Notre-Dame-des-Landes, l’étude qui chamboule tout...
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Vue aerienne de la zone du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Photo MAXPPP) Comment préserver 1650ha de bocage et de terres agricoles ? Quelle serait l’alternative au projet d’aéroport de NotreDamedesLandes, symbole des grands projets inutiles et imposés ? Comment se positionner en tant qu’architecte dans le contexte de la transition écologique et de lutte contre l’expansion urbaine ? Notre-Dame-des-Landes : L’étude qui chamboule tout... [Démarche alternative] Pour les associations opposées au projet de NotreDamedesLandes, la rénovation et le développement de l’aéroport existant à Nantes semble une des seules issues possibles. En s’impliquant avec l’une d’elle, le CéDpa,collectif d’élu(e)s qui doutent de la pertinence du projet d’aéroport, nous avons étudié la faisabilité d’une contreproposition : celleci montre que le développement, l’optimisation et l’agrandissement de l’aéroport existant aux horizons 2030 et 2050 étaient la meilleure alternative possible; cela dans l’emprise foncière actuelle et pour un coût deux fois moins important que le projet décrié. L’étude a été rendue publique le 25 juin 2014, bouleversant les hypothèses et les justiÞcations de la création du nouvel aéroport. Notre-Dame-des-Landes : l’étude qui chamboule tout... Sommaire : Démarche d’architectes engagés Quelle(s) alternative(s) ?

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Publié le 23 octobre 2014
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Extrait

Vue aerienne de la zone du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Photo MAXPPP)
Comment préserver 1650ha de bocage et de terres agricoles ? Quelle serait l’alternative au projet d’aéroport de NotreDamedesLandes, symbole des grands projets inutiles et imposés ? Comment se positionner en tant qu’architecte dans le contexte de la transition écologique et de lutte contre l’expansion urbaine ? Notre-Dame-des-Landes : L’étude qui chamboule tout...
[Démarche alternative]
Pour les associations opposées au projet de NotreDamedesLandes, la rénovation et le développement de l’aéroport existant à Nantes semble une des seules issues possibles. En s’impliquant avec l’une d’elle, le CéDpa,collectif d’élu(e)s qui doutent de la pertinence du projet d’aéroport, nous avons étudié la faisabilité d’une contreproposition : celleci montre que le développement, l’optimisation et l’agrandissement de l’aéroport existant aux horizons 2030 et 2050 étaient la meilleure alternative possible; cela dans l’emprise foncière actuelle et pour un coût deux fois moins important que le projet décrié. L’étude a été rendue publique le 25 juin 2014, bouleversant les hypothèses et les justiÞcations de la création du nouvel aéroport.
Notre-Dame-des-Landes : l’étude qui chamboule tout... Sommaire :
Démarche d’architectes engagés Quelle(s) alternative(s) ? Aménagement du territoire Atelier citoyen Repères : Cinquante ans de discussions Les auteurs de l’étude Iconographie Presse Contact
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02 Notre-Dame-des-Landes : l’étude qui chamboule tout...|
Extraits de l’étude présentant les différentes possibilités d’extension et d’aménagement
Commanditaire__CéDpa Collectif d’élu(e)s doutant de la pertinence du projet d’aéroport Intervenants__ Ivan Fouquet, architecte dplg. (atelier bam) Franco Fedele, architecte dplg. Baptiste François, architecte de. (atelier bam) Cyrielle Lefebvre, architecte hmonp. (atelier bam) Images__Zoé Fontaine
Lieu__Nantes Dates__Juin 2014 Programme__ Etude de faisabilité pour l’optimisation et le développement de l’aéroport de Nantes-Atlantique Surface hors oeuvre nette__23 000 m²
Etude de juin 2014
Démarche d’architectes engagés L’architecte n’est pas toujours complaisant avec les pouvoirs en place. Son mé-tier et sa démarche holistique sont peut-être devenus plus utiles pour la recherche d’alternatives crédibles, concrètes que pour la production inconditionnelle de bâti et l’obsession de croissance. En exerçant un regard critique sur l’occident industriel, surproducteur et surconsommateur, la recherche d’une alternative au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes éclaire le débat public et sensibilise aux valeurs de mo-dération, d’économie et de sobriété. « La civilisation, au vrai sens du mot, ne consiste pas à multiplier les besoins, mais à les réduire volontairement, délibérément. » écrit Gandhi dans Les lettres à l’âshram (1948). Dans l’esprit de la transition écologique, il s’agit ici de défi nir les possibilités de con-server et de valoriser un aéroport existant, en lien avec la ville. Ce projet vise à limiter les ambitions dispendieuses, consommatrices de terre agricole et responsables de l’étalement urbain. Nous savons notre monde fi ni, les bocages de Notre-Dame des Landes, s’ils sont détruits, ne retrouveront jamais leur équilibre naturel et fertile. Les ressources nécessaires à la construction d’un aéroport sont elles aussi limitées et l’architecte aujourd’hui doit concevoir des solutions allant dans le sens de la sobriété, de l’optimisation de l’existant et de la simplicité volontaire. 03 Notre-Dame-des-Landes : l’étude qui chamboule tout...|
Le déploiement de l’aéroport comme un origami
Projet d’extension en origami
Coupe sur l’aerogare existante et sur le projet
Quelle(s) alternative(s) ? Chaque année en France, 60 000 ha de terres agricoles sont urbanisées. Faire avec l’existant et réduire les besoins vont sans doute devenir les problématiques majeures de la conception architecturale au XXIe siècle. Considérer et réfl échir à l’aménagement, la rénovation et l’optimisation de l’actuel aéroport Nantes Atlantique s’inscrit dans cette démarche architecturale frugale. Ce projet s’appuie sur des solutions construc-tives sobres et économiques ; il s’agit de consommer plus de matière grise pour préserver les matières premières, l’eau et l’énergie. Les solutions d’aménagements et d’extensions proposées aspirent à faire plus en utilisant moins de ressources, en op-timisant les équipements, les bâtiments, les matériaux déjà en place, les espaces et les moyens disponibles, les matériaux recyclés, les éléments réutilisés, en générant le minimum de pertes. La mesure juste de chaque composant du projet (donné ou non) doit prévaloir. Après un audit précis des consommations énergétiques, des déperditions thermiques et du confort des usagers, il s’agit d’une part d’initier une rénovation énergétique de l’ensemble des espaces, d’améliorer les performances et le fonctionnement biocli-matique du bâti existant. L’opération est bénéfi ciaire en termes de coût global : les économies de consommations énergétiques compensant l’investissement dans la rénovation. D’autre part, les extensions proposées pour l’aérogare sont prévues suivant un sys-tème constructif simple, et économique, utilisant des structures répétitives en bois avec un remplissage en matériaux légers, facilement recyclables et issus de circuits courts. Les savoir-faire nécessaires à la réalisation du projet permettent d’avoir re-cours à la main d’œuvre artisanale de la région. Le chantier peut ainsi avoir des effets plus effi caces et immédiats sur l’économie locale, en réduisant l’appel à une sous-traitance moins-disante au profi t d’emplois locaux. Dans leurs usages, les bâtiments seront aussi plus sobres, moins consommateur d’énergie, d’eau, d’éclairage et d’entretien. Ils devront produire leur énergie, recycler les eaux, endurer de manière constante les usages intensifs liés aux activités aéro-portuaires.
Symboliquement, le projet prend la forme d’un origami, le pliage de papier japonais, pour proposer un catalogue de solutions de développement de l’aérogare. Les di-verses surfaces complémentaires à l’actuelle aérogare nantaise se déplient en fonc-tion des hypothèses de trafi c. L’aéroport se déploie, se prolonge, s’amplifi e, s’étend comme une aile d’oiseau. Le pli, l’origami identifi e son évolution véritable ; ainsi se développe, progressivement, l’avenir de l’aéroport en 2030, 2050… Le projet montre que l’emprise foncière existante est suffi sante pour adapter l’aéroport de Nantes-Atlantique à l’éventuelle augmentation du trafi c dans les prochaines années. Le papier plié nous renvoie aussi à l’enfance et à la confection de nos propres avi-ons… Comme la grue en papier, il peut aussi devenir symbole de paix.
Ce projet alternatif n’est qu’une esquisse au stade de faisabilité. Notre souhait n’est pas de peindre l’aérogare en vert pour le rendre écologique, sa conception doit être prolongée, elle nécessite une réfl exion profonde pour une construction et un fonc-tionnement sobre et optimisé. Elle se doit de participer à la transition écologique en cours.
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Vues aeriennes de l’aeroport existant
La situation de l’aeroport existant
Développement potentiel autour de l’aéroport existant
Aménagement du territoire L’aéroport existant de Nantes-Atlantique peut tirer profi t de son emplacement ; faire ce choix d’un développement rationnel permet de maintenir les tissus industriel, économique et social importants qui l’entourent déjà, tout en assurant la continuité avec la ville. Son site de 332 ha avec les usines Airbus (85 ha) et la zone D2A (150 ha) forment déjà la plus importante zone économique du Sud Loire. Cette zone est située à 2 km du boulevard périphérique nantais. L’usine Airbus et environ 200 entreprises qui y sont implantées génèrent plus de 6 000 emplois. Le fret de l’aéroport bénéfi cie du réseau de voies ferrées existant. Situé à 4km des berges de la Loire, l’aéroport peut aussi devenir un pôle multimodal, associant le transport aérien aux transports fl uviaux et ferroviaires. De même l’ensemble du ter-ritoire pourrait profi ter d’un réseau de transport urbain performant et à moindre frais, soit par un TER ou un train-tram utilisant les actuelles voies de fret, soit par la prolon-gation de 2 km de la ligne de tramway à partir de l’arrêt Neustrie. Le maintien de l’activité aéroportuaire sur le site de Nantes Atlantique apparaît ainsi bénéfi que pour l’économie nantaise.
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Perspective du projet (Zoé Fontaine)
Présentation de l’étude lors du rassemblement NDL2014 les 5 et 6 juillet 2014.
Atelier citoyen Depuis 50 ans, les luttes et les résistances de Notre-Dame-des-Landes se succè-dent pour la préservation du bocage breton. L’alternative du maintien de l’aéroport de Nantes Atlantique dans le périmètre de son site actuel s’inscrit dans la continuité de ces exigences citoyennes. Il s’agit, ici, de rechercher de nouveaux modes de réfl ex-ions et de participations démocratiques. Le projet de développement de Nantes-At-lantique n’est pas une affaire privée; nous assistons aujourd’hui à une transformation sociale où il est permis d’affi rmer qu’un aéroport est bien une affaire publique. En tant qu’infrastructure d’intérêt collectif, il représente un outil commun dont nous sommes tous potentiellement les usagers et participons tous au fi nancement Sa planifi cation doit faire l’objet de réunions publiques et faire appel à la participation de ses usagers, des employés, des ouvriers, des cadres, des riverains, etc., en un mot : des citoyens.
Comment la rénovation et le développement de Nantes Atlantique peuvent-ils ren-forcer notre modèle démocratique ? Comment esquisser de nouveaux modes de planifi cation des infrastructures urbaines ? Comment impliquer les Nantais dans la réfl exion sur leur aéroport ? En prolongement de cette étude, nous proposons la création d’un atelier citoyen. Cet atelier aurait comme triple objectif : - L’expression démocratique, lieu d’échanges, de débats éclairés, entre citoyens, élus et techniciens. - Le partage de connaissances pour améliorer la compréhension des enjeux autour de cet équipement. - La co-construction et la refl exion prospective intégrant la pluralité d’acteurs et de compétences.
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Graphique comparatif des coûts de réaménagement et de construction des Aéro-ports de Nantes Atlantique et de Notre-Dame-des-Landes en fonction de l’évolution de la capacité de 4,5,7 et 9 millions de passagers par an; selon les études offi cielles de Vinci, de la DGAC et de l’étude d’optimisation du CEDPA.
Les auteurs de l’étude :
Franco Fedele et Ivan Fouquet à Nantes en juin 2014
Ivan Fouquetest architecte à Paris, diplômé en 2002 de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette. Il exerça dans plusieurs agences à Paris et à San Francisco, avant de participer à la création de l’atelier bam. Coopérative d’architectes (SCOP), l’atelier bam fonde sa démarche à la fois sur une véritable écoute des habitants, utilisateurs, oc-cupants… et sur une prise en compte des questions environnementales. Ces deux paramètres sont à la base du développement d’une multiplicité de projets à une multiplicité d’échelle, tant en réhabilitation, qu’en construction neuve et en aménagement urbain. Il est aussi titulaire d’un Master du Georgia Institute of Technology (Atlanta, 2000) et d’un DEA de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS, Paris, 2005). Il membre du bureau de l’Institut pour la Conception Eco-responsable du Bâti (ICEB).
Repères : Cinquante ans de discussions 1963La Direction à l’aménagement du territoire lance le projet d’aéroport à NotreDamedesLandes. 1974Une «zone d’aménagement différé» de 1 225 hectares dédiée au projet est créée. 2008Le projet est déclaré d’utilité publique. 2013La date du début des travaux, prévue en cours d’année, est repoussée. Une «commission du dialogue» est mise en place. A sa demande, en novembre 2013 une étude de la Direction de l’Aviation Civile (DGAC) évalue le coût de la rénovation de l’existant à 825 millions d’euros TTC, légèrement inférieur au projet de NotreDamedesLandes (992 millions d’euros TTC) L’étude que nous réalisons est amenée à recalculer une à une toutes les données du rapport de la DGAC, nous avons ainsi montré que cette évaluation avait été largement surestimée. Elle prévoyait la démolition de quasiment toutes les infrastructures et ampliÞait artiÞciellement les besoins en surfaces. Les espaces destinés au contrôle sûreté étaient ainsi multipliés par trois, ceux desÞles d’attente par deux, le tarmac s’étalait sur trois fois la place nécessaire au stationnement des aéronefs. Autant de surfaces surestimées gonßant artiÞciellement la facture. Le rapport de la DGAC allait jusqu’à chiffrer la construction d’un chenil pour 600 000€ (pour trois chiens)
Franco Fedeleest un architecte Nantais, diplômé en 2002 de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes. Humaniste, il ques-tionne l’architecture et sa capacité à introduire du signifi é dans la société. Esprit libre, il éveille chez « l’autre » une curiosité et un rapport plus immédiat à la réalité. Ecologiste politique, il dévoile les simulacres et les faux-semblants architecturaux et urbanistiques. Son architec-ture est nécessairement optique, passionné par l’échelle et le modèle architectural. Il enseigna dans de multiples lieux dont l’école d’architecture de Nantes. Il est titulaire d’un Deug de philosophie. Parmi ses engagements, il est membre du bu-reau Nantais d’Europe Ecologie les Verts.
Baptiste Françoisarchitecte as- est socié à l’atelier bam, il est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Bel-leville après un diplôme en mathématique / in-formatique (DEUG). Il est particulièrement im-pliqué dans la recherche en anthropologie de la ville et urbanisme. Il concentre ses réfl exions sur l’utilisation des phénomènes d’appropriation de la ville par ses habitants au bénéfi ce du projet; s’intéressant aux différents acteurs de la ville, qu’ils soient concepteurs, politiques ou usagers. Durant ses études, il a rejoint, à Tokyo, le labo-ratoire du professeur Hajime Yatsuka à l’Institut de Technologie de Shibaura. Il a ensuite travaillé pour plusieurs grandes agences à Paris et à To-kyo.
Le CeDpa(Collectif des élu-e-s qui doutent de la pertinence de l’aéroport) est une associa-tion d’élu(e)s opposé(e)s au projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes, co-présidé par Fran-çoise Verchère, conseillère générale (PG) de Loire-Atlantique et Jean-Paul Naud, maire (sans étiquette) de Notre-Dame-des-Landes. Le Cedpa avait déjà présenté en octobre 2012 une étude commandée à un cabinet néerlandais spécialisé dans les enjeux environnementaux, qui, contrairement aux données de l’enquête publique, concluait que “les coûts d’un nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes excèdent les bénéfi ces”.
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1 Mard900 M € 800 M € 700 M € 600 M € 500 M € 400 M € 300 M € 200 M € 100 M € 0€
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4M Pax 5M Pax 7M Pax 9M Pax Comparaison du cout des aéroports de Nantes Atlantique et de Notre-Dame-des-Landes en fonction de l’évolution du nombre de passagers/an. (montantsDGACetNotre-Dame-des-Landes:sourcesofficielLEs).
349M€ optimisables
167M€ économie minimum
1 Mard900 M € 800 M € 700 M € 600 M € 500 M € 400 M € 300 M € 200 M € 100 M € 0€
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Iconographie (issue de l’étude et libre de droits) 01.Vue d’ensemble du projet (image Zoé Fontaine) / 02.Vue satellite de l’implantation de l’aéroport existant / 03. Vue satellite avec le dével-oppement potentiel autour de l’aéroport existant / 04.Extrait de l’étude de faisabilité / 05.Extension de l’aérogare pour 5 millions de passag-ers / 06.Extension possible de l’aérogare pour 7 millions de passagers / 07.Extension possible de l’aérogare pour 7 millions de passagers / 08.Extension possible de l’aérogare pour 9 millions de passagers / 09.Développement en origami de l’aérogare existante / 10. Comparaison des coûts de réaménagement et de construction des Aéroports de Nantes Atlantique et de Notre-Dame-des-Landes (font beige) / 11. Comparaison des coûts de réaménagement et de construction des Aéroports de Nantes Atlantique et de Notre-Dame-des-Landes (font bleu)/ 12.Bilan de l’étude et conclusion / 13. Synthèse du développement de l’aéroport / 14.Extrait de l’étude, extension pour 5 millions de passagers / 15.Extrait de l’étude, extension pour 7 millions de passagers / 16.Extrait de l’étude, extension pour 9 millions de passagers / 17. Fragment de la perspective du projet sur l’aérogare existante (image Zoé Fontaine) / 18. Fragment de la perspective du projet d’extension de l’aérogare (image Zoé Fontaine) / 19. Photomontage de l’extension de l’aerogare / 20.Coupe sur l’aéroport / 21. Photographie de l’étude.
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167M€ économie minimum
349M€ optimisables
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4M Pax 5M Pax 7M Pax 9M Pax Comparaison du cout des aéroports de Nantes Atlantique et de Notre-Dame-des-Landes en fonction de l’évolution du nombre de passagers/an. ( montants DGAC et Notre-Dame-des-Landes : sources officielLEs.)
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PRESSE Lors de sa publication, l’étude a donné lieu à une ving-taine d’articles de presse. Elle continue d’être citée aujourd’hui comme une alternative après l’abandon du projet.
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Notre-Dame-des-Landes : l’étude qui chamboule tout... Contact Presse :
atelier bam architectes : Ivan Fouquet : 06 19 31 80 74 Franco Fedele : 06 64 74 12 62
CéDpa : Geneviève Lebouteux : 06 75 40 32 79 Françoise Verchère : 06 73 37 67 76
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