Nos hommes politiques sont formidables ! . u'il est loin le beau temps de ceux qui I briguaient des charges publiques. En ce temps là, les hommes politiques étaient timflJBs-et étaient saisis d'une si vive inquiétude inhérente au désir d'être élu. À l'époque, ils craignaient non seulement les reproches publics, mais les pensées même les plus secrètes, les vains bruits, les fausses imputations, une illusion, un rien, tout les alarmaient au point qu'ils voulaient lire sur tous les visages, dans tous les yeux... Qu'il est loin le temps... Aujourd'hui, la condescendance l'égoïsme, la langue de bois, la suffisance, la course à celui qui dit le plus grand mensonge sont de mise. Aujourd'hui, le cynisme a remplacé la conscience. Même si en effet - peut être que ceci explique cela (puisqu'ils ne se cachent pas pour dire qu'il n'y a rien de plus ingrat que défaire de la politique, que défaire le bien d'autrui ? autrement dit le bien de ces possibles électeurs) - rien n'est si délicat, si frêle, si variable, si volatile que la « bienveillance » des électeurs, des citoyens en général et des Français en particulier à l'égard de quiconque prétend aux charges publiques. Qu'elle est loin l'époque... où non contents de s'irriter pour la faute la plus légère, ils concevaient même souvent d'injustes dégoûts pour les plus belles actions, et passant à côté peutêtre de celles qui auraient vraiment dû être prises en compte. Pourquoi cela a-t-il changé ?
. u'il est loin le beau temps de ceux qui I briguaient des charges publiques. En ce temps l�, les hommes politiques�taient timflJBs-et�taient saisis d'une si vive inqui�tude inh�rente au d�sir d'�tre�lu.� l'�poque, ils craignaient non seulement les reproches publics, mais les pens�es m�me les plus secr�tes, les vains bruits, les fausses imputations, une illusion, un rien, tout les alarmaient au point qu'ils voulaient lire sur tous les visages, dans tous les yeux... Qu'il est loin le temps... Aujourd'hui, la condescendance l'�go�sme, la langue de bois, la suffisance, la course� celui qui dit le plus grand mensonge sont de mise. Aujourd'hui, le cynisme a remplac� la conscience. M�me si en effet - peut�tre que ceci explique cela (puisqu'ils ne se cachent pas pour dire qu'il n'y a rien de plus ingrat que d�faire de la politique, que d�faire le bien d'autrui ? autrement dit le bien de ces possibles�lecteurs) - rien n'est si d�licat, si fr�le, si variable, si volatile que la� bienveillance� des�lecteurs, des citoyens en g�n�ral et des Fran�ais en particulier�l'�gard de quiconque pr�tend aux charges publiques. Qu'elle est loin l'�poque... o� non contents de s'irriter pour la faute la plus l�g�re, ils concevaient m�me souvent d'injustes d�go�ts pour les plus belles actions, et passant�c�t�peut�tre de celles qui auraient vraiment d��tre prises en compte. Pourquoi cela a-t-il chang� ?� cause d'un certain nombre d'intellectuels de syndicalistes de m�dias (journalistes�appelons un chat un chat�comme disait Boileau) manipul�s qui veulent faire passer leur message ; ce message qu'ils veulent faire passer, qu'ils ont�rig�en v�rit�alors qu'il s'agit d'un dogme incongru.
Tout cela donne la photographie instantan�e d'une France d�boussol�e qui se recherche et qui ne se retrouve pas depuis d�j� quelques d�cennies, et ouvre la porte (cette fois-ci� deux battants) aux extr�mes et� une soi-disant politique� verte� (sic). Comme si ceux qui ne voteraient pas�cologiste seraient contre la nature.
Cela me fait penser au monopole du coeur pour le PS (sic) et nationaliste pour le FN ; les autres n'ont pas seulement de coeur mais de surcro�t ils n'aiment pas leur pays. (Sic) C'est cyclique me direz-vous, peut-�tre, mais cela�un co�t, et le co�t, c'est l'appauvrissement - dans tous les sens du terme - de notre beau pays�cause de quelques�nantis�,�les vrais�et je ne parle pas des riches puisque eux ils peuvent, selon que la roue tourne dans un sens ou dans l'autre, devenir pauvres. Mais pour les nantis dont je parle c'est nous qui payons, le ch�mage et la pauvret� n'existent pas, la d�cadence n 'est pas la leur sinon celle qu'ils�procurent�au pays. Cela me fait penser - toute proportion gard�e (si peu) -� ce quelques ca�ds qui font r�gner la terreur
dans les cit�s et que l'on arrive pas�d�loger. R�sultat, la cit�enti�re, tous ses habitants sont vis�s du doigt, sauf eux. Donc, j'ai peur d'un c�t�je suis impatient de l'autre, il faudra mais attendre mai 2012 pour le savoir, puisqu'il faudra que chacun t�t ou tard retrouve sa place, et que la�peur�, le mal�tre, l'avenir incertain, le ch�mage, les angoisses... changent de camp, il est temps. Ceci dit, je profite de ma lanc�e pour donner mon avis sur certains points d'actualit�, tels que : on veut faire payer les clients des prostitu�es (sic) et on fait r�f�rence� la Su�de? Comme cela nous aurons, avec nos amis su�dois, plus d'attache ; nous serons le pays en Europe o�l'on paie le plus d'imp�ts avec eux. Puis, pas content, nous ferons payer le fait de se soulager, on ne pourra plus dire faisons l'amour comme une des rares choses qui ne paie pas d'imp�ts. La diff�rence� avec la Su�de�tant que en France la | prostitution reste licite. Nous avons manifestement beaucoup plus de�bras | cass�s�intellectuels en France que ~ chez eux. 1 Ah ! J'allais oublier, en parlant d'imp�ts vous savez (ce n'est que mon avis qui n'engage que moi) le pourquoi ? (peut-�tre ?) le Pr�sident de la R�publique a remis�sa place le Pr�sident de Total, quand ce dernier a os�dire qu'avant l'�t�nous aurons�2�le litre d'essence ? Parce qu'il ne veut pas que l'on sache que gr�ce� l'imp�t sur les produits p�trolier l'Etat veut se faire une sant�financi�re - avant les prochaines�lections - sur chaque litre�2�il pr�l�vera l,40�. Du �vol�ou�racket�(�votre choix) alors que nous�produisons du p�trole�de surcro�t sur le dos de certains. Nous sommes les plus forts, pas en sport, vous avez remarqu�chaque fois qu'on allume la t�l�ou la radio ; voire que l'on ouvre�un canard�qui a perdu ? C'est la F... Mais en ce qui concerne les imp�ts ne sommesnous pas les inventeurs de la TVA(1)de l'imp�t sur le revenu, des fausses factures aussi ? Ce ne serait que la contrepartie�Seigneur tout tout honneur.
(1) Sous le r�gne de Louis XIV le faux�tait d�j�un sport national,�tel point qu'il y avait un� Code des faux�.