lettre d’infon°44DESTRUCTION DES ACQUIS SOCIAUX DES TRAVAILLEURS EUROPÉENSLa crise grecque est une crise du système capitaliste et n’ont pas d’autre choix que d’accepter la dictature du FMI une crise de l’Union européenne, aujourd’hui menacée de et des gouvernements de l’UE. Comme ceux-ci acceptent la dislocation. Le plan d’austérité imposé à la population par dictature des marchés fi nanciers qu’ils ont pourtant sauvés une sainte alliance du FMI, des gouvernements de l’UE et l’an passé de l’effondrement en s’endettant pour pouvoir du gouvernement socialiste grec n’est d’ailleurs pas seule- les renfl ouer. Il fallait entendre un François Fillon nous ment une punition infl igée aux travailleurs et aux retraités expliquer que les agences de notation ne sanctionnaient grecs mais l’annonce de plans d’austérité généralisés en pas la France. Des agences de notation que l’on connaît Europe. Les 100 milliards d’euros du plan de rigueur français comme intrinsèquement liées aux Bourses et aux intérêts de François Fillon le prouvent ! Ces éléments dramatiques des marchés. Dès lors, la dette grecque est l’occasion de dans leur application, parce qu’ils impliquent des coupes justifi er un plan d’austérité déjà dans les tuyaux, tant il claires dans les dépenses publiques, la protection sociale et est vrai qu’en France aussi, ce même gouvernement qui les revenus de la population, rappellent les fondamentaux a multiplié les cadeaux aux plus favorisés veut désormais de l’Union ...