Je déteste ce ciel où luit trop de soleil Et ces rochers osant se teinter de vermeil. Moi, j’aime voir courir éperdu le nuage, Ténébreux chevalier dans sa course au mirage, Et fuir dans la bourasque avec un grand cri fou, Le courlis effrayé par le char de L’Ankou ! Allons vent, souffle un peu, ranime la montagne, La Bretagne sans pluie est une autre Bretagne.