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Un vaccin provoque l’autisme, révélation de Simpsonwood Santé et bienêtreÉcrit par Sylvie Simon, collaboration spéciale27082007 Depuis quelque temps, l’autisme est devenu un problème médical important et l’on nous parle, de plus en plus, de la responsabilité génétique dans cette maladie. Les gènes ont bon dos car, ainsi, personne ne peut être tenu responsable de ce phénomène qui touche plus d’un enfant sur 150. Quoi qu’il en soit, il est impossible qu’une épidémie soit d’origine purement génétique car les facteurs génétiques ne varient pas suivant l’époque et n’expliquent pas l’incidence croissante de l’autisme, surtout lorsqu’elle passe de 1 pour 10 000 à 1 pour 150 en 22 ans. Toutefois, étant donné que les gènes réglementent de nombreuses fonctions du cerveau, il est normal qu’ils soient un facteur qui contribue à l’expression de l’autisme. Cependant la maladie a besoin d’un déclencheur pour se manifester. Le scandale de Simpsonwood met sérieusement en doute la Des vaccins au mercure, responsable d'une version apportée par les laboratoires et les États. épidémie d'autisme (Photos.com) En juin 2000, sous l’égide du CDC*, un groupe de scientifiques et d’officiers de santé du gouvernement américain s’est réuni à Simpsonwood dans un centre de retraite méthodiste isolé protégé par le secret. L’événement était d’importance, mais l’agence s’était gardée d’annoncer publiquement la réunion. Elle n’avait invité que 52 personnes. Les invités étaient triés sur le volet. Certains faisaient partie du CDC ou de la FDA (Food and Drug Administration), d’autres étaient des spécialistes de la vaccination de l’OMS. Enfin, on pouvait y rencontrer les représentants des principaux fabricants de vaccins, tels GlaxoSmithKline, Merck, Wyeth et Aventis Pasteur. Tout ce monde avait été rassemblé pour discuter d’une récente étude qui soulevait d’importantes questions sur la sécurité des vaccins administrés journellement aux nouveaunés et aux jeunes enfants. D’après Tom Verstraeten, un épidémiologiste du CDC qui venait d’examiner les données médicales de 100.000 enfants, il était apparu de manière irréfutable que le mercure contenu dans les vaccins était responsable de l’effrayante augmentation d’autisme et de désordres neurologiques chez ces enfants. Verstraeten a cité les nombreuses précédentes études qui démontraient le lien entre le mercure et les problèmes auxquels étaient confrontés les enfants. Tout au long de la conférence, le CDC a répété aux participants que les travaux et les interventions devaient rester secrets. Ils ne pourraient faire de photocopies des documents ni les emporter en partant. Ces données ont affolé de nombreux participants. « Vous pouvez retourner ces données dans tous les sens, les résultats sont significatifs », a déclaré le Dr. Bill Weil, consultant de l’American Academy of Pediatrics. Cependant, au lieu de décider d’alerter immédiatement le public et de débarrasser les vaccins du mercure, les intervenants passèrent le plus clair de ces deux jours à discuter sur les moyens de dissimuler les données alarmantes. D’après la transcription des travaux, obtenue grâce à l’intervention du Freedom of Information Act, la plupart des participants s’inquiétaient essentiellement de l’impact de ces révélations sur l’industrie pharmaceutique. « Nous serons en mauvaise position pour nous défendre en cas de poursuites », a constaté le Dr. Robert Brent, pédiatre à l’hôpital pour enfants Alfred du Pont dans le Delaware. Le Dr. John Clements, conseiller de l’OMS pour les vaccins, a avoué qu’« il aurait mieux valu que cette recherche n’ait pas eu lieu ». Il a ajouté : « Les résultats doivent être remaniés », car l’étude risquait de tomber entre des mains étrangères et d’être « utilisée de manière différente, hors du contrôle de leur groupe ». Pour sa part, le Dr. Robert Chen, chef du service de la sécurité des vaccinations au CDC, a exprimé son soulagement d’avoir conservé ces informations « hors de portée de personnes moins responsables ». On peut s’interroger sur lanotion de la responsabilité. N’oublions pas qu’il fut invité par la France pour participer au « consensus » de Bichat pour la relance du vaccin HB chez les nourrissons, où il s’est empressé d’occulter tout effet indésirable du vaccin. Dans cette situation, il semble qu’on souhaitait surtout limiter les dégâts plutôt que de protéger la santé des enfants. Le CDC a recommandé à l’Institut de Médecine de mener une nouvelle étude afin de blanchir le mercure et de minimiser ses risques, ordonnant aux chercheurs « d’éliminer » les liens avec l’autisme. Le CDC occulta les travaux de Verstraeten et raconta au Freedom of Information Act que les données originales avaient été perdues et ne pouvaient donc être reproduites.
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