Prose pour le plaisir d’écrire…Chapitre 11 Sur le sentier de la guerre, J'ai acquis le pouvoir De donner vie à mes rêves, Et de sublimer la mise à mort, De ces faciès outrageux,
Sur le sentier de la guerre, J'ai acquis le pouvoir De donner vie à mes rêves, Et de sublimer la mise à mort, De ces faciès outrageux, Déguisant mes cauchemars.
Le désir de liberté, Est une quête permanente et absolue. Adepte de la résistance passive, Je suis contre vents et marées, Revenu victorieux, De tous mes combats.
Pour une vie d'homme, Les croisades spirituelles, Sont une nécessité de chaque instant. Rudoyer l'esprit et le corps, Afin que nul faiblesse ou désaveu, Ne vienne empiéter, Sur la sérénité des anges.
Faites un pas en avant, Si la certitude à forger en vous, Le glaive de la victoire. Deux pas en arrière, Si dans l'intimité de votre être, La peur est devenue un instrument, Pour vous asservir.
Le chant du destin, Aussi vil et monocorde soit-il, A instrumentalisé ces scènes ironiques, Qui nous servent de repères. Nous faisons partie intégrante, De ce manège parfait, A la croisé des chemins, Entre Caelum et Terra;
Pour beaucoup hélas, L’existence, Ne signifiera sans doute jamais rien. Le jour se lève... Comme toujours… le soir revient.
L'indifférence est une maladie, Laissant à l'abandon des lignes de vies, Brisées par l’inertie des rêves; Et qui s’amoncellent comme autant d’épaves… En bord de mer.
Cruel destin qu’est celui des âmes faibles !!! Re a xés vers l’avenir… Écritgdarndsslfeicreuxdeleursmains, Et plongeant sans cesse dans l’incertitude Pour échapper au mot fin ?
Peu importe, Les choses arrivent qu'on le veuille ou non; La lumière du monde s’est estompée; Le crépuscule victorieux l’a envahit; Ce n’est plus qu’une question de temps… Viens l’heure où la douloureuse quiétude, Fera place à l’inexorable…Grand sommeil. En prélude à la naissance d’un nouveau monde, Le ciel en ligne de mire...infiniment...