L ecume de l ame
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L'ecume de l'ame

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Description

L'ecume de l'ame j'ai sept ans, c'est la nuit et je viens de me coucher dans la grande chambre , comme d'habitude je fais le loup à travers la cloison qui me sépare de mon petit frère qui couche encore dans la chambre de mesparents ;aujourd'hui il ne crie pas il dort déjà. J'attend que maman vienne me dire bonsoir , pourquoi ne vient elle pas , je ne peux pas dormir ,elle m'a dit que le marchand de sable aller passer , je ne veux pas elle ne m'a pas dit bonsoir, je sais que c'est vrai le matin j'ai encore du sable au coin des yeux. Le mur de ma chambre et peint en vert foncé ,je crois que c'est la forêt de sapins comme chez ma grandmère , j'aime me promener dans la forêt c'est magique, je fixe le mur et je vois les grands arbres qui bougent dans le vent et le bruisement dans les feuillages , je ne veux pas dormir , pourquoi maman ne vient tellel pas me border ,marchand de sable attend avant de jetter ton sable dans mes yeux , mais déjà il est trop tard , je m'endort enfin , je crois. Les arbres sont serrés les uns contre les autres leur feuiilage est d'un vert foncé presque noir, je n'ai pas peur , j'aime cette forêt c'est mon refuge, je rentre à petits pas le silence est palpable , pas un cri pas un chuchottement l'air est suspendu , je suis bien mes pieds nus foulent la mousse douce comme le tapis haute laine du salon, je ne suis jamais allé aussi loin.

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Publié le 04 février 2013
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Langue Français

Extrait

L'ecume de l'ame
j'ai sept ans, c'est la nuit et je viens de me coucher dans la grande chambre , comme d'habitude je fais le loup à travers la cloison qui me sépare de mon petit frère qui couche encore dans la chambre de mesparents ;aujourd'hui il ne crie pas il dort déjà. J'attend que maman vienne me dire bonsoir , pourquoi ne vient elle pas , je ne peux pas dormir ,elle m'a dit que le marchand de sable aller passer , je ne veux pas elle ne m'a pas dit bonsoir, je sais que c'est vrai le matin j'ai encore du sable au coin des yeux. Le mur de ma chambre et peint en vert foncé ,je crois que c'est la forêt de sapins comme chez ma grandmère , j'aime me promener dans la forêt c'est magique, je fixe le mur et je vois les grands arbres qui bougent dans le vent et le bruisement dans les feuillages , je ne veux pas dormir , pourquoi maman ne vient tellel pas me border ,marchand de sable attend avant de jetter ton sable dans mes yeux , mais déjà il est trop tard , je m'endort enfin , je crois. Les arbres sont serrés les uns contre les autres leur feuiilage est d'un vert foncé presque noir, je n'ai pas peur , j'aime cette forêt c'est mon refuge, je rentre à petits pas le silence est palpable , pas un cri pas un chuchottement l'air est suspendu , je suis bien mes pieds nus foulent la mousse douce comme le tapis haute laine du salon, je ne suis jamais allé aussi loin. L'autre jour au cathé, le curé nous a expliqué que nous serons tous réssucités un jour et que nous et que nous retrouverons tous nos corps, c'est bizarre non crois tu que le cul de jatte qui fait la ^quête à la sortie de l'église va revenir tel qu'il est ce ne seraitpas juste , non, jel'ai dit à l' abbé et il s'est faché, et la dame du premier qui est remarieée parceque son mari est mort , comment va elle faire avec deux maris au paradis . C'est ce petit hérisson couché sous le buisson qui ma fait penser a tout cela ,il avait l'air mort tout roulé comme une bogue de chataigne , j'ai cru qui'il était parti pour le paradis de l'abbé retrouver tous les autres annimaux de la forêt,mais quand je me suis approché j'ai vu son oeuil briller malicieusement à travers ses piquants.
je suis allé chez ma grand mère passer des vacances, maman était fatiguée par mon petit frère , mamie elle a une grand maison ancienne , avec une cuisine mansardée et un placard sous le toit plein de casseroles et de couverts accrochés au mur et une grande penderie ou il fait bon se cacher entre les vêtements qui sentent la naptaline on peut e passer de la salle à manger à la chambre sans en sortir.
Quand je ferme la porte je rentre dans un couloir j'ouvre une porte dissimulée par les vêtements et je me trouve dans la forêt , es ce la même que celle de ma chambre , je ne sais pas c'est une autre entrée car ma grand mère habite en haute marne à bien cent kilomètres de chez mes parents. Je sais qu'elle a plusieures entrées il y a aussi celle dans la chambre de mes parents ou trone un énorme frigidaire joufflu,un jour la porte était restée entrouverte et la lumière filtrait dans le noir,j'étais attiré irrésistiblemnt , j'ai ouvert la lumière bleue s'ouvrait sur un couloir et je me suis trouvé dans passage lumineux dans lequel je me suis aventuré puis j'ai descendu quelques marches moussues et je me sus trouvé à coté d'une fontaine dont les eaux étaient figées par la glace.
Ce jour là je ne suis pas allé plus loin le froid m'a donné envie de faitr pipi et je me suis réveillé dans mon lit;tout transi . Aujourd'hui avec mamie on est allé se promener et nous sommes passés par le viaduc , il relie deux collines boisées et le train passe tout en haut , on peut passer à pied en dessous du tablier du train et c'est très impressionnant car la vallée est très loin en dessous . Il paraît qu'un jour une femme s'est jettée par le parapet pour se suicider et que sa robe à fait parachute , ce qui l'a sauvée malgré elle , mamie m'interdit de m'aprocher de la rembarde en fer forgé, j'ai déliceusement peur , mais je suis grand et je continue à traverser d'un air gaillard.
En bas du viaduc il y a des genêts et de l'herbe , c'est là que mon arriere grand mère faisait paître ses chevres jusqu'à il n'y pas très longtemps , mamie m'a dit qu'elle était morte un jour d'une insolation. A la maison de mamie toutes les descentes de lit sont faites de peaux de chevres tannées , le poil est doux et j'aime marcher dessus les pieds nus avant de me coucher. Ce matin on a été reveillé par RIRI, c'est l'idiot , il chante à tue tête en balancant sur son balai de paille un seau en zing , il va nettoyer les WC publics qui donnent derriere l'abbatoir. En fait ma grand mère habite sur une place qui donne sur l'abbatoir et on entend souvent les vaches qui meuglent , elles sentent la mort proche , cela ne m'impressionne pas j'ai l'habitude , mes camarades et moi nous sommes fascines par ce qui ce passe dans l'abbatoir.
La nuit est tombée et mamie est venue me border dans mon lit après que nous ayons fait ma toilette dans ce qui sert de salle de bains car chez mamie il n'y a pas de salle de bains comme nous avons à Paris la salle de bains ici c'est une petite pièce avec une table avec un dessus en marbre sur laquelle trône une grande cuvette et un broc pour l'eau; il n'y a pas non pas de Wc on se sert d'un seau hygienique que que l'on va vider tous les matins dans le cabinet a fonds du jardin . Comme tous les soirs mamie me donne une tranche d'orange, en fait c'est un bonbon en forme d'orange , cela m'aide à m'endormir et puis ellle me glisseg "michka ," c'est mon ours en peluche et me souhaite une bonne nuit.
J'entend ses pas dans l'escalier qui descend au rez de chaussée , il est raide et glissant car mamie le cire régulièrement et un jour je suis descendu jusqu'en bas sur le derriere après avoir manqué la première marche je crois qu'elle a sa chambre à coucher en bas , mais je n'y suis jamais rentré , en fait je n'ai jamais vu sa chambre , peut être ne dort elle jamais. Des que le silence se fait présent , juste ponctué par le tic tac de la grosse horloge francontoise , je me releve doucement et je me glisse par la porte de la penderie qui donne dans ma chambre, tout de suite l'odeur familière de naptaline et de vêtemetns me prend au nez , mais binetôt je traverse la porte dissimulée derriere un vieux manteau noir et l' odeur de la forêt me chatouille les narines . Je rentre dans la forêt , émerveillé par le spectacle qui s'offre à moi, la lune baigne tout d'une lumière irréelle , les fougères sont comme argentées , les mousses
phosporécentes . Je m'aventure un peu plus loin que la nuit dernière , un gros chataignier me sert de point de repère , une source chante au loin son refrain , l'air est comme parfumé. Tout à coup le calme est troublé , quelque chose d'infime s'est passé , je ressens un frisson dans mon dos , pourtant rien n'a changé ou plutôt si , un bruissement de feuilles sur ma droite, peut être un écureuil. Une silhouette apparaît entre deux bouleaux , curieusement l'homme est sans épaisseur , sans relief , comme un gravure de magazine , le visage flou, ou plus exactement ressemblant à ses effigies de pièces de monnaies usées . Une impression de familier , de déjà vu me traverse l'esprit , le visage me rappele ces vieilles pièces de monnaies avec lequelles je jouais chez la belle mère de ma marraine qui habitait dans l'appartement du rez de chaussée de notre immeuble à PARIS ,chez qui je passais beucoup de temps en rentrant de l'école.
Tout à coup je me trouvais dans l'appartement du rez de chaussée avec ses gros fauteuills en cuir usés , son énorme bureau patiné par les ans , sur lequel tronait un encrier en bronze en forme de de gondole;surmonté de son gondolier .Je retrouvais l'odeur de vieille épice et de fleurs fanées . La vision fut fugitive et je doutais même d'avoir vu quoi ce soit , peut êtrer était ce simplement le courant d'air dans les branches ,le froid me saisit et je reculais de quelques pas repoussant d'une main devenue fébrilel les robes et les smanteaux de la penderie Je regagnais mon lit en grelottant , saisi Michka entre mes bras et m'endormit du sommeil du juste..
Mon camarade pierre , a une maison derriere l'abbatoir au fond dune impasse , il m'a appris à me glisser furtivement dans l'abbatoir sans être vu , nous nous cachons dans des greniers à foin derriere des grosses balles de paille., des foins on ramasse des petits os d'agneaux dont on se sert pour jouer aux osselets , c'est un jeu difficile il faut garder les petits os entre les doigts de la main en lancer un en l'air et puis rattraper ceux qu'il y a sur le sol, celui qui en ramasse le plus a gagné , je ne gagne pas très souvent . Avec Pierre et jacques un autre copain on a fabriqué une tente devant sa porte avec une toile imperméable kaki qu'il a récupéré de la base militaire américiane ou travaille son frère et on a joué les avernturiers. Le ciel s'est couvert et la pluie s'est mise à tomber , on était bien à l'abri de notre tente de fortune, il ne fallait pas toucher la toile car sinon cela faisait des goutières . Le tonnerre s'est mis à gronder et tout à coup un éclair à zebré le ciel éclairant notre tente d 'une lumière violente, nous sommes sortis comme des diables et sommes allés nous réfugier dans un appenti qui sert de remise à outil au fond du jardin., bien qu'on ne le soit jamais avoué on avait eu très peur. On s'est occupé le reste de l'après midi a regarder des bandes dessinées de cow boy , billy le kid buch cassidy , mais c'est dommage car elles sont en américain et ne ne comprenons pas l'histoire. Chez ma grand mère il y a aussi un gramophone avec des vieux disques 78 tours que l'on lit avec une tete de lecture dans laquelle on mêt une aiguille , il marche avec une manivelle qui actionne le moteur ;le son est tellemnt fort que l'on mêt des chiffons dans
le micro, le plus^drôle c'est les disques en carton vernis que les américains on laissé à la libération , ils sont marrons et brillants et tous mous et on ne comprend pas les paroles des chansons.
Auhjourd'hui avec pierre ,Jacque et romain on a voulu jouer au toreador avec une chèvre qui paissait le long du mur de l'abattoir , on a pris un pull over rouge et on la agité devant elle. Bien mal nous en a pris l'annimal est devenu furieux et nous a donné des grands coups de tête , nous avons étés obligés de monter en haut du mur de l'abbattoir pour lui échapper . La voisine de mamie est très gentille et elle a beaucoup d'enfants , certains sont grands et le dernier marche à peine j'aime bien lui rendre visite car elle a un train en porcelaine qui fait tirelire avec des wagons bleus et vert, les roues sont fixes mais il est très beau cela me fait penser aux grosses machines a vapeur que l'on voit en gare de l'est quand on va chez mamie ; qui soufflent leur vapeur à travers leurs énormes roues . La seule chose que je n'aime pas chez la voisine c'est quand elle met son petit dernier sur le pot de chambre sur la table de la salle à manger , je pense que c'est ppour mieux le surveiller , car elle est trsè forte et ne dois pas se baisser facilement.
Les vacances tirent à leur fin et maman et Papa , ainssi que mon petit frère sont venus me chercher ,ils couchent dans une petite maison dans le jardin qui comporte une cuisine et une chambre et qui sert à la location saisonnière. Ce matin on a bien rit Papa nous a raconté qu'il avait fait un rêve , il était allongé dans un champs au soleil et il sommeillait quant il fut réveillé par la queue d'un vache qui lui chatouillait le visage et qui s'apprétait a lui faitre une bouse en plein sur la figure. Le reflexe immédiat fut de donner un grand coup de poing dans le derriere de la vache , sauf que la vache était dans le rève et que c'est maman qui a été reveillee en sursaut par la main de mon père sans plus de mal heureusement, que la surprise .
Me revoici à la maison , j'entend par la fenêtre ouverte le chiffonnier qui lance son cri, peaux de lapins , vieux chiffons il rachète a ceux qui veulent se débarasser des vieux chiffons , je ne sais pas ce qu'il peut en faire. Il y a aussi le marchand de glace avec son gros cheval de labour qu tire une charette plate sur laquellel coulent de gros blocs de glace qu'il vend à la pièce et qu'il faut transporter dans un chiffon pour ne pas se bruler les doigts, cette année on n'a plus besoin de lui on s'est acheté le frigidaire. Jeudi je suis resté seul à la maison maman a amené mon frère au dispsensaire pour faire un vaccin, je me suis glissé dans la chambre de mes parents et j'ai ouvert la porte du réfrigérateur, l'intérieur était baigné d'une lumière bleutée et les clayettes habituellemnt remplies de produits frais avaient disparues , un escalier s'ouvrait sous mes pas. Je me suis glissé furtivement dans l'espace ainsi dégagé non sans frissonner car l'air était glacé comme quand nous allions glisser sur la glace des lacs du bois de Boulogne en hiver , tout est silencieux .Je descends un escalier en marbre rose aux marches patinées , la paroi était tendue d'une étoffe brillante violette qui me penser à l'éveque qui était venu à l' Eglise SANT ODILE et a qui monsieuir le Curé nous a dit qu'il fallait embrasser la baque violette qu'il avait au doigt , une améthyste je crois, je
n'ais pas pu le faire et je lui ais tendu la main
Ce jour là monsieur le Curé nous a dit que la foi descendait subitement sur nous et que les vocations venaient ainsi, tous les soirs je prie que la foi ne tombe pas sur moi,mon dieu ne me donnez pas la vocation , je n'en ai pas envie.
Au bout de l'escalier je trouvais un long couloir avec des murs en calcaires émaillés de silex comme j'avais vu en bord de Seine chez ma soeur Francoise ou il y a des maisons troglodytes creusées dans la falaise , il faisait froid , je continuais néanmoins poussé par la curiosité . Le couloir s'élargissait ,le plafond s'élevait pour faire une voute baignée d'une douce lumière , le sol n'était plus dur mais spongieux une mousse vert foncée le tapissait . J'étais attiré malgré moi en avant je sentais comme une main qui me poussais en avant, tout à coup je pensais à ma soeur Claude, celle que je n'avais jamais connue car elle était morte très jeune de la tuberculose et dont je ne connaissais l'image que par une photo d'indentité vieillie , peut être était elle là dans ce monde parralèle et j' allais la rencontrer , mon coeur battait la chamade. Un momment je crus entendre un bruit de pas , je me figeais instantanement , l'oreille à l'écoute , tous mes sens en éveil, puis rien ce ne devait être que mon imagination ,au loin,j'entendis la sonnerie d'une horloge qui me fis penser à celle de ma grand mère, pourtant ce n'était pas possible j'étais bien trop loin de chez elle , et pourtant , j'étais troublé , inquiet. Le sable avait progressivement remplacé la mousse et un ruisseau serpentait doucement , avec une partculiarité qui m'intriga sans toutefoisi m'inquiter car je connaissais déjà celà , l eau était rouge comme le sang, c'était comme le ruisseau de sang qui sortait derrière l'abbatoir qui est devant la maison de ma grand mère ou Pierre m'avait amené un jour pour ramasser des asticots pour la pêche ,qui grouillaient dans la boue sanguinolente du bord . C'est là également ou se trouvait les WC publics de l'abbatoir que RIRI l'idiot venait nettoyer. Comment était ce possible , j'étais à PARIS pas à Chaumont , que faisais ce ruisseau dans cet endroit bizarre était sa source qui prenait ici, je ne sais pas je ne sais plus. Au loin ce j'avais pris pour le carillon d'une horloge insistait , je réalisais tout à coup que c'était la sonnete de l'appartement , je fis rapidement demi tour remontais vivement l'ecalier ressorti du frigidiare et me précipitait vers la porte d'entrée. Devant la porte je trouvais la concierge , Madame LELIEVRE,la grand mère d'un de mes copains jacques, à qui mamam avait demandé de venir vérifier si tout ce passait bien en son abscence, elle était gentille, des fois elle nous laissait jouer dans la cour de l'immeuble ou elle enterposait les poubelles et on sautait dessus pour les tasser et pouvoir fermer les couvercles. Un jeudi j'avais décidé que maman devait nous amener au bois de Boulogne , j'en avais parlé à Jacques qui était ravi et sa maman lui avait achete des croissants pour le gouter , seulement quand il est venu maman qui n'était pas au courant n'a pu nous amener au bois car nous avions de la visite à la maison , j'étais très déçu et honteux .
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A paris j'ai un autre copain au dessus de chez moi Philippe , il est gentil , et en plus il est riche, enfin ces parents , il a une vrai armée de soldats de plomb avec des canons qui tirent réellement des allumettes , on s'amuse bien quant il nous invite chez lui pour faire la guerre. On a un truc pour communiquer on tape sur le tuyau de chauffage qui passe d'un appartement à l'autre et on parle fort devant ,le son est retransmis assourdi mais on s'entend quand même.Philippe nous envoie par le balcon avec une ficelle des bandes dessinées de TINTIN que nous cachons sous le lit, de temps en temps maman nous achete le magazine de Mikey , mais ce n'est pas pareil , il n'a que quelques pages et les histoires sont à suivre. Mon frère gérard est venu passer quelques jours à la maison , il es militaire dans l'aéronavale il a un bel uniforme avec une casquette bleue et blanche , l'autre jour il m'a proposé cinq francs pour que je m'arrête de parler , j'ai accepté mais il ne m' a pas dit quant je pourrais m'arrêter et cela m'a paru bien long.
A l'ecole on nous a donné des carnets de timbre à vendre , c'est pour les petits pauvres qui ne peuvent pas partir en vacances cela s'appele jeunesse en plein air il, il faut en vendre beaucoup pour que le maître soit content , mes parents on en pris un , l'épicier aussi mais il m'en reste beaucoup; Avec un copain de classe on a une idée géniale , comme on ne peut pas passer devant les conciergeries des immeubles car les colporteurs sont interdits on décide de passer par les escaliers d'incendie derrières les batiemnts ce qui nous permêt d'accéder directement aux étages. Cela marche très bien les gens sont gentils et nous achètent une grande partie de nos timbres , jusqu' a ce qu'on tombe sur un monsieur qui après nous avoir acheté un carnet , nous questionne rudement , en nous disant que ce que nous faisons est interdit , que c'est une violation de propriété, nous ne comprenons rien à ce qu'il dit sinon que c'est un gendarme à la retraite et qu'il n'est pas content il previent mes parents qui viennent nous chercher.
Aux vacances prochaines on doit aller à Vesoul chez la Tante Renée, c'est une tante à Papa, une soeur de ma grand mère Paternelle celle , qu'y habite aussi CHAUMONT et qui est aveugle, quii vit chez le frère de mon père et sa femme Rolande qui parle fort car son mari est sourd, on va moins souvent la voir car elle ne peut pas nous loger . La tante Renée habite dans un ancien presbytère sur la place du village en haute Saone, ici la vie est dure la plus part des habitants n'ont pas l'eau courante et ils viennent chercher l'eau à la fontaine du village. Ici on s'amuse bien il y a Tonio qui a notre âge et qui est garçon vacher ,il nous amène avec lui garder le troupeau et puis il y a un grand jardin fermé par des hauts murs bordés de haies épaisses derrières lesquelles ontpeut se glisser c'est ici que j'ai decouvert une nouvelle entrée de la forêt . Au fond du jardin une petite porte donne sur le bord de la rivière et sur un abri à l'intéreiur duquel il y a des bacs en bois qui se manipulent avec des poulies ce qui les fait descendre au niveau de l'eau Tante rené nous a expliqué que cela servait autrevois aux lavendiaires pour laver le linge dans la riviere , elles s'agenouillaient dans le bac en
bois , le faisait descendre au raz de l'eau et lavaient leur linge. Il y a aussi les poules qui viennent picorer sur la table de la cuisine et un gros chat gris qui se faufile derriere notre dos en ronronnant quant nous somme assis, maman dit que c'est sâle et elle passe toute la vaissele à la javel à chaque fois que nous venons. Tante rené est très gentille et originale , elle est agée mais elle est coquette et mêt des bottines à bouton en cuir noir à talon , il paraît qu'elle a beaucoup de succès auprès des vieux de l'hospice ,. Mes parents m'ont laissé chez ma tante quelques jours , avec Tonio et mon frère Richard on s'est glissé derriere la haie , un écureuil nous es t apparru tache rousse sur le feuillage vert fonçé,c'était comme un signe , nous nous sommes enfoncés plus profopndément dans le feuillage qui nous griffait le visage , Tonio qui était devant nous disparu tout à coup, il venait en fait de glisser dans un trou amenagé dans le sol c'était une trappe qui menait à une cave par un escalier usé et étroit. Tonio sorti de sa poche un brquet tempête qu'il avait toujours sur lui quand il allait aux champs et éclaira la salle voutée et humide qu s'ouvrait à nos yeux. Les murs étaient couverts de toiles d'araignées et des casiers pleins de bouteilles les longeaient juqu'au plafond bas , cela me rappela les bouteilles de cerises en conserves que mamie faisait , et qu'elle faisait sortir du goulot a l'aide d'un fil de fer pour me les faire gouter. Etouffé par le feuillage la voie de tante renée nous parvint curieusement déformée par la voute de lacave et nous fit surssauter , si bien que Tonio en perdit son briquet , ce fut la débandade , nous nous précipitames vers l'escalier pour remonter au grand jour , tante rené nous appelait depuis un moment pour le gouter , ce fut ce jour là la fin de notre aventure , et une expérience que ni TONIO ni mon frère ne voulurent recommencer.
L'a'utre jour on est allé à la ferme de TONIO voir les vaches à l'étable , elles nous tournent le dos dans leur box en bois et derrierè elle il y a une rigole ou s'écoule le purin, l'odeur est forte cela sent l'amoniqaque , un peu comme quand maman nettoye les costumes de mon père avec de l'alcali et qu'elle passe le fer mais en beaucoup plus fort .
Mon frère Richard a voulu s'amuser avec la queue de la vache , la noiraude qu elle s'appelle, une teigneuse d'après Tonio qui n'hésite pas à botter quand elle n'est pas contente . Et là justement elle n'était pas contente , heureusement elle n'a bas donné de coup de pied un seul mouvement de sa queue musclée a suffit à repousser Richard qui a plongé jusqu'au genoux sa jambe dans la rigole a purin remplissant ainsi sa patogas de liquide nauséabond, Tonio et moi nous étions éclatés de rire, couchés sur les bottes de paille disposées au fond de la gnarange nous n'arrivions pas à nous arrêter devant l'air déconfit de mon frère.,
Tante René a proposé à mes parents de me garder quelques jours de plus , j'étais très content et j'ai insisté pour rester , ma mère était un peu réticente mais a fini par céder.
Il me tardait de retourner à la cave que nous avions découverte tant je pressentais qu'elle contenait des secrets que nous n'avions pas vu, l'apres midi même profitant de la sieste de Tante Renée qui sommnolait dans un antique Roking cheravec le chat sur ces genoux je me faufilais sous la haie , non sans avoir pris la précaution de prendre
une lanterne que Tata gardait en cas de coupure de courant .
Je descendis l'escalier rassuré par la lumière tremblotante de la lanterne qui projettait des ombres fantomatiques sur les paroies voutées et des reflets bleue vert sur les bouteilles rangées sur les claies., l'une d'elle attira mon attention.
Contrairement a tout ce qui était dans la cave une seulle bouteille n'était pas couverte de poussière mais luisait faiblemnt comme un vert luisant j'approchais la main du goulot irrésistiblement attiré et la tirait à moi pour l'examiner, c'est alors que la cave disparu pour faire place à la forêt. J'étais au bord d'un étang sur lequel flottait une veille barque l'eau était verte recouverte de nénuphars , on aurait dit l'étang de mon parrain à LA RAVAUDIERE, dans sa propriété de CHARTRES ou nous avions été invités avec mes parents , sauf qu'ici il n'y avait pas les mouflons qui paissaient dans l'herbe . Je m'approchais de l'eau et je vis des bulles à la surface , puis un éclair argenté , une carpe avait sauté attiré par une mouche , je pensais tout à coup à mes expériences de pêcheur , j'avais attrapé deux poissons dans ma vie et mon gout de la pêche s'était arreté là La première fois chez ma grand mère au bord d'un plan d'eau ou nous allions nous baignier je m'amusais a faire des ricochets dans l'eau avec des cailloux plats quanfd a ma grande surprise je m'étais rendu compte que mon ricochet avait assommé un gardon qui nageait en surface, dure destin pour un poisson. La deuxième fois i c'était sur un pont au bord de la marne , les poissons grouillaient en bas du pont et semblaient nous narguer , soit ils mangeaient notre appas sans que l'on puiise les attraper , soit il l'ignorait tout simplement.
Je surveillais mon bouchon qui flottais cinq mètres plus bas quand je le vis fremir;je tirais d'un coup sec si bien que je remontais effectivement un petit gardon que j'avais accroché par le dos , devant la taille de ma prise je dus le rejetter à l'eau. Ce fut ormis quelques essais de pêche au lancer quelques années plus tard qui ne furent pas concluantes l'ameçon finissant systématiqueemnt dans les branches des arbres de la rive , la seule expérience de pêche à la ligne. Tout à coup je frissonnais ,l'air devenait plus frais , le soleil descendait derrière l'horizon nimbant l'étanfg d'une lueur orangée, je crus un isntant voir une silhouette diaphane sur la barque , on aurait dit une fillette, mais l'image s'évanouit comme un banc de brume au soleil et je restais là rempli d'une douce mélancolie.
Me voici de retour à PARIS , l'école a repris , Dimanche, c'est la fête , nous avons la visite de Tonton Eugène , celui qui vit en Affrique , c'est un aventurier , il raconte pein d'histoires drôles et ramène plein d'objets bizarres, il a fait cadeau à maman des sacs en crocodiles et en lézard, fabriqués par les affricains , en fait il les avaient apportés à sa femme la tante Yvonne qui lui a ri au nez , c'est pour cela qu'il les a apportés à maman , ele les a mis dans une armoire, il sont devenus à la mode vingt ans plus tard , c'était un visionnaire Tonton..
Cet été on est tous partis au bord de la mer, enfin tous , maman , mon frère et mes deux soeurs Francoise et Michèle qui sont beaucoup plus agées que moi car elle sont d'un
premier mariage de Papa qui est devenu voeuf et qui s'est remarié avec maman .Papa lui est reté à PARIS, il a horreur de la mer et puis il a beaucoup de travail alors. On est allé dans une île pas une ile de Pirate comme dans l'Ile au tresor mais uneî lequand même, Noirmoutier elle s'appelle, elle est très peu habitée et on ne peut y venir qu'en bateau une fois par jour . On a loué une maison dans le bois d epins un peu à l'écard il n'y a pas l'électricité on s'éclaire avec de grande slampes à pétrole qui fument et les waters sont dehors dans une cabane en bois à côté de la maison mais c'est très beau. Des fois la mer n'est plus là elle se retire c'est la marée , on doit consulter un calendrier pour savoir quand elle et là pour aller se baignier, il paraît que c'est la lune qui l'attire en tout cas c'est drôle à marée basse on peut aller à la pêche et on ramasse pleins de coquillages et le poisson est telement frais que la dernière fosi que maman a mis des soles dans la poêle elles ont sautées à côté du réchaud. Quand la mer revient il y a comme de la mousse de lessive comme quand maman faisait bouillir son linge dans la grose lessiveuse en zing et que cela débordait, ma soeur m'a dit que cela s'appelait l'écume et que c'était tous les souvenirs de la mer qu'elle déposait sur le rivage. Cela m'a fait penser à une poésie de Victor Hugo que nous avons appris à l'école '"Océano Nox " qui commençais comme cela: Au combien de marins , combien de capitaines qui sont partis joyeux pour des courses lointaines Dansle morne horizon se son évanouisais revenus . Peut être que c'est cela dont la mer veut parler avec son écume , mais pas seuelment de celà je crois c'est aussi la vie , les vagues qui folatrent avec les mouettes , les poissons qui sautent , les baigneurs qui rient. Cette nuit nous avons eu très peur la pluie s'était mise à tomber dans la soirée , violente et la nuit était tombée très tôt , nous étions déjà endormi fatigués par une journée de plein air et de plage quand des coups retenirent à la porte d'entrée quelqu'un frappait à la porte, mamère et mes soeurs n'osèrent pas ouvrir et nous restame silencieux sans repondre . Le rodeur ou le promeneur égaré las de frapper s'éloigna puis nous entendimes la porte des WC se fermer , il avait du s'abriter de la pluie pour la nuit, faute de mieux , nous nous sentionsun peu coupable , mais pas assez pour ouvrir. j'avais pensé dans ma terreur nocturne que cette chose qui frappait était peut être de la forêt et que les Wc lui aviant servi a s'introduire dans notre monde réel. Le lendemain ma mère est allé sur le continent pour avertir les gendarmes , il se trouvait que l'on recherchait un voleur que l'on avait surnommé l'homme aux grands pieds à cause des traces de pas laissées dans la terre meuble devant les maisons qu'il visitaient qui étaient d'une taille inhabituelle, cela m'a en partie rassuré.Il me reste toutefoisi un vague malaise que je m'empresse d'effacer au soleil du matin qui dissipe les brumes de mer, néan moins je mes ouviens que ma grand mère m'avait parlé de l'home aux grand pieds dont il fallaitse méfier , étazit ce le même qui glissait t d'un monde parralèle à celui ou je vivais et que me voullais t'il , car à cet instzant j'au la conviction que c'est moi qu'il recherchais . Ce Week end mon frère Gérard qui était en permission est venu nous rejoindre , il y avait un concours sd e château de sable et il nous aidé à faire un paquebot , c'était beau ;, le sable ici est fin et blanc comme de la farine et on s'amuse avec mon frère a
s'enterrer dedans juqu'au cou., Quanfd la la marée se retire il reste d un chenal peu profond, ou l'on peut se baignioer sans risquie et l'eau est chaude on se croirait dans une baignoire. Aujourd'hui on a ramassé des gros crabes ils ne sont pa pas faciles a attrapper ; a cause de leurs grosses pinces il faut les prendsre rapidement par le dos et le mettre dans un seau en plastique plein d'eau de mer Ce matin avec mon frère on est allé voir les crabes que l'on avait pêché hier mais à notre grande surprise le seau était vide , ils avaient réeussis à soulever le couvercle posé sur le seau et lesté d'une pierre et s'étioent tous échappés. Les vacances se sont vites écoulée et nous sommes rentrés à Paris pour la rentrée scolaire , nous avons été acheter un cartable neuf, il sent bon le cuir .
La belle mère de ma soeur Françoise habite à Levallois ce n'est pas très loin de la maison a un arrêt de bus je crois , ele vit avec sa mère qui est très agée et un peu originale ,derrière sa porte elle garde toujours en nerf de boeuf qui lui sert d'arme de défense quant elle est seule si quelqu'un essayait de rentrer elle me l'a prêté un jour c'est comme une cravache en cuir tresse souple d'un mètre de long, les voleurs n'ont qu'a bien, se trenir . La mamie elle avait mis de côté de l'argent pour ses obsèques, et un jour elle a décidé que qu'ilserait mieux employé dans l'achat d'un poste de television , c'est ainsi que le jeudi j'étais invité à venir voir les Westerns et les émissions pour les enfants, c'était presque comme les portes sur la forêt on rentrait dans un autre monde magique . Pour la première fois ce jeudi ma mère décida que j'étais assez grand pour me rendre tout seul à Levallois il suffisait de prendre le bus qui était sur le boulevard Berthier et de s'arrêter à l'arrêt suivant Investi de cette mise en confiance je partis à l'aventure , trouvais l'arrêt du bus , celui ci arrivait justement , je montais et tendit unticket au receveur qui se tenait à l'arrière en lui indiquant ma direction 'PORTE DE CHAMPERRET, il poinçonna mon billet et me le rendit. A ma grande surprise le premier arrêt portait le nom "Porte de Péreire", j'attendis donc le suivant , puis l'auttre toujours sans réultat , pas de porte de champerêt, au bout d'un long moment le bus s'immobilisa et le receveur claironna "Terminus " Porte d' ITALIE" je me trouvais quelque part dans Paris , sans savoir ou je m'étais rendu , en fait j'avais confondu le bus et j'avais pris le PC qui faisait le tour de PARIS.
N'étant pas d'un naturel inquiet et habitué à mes incursions dans des mondes inconnus je décidais de revenir à pieds , je m'enquis auprès d'un passant qui fort obligement se lança dans une explication embrouillée dont je perdis le fil à la troisème avenue.
Au carrefour un policier faisait la circulation, je lui demandais donc la direction de la Porte de Champerret, il me demanda si je souhaitais y aller en bus , devant ma réponse affirmative , il m'indiqua que le bus qui arrivait m'y amenait directement , c'est ainsi que je fis le périple à l'envers, deux bonnes heures s'étaient tout de même passées et la mamie qu avait appelé mes parents ne me voyant pas venir était morte d'inquètude.
Mon frère richard partageait depuis quelques termps ma chambre , rendant plus difficile mes incurions dans la forêt , je craignaisjqu'il ne se rende compte de mon absence ,
aussi j'attendais avec impateince d'être seul pour pouvoir m'y rendre ce qui fut long à réaliser.
Plusieurs mois passèrent , Noêl arrivait avec les premeirs froids i et il commencait à geler , la nuit les caniveaux étaient couverts de glace En partant à l'école avec Romain Wierzinsky le fils de la conceirge d'un immeuble voisin avec qui j'étais ami , nous avons remarqué que le cantonnier qui nettoyait les caniveaux ouvrait une vanne en fonte avec une clé spéciale qui liberrait leau qui jaillisait en bouillonnant ', ors ce jour là sans douite distrait il avait oublié la clé sur la vanne, bien que l'ayant refermée aussitot une idée géniale nous vint à l'esprit . En rentrant de l'école le soir , nous avons fait semblant de jouer aux billes le long du trottoir et Romain a l'abri des regards a ouvet la vanne sans toutefois débloquer totalement l'ouverture pour n e pas attirer l'attention , l'eau s 'écoulait doucement , remplissait le caniveau et se glissait sur le trottoir en pente . Le lendemain matin , le froid était sec , habillés de nos passes montagnes et de nos mouffles en laine nous sommes partis à l'école un peu plus tôt que prévu , nous avions respectivement avancés les reveils de nos maisons d'une demi heure.
Il avait gelé toute la nuit l'air était sec et froid , le trottoir qui s'élargissait en un e espalnade au coin d ela rue était brillant d'une fine pellicule de verglas sur laquelle nous nous sommes mis a faire des glissades tout d'abord en silence puis en poussant des cris de joie tant le plaisir de la glissade était grand. Mal nous en a pris le bruit avait attiré l'attention des locataires du rez de chaussée qui ouvrirent brutalement leurs volets mettaliques et qui après avoir pris concience de l'origine du bruit , nous invectivèrent violement en menaçant de faire appel à la concierge et d'informer nos parents . Fort de l'anonymat procuré par nos passes montagnes et nos écharpes qui nous couvraient pour partie le visage nous primes la fuite en riant . Mon frère gérard , nous avais promis qu'à sa prochaine permission , il nous porterait une armée de soldats comme ceux de Philippe notre voisin du dessus ,Richard et mois nous attendons avec impatience son retour.Gérard est enfin arrivé , mais déception, , en fait d'armée de soldats de plomb, il nous a offert deux chars d'assaut qui avancent tous seuls en crachant des étincelles, qu'ele déception.
Plusieurs mois se sont passés , déjà les vacances de Pâques approchent et il me tarde d e pouvoir retourner chez mamii afin d'emprunter le chemin de la forêt. Pourtant je n'aurais pas a attendre si longtemps , mon frère est en sortie de centre aéré avec l'ecole en forêt de Fonteinebeau et mon maître d'école est malade , je reste don seuk à l'appartement.
Aussitot la porte refermée et apres m'être assuré que le grincement de l'ascenceur ne s'entendait plus indiquant qu'il était arrivé au rez de chaussée , je me glissais dans ma chambre ;poussais mon lit et pénétrait dans le mur comme le passe muraille que j'avais vu dans un film a la television.Je glissais d'abord un bras , puis l'épaule , un ej ambe et me voici dans une clairière baignée de soleiL
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