»éù sî^^i^î^ m^,^^ ^^Êm^. -V ^..4s m) •^ v^^:----;^;- o/'V-/ •V > :\: . Ji:.:^\ ^~ ^>: ^:;5^ •.4.'. » , 'N '. u 'iM^'^i ^^Leibnitz, dans la Confess/o,A vrai dire, l'atome que quand il sedirecte la notion decritique cohésion à ces figurae irnplicaloriae,demande d'où vient la prétendaitunci, par lesquels l'atomismeà ces hami, à ces corps composés. Jusque-là ilexpliquer la cohésion des démontrer l'existence de Dieu en prouvantavait prétendu corps quelconque, et non point un atome,en général qu'un la grandeur quil a sansne saurait avoir la ligure quil a et différent de la simple matière,l'intervention d'un principe doncL'atomisme, en un sens, paraîtet qui la détermine. la question dehors de cause, jusqu'au moment où se pose Mais n'est-il point tropl'origine de la cohésion des corps. si l'atome aussi a une grandeur finie et une figureclair que %iie, il ne saurait pas plus les tenir de lui-même qu'un vaut desautre corps quelconque, et que l'argument qui et tangibles, devait valoir aussi, pour quecorps visibles preuve de l'existenÇe de Dieu fût complète, des élémentsla derniers où se résolvent les corps ? argument, marque dans la pensée de LeibnitzOr cet qui le point de départ d'une évolution importante et qui ruine la notion démocritéenne de l'éternité des atomes figurés ((r/T,[j,aTa), d'être : il consiste prouvermérite relevé à que.