'Ricnr^DE LA CHRÉTIENNESSOCIÉTÉS — IMP. RAÇON ET COUP., RUE d'eRFURTU , 1.PARIS. SIMON PAASa DE «TCTIESSEL\ ¥^ CDRÉTIENNESSOGliTfiS CHARLES PËRIN »* m ucrmM non Mauc tt lnniuwi »ourt«rt * Cmfwuni TONL l'RF.MIER PARIS JACQUES LECOFFRE, LIBRAIRK-P.DITEUR GClLlÀUMIN. LIBRAIRE-ÉDITBCR iset . > CM MU.KS m: ( (M \ yoN MIITRB U question traitée dans cel écrit eal une de celles qui aujourd'hui préoccupent le plus les esprits sé- I u*ui. Klle est une des plus difficiles et des plus dé- licatesque notre époque ait à résoudre, aussi bien à passioiis eldes erreurs qui Tont obscurcie,cauaedes qu'à raison de la complication naturelle des faits et de la hauteur des principes qu'elle embrasse. Elle se la conciliation dedeuxrésume en choses que beau- coupde nos contemporains regardent comme incon- ( iliaUes : le progrès matériel et le renoncement rhrétien. Je prétendsétablir que. pour l'ordre maté- riel comme pour l'ordre moral, rien de grand et de \ raimeot se (aire, et ne s*est jamaisutile ne peut fait| que par renoncement. Si je n'avais consultéle «|ue ouvrage.mes forces,jen'auraispas entrepris cet :Deui raisons m'y ont déterminé d'abord l'impor- .' (le la question dans l'état présent des doctrinestant mœurs; puis Tirrésislible évidence avec la-et dos la solution chrétienne de ce grave problèmequelle temps s'offrait à mon esprit.
'Ricnr^DE LA CHRÉTIENNESSOCIÉTÉS— IMP. RAÇON ET COUP., RUE d'eRFURTU , 1.PARIS. SIMONPAASa DE «TCTIESSEL\ ¥^ CDRÉTIENNESSOGliTfiS CHARLES PËRIN »* m ucrmM non Mauc tt lnniuwi »ourt«rt * Cmfwuni TONL l'RF.MIER PARIS JACQUES LECOFFRE, LIBRAIRK-P.DITEUR GClLlÀUMIN. LIBRAIRE-ÉDITBCR iset. >