Annales de la Société entomologique de France
724 pages
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',,-^yw lak'-Xi' "^m^^m^-m /"J ANNALES SOCIETE ENTOMOLOGIQUE DE FRANGE. IMPRIMERIE DE TERZU0I.0 , HUE DE TilCIIlAKD ,U° 11. ^ ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANGE. TOME SEPTIEiME. Nalura maxime miranda ia minimis. A PARIS. G. LEVRAULT, éditeur, rue de la harpe, n° 8. A STRASBOURG, MÊME MAISON, rue des jcifs n" 33. , ' 18?8. ANNALES DE LA ENTOMOLOGIQUESOCIETE ESSAI SUll LES GOLLAPTÈRIDES (SuiTC) PAR M. SOLIER. (Séance du 20 décembre 1857.) DEUXIÈME DIVISION. Les Pkaiiéroglosses. menton,Le beaucoup plus petit que dans la division pré- cédente, laisse toujours un intervalle notable entre ses côtés ceux de l'échancrure découvert laet progéniale, et laisse h base des mâchoires plus ou moins saillante en dehors. Cette se trouve quelquefois pédoncule dubase recouverte par le menton et non par cet organe lui-même; il est presque toujours porté sur un pé-notablement rétréci à sa base et doncule assez prononcé, rétréci et tronqué antérieurement; rarement il a, dans cece pédoncule est rectangulaire; mais lecas , un très-grand développement. Dans quelques-uns menton est l'échancrure est largeéchancré en avant, mais et généralement peu profonde. La languette est saillante G ANNALES dans le plus grand nombre, et l'on aperçoit les trois articles de ses palpes. PREMikRE SECTION. Tête oblongue ou rectangulaire, prolongée d'unemanière s'enfonçantpeu dans le prothorax,notablederrière les yeux, et ayant un léger étranglement à sa partie postérieure. —9* Tagénites.Tribu.

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lak'-Xi'"^m^^m^-m/"J
ANNALES
SOCIETE
ENTOMOLOGIQUE
DE FRANGE.IMPRIMERIE DE TERZU0I.0 ,
HUE DE TilCIIlAKD ,U° 11.^
ANNALES
DE LA
SOCIÉTÉ
ENTOMOLOGIQUE
DE FRANGE.
TOME SEPTIEiME.
Nalura maxime miranda ia minimis.
A PARIS.
G. LEVRAULT, éditeur, rue de la harpe, n° 8.
A STRASBOURG,
MÊME MAISON, rue des jcifs n" 33.
,
'
18?8.ANNALES
DE LA
ENTOMOLOGIQUESOCIETE
ESSAI
SUll LES GOLLAPTÈRIDES (SuiTC)
PAR M. SOLIER.
(Séance du 20 décembre 1857.)
DEUXIÈME DIVISION.
Les Pkaiiéroglosses.
menton,Le beaucoup plus petit que dans la division pré-
cédente, laisse toujours un intervalle notable entre ses côtés
ceux de l'échancrure découvert laet progéniale, et laisse h
base des mâchoires plus ou moins saillante en dehors. Cette
se trouve quelquefois pédoncule dubase recouverte par le
menton et non par cet organe lui-même; il est presque
toujours porté sur un pé-notablement rétréci à sa base et
doncule assez prononcé, rétréci et tronqué antérieurement;
rarement il a, dans cece pédoncule est rectangulaire; mais
lecas , un très-grand développement. Dans quelques-uns
menton est l'échancrure est largeéchancré en avant, mais
et généralement peu profonde. La languette est saillanteG ANNALES
dans le plus grand nombre, et l'on aperçoit les trois articles
de ses palpes.
PREMikRE SECTION.
Tête oblongue ou rectangulaire, prolongée d'unemanière
s'enfonçantpeu dans le prothorax,notablederrière les yeux,
et ayant un léger étranglement à sa partie postérieure.
—9* Tagénites.Tribu.
Le menton est petit et tronqué, arrondi ou trilobé anté-
en trapèzerieurement, tantôt cunéiforme, c'est-h-dire ren-
versé, quelquefois anguleux ou sinueux latéralement, et
sur pédoncule asseztantôt suborbiculaire ; il est porté un
saillant, rétréci et tronqué antérieurement.
Les mâchoires, à découvert, sont assez sail-entièrement
lantes à leur base, et leur lobe interne est armé h son extré-
mité d'un crochet corné.
manièreLa languette est saillante au-delà du menton, de
que ses palpes sont entièrement à découvert.
Les palpes sont filiformes terminés par un article plusou
gros que le précédent, mais médiocrement comprimé et
légèrement sécuriforme.
tèteLa se dilate antérieurement , de manière à couvrir
les mandibules dans leur inaction.
Les antennes ont toujours onze articles, et le dernier est
le plus souvent égal au précédent, ou plus petit que lui, ra-
l'cment un peu plus gros ; les articles de quatre à dix sont
courts et transverses pour la plupart.
Les -yeux sont petits, point saillants, notablement trans
verses, en croissant, et recouverts quelquefois dans leur
milieu parlebord de la tôle, de manière h paraître doubles.

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