Recueils et Périodiques  ; n°113 ; vol.28, pg 147-160
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Revue d'histoire de l'Église de France - Année 1942 - Volume 28 - Numéro 113 - Pages 147-160
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Publié le 01 janvier 1942
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Langue Français
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Recueils et Périodiques
In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 28. N°113, 1942. pp. 147-160.
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Recueils et Périodiques. In: Revue d'histoire de l'Église de France. Tome 28. N°113, 1942. pp. 147-160.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1942_num_28_113_2937RECUEILS ET PERIODIQUES
<Ammaedara) gravées 493. « A. Gaston d'une A Merlin propos Mélanges sur forme Richard ces : en d'une Amulettes judaico-chrétienne sortes Tunisie, d'études Bordeaux-Paris. : amulette les Revue d'amulettes Obstacles contre l'auteur anciennes des en études l'invidia plomb, à ». commente Tome qu'il la offerts liberté anciennes. récemment date XLII, provenant, les à du de 1940. 'imprécations Georges Bas-Empire conscience découverte de « Tunisie, Radet. au et «magiques à IV p. déclare Haidra 486- siè
cle de l'ère chrétienne, p. 498-507. Considérations judicieuses et péné
trantes sur la liberté de conscience individuelle et la liberté de cons
cience collective ou ecclésiastique telles que les ont conçues et prati
quées, sous le Bas-Empire, Lactance, Thémistius, Julien, le néo-plato
nisme et saint Augustin.
J. Zeiller : Quelques remarques sur la ^vision » de' Constantin,
p. 542-550. Reprenant les textes de < Lactance et d'Eusèbe (ou plutôt du
pseudo-Eusèbe) si souvent discutés, notamment par MM. Grégoire et*
Seston, l'auteur accepte la théorie de M.* Grégoire sur l'interpolation
d'Eusèbe, mais conserve au témoignage de Lactance sa ^ pleine valeur
historique : il ne dériverait aucunement du Panégyrique païen de 310,
qui relate, non un phénomène miraculeux ou prodigieux, mais un év
énement véritable (comme l'a soutenu récemment M. Lietzmann) > ou plu
tôt une prosopopée rhétorique et allégorique.
Fernand Benoit : le Delta du Rhône ai l'époque grecque, p, 567-572.
Précisions topographiques « et toponymiques, valables aussi pour l'ép
oque romaine et donc pour le premier âge chrétien.
G. Chenet : Sept croix-graffites sur un vase gallo-belge de Lavoye
(Meuse), p. 593-599. Description archéologique d'une cavité funéraire et
de son mobilier; conjectures sur la signification de sept signes cruc
iformes grossièrement dessinés sur un vase, daté avec vraisemblance du
IIIe siècle de notre ère : indice probable de christianisme.
Paul Courteault : Une légende épigraphique à Bordeaux, p. 600-608.
La tombe de Caiphas, que la tradition populaire ^médiévale situait^ sur
le mont Judaïque, n'est pas ^ la sépulture de Waifre, dernier duc vas-
con d'Aquitaine au vin8 siècle, comme le croyait * le *• cordelier André
Thevet, mais un tombeau gallo-romain, sur la 'pierre duquel on. lisait
G AU F(ilius) AS(iaticus ?).
G. Drioux : les Lingons dans l'histoire romaine d'après les textes
littéraires, p. 622-627. Répertoire de tous les témoignages des auteurs
anciens sur la civitas Lingonum, de César à Claudien^et Grégoire de
Tours. - 148» REVUE D'HISTOIRE DE L'ÉGLISE DE FRANCE'
H. Rolland": Ugium-Lgvalduc, p. 653-659. î Étude toponymique sur
l'étang de Lavalduc, que l'auteur fait dériver de Vallis de Ugio, où se
retrouve le vocable Ugium qui désigne le vicus gallo-romain, héritier
d'une ville grecque, à l'emplacement de l'actuel village de Saint-Biaise
(Bouches-du-Rhône) .
P. Wuilleumier : le Théâtre romain d'Autun, p. 699-706.- Compte
rendu des fouilles récentes qui >ont fait connaître ce monument du
i" siècle, restauré peut-être au ne et au début du IVe.
J.-R. Palanque.
Société nationale des antiquaires de France.
Mélanges en hommage à la mémoire de Fr. Martroye.
Paris, C. Klincksieck, 1941.v In-4° de 394 pages, illustrations, 23 pi.
J. Zeiller : les Hérésies en Afrique entre la paix constantinienne et
l'invasion vandale, p. 101-106. Le bilan hérésiologique de l'Afrique au
iv siècle est des plus minces, mis à part le retentissement, très inégal,
de la controverse arienne, des théories pélagiennes et de la propagande
manichéenne. Il se réduit, en dehors de ces trois mouvements, aux fai
bles survivances d'une dissidence telle que le montanisme, ou à l'exis
tence de sectes d'importance minime, telles que celles des Abelonii et des
Caelicolae.
M. Aubert : la 'Transformation de l'art chrétien en Orient du IVe au
VIe siècle, p. 149-166. La transformation dei l'iconographie religieuse
et du style des peintures' en Palestine, en Syrie,1 en Egypte et en Asie
mineure est étudiée d'abord dans les textes, puis dans les œuvres. On •
y constate le passage de l'art symbolique, puis de l'art dramatique au
style historique et didactique visant avant tout à commémorer les faits
et à enseigner les fidèles, et dont en peut constater l'apparition dès le
milieu du me siècle à la chapelle chrétienne et à la synagogue de Doura.
On /constate en même temps la* transformation des techniques. En
architecture, la' construction massive, voûtée, solidement, équilibrée,
remplace le type plus 'léger de la basilique classique à colonnes, archi
traves ou colonnes, et charpente. En sculpture, la ronde-bosse disparaît
devant le bas-relief en <> méplat. Dans les arts du dessin, triomphe de
la figure hiératique, du Téalisme, du décor géométrique. Telles, sont les a
caractéristiques * des œuvres étudiées par l'auteur, mosaïques, manus- -
crits à peintures, pièces d'orfèvrerie, ivoires, tissus. Au début du vu8
siècle, le nord de l'Afrique ' et le bassin oriental de la Méditerranée,
dans presque toute son étendue, sont perdus pour la civilisation anti
que et l'art hellénistique.
J. Formigé : Remarques i diverses sur les • baptistères de ¥ Provence,
p. 167-190. Les baptistères de Riez, d'Aix-en-Provence et de Fréjus sou
tiennent la comparaison avec ceux de Djemila et d'Albenga et doivent
dater de la fin du ive-ou-du début du Ve siècle. Exposé des renseigne
ments fournis par- les ! fouilles et travaux exécutés par l'auteur. La
cérémonie du baptême était orientée.
Ph. Lauer « : Iconographie* carolingienne. Vivien et Charlemagne^
p. 191-205. Dans la miniature de présentation de la première Bible de
Charles * le Chauve, l'abbé Vivien figure parmi les religieux) du centre,
au premier rang du tableau. Le prince franc du fragment de sacramen-
taire du ixe siècle dit de Metz ne serait autre que Charlemagne encore?
jeune. RECUEILS ET PÉRIODIQUES 149
R. Lantier : Art celtique et art roman, p. 207-212., Tentative de rat
tacher quelques thèmes de la sculpture romane à une source lointaine
remontant au < passé celtique.
F. Deshoulïères : les Cryptes en France et l'influence du culte des
reliques sur l'architecture religieuse, p. 213-238. Origine^ latine des
cryptes cultuelles. Basiliques cimétériales bâties au-dessus du tombeau
de martyrs dont les corps reposaient dans les catacombes. Du culte des
reliques paraît être - né le déambulatoire. Cryptes à <. reliques : . loculi.
Cryptes fermées avec allée transversale par devant. Caveaux avec salle
annexe. Cryptes avec Cryptes * transformées en chapell
es. Cryptes à (cultes particuliers. Cryptes vides. Cryptes j constructives.
R. Grand : la Sculpture et l'architecture romanes à Saint-Géraud
d'Aurillac, p. 239-267. Le plan de cette église, une partie essentielle de
ses murs et quelques-uns des vestiges de sa plus ancienne décoration
remonteraient au dernier tiers du x9 siècle. Le reste de la
romane serait du xr siècle par suite d'une réfection des. parties hautes.
Cette église serait donc* plus ancienne que celles.de Conques et de
Figeac, dont le plan est d'ailleurs différent. — La maison dans laquelle
on a mis au jour en 1938 une arcature romane du xie siècle ne serait
autre que l'ancien hôpital, « hôtellerie » de l'un des chemins de Saint-
Jacques.
J. Vallery-Radot : Note sur deux chapiteaux romans de l'église
d'Anneyron1 (Drôme), p. 269-274. Répliques de deux chapiteaux « de l'
église de Saint-André-le-Basrde Vienne, dont le début de la restauration
se place en 1152.
B. de Montesquiou-Fezensac : Une épave du tréso

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