Code théâtral, physiologie des théâtres, manuel complet de l'auteur, du directeur, de l'acteur et de l'amateur contenant les lois, regles et applications de l'art dramatique
1 // 1i THEATRAL IMPRDIERIE DE TROUVE ET COMPAGNIE me Notre-Dame-des-Yictoires , n° i6". \ 'V?- ::À(7 j/ii^z-r: a u>ic iic/T-ec _>>l veux des spectateurs qu'ils n'eus- sent achevé leurs rôles. A l'endroit où est maintenant le trou du souflleur, l'enfer était représenté par la gueule d'un dra- gon qui s'ouvrait et se fermait , ilorsque les diablesen devaient sor- tir ou étaient rentrés.y Les Confrères de la Passion rencontrèrent bientôt des rivaux dans les Sans-Souci.Eiifans C'é- taient des jeunes gens de famille , qui formèrent, sous ce titre, une société dont le but était de pein- dre les sottises des hommes. Le chef de cette troupe portait le ti- tre Prince des sots. W marchaitde INTRODUCTION.l6 en public avec une espèce de ca- des oreillespuchon sur la léte et d'âne, et faisait tx)us les ans une à la ses su-entrée àParis, tète de jets. Leurs représentations se don- naient sur des échafauds qu'ils dressaient à la halle. Des rivaux non moins redouta- blespourles delaPas-Confrères sion, auraient été les clercs de la privilège exclusifBazoche, si le premiers n'eût unedes pas mis digueauxentreprisesdeceltecom- pagnie. Non-seulement les clercs delà Bazochenepouvaientdonner de représentations que trois fois l'année , et aux jours de réjouis- INTIIODUOTION. I7 sances publiques, mais ils furent obliges de choisir un genre parti- culier, et composèrent des mora- lités.
ic iic/T-ec _>>l veux des spectateurs qu'ils n'eus- sent achevé leurs rôles. A l'endroit où est maintenant le trou du souflleur, l'enfer était représenté par la gueule d'un dra- gon qui s'ouvrait et se fermait , ilorsque les diablesen devaient sor- tir ou étaient rentrés.y Les Confrères de la Passion rencontrèrent bientôt des rivaux dans les Sans-Souci.Eiifans C'é- taient des jeunes gens de famille , qui formèrent, sous ce titre, une société dont le but était de pein- dre les sottises des hommes. Le chef de cette troupe portait le ti- tre Prince des sots. W marchaitde INTRODUCTION.l6 en public avec une espèce de ca- des oreillespuchon sur la léte et d'âne, et faisait tx)us les ans une à la ses su-entrée àParis, tète de jets. Leurs représentations se don- naient sur des échafauds qu'ils dressaient à la halle. Des rivaux non moins redouta- blespourles delaPas-Confrères sion, auraient été les clercs de la privilège exclusifBazoche, si le premiers n'eût unedes pas mis digueauxentreprisesdeceltecom- pagnie. Non-seulement les clercs delà Bazochenepouvaientdonner de représentations que trois fois l'année , et aux jours de réjouis- INTIIODUOTION. I7 sances publiques, mais ils furent obliges de choisir un genre parti- culier, et composèrent des mora- lités." />
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