fort et elle se ressert progressivement à l’ intérieur.Elle ne me quitte pas des yeux et je plonge mon regard dans le sien.Son ventre me masse avec de plus en plus d’ insistance.Je ralentis le rythme de mes va et vient. Elle est essoufflée, moi aussi. Je sors d’ elle et prends sa bouche. Elle me sert contre elle et ses jambes m’ entourent. Je sens l’ humidité de son sexe sur le bas de mon ventre. Elle se frotte contre moi et se cabre. Ses reins se creusent. Je baisse la tête et prends un sein dans ma bouche tout en la gardant serrée contre moi.Elle s’ abandonne en arrière et se retient à mes épaules. D’ un coup, je me détache d’ elle et la pénètre de nouveau. J’ entre en elle jusqu’ au fond, je meplaque contre son ventre, et je me mets à bouger légèrement, pour caresser son clitoris avec la naissance de mon sexe. Je sens ses mains qui se crispent sur mes épaules, ses ongles entrent dans ma peau, ses jambes se resserrent autour de moi, son ventre se contracte sur mon membre, elle râle lentement tandis que je sens que je ne peux plus me retenir. Mon sexe se met à battre et je jouis en elle. Des contractions secouent mon bassin qui essaie d’ entrer encore plus profond qu’ il n’ est et je sens ma semence se répandre en elle. Elle se redresse, colle sa poitrine contre la mienne, me serre contre elle et m’ empêche ainsi de ressortir tout de suite.   
 
 
 
C’ est le bruit de l’ eau qui bout et l’ odeur du café qui m’ a réveillé. J’ ouvre les yeux, un peu hagard.J’ essaie de me souvenir où je suis, je vois le jour qui pointe à travers les volets.En bas, je devine plus que je n’ entends ses pas dans le salon. Elle est levée et va bientôt sortir dans le jardin. Je ne comprends pas trop ce qui se passe, je suis en sueur me concentre un instant et m’ aperçois. Je que mon sexe est gonflé, tendu dans mon pantalon de pyjama, et que ma main gauche le tient et le sert. Je me sens humide. Je soulève le drap, je suis fatigué. Je jette un coup d’ œil entre mes jambes et l’ auréole que j’ y me confirme vois que je viens de rêver
 
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