L’artiste a ses habitudes en mal Je souffre et aime me faire souffrir Je n’imagine rien d’autre pour t’écrire Et je cherche à t’atteindre, mon Graal.
Le froid cassant, féroce, sauvage me mord, Devant chaque étoile je rêve et te vois Je suis à chaque fois un peu plus mort Et mon coeur gelé ne sent plus le froid
Au moment où je t’écris, tu réussis Tu as ton IELTS et gagne ta nouvelle vie Et moi on me dit lâches, oublies, avance Mais mon coeur que toi ne panse
Tu enviais ma fameuse “Nouvelle vie” Je regrette l’ancienne avec toi. Tu étais mon soleil, une lueur de joie Maintenant ma vie n’est que nuit et pluie
Je suis désorienté, tu étais ma force Tu le savais en brisant mon écorce. Je suis faible et me plis au gré du vent Mourir pour te retrouver, c’est tentant.
Tu es ce joyau, joyeux Quand mouillée tu le voyais Ce royaume… Je suis noyé Ridé, rauque, un raté en déroute
Je veux jeter ce cahier. Il est réceptacle de mes pensées Mes sentiments et douleurs Sans lui je ne verrai les couleurs
Mais si je renis cette partie Si, ici, un mur je me construis je ne vaudrais pas mieux Que ces connards dans des pieux
Cette école génial a créé mes malheurs Renier par ma famille et briser mon coeur. En cavalier d’horreur, un bouquet de fleur je dégaine rieur et m’entraine vers mes peurs.
Je suis seul. Je cherche en refuge
Ton humeur. Je trouve en compagnon Le spiritisme, interdit et malsain Maladroit, j’exerce et joue avec le malin.
Une justice aveugle ? Ou ignorante traîtresse Mon crime ? T’aimer, et avoir rigolé ... Ma sentence ? La solitude et la tristesse Une dernière volonté ? Je T’aime Alizée
De cette tour de brique Je souhaite m’évader Dans ton coeur entrer Emporter ton âme De joie s’enivre Pour vivre et aimer
J’écris sur les murs gris de cette vieille ville Sous les yeux hautains des vieux parisiens Devant la béate ignorance des gamins Au dessus de tous leurs superficiels avis
Un Amour Transit, un soir d’hiver à Paris. Pour une fille qui reste la plus jolie