les anneaux d or suite
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Description

Anneaux d’or 2 Un bon mois passa avant que je n’ai des nouvelles du club-restaurant « les Anneaux d’Or ». J’avais presque oublié cette aventure. Je dis presque car je portais toujours la chaînette en or autour de la cheville. Rien ne m’y poussait d’ailleurs. Quelques jours après la fin de mes règles, je reçu un courrier « des Anneaux d’Or ». Curieux d’ailleurs que cela arrive si précisément après mes règles. Il est indiqué sur ce courrier que je dois me rendre aux « Anneaux d’Or » ce vendredi soir vers 18 heures et d’y demander la clé de la chambre 26. Je dois m’y installer et attendre la suite des événements. Le courrier mentionne aussi que tous les problèmes de logistique sont pris en charge tel que le repas du soir. Je dois emmener avec moi le matériel de la séance précédente. Je mets au courant mon mari qui me rassure en me disant qu’il avait lui aussi reçu un message électronique le prévenant de cette séances au club. Le vendredi arrive rapidement. Plus l’heure du rendez vous arrive plus je me sens nerveuse et excitée. Que va-t-il m’arriver ce soir ? Je me prépare classiquement pour le rendez-vous en mettant tout de même de la lingerie un peu plus excitante en dessous. Un petit peu avant 18 heures je me trouve à la réception de « l’Anneau d’Or ». Je me présente. Le réceptionniste me donne immédiatement la clé de la chambre 26. Je monte l’escalier et arrive rapidement devant la chambre. J’engage la clé dans la serrure. La porte s’ouvre.

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Publié le 21 décembre 2013
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Langue Français

Extrait

Anneaux d’or 2
Un bon mois passa avant que je n’ai des nouvelles du club-restaurant « les Anneaux
d’Or ». J’avais presque oublié cette aventure. Je dis presque car je portais toujours la
chaînette en or autour de la cheville. Rien ne m’y poussait d’ailleurs. Quelques jours après la
fin de mes règles, je reçu un courrier « des Anneaux d’Or ». Curieux d’ailleurs que cela arrive
si précisément après mes règles. Il est indiqué sur ce courrier que je dois me rendre aux
« Anneaux d’Or » ce vendredi soir vers 18 heures et d’y demander la clé de la chambre 26. Je
dois m’y installer et attendre la suite des événements. Le courrier mentionne aussi que tous
les problèmes de logistique sont pris en charge tel que le repas du soir. Je dois emmener
avec moi le matériel de la séance précédente. Je mets au courant mon mari qui me rassure
en me disant qu’il avait lui aussi reçu un message électronique le prévenant de cette séances
au club. Le vendredi arrive rapidement. Plus l’heure du rendez vous arrive plus je me sens
nerveuse et excitée. Que va-t-il m’arriver ce soir ? Je me prépare classiquement pour le
rendez-vous en mettant tout de même de la lingerie un peu plus excitante en dessous. Un
petit peu avant 18 heures je me trouve à la réception de « l’Anneau d’Or ». Je me présente.
Le réceptionniste me donne immédiatement la clé de la chambre 26. Je monte l’escalier et
arrive rapidement devant la chambre. J’engage la clé dans la serrure. La porte s’ouvre. C’est
une chambre classique d’hôtel. Il y a un lit deux places et une armoire qui est fermée à clé.
Je ne sais pas pourquoi mais cela me donne froid dans le dos. Une lettre m’attend sur le
dessus de lit. Elle m’indique que je dois me déshabiller complètement et attendre qu’on
vienne s’occuper de moi. J’obéis presque mécaniquement. Je me déshabille donc
tranquillement et range consciencieusement mes affaires sur une chaise. Il ne fait pas froid
dans la chambre. Je n’attends pas bien longtemps. On frappe à ma porte. Je leur dit d’entrer.
Une soubrette entre en poussant un chariot recouvert d’un linge blanc.
« Ma maîtresse me charge de vous préparez pour votre prochaine séance… Veuillez me
suivre dans la salle de bain car ma maîtresse vous veux parfaitement propre de partout… »
Je la suis donc dans la salle de bain. Mes craintes se confirment quand je rentre dans la salle
de bain. Sur une perche se trouve un boc de lavement muni comme il se doit d’une canule
encore emballée dans un sachet stérile. La maison est sérieuse de se coté la. La soubrette
me demande de poser un pied sur le rebord du bidet. Je m’exécute. Elle s’enduit les mains
de vaseline et me caresse le sexe et l’anus. Ses caresses sont très adroites et elles m’excitent
rapidement. Elle introduit son index dans mon sexe et me branle doucement. Elle s’arrête au
moment ou je commence à jouir. Son doigt enduit de vaseline et de ma mouille frotte ma
rondelle avant d’y entrer. Elle assouplit mon sphincter. Elle approche la perche du bidet et
déballe la canule. Elle enduit la canule de gel lubrifiant et me la plante dans le cul sans me
prévenir. Elle entre assez facilement. Elle me fait reposer le pied par terre avant d’ouvrir le
robinet du boc de lavement. Immédiatement je sens le liquide remplir mon anus. Je me sens
de plus en plus ballonner. La totalité du boc se retrouve dans mon anus. Elle retire avec
précaution. Je sers les fesses le plus possible. Pendant que je me concentre sur mes
intestins, la soubrette entreprend de me ploter les seins. Les deux sensations sont
parfaitement contradictoires. Je sens que je ne vais pas résister très longtemps à ce traitement. Je préviens la soubrette. Elle m’indique où se trouve les toilettes.je résiste
encore quelques minutes et me précipite aux toilettes. A ma grande surprise, il n’y a pas de
porte aux toilettes. La soubrette remarque mon étonnement et m’annonce le plus
simplement du monde que dans cet hôtel cela ne sert à rien de se cacher. Je n’ai pas le
temps de discuter. Dès que je suis assise sur le WC, j’explose littéralement en grandes
cataractes bruyantes. La soubrette n’en pas perdu une miette. C’est même elle qui me
propose du papier pour bien me sécher le popotin. Nous retournons dans la salle de bain où
elle me fait assoir sur le bidet. Avec une douchette elle nettoie l’intérieur de mon vagin et
mon anus. Elle en profite pour me branler au passage. C’est elle qui me sèche l’entre jambe
avant de me conduire dans la chambre. Je me mets à quatre pattes sur le lit. La soubrette
installe les entraves et le collier à chien. Elle attache la laisse au montant du lit. Une barre
d’écartèlement vient complétée mon installation.
« Ma maîtresse aime les femmes bien propres et bien ouvertes » me précise la
soubrette.
Je ne sais toujours pas se qui se cache sous le linge blanc qui masque le chariot. D’un
coup je sens une langue se posée sur mon sexe. La soubrette est en train de me sucer la
chatte. Je ne sais pas trop si c’est bien dans les attributions d’une soubrette de faire ce genre
de chose. M’enfin c’est très agréable… J’ai à peine le temps de prendre mon plaisir que la
porte s’ouvre en trombe et qu’un coup cinglant tombe sur les fesses de la soubrette.
« Je me doutais depuis un moment que tu prenais du plaisir avec les novices dans mon dos.
Là je te prends sur le fait et je suis sure que tu ne leurs à pas fait que cela… »
Il me semble reconnaître la voie de la maîtresse qui s’est occupée de moi la séance
précédente.
« Je m’occuperai de ton cas plus tard petite salope… Allez file de là ou je vais
vraiment me fâcher. »
J’entends la porte qui s’ouvre prestement et qui se referme. Une main gantée de cuir me
caresse le sexe et l’anus. Son index me fouille sans ménagement. Je suis tellement excité
qu’il entre facilement.
« C’est vrai que cette salope c’est vraiment y faire avec les novices. Tu as une très
jolie conasse ma salope. Dommage qu’elle ne soit pas assez entrainée pour ce soir. Il va
falloir remédier à cela… »
De quoi elle me parle ! Ma maîtresse se montre enfin à moi. C’est une femme
plantureuse vêtue d’un shorty en cuir et d’un soutien-gorge de la même matière qui cache à
peine la taille plus que généreuse de ses seins. Elle est brune et très peu maquillée. Elle
découvre le charriot et, là, à ma grande surprise je découvre une multitude de gode et
accessoire en tout genre.
« Oui-oui… tout cela est bien pour ta chatte et ton anus… Tu vas voir on va bien
s’amuser ensemble. C’est pour ton bien. Tu verras.»Je n’en doute pas pour elle mais moi mes orifices d’amour vont ressembler à un hall
de gare un jour de départ en vacances. Les hostilités commencent. Elle m’enfile directement
un gode lisse dans la chatte et le vrille dans tous les sens. Ce n’est pas très agréable mais je
n’ai pas le choix. Elle le ressort et le plante dans mon anus et fait la même chose. Elle le
laisse où il est et en prend un autre de taille plus respectable. Il est dans mon vagin en moins
de deux. Je suis remplie par les deux trous. Il ne manquerait plus que je doive en sucer un
autre. Ma maîtresse à du lire dans mes pensées car elle me fourre devant le nez un gode très
réaliste que je dois sucer.
« Tu le reconnais ? C’est ce gode qui ta baisé la première fois… »
Je m’applique sur la fellation. Elle change les deux godes qui me baise par deux
autres un peu plus gros mais surtout vibrant. Elle pousse les vibrations au maximum. Les
vibrations irradient tout mon bassin. Mon plaisir commence à monter. Elle remplace le gode
que je suce par un bâillon balle en cuir. Pendant que les godes produisent leurs effets, elle
s’occupe de mon clitoris. Elle le fait roulé entre ses deux doigts, me le tire ou me le pince.
Elle sait s’y prendre la bougresse. Je ne tarde pas à gueuler ma jouissance dans le bâillon.
Elle retire la barre d’écartèlement mais laisse les godes vibrants en place. Elle place sur mes
yeux un bandeau. Je suis dans le noir. Elle m’aide à me mettre sur le dos. Elle modifie les
chaines qui m’entravent. Elle attache une ceinture autour de ma taille où elle vient attaché
mes genoux. J’ad

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