La dame de Monsoreau — Tome 3. par Alexandre Dumas père
150 pages
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La dame de Monsoreau — Tome 3. par Alexandre Dumas père

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The Project Gutenberg EBook of La dame de Monsoreau v.3, by Alexandre Dumas Copyright laws are changing all over the world. Be sure to check the copyright laws for your country before downloading or redistributing this or any other Project Gutenberg eBook. This header should be the first thing seen when viewing this Project Gutenberg file. Please do not remove it. Do not change or edit the header without written permission. Please read the "legal small print," and other information about the eBook and Project Gutenberg at the bottom of this file. Included is important information about your specific rights and restrictions in how the file may be used. You can also find out about how to make a donation to Project Gutenberg, and how to get involved. **Welcome To The World of Free Plain Vanilla Electronic Texts** **eBooks Readable By Both Humans and By Computers, Since 1971** *****These eBooks Were Prepared By Thousands of Volunteers!***** Title: La dame de Monsoreau v.3 Author: Alexandre Dumas Release Date: January, 2006 [EBook #9639] [This file was first posted on October 12, 2003] Edition: 10 Language: French *** START OF THE PROJECT GUTENBERG EBOOK, LA DAME DE MONSOREAU V.3 *** The Online Distributed Proofreading Team. This file was produced from images generously made available by the Bibliothèque nationale de France (BnF/Gallica) at http://gallica.bnf.fr. LA DAME DE MONSOREAU PAR ALEXANDRE DUMAS ÉDITION ILLUSTRÉE PAR J.-A. BEAUCÉ TROISIÈME PARTIE PARIS 1890 TABLE DES MATIÈRES DE LA TROISIÈME PARTIE. I.—Ce que venait annoncer M. le comte de Monsoreau. II.—Comment le roi Henri III apprit la fuite de son frère bien-aimé le duc d'Anjou, et de ce qui s'ensuivit. III.—Comment, Chicot et la reine mère, se trouvant être du même avis, le roi se rangea à l'avis de Chicot et de la reine mère. IV.—Où il est prouvé que la reconnaissance était une des vertus de M. de Saint-Luc. V.—Le projet de M. de Saint-Luc. VI.—Comment M. de Saint-Luc montra à M. de Monsoreau le coup que le roi lui avait montré. VII.—Où l'on voit la reine mère entrer peu triomphalement dans la bonne ville d'Angers. VIII.—Les petites causes et les grands effets. IX.—Comment M. de Monsoreau ouvrit, ferma et rouvrit les yeux, ce qui était une preuve qu'il n'était pas tout à fait mort. X.—Comment le duc d'Anjou alla à Méridor pour faire à madame de Monsoreau des compliments sur la mort de son mari, et comment il trouva M. de Monsoreau qui venait au-devant de lui. XI.—Du désagrément des litières trop larges et des portes trop étroites. XII.—Dans quelles dispositions était le roi Henri III quand M. de Saint-Luc reparut à la cour. XIII.—Où il est traité de deux personnages importants de cette histoire, que le lecteur avait depuis quelque temps perdus de vue. XIV. XV.—Comment l'ambassadeur de M. le duc d'Anjou arriva à Paris, et de la réception qui lui fut faite. XVI.—Lequel n'est autre chose que la suite du précédent, écourté par l'auteur pour cause de fin d'année. XVII.—Comment M. de Saint-Luc s'acquitta de la commission qui, lui avait été donnée par Bussy. XVIII.—En quoi M. de Saint-Luc était plus civilisé que M. de Bussy, des leçons qu'il lui donna, et de l'usage qu'en fit l'amant de la belle Diane. XIX.—Les précautions de M. de Monsoreau. XX.—Une visite à la maison des Tournelles. XXI.—Les guetteurs. XXII.—Comment M. le duc d'Anjou signa, et comment, après avoir signé, il parla. XXIII.—Une promenade aux Tournelles. XXIV.—Où Chicot s'endort. XXV.—Où Chicot s'éveille. XXVI.—La Fête-Dieu. XXVII.—Lequel ajoutera encore à la clarté du chapitre précédent. XXVIII.—La procession. XXIX.—Chicot Ier. XXX.—Les intérêts et le capital. XXXI.—Ce qui se passait du côté de la Bastille, tandis que Chicot payait ses dettes à l'abbaye Sainte-Geneviève. XXXII.—L'assassinat. XXXIII.—Comment frère Gorenflot se trouva plus que jamais entre la potence et l'abbaye. XXXIV.—Où Chicot devine pourquoi d'Épernon avait du sang aux pieds et n'en avait pas aux joues. XXXV.—Le matin du combat. XXXVI.—Les amis de Bussy. XXXVII.—Le combat. XXXVIII.—Conclusion. IMAGES Titre Ce que venait annoncer M. le comte de Monsoreau. Livarot. Ma mère, on me brave. Le palefrenier détacha Roland et l'amena. Vous êtes affreux à voir comme cela, mon cher monsieur de Monsoreau. Regardez bien cette touffe de coquelicots et de pissenlits. Vous êtes troué à jour, mon cher monsieur. Le comte aperçut Diane debout à son chevet. Saint-Luc se promenait le poing sur la hanche. Et les deux amants s'étreignaient et oubliaient le monde. Bussy entra le front haut, l'oeil calme et le chapeau à la main. D'Épernon. Un mousqueton tout chargé était posé à tout événement à côté d'eux. Monsoreau parut sur le seuil. Je le jure par mon nom et sur ce poignard. Adieu, mes petits lions, je m'en vais à l'hôtel de Bussy. Veux-tu causer avec ton ami? tu ne t'en repentiras pas, Valois, foi de Chicot. Cher comte, le duc d Anjou est un perfide, un lâche. Tiens, tiens, tiens, voilà pour les vices que tu as. Trois hommes armés parurent sur le balcon, tandis que le quatrième enfourchait la balustrade. Saint-Luc la prit entre ses bras et disparut avec elle par la porte. Bussy plongea son épée si vigoureusement dans la poitrine au grand veneur, qu'il le cloua au parquet. Il tomba sur les pointes du fer, et il demeura suspendu. Et du doigt, Chicot montra au roi les bottes de d'Épernon. Oui, des épées, mais des épées bénites, cher ami. Quélus s'inclina et baisa la main du roi. CHAPITRE PREMIER CE QUE VENAIT ANNONCER M. LE COMTE DE MONSOREAU. Monsoreau marchait de surprise en surprise: le mur de Méridor rencontré comme par enchantement, ce cheval caressant le cheval qui l'avait amené, comme s'il eût été de sa plus intime connaissance, il y avait certes là de quoi faire réfléchir les moins soupçonneux. En s'approchant, et l'on devine si M. de Monsoreau s'approcha vivement; en s'approchant, il remarqua la dégradation du mur à cet endroit; c'était une véritable échelle, qui menaçait de devenir une brèche; les pieds semblaient s'être creusé des échelons dans la pierre, et les ronces, arrachées fraîchement, pendaient à leurs branches meurtries. Le comte embrassa tout l'ensemble d'un coup d'oeil, puis, de l'ensemble, il passa aux détails. Le cheval méritait le premier rang, il l'obtint. L'indiscret animal portait une selle garnie d'une housse brodée d'argent. Dans un des coins était un double F, entrelaçant un double A. C'était, à n'en pas douter, un cheval des écuries du prince, puisque le chiffre faisait: François d'Anjou. Les soupçons du comte, à cette vue, devinrent de véritables alarmes. Le duc était donc venu de ce côté; il y venait donc souvent, puisque, outre le cheval attaché, il y en avait un second qui savait le chemin. Monsoreau conclut, puisque le hasard l'avait mis sur cette piste, qu'il fallait suivre cette piste jusqu'au bout. C'était d'abord dans ses habitudes de grand veneur et de mari jaloux. Mais, tant qu'il resterait de ce côté du mur, il était évident qu'il ne verrait rien. En conséquence, il attacha son cheval près du cheval voisin, et commença bravement l'escalade. C'était chose facile: un pied appelait l'autre, la main avait ses places toutes faites pour se poser, la courbe du bras était dessinée sur les pierres à la surface de la crête du mur, et l'on avait soigneusement élagué, avec un couteau de chasse, un chêne, dont, à cet endroit, les rameaux
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