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Publié par | les_archives_du_savoir |
Nombre de lectures | 89 |
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Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 18 Mo |
Extrait
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(COURS
PHILOSOPHIEDE
ABSOLVESDES IDÉESLE FONDEMENTSDR
B1ETN.BEAU ET DUDUDU VRALAVIS.
revêtu decet ouvrage nonexemplaire deTout
réputé contrefait.griffe serama
— FONDERIE DE FA1N,PARIS. IMPRIMERIE ET
place de l'Odéon.Rue Racine, n° 4 .COURS
DE
PHILOSOPHIE
PROFESSÉ A LA FACULTÉ DES LETTBES PENDANT LANNÉE 1818,
PAR M. V. COUSIN,
SUR
LE FONDEMENT DES IDÉES ABSOLUES
DU VRAI, DU.BEAU ET DU BIEN;
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* PTJBLlf
AVEC St5N AUTORISATION
DAPRÈS LESET MEILLEURES RÉDACTIONS DE CE COURS
PAR M. ADOLPHE GARNIE»,
MAITRE r>E CONFERENCES A L ECOLE NORMALE.
PARIS.
LIBRAIRIE CLASSIQUE ET ÉLÉMENTAIRE DE L. HACHETTE,
A.i'CiEK ÉlÈve de l'école normale
.
RUE PIEPRE-SARRAZIN, 12N°
1836.*PRÉFACE
DE L'ÉDITEUR.
En i826, M. Cousin, forcé au silence par
unpouvoirsoupçonneux, publiapour lapre-
mière foisdesfragmensdesonenseignement
de 8 à 1 8 etprincipalement1 1 5 1 de cette8,
dernière année.Le public accueillit avecem-
pressement ces restes d'une parole qui avait
retenti avec tant d'éclat. Les hautes intelli-
gences philosophiques comprirent bien le
sens decespages si remplieset si concentrées;
elles saisirentlelienqui lesrattachait les unes
aux autres, comme les feuillets d'un même
livre. Mais lesil n'en fut pas ainsi de tous
lecteurs, jeuneset principalement des
aPKEFACE DE LEDITEIK.VJ
adeptes de la philosophie. La présente
publication est destinée à leur fournir le
guide qui leur manquait, et à leur donner
cette prodigalité d'explications et cette sur-
abondance de lumière, dont la jeunesse a
tant besoin.
Le cours professé à la faculté des lettres
en 1 8 1 par M. Cousin, résumait son8,
enseignement antérieur, et posait de la ma-
nière la plus pluslarge et la nette la théo-
rie dogmatique du professeur. M. Cousin
en donna le programme dans les Fragmens
philosophiques mais ceprogrammenepou-;
vait être parfaitement intelligibleque pour
ceux qui en avaient entendu le dévelop-
pement de la bouche même du maître.
Le cours de 1 8 8 avait été rédigé par1 les
élèves de l'école normale qui faisaient partie
de l'auditoire de la faculté. Ces rédactions
avaient été remises professeur, et ellesau
dormaient dans ses cartons. Ce sont ces
:rédactions que j'ai demandées à M*. Cousin
quelque défiance qu'il eût de ces papiers
l'oubli,délaissés et condamnés par lui à
il aban-a bien voulu me les remettre et