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Bank News n°1
NOVEMBRE 2008
C’est en pleine crise des marchés financiers que Mazars publie le premier numéro
de « Bank News », une lettre semestrielle qui porte un regard sur l’actualité et les
évolutions du monde bancaire au niveau européen. Chaque semestre, vous retrouverezEdito
quatre thèmes :
les indicateurs financiers publiés au semestre par 18 des principales banques européennes,
une analyse économique et financière du secteur bancaire européen réalisée par un cabinet d’analyse
financière indépendant : Trapeza,
un zoom sur un élément d’actualité bancaire dans un pays européen vu par un de nos associés Banque,
un éclairage sur les projets des régulateurs européens, par Fabrice Demarigny, associé Mazars.
Le second numéro arrivera en Mars 2009 ; espérons que les turbulences seront alors passées…
Sommaire
Benchmark européen . . . . . . . . . p 2
Analyse économique
et financière par : . . . . . . . . . . . . . . p 5
Redistribution du capital . . . . p 6
avec Bâle II
Point sur les provisions . . . . . . p 7
de la crise de crédit
Cyclicité des activités . . . . . . . . p9
bancaires
Conditions des crédits . . . . . . p 11
d’entreprise
Zoom sur
les “covered bonds” . . . . . . . . . . . p 13
Actualité du régulateur
européen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 15
Contacts p 16 Benchmark européen>>
Le PNB
Les banques européennes présen-
tent en moyenne une baisse de leur
PNB de 25% sur le premier semes-
tre 2008. Ceci est essentiellement
dû à la crise du crédit ...

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Extrait

Bank News n°1NOVEMBRE2008C’est en pleine crise des marchés financiers que Mazars publie le premier numéro de « Bank News », une lettre semestrielle qui porte un regard sur l’actualité et les Edito évolutions du monde bancaire au niveau européen. Chaque semestre, vous retrouverezquatre thèmes :les indicateurs financiers publiés au semestre par 18 des principales banques européennes,une analyse économique et financière du secteur bancaire européen réalisée par un cabinet d’analyse financière indépendant : Trapeza,un zoom sur un élément d’actualité bancaire dans un pays européen vu par un de nos associés Banque, un éclairage sur les projets des régulateurs européens, par Fabrice Demarigny, associé Mazars. Le second numéro arrivera en Mars 2009 ; espérons que les turbulences seront alors passées…SommaireBenchmark européen . . . . . . . . .p 2Analyse économiqueet financière par : . . . . . . . . . . . . . .p 5Redistribution du capital  . . . .p 6avec Bâle IIPoint sur les provisions . . . . . .p 7de la crise de créditCyclicité des activités . . . . . . . .p9bancairesConditions des crédits . . . . . .p 11d’entrepriseZoom sur les “covered bonds” . . . . . . . . . . .p 13Actualité du régulateur européen . . . . . . . . . . . . . . . . . . .p 15oCtncast. . . . . . . . . . . . . . . . . . .  p61
>>eBcnmhrakueorépneLe PNBLes banques européennes présen-tent en moyenne une baisse de leurPNB de 25% sur le premier semes-tre2008. Ceci est essentiellementdû à la crise du crédit puisque laplupart des dépréciations ont étéenregistrées en PNB. La perfor-mance des activités d’investisse-ment explique la baisse significa-tive des revenus de Deutsche Banket Crédit Suisse (respectivement de-45% et -55%) et la disparition des revenus d’UBS, après une dépréciation massive des actifs exposés àla crise. Les 6 banques qui montrent une progression de leur PNB sont des banques de détail situées enEspagne, au Benelux et en Italie. HBOS affiche des revenus en diminution de 82% après un nettoyagemassif destiné à redonner confiance aux investisseurs.Les 18 banques constituant l'échantillon ont été sélectionnées parmi les 20 plus grosses capitalisations boursièreseuropéennes du secteur, en tenant compte de la représentativité pays et dans la limite de 3 banques par pays. Ontainsi été retenues : Deutsche Bank et Commerzbank pour l'Allemagne ; ING, Fortis et Dexia pour le Bénélux ;Santander et BBVApour l'Espagne ; BNPP, Société Générale et Crédit Agricole pour la France ; Unicredito et IntesaSanpaolo pour l'Italie ; HSBC, RBS, Barclays et HBOS pour le Royaume-Uni ; UBS et Crédit Suisse pour la Suisse.NB : Toutes les banques publient leurs comptes en normes IFRS, à l'exception de Crédit Suisse qui publie en US GAAP,le benchmark est fait sur la base des rapports semestriels publiés au 30 juin 2008, disponibles sur les sites des banques.Le coût du risqueDurant le premier semestre, le coûtdu risque a augmenté de 57% enmoyenne par rapport à la mêmepériode l’année dernière. Ce coûtdu risque est stable par rapport ausecond semestre 2007 (-3%). Lesbanques européennes, pour cetaspect montrent une tendance biendifférente de celle des banquesaméricaines qui ont enregistré desprovisions très significatives.Les banques de détails exposées sur le marché de l’immobilier et le marché de la consommation aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne (HSBC, RBS, Santander…) présentent des dépréciations trèsimportantes dans leur compte de résultat. Pour quelques banques, un des éléments significatifs a également été le risque de contrepartie sur les monolines (RBS, Crédit Agricole…) mais la plupart desbanques continentales n’ont pas été affectées par le pur cycle économique sur le premier semestre. Cecidevrait être plus un sujet sur le second semestre avec un ralentissement des économies européennesqui pourrait conduire à une augmentation des dépréciations. Celles-ci représentent en moyenne 15% desrevenus - quelque peu en baisse - ce qui est un ratiomodéré : lorsqu’on regarde sur une base historique,le dernier pic était de 30%.BNAKNWES°n 1- NVO02280
>>eBcnmhrakueorépneLe cœfficient d’exploitationLa diminution des revenus a pourconséquence une hausse des coeffi-cients d’exploitation en moyenne à69% pour les 18 banques de notreéchantillon, qui avaient un ratiode54% un an auparavant. Alors que lecontrôle des coûts n’est pas réelle-ment un problème, les difficultés pro-viennent des revenus sur lesquelssont calculés les ratios.Les coûts ont diminué d’environ 51% par rapport au 1er trimestre 2007 avec des mesures de réduction descoûts pour les banques d’investissement (diminutions d’effectifs entre 5% et 10%) et un certain degré de flexi-bilité sur la part variable des revenus. Cependant la moyenne de notre échantillon est impactée par la per-formance des banques d’investissement, pour lesquelles les ratioss’écarte de celle-ci de 65% - 75%, (CréditSuisse, Deutsche Bank et UBS). Pour les autres banques, soit les banques de détail soit les banques diversifiées, le coefficient d’exploitation est maintenu à des niveaux traditionnels. Les banques espagnolesconservent leur place de leadersur cet aspect.INDICATIONSDELECTURE:l'unité de présentation des données est le milliardd'euros ; les variations s'entendentpar rapport aumême semestre de l'année n-1 du PNB et du coûtdu risque.Le RoELa conséquence logique de la crisede crédit est un déclin du RoE desbanques européennes. Après 4années de hausse, le RoE des banques de notre échantillon sedégrade. A8,4% sur le 1ersemestre2008, le ratiomoyen représente untiers de ce qu’il était l’an passé maisseulement 2 banques de notre échan-tillon sont dans le rouge (UBS et RBSest à la limite).Le RoE d’Intesa a été amélioré parquelques gains exceptionnels en capital sur la période. Cependant, ceci n’a pas été le cas de la plupart desbanques européennes pour lesquels la contribution positive des dépôts a été fortement réduite. Les banqueseuropéennes n’ont pas bénéficié d’IPO significatives comme les banques américaines sur le 1ersemestre2008.Ce niveau de RoE ne permet pas de financer les dividendes et la croissance des activités.BNAKNWES°n 1- NVO02380
>>eBcnmhrakueorépneLe ratiode solvabilité tier oneComme on peut s’y attendre pendant une crise, la solvabilité estun point majeur pour les actionnai-resdes banques, le managementet les autorités de surveillance. Lesbanques européennes ont pu maintenir un bon niveau de solvabi-lité puisque leur ratiotier 1 s’élèveen moyenne à environ 8% - 8,5%.Ce qui était considéré comme unbon niveau fin 2006 (8,4%) estmaintenant jugé comme proche du niveau de capital demandé. Cette force a été maintenue grâce à desaugmentations de capital (pour la moitié des banques de notre échantillon) et dans une moindre mesureà la mise en place de Bâle II (gain de 5% à 10% en besoin de capital). Cependant, il y a quelques bémolsà ce dernier aspect : toutes les banques n’ont pas encore mis en place la méthodologie de Bâle II et cel-les qui publient leur ratioselon les modalités de Bâle II n’ont pas encore toutes basculé vers les méthodesavancées.Les banques de détail ont traditionnellement un ratioinférieur à la moyenne.Les ratiossont assez diffé-rents pour les banques d’investissementqui sont plus vers des niveaux de 10% - 11%.Le ratiode solvabilité globaleLa tendance pour le ratio de solva-bilité globale qui inclut à la fois letier 1 et le tier 2 est comparable à latendance notée pour le ratiotier 1.Ce ratioest stable autour de 12%de juin 2007 à juin 2008. Cela signi-fie qu’en moyenne les banqueseuropéennes ont un ratiotier 2 del’ordre de 3,5% pour atteindre leniveau de solvabilité demandé.Les banques de détail consomment plus de ratiotier 2 que les autres (4,5% pour Unicredito par exem-ple) et les banques avec un fort niveau de tier 1 utilisent moins de tier 2 comme Dexia (0,9%).Ce niveau est à comparer au minimum de 8% requis par le pilier 1 de Bâle II alors que les régulateurstravaillent à la mise en place du pilier 2 à travers toute l’Europe. Ace propos les régulateurs sont en trainde discuter avec chacune des banques pour déterminer le bon niveau de ratiode solvabilité. Il est probable qu’ils demandent aux banques d’augmenter leur niveau de réserves à long terme et de dettessubordonnées ce qui a pour conséquence une implication plus forte des prêteurs qui sont traditionnellementmoins enclins aux risques que les actionnaires.BNAKNWES°n 1- NVO02480
>> euqimonocé esylanA8002VON - 1°nSWENKNAB5eésilitu erocne sap tnol en ,oloaPnaS asetnI elpmexe rapemmoc ,seuqnab sednarg seniatreC .latot ud %64 ruop euq tnetpmoc en edohtém ettec ed tnanevorp sérédnop sfitca selPPNB al ruop te snoitisopxe sed %67 à eécnava edohtém al euqilppa elarénéG étéicoS al isniA)2(.5002 niuJ )5 SIQ( tcapmid eduté emèiuqnic al ed statluséR : IRB )1(.snoitisopxe sed tuaféd ed sétilibaborp sel tnenimretéd iuq euqsir uderusem ed sertèmarap sed eétnomer al ed te)2(seuqnab sednarg sel rap eécnava edohtém al ed elleit-rap erocne noitacilppal ed nosiar ne selaitini snoitamitse xua erueiréfni tse iuq %5 ed essiab enu tnert-nom ,nollitnahcé erton snad suneter sneéporue seriacnab sepuorg 52 sel rap seéilbup seénnod seLIRB : ecruoSJean-Baptiste BellonTrapeza Performance : redistribution du capital avec Bâle IILa crise bancaireactuelle rappelle s’il en était besoin, que les RoE n’augmentent pas de façon démesu-réeet au-delà des pertes enregistrées en 2007 et en 2008, les investisseurs ont ajusté à la baisse leursestimations de rentabilité soutenable pour l’industrie bancaire. Mais si les estimations ont bien retenu desperspectives de résultats moins encourageantes, il n’est pas sûr que les modifications sur le capital uti-lisé aient été complètement prises en compte. En effet, l’évolution de la réglementation prudentielle de Bâle I vers Bâle II n’a commencé en Europequ’au début de 2008 – aux Etats-Unis c’est pour 2010 – et les changements dans l’utilisation du capitalpar les banques commencent seulement à être analysés.Apriorile changement du cadre prudentiel réduisait faiblement la quantité de capital requise pour l’industrie.Comme l’avaient indiqué les résultats du dernier questionnaire de la BRI lors de la phase de mise enplace de Bâle II(1), le capital minimum – pilier 1 – était réduit de 6,8% pour les grandes banques et de11,3% pour les banques plus petites des pays du G10. Le résultat est évidemment fonction de la méthode adoptée par les banques puisque le cadre de Bâle II permet d’utiliser trois approches : un modèle standard, un modèle interne de base et un modèle interne avancé. Les deux dernières méthodes doiventfaire l’objet d’une validation complète par les autorités prudentielles, ce qui entraîne des délais de miseen place.Le tableau suivant est issu de l’étude d’impact de la BRI et montre les changements attenduslors du passage de Bâle I à Bâle II.Trapeza est une société indépendante de conseil et d’études spécialisée sur le secteur bancaire. Le métier de Trapeza est de conseiller et d’aider les acteurs et les investisseurs du secteur bancaire dans la mesure des performances. L’analyse repose sur la panoplie d’outils utilisés sur les marchés financiers et combine à la fois des données comptables, financières et stratégiques.et financièrepar le cabinet
>>nAlasy ecénomoqieu et financièrepar le cabinetLa baisse du besoinde capital sur les risques de contrepartie est proche de 15%, mais elle est en largepartie compensée par l’inclusion des risques opérationnels – catégorie nouvelle de risque introduite parBâle II - qui sont un peu inférieurs à 10% du total. Comme le souligne la lecture du graphique suivant, il existeune dispersionassez forte de l’application de Bâle II avec des impacts qui vont de +10% à -25%. Note : SG = Société Générale, Casa = Crédit Agricole SA, SAN = Santander Source : rapport des sociétés et calculs de Trapeza Conseil.Les groupes à dominante banque de détailenregistrent en moyenne des baisses plus sensibles queles groupes de banque universelle, mais cela est atténué par l’application très progressive des méthodesles plus complexes (qui économisent le plus de fonds propres) dans le premier groupe de banques.L’analyse par segment des grands groupes diversifiés qui ont appliqué les méthodes avancées sur lessegments de banque de détail domestique et sur les segments de banque d’investissement, montre desécarts en réalité plus importants.Mais même pour ces groupes, les méthodes sophistiquées ne seront appliquées à l’ensemble des actifsque très progressivement. Ainsi la Société Générale a appliqué au premier semestre 2008, les méthodesavancées à 90% dans le réseau France, à 86% dans la BFI mais à 50% ou moins dans les autres segments.L’application des méthodes de Bâle II fait ressortir une très nette chute des besoins de fonds propres pour les activités de banque de détail et notamment pour les particuliers et les petites entreprises. La diminu-tion est en moyenne de l’ordre de 30% à 40%. Acontrariodans la BFI les besoins de capital augmententsouvent de 20% à 30% (Société Générale, UBS par exemple). Certes la mise en place de Bâle II passeaussi par le pilier 2 – capital souhaité au-delà du minimum par les autorités de tutelle – mais il sembleraitque son application puisse jouer aussi dans le même sens.L’évolution des besoins de capital par segment est donc très divergente et l’écart entre les métiers glo-baux – intense en capital - et locaux s’accroît fortement. En conséquence les RoE que l’on calcule sur labase des fonds propres demandés par Bâle II seront aussi modifiés.BNAKNWES°n 1- NVO02680
>>nAlasy ecénomoqieu et financièrepar le cabinetLecture des comptes : le point sur les provisions de la crise de créditSelon les estimations de marché les dépréciations passées par les grandes banques internationales à lasuite de la crise du crédit ont atteint 500Mds$ et les augmentations de capital qui ont compensé ces pertes sont voisines de 350Mds$.Ces chiffres sont désormais proches des estimations de pertes réalisées en avril et mai dernier par les organismes internationaux (FMI, OCDE, BoE, S&P…). Les écarts apparents entre les différents chiffresqui circulent proviennent des différences dans les champs des pertes prises en compte dans la crise de crédit :200 à 350Mds$ de pertes finales sur les actifs subprimetitrisés et conservés au bilan soitenviron 25% des encours concernés,500Mds$ si l’on considère un ensemble plus large de crédits de qualité médiocre qui sontentre les subprimeet les primeet si l’on tient compte des autres actifs risqués détenus parles institutions financières (prêts LBO, immobilier commercial…)Cependant ces chiffres ne correspondent pas aux pertes que les banques encourent lorsqu’elles cèdentdes portefeuilles d’actifs dépréciés.Lorsqu’il s’agit d’actifs de tradingil est logique de les valoriser en utilisant les prix de marché et non en retenant des scénarios de pertes finales. Or comme le montre le dernier rapport de stabilité financière dela Banque d’Angleterre(3), les écarts entre ces chiffres sont notables. Dans le graphique ci-après, les pertes sont dans un cas estimées à 200Mds$ et dans l’autre à 400Mds$.Source : Bank of EnglandIl n’est pas sûr que le débat sur l’ampleur des pertes se limite uniquement à la discussion entre prix demodèle et prix de marché, car les cessions de portefeuilles de grande taille se sont réalisées jusqu’à présent à des prix encore plus bas. Ainsi Merrill Lynch a cédé fin juillet 2008 un portefeuille de valeur initiale de 30,6Mds$ de CDO d’ABS super seniorà Lone Star avec une décote significative sur la valeur deces actifs dans son bilan(4) .Enfin les estimations de pertes ont été revues à la hausse pour tenir compte des défaillances dans lesstratégies de couverture des risques, qu’il s’agisse de défaillance de rehausseurs de crédit (qui garantissaientdes produits structurés) ou d’inadéquation entre les marchés dérivés et cash.(3) Bank of England: Financial Stability Report April 2008.(4) Le prix de cession était de 6,7Mds$ pour une valeur comptable de 11,1Mds$ avant cession.BNAKNWES°n 1- NVO02780
tén iuq 6002eénnal ed xuec à srueirépus tnemetten isnia tnos )8002 1S te 7002 2S( sertsemirt sreinred ertauq sel rusIFB sednarg sed » stnecaj-suos « sunever seL .sévelé xuaevin sed à sétser tnos )IFB( tnemessitsevnidte tnemecnanif ed euqnab al snad tidérc ed esirc sroh sunever sel euq te euqsir ed emret ne ninéb tôtulptnemennorivne nud tnesérp àuqsuj éicifénéb tno » serianidro « statlusér sel euq rengiluos tnadnepec tuaf lI.shcaS namdloG te sabiraPPNB ,esahCnagroMPJ ed tigas li : erianidro tatlusér ud %05 à rueiréfni tse snoitaicérpéd sed tcapmil iuqruop te esirc al tnadnep emêm sévelé sétser tnos EoR sel iuq ruop senmedni seuqnab seL.nalib nos ed elliat al tiudér a iuq knaB ehcstueD ed noitpecxel à euqov-inu tios seértsigerne setrep sel ceva noitaler al euq snas sac rap sac ua latipac ed snoitatnem-gua sed à édécorp tno seuqnab seL .)eduarf al ed etpmoc sap tneit en esylanal ici( elarénéGétéicoS te aciremA fo knaB ,SBR ,knaB ehcstueD ed tigas li : erianidro tatlusér ud %05 ed sulptnetnesérper setrep sel iuq ruop siam sfitisop EoR sed évresnoc tno iuqseétceffa seuqnab seL.latipac ed snoitatnemgua sed à redécorp ûd tno seuqnab sec setuoT .AS elocirgA tidérC te essiuS tiderC ,yelnatS nagroM ,)6(namheL,sixitaN etropmoc epuorg ec : oréz ed enisiov enoz enu snad EoR sel enèma iuq ec ,erianidro tatlusér ua serueirépus tnos setrep sel selleuqsel ruopseéhcuot tnemetrof seuqnab seL .éifidom tnemegral tse lennoitidart étivitcad elèdom ruel te seélevuoner été tno selarénég snoitceridsel ,setnatropmi latipac ed snoitatnemgua sed recnal ed seégilbo été tno seuqnab seC .)5(hcnyLllirreM ed te puorgitiC ,SBUd tigas li : sfitagén tnemetrof srol sèd tnos EoR sel te ,serianidro statlusér sel siof 2 ed sulp à seévelé tnos setrep sel: esuac ne sesimer seuqnab seL: stnemessilbatéd sepyt ertauq ertîarappa tiaf ,sfitucésnoc sertsemirt 4 rus tnanetniam tios ,7002 étél siuped seéssap snoitaicérpéd sed esylanaL.liesnoC azeparT ed sluclac ,sétéicos sed stroppar sed seénnod : ecruoSLe graphique ci-après permet de visualiser les pertes publiées sur les quatre derniers trimestres (près de250Mds$ sur les 16 groupes analysés) qui se reflètent par la taille des bulles, mais il permet surtout de mettre en rapport les pertes avec le résultat ordinaire sur l’axe vertical et l’impact de ces pertes sur la rentabilitédes fonds propres (RoE) sur l’axe horizontal.et financièrepar le cabinet>>8002VON - 1°nSWENKNAB euqimonocé esylanA83T el ruop seécnonna setrep sed etpmoc sap tneit eN )6(.esahC nagroMPJ rap esirper altnava statlusér ed sertsemirt siort sel euq tnerugif en euqihparg el snad siam epuorg ec ed eitrap tiaf snraetS raeB )5( .emiséllim siavuam nu sap tia
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