LA MORT DU PHILOSOPHE Séminaire d’élèves à l’E.N.S. 2002-2003
2 ème Séanceintroductivele 21/11/2002, par Christophe Litwin
SOMMAIRE I. BILAN DE LA SEANCE PRECEDENTE. 2 a) Ambiguïté de l’expression : la « mort du philosophe ». 2 b) But de la première séance. 2 c) 3 conceptions ont ainsi été évoquées. 2 (1) Celle de la mort comme une catastrophe (modèle darwinien). 2 (2) Celle de la mort comme, comme parfaite extériorité à la réalité de la vie (modèle épicurien). 3 (3) Celle de la mort comme horizon immanent à la temporalité même de la vie (modèle phénoménologique). 3 II. LE RAPPORT DE L’ACTIVITE PHILOSOPHIQUE A LA MORT ELLE -MEME. 5 A. Mortalité du particulier et visée universelle dans la lutte à mort. 5 1. Lutte à mort et déliaison philosophique de l’âme et du corps 6 2. Parallèle entre la philosophie comme reconnaissance universelle de soi-même et la lutte à mort pour la reconnaissance. 6