/ i-^ \ \ \ •/ {r\ \^ ry M P j / \-^ \ \ :^ / ^ 1/^ ^ \ V V >^, \ \ L-^y- -r h\llx»itl^ A\hL LA MuhALK ALFRKD WEBER^ lt| IM TUf'l'M.ii • iTtltSMA* STRASnOl'RG, A MONSIEUR BRUCH, I rxrviTt Tif^nrnr.ir r^- t^DOvr> vr \ nr Hommage regpeetMeux. B. A. WBBBB. LfiCONOMIK DU SALUT ÉTLDE SLU LK noi;ME I»\Nit lit ReiBbani, />t'orIrsHiir/rti téttrr ^ s satisfaction complète donnie à notro désir de pair fm- par un Dieu manirosté en chair et mort pour l'a-visible moar de iliumanité; s*il fallait nous servir des termes théologique nousconsacrés par l'usage , appellerions ce deuxième degré, dans l'économie divine de notre salut: notrenotrecamfenbm et sanciificafion progressive. En- fin, le but final du plan divin , c est la perfection morale (relaUve) de Thomme, c'est sa $ainUtê relative, c*cst-è- dire, cet état de développement moral où notre volonté n*a plus besoin, pour se conformer à la volonté divine, ni des menar4î8, ni des encouragements du législateur, stimulants étrangers lani, en général, de à sphère de active, trouvela faculté mais où elle se unie et confon- la loidue définitivement avec de Dieu. C est, pour par- ler avec la théologie dogmatique, Yunion mystique de avecTâme Dieu. C'est dans ce sens large et fécond nous avonsque choisi le chapitre si iiiléressnnt de Yéconomie du salut pour faire lobjet de cette étude.