Découverte d un peigne en fer à Martizay (Indre) - article ; n°3 ; vol.7, pg 195-200
7 pages
Français

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Découverte d'un peigne en fer à Martizay (Indre) - article ; n°3 ; vol.7, pg 195-200

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
7 pages
Français
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

Revue archéologique du Centre de la France - Année 1968 - Volume 7 - Numéro 3 - Pages 195-200
Jean-Louis SOUBRIER,
Découverte d'un peigne en fer à Martizay (Indre)
Le peigne en fer découvert au cours des fouilles, en 1967, à Martizay, ressemble à d'autres peignes romains trouvés en France et en Allemagne, mais par chance il est beaucoup mieux conservé que tous ceux que l'auteur a pu recenser et qu'il décrit. Notamment sa longueur, 38 cm, est intacte. Ceci amène à contester la désignation, « peignes de tisserands » qui avait été généralement donnée à ces objets. On ne voit pas bien en effet, dans cette hypothèse, pourquoi les dents se trouvent des deux côtés du peigne, pourquoi elles sont si longues. La destination, l'emploi de ces objets restent à déterminer.
6 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1968
Nombre de lectures 47
Langue Français

Extrait

Jean-Louis Soubrier
Découverte d'un peigne en fer à Martizay (Indre)
In: Revue archéologique du Centre de la France. Tome 7, fascicule 3, 1968. pp. 195-200.
Résumé
Jean-Louis SOUBRIER,
Découverte d'un peigne en fer à Martizay (Indre)
Le peigne en fer découvert au cours des fouilles, en 1967, à Martizay, ressemble à d'autres peignes romains trouvés en France
et en Allemagne, mais par chance il est beaucoup mieux conservé que tous ceux que l'auteur a pu recenser et qu'il décrit.
Notamment sa longueur, 38 cm, est intacte. Ceci amène à contester la désignation, « peignes de tisserands » qui avait été
généralement donnée à ces objets. On ne voit pas bien en effet, dans cette hypothèse, pourquoi les dents se trouvent des deux
côtés du peigne, pourquoi elles sont si longues. La destination, l'emploi de ces objets restent à déterminer.
Citer ce document / Cite this document :
Soubrier Jean-Louis. Découverte d'un peigne en fer à Martizay (Indre). In: Revue archéologique du Centre de la France. Tome
7, fascicule 3, 1968. pp. 195-200.
doi : 10.3406/racf.1968.1466
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/racf_0035-0753_1968_num_7_3_1466
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents